Un village de montagne.

On va et le chemin devient une espèce de rue très étroite, où passent tout juste quelques
mulets chargés. Elle s’en va à moitié de travers, tordue par des façades qui avancent ou qui
reculent. Elle n’est point pavée, seulement, de place en place, une pierre enfoncée dans la
terre sous le frottement des pieds est ressortie. Autour, quand il pleut, il se forme une boue
épaisse. On va donc comme dans un gué, en sautant d’une pierre à l’autre. D’un côté de la
rue, par l’effet de la montée, les maisons sont en contrebas, montrant seulement leur toit. De
l’autre côté au contraire, elles se dressent toutes entières…

Un village de montagne.
On va et le chemin devient une espèce de rue très étroite, où passent tout juste quelques
mulets chargés. Elle s’en va à moitié de travers, tordue par des façades qui avancent ou qui
reculent. Elle n’est point pavée, seulement, de place en place, une pierre enfoncée dans la
terre sous le frottement des pieds est ressortie. Autour, quand il pleut, il se forme une boue
épaisse. On va donc comme dans un gué, en sautant d’une pierre à l’autre. D’un côté de la
rue, par l’effet de la montée, les maisons sont en contrebas, montrant seulement leur toit. De
l’autre côté au contraire, elles se dressent toutes entières…

Un village de montagne.
On va et le chemin devient une espèce de rue très étroite, où passent tout juste quelques
mulets chargés. Elle s’en va à moitié de travers, tordue par des façades qui avancent ou qui
reculent. Elle n’est point pavée, seulement, de place en place, une pierre enfoncée dans la
terre sous le frottement des pieds est ressortie. Autour, quand il pleut, il se forme une boue
épaisse. On va donc comme dans un gué, en sautant d’une pierre à l’autre. D’un côté de la
rue, par l’effet de la montée, les maisons sont en contrebas, montrant seulement leur toit. De
l’autre côté au contraire, elles se dressent toutes entières…

Un village de montagne.
On va et le chemin devient une espèce de rue très étroite, où passent tout juste quelques
mulets chargés. Elle s’en va à moitié de travers, tordue par des façades qui avancent ou qui
reculent. Elle n’est point pavée, seulement, de place en place, une pierre enfoncée dans la
terre sous le frottement des pieds est ressortie. Autour, quand il pleut, il se forme une boue
épaisse. On va donc comme dans un gué, en sautant d’une pierre à l’autre. D’un côté de la
rue, par l’effet de la montée, les maisons sont en contrebas, montrant seulement leur toit. De
l’autre côté au contraire, elles se dressent toutes entières…

Un village de montagne.
On va et le chemin devient une espèce de rue très étroite, où passent tout juste quelques
mulets chargés. Elle s’en va à moitié de travers, tordue par des façades qui avancent ou qui
reculent. Elle n’est point pavée, seulement, de place en place, une pierre enfoncée dans la
terre sous le frottement des pieds est ressortie. Autour, quand il pleut, il se forme une boue
épaisse. On va donc comme dans un gué, en sautant d’une pierre à l’autre. D’un côté de la
rue, par l’effet de la montée, les maisons sont en contrebas, montrant seulement leur toit. De
l’autre côté au contraire, elles se dressent toutes entières…
Un vilage de montagne.
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On vas et le chemain devient une espèce de rue très étroite, où passe tout juste quelques mulets chargé.
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Elle s’en va à moitié de travers, tordu par des façades qui avance ou qui reculent. Elle n’est point pavé,
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seulement, de place en place, une pière enfoncée dans la terre sous le frotement des pieds est ressortie.
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Autour, quand il pleut, il ce forme une boue épaisse. On va donc comme dans un gué, en sautant d’une
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pière à l’autre. D’un coté de la rue, par l’effet de la monté, les maisons son en contrebas, montrant
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seulement leur toi. De l’autre coté au contraire, elles ce dresse toute entières…
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20 erreurs d’orthographe se sont glissées dans ce texte. Souligne-les puis corrige-les en

dessous.

Un vilage de montagne.
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On vas et le chemain devient une espèce de rue très étroite, où passe tout juste quelques mulets chargé.
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Elle s’en va à moitié de travers, tordu par des façades qui avance ou qui reculent. Elle n’est point pavé,
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seulement, de place en place, une pière enfoncée dans la terre sous le frotement des pieds est ressortie.
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Autour, quand il pleut, il ce forme une boue épaisse. On va donc comme dans un gué, en sautant d’une
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pière à l’autre. D’un coté de la rue, par l’effet de la monté, les maisons son en contrebas, montrant
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seulement leur toi. De l’autre coté au contraire, elles ce dresse toute entières…
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