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Également connue sous le nom de "Vint et un hymnes à Sainte Tara, mère de tous les Bouddhas", cet objet est un sutra du bouddhisme ésotérique tibétain. Le copiste en est Yong Rong (1744–1790), sixième fils de l'empereur Qianlong et éditeur en chef du Siku quanshu. Outre ses qualités de poète, calligraphe et peintre, Yong Rong était un amateur éclairé d'astronomie et de mathématiques. Sur le dessus de la reliure de protection de cet objet se lit l'inscription "Traduction de l'hymne de la mère de tous les Bouddhas par ordre impérial", en écriture mandchoue, tibétaine, mongole et chinoise. La calligraphie est excellente, la reliure extraordinaire, et le papier d'une qualité exquise. À la fin, on trouve l'inscription "Respectueusement écrit par le descendant et humble serviteur du trône Yong Rong". La mère des Bouddhas est un avatar du bodhisattva Guanyin, et on retrouve son image sur de nombreuses fresques murales et thangka du Tibet. Les 21 mères des Bouddhas sont des déesses honorées par tous les courants du bouddhisme tibétain ; ce sont les divinités les plus belles et compatissantes, qui soulagent et secourent des myriades d'êtres de leurs souffrances. Parmi ces divinités, les plus révérées au Tibet et en Mongolie sont les Tara vertes et les Tara blanches, et de nombreux documents existent encore à leur sujet. Aucune autre "Traduction de l'hymne à la mère de tous les Bouddhas par ordre impérial" n'est connue en Mandchourie ou en Mongolie, et le canon bouddhiste n'inclut pas ce texte, ce qui donne une très grand valeur, aussi bien documentaire que culturelle, à cet objet.
Titre original
Vingt et un hymnes à la Mère de tous les bouddhas.pdf
Également connue sous le nom de "Vint et un hymnes à Sainte Tara, mère de tous les Bouddhas", cet objet est un sutra du bouddhisme ésotérique tibétain. Le copiste en est Yong Rong (1744–1790), sixième fils de l'empereur Qianlong et éditeur en chef du Siku quanshu. Outre ses qualités de poète, calligraphe et peintre, Yong Rong était un amateur éclairé d'astronomie et de mathématiques. Sur le dessus de la reliure de protection de cet objet se lit l'inscription "Traduction de l'hymne de la mère de tous les Bouddhas par ordre impérial", en écriture mandchoue, tibétaine, mongole et chinoise. La calligraphie est excellente, la reliure extraordinaire, et le papier d'une qualité exquise. À la fin, on trouve l'inscription "Respectueusement écrit par le descendant et humble serviteur du trône Yong Rong". La mère des Bouddhas est un avatar du bodhisattva Guanyin, et on retrouve son image sur de nombreuses fresques murales et thangka du Tibet. Les 21 mères des Bouddhas sont des déesses honorées par tous les courants du bouddhisme tibétain ; ce sont les divinités les plus belles et compatissantes, qui soulagent et secourent des myriades d'êtres de leurs souffrances. Parmi ces divinités, les plus révérées au Tibet et en Mongolie sont les Tara vertes et les Tara blanches, et de nombreux documents existent encore à leur sujet. Aucune autre "Traduction de l'hymne à la mère de tous les Bouddhas par ordre impérial" n'est connue en Mandchourie ou en Mongolie, et le canon bouddhiste n'inclut pas ce texte, ce qui donne une très grand valeur, aussi bien documentaire que culturelle, à cet objet.
Également connue sous le nom de "Vint et un hymnes à Sainte Tara, mère de tous les Bouddhas", cet objet est un sutra du bouddhisme ésotérique tibétain. Le copiste en est Yong Rong (1744–1790), sixième fils de l'empereur Qianlong et éditeur en chef du Siku quanshu. Outre ses qualités de poète, calligraphe et peintre, Yong Rong était un amateur éclairé d'astronomie et de mathématiques. Sur le dessus de la reliure de protection de cet objet se lit l'inscription "Traduction de l'hymne de la mère de tous les Bouddhas par ordre impérial", en écriture mandchoue, tibétaine, mongole et chinoise. La calligraphie est excellente, la reliure extraordinaire, et le papier d'une qualité exquise. À la fin, on trouve l'inscription "Respectueusement écrit par le descendant et humble serviteur du trône Yong Rong". La mère des Bouddhas est un avatar du bodhisattva Guanyin, et on retrouve son image sur de nombreuses fresques murales et thangka du Tibet. Les 21 mères des Bouddhas sont des déesses honorées par tous les courants du bouddhisme tibétain ; ce sont les divinités les plus belles et compatissantes, qui soulagent et secourent des myriades d'êtres de leurs souffrances. Parmi ces divinités, les plus révérées au Tibet et en Mongolie sont les Tara vertes et les Tara blanches, et de nombreux documents existent encore à leur sujet. Aucune autre "Traduction de l'hymne à la mère de tous les Bouddhas par ordre impérial" n'est connue en Mandchourie ou en Mongolie, et le canon bouddhiste n'inclut pas ce texte, ce qui donne une très grand valeur, aussi bien documentaire que culturelle, à cet objet.