SOCIOLOGIE POLITIQUE ET MORALE

L1

ARISTOTE (- 384, - 322)

INTRO
Lthique des Anciens ne conoit pas :
- lide dune instance suprieure dont on pourrait recevoir une loi impersonnelle
- la conscience. Le vice nest donc pas un pch
Selon eux, lessence de lthique rside dans un rapport spcifique entre la vertu et le
bonheur. La nature
Lexercice du bonheur : un mode de vie

I/ BONHEUR ET PLAISIR
A/ Vie dAristote
B/ Objet de sa philosophie des affaires : dfinir le bien qui est le meilleur pour
lhomme
Faisabilit
Le bonheur est : - achev
- se suffit lui-mme
- il est la fin de ce que nous faisons
C/ Le plaisir
Confusion lever entre le moyen et le but
Prendre en compte tous les plaisirs
D/ Lactivit
Dcouvrir celle qui est notre affaire . Aspect collectif

II/ LE BONHEUR ET LA CITE

A/ Finalits des cits
B/ Instauration dune juste politique
Les conditions
C/ Ethos : disposition de caractre
Prendre got ce qui est beau
D/ Le juste milieu
Penser lintelligence de lacte. La prudence
Prudence ou intelligence pratique (phronsis) : une disposition accompagne de rgle
vraie, capable dagir dans le domaine des biens humains . (EN, VI, 1140)

III/ L EUPRAXIA
A/ Eupraxia : laction bonne ou le bien-agir.
Pas un moyen mais le bonheur lui-mme.
B/ Russite de lacte
La vertu mne lacte du dbut la fin, elle en assume autant lintention que les
consquences.
C/ Oriente vers la cit
D/ Quid des hommes ordinaires ?

CONCLUSION : La plus haute des activits humaines : la vie contemplative. Lamiti