dlisciplinaire noramé « CB»
Pour une torture psycholo-
‘giguc. C'estun espace nauséa-
bond et nauséeus, qui nest
cai i de jour ni de mut et
‘01 Ton doi: rester compléte-
‘ment nu @ la merei de mous-
‘aguas et autres bestioleseapa-
bles de vous rendre male.
Heureusement, un agent bien-
veillant a demand’ qu'il soit
Conduit finalement en préven-
pays et 5
Zee
Sen émeat vraiment. Sylvia
‘Bongo Ondimba y avait fait
Bil nai ten va cere
‘mais rien 1
Crest peut-dre son re dans le
disposi du pouvoir: domer
Pillusion. que son mari va
ésoudre les problémes. Elle a
fait la méme chose au sujet des
‘on pee ce er
‘une pro
testation, en. mai 2013. Quant
au conseiller politique, Hervé
Patrick Opiangah, il s'est cer-
‘tainement remis de son séjour
la prison centrale de
Libreville
Fimnin Ollo avait été arété
Je 4 juillet 2014, en allan assis-
verse dans I’arbitraire
ISGIDCRW
fe 2015, por-
rns ct muta-
ntionnaires,
‘emer minis-
iv ministre
Ces mesures
luensibles, on
constater que
le ministre, pour casser ta
dynamique qui s'est créée
‘sur cette question de la Pip
et autres revendications,
verse dans Varbitraire. La
tutelle a décidé de disloquer
le groupe, e’est honteux >, 8
fait savoir un agent muté,
En effet, ily a lieu de rap-
peler que ces revendications
ne sont pas le fait unique-
ment des agents de ce mini
tére, Crest Vaffaire de tous
les fonctionnaires gabonais.
Putt que de faire dans V'ar-
bitraire, Blaise Louembe
aurait mieux fait de trouver
‘une solution, au dossier Pip.
tous les mécontentements.
Si le gouvernement espére
vouloir régler le probleme
fen tuant la dynamique syn-
dicale a travers des affecta-
tions disciplinaires dénuées
de tout fondement, il se
trompe énormément.. C'est
clair, et "Equipe dirigée par
la perle rare Ona Ondo le
sait, la Prime d’incitation &
la performance, en rempl
cement des Fonds communs
controversés, est. désormais
sujette A des critiques de la
part de plusicurs organis
tions syndicales des secteurs
activité divers. Et cette
situation ne peut que s"am-
plier.
Formation
Les étudiants gabonais
au Burkina-Faso expulsés
des écoles
misére des étudiants
See
‘conditions de vie de se dgrader.
‘Ce quin'émeut pas, owe mesure,
les responsables des enités char-
es de ces questions.
En effet, depuis plusieurs mois
‘dj les éruiants bourses gabo-
ais de "Instat intrational de
eau et de environnement
(Fondation iE), au Burkine-Faso,
Sot confronts énormes ii
calls. Ts ont 4 chasss de eur
ablissement pour non paiement
e leurs fais de scolar et des
arinés qui remontent & quatre
‘ans Oa Is crent leur calvaire
qui veut entendre dans les rues
de Ouagadougou, en vain. Le
gouvernement gabonais leur
‘pond par un silence assoundis-
‘sit
Les misons de oat précarité
sont ides au paiement imépulir
de leurs bourses, ene autres. Is
‘¢ retrouvent alors pris dans en-
grenage des impayes et des detes
our vivre au eure jou Ain
ne bedfcen ps de la eower-
ture médicale qui prensit en
‘charge tus les frais macau et
hospi, ins que es
mens sar oronince. Is sont
comfrontés & d'énormes pro
Hémex pour nilr leur layers ct
Slime Comment, das ces
conditions, ces fits ingicus,
précariss par voloté des ama.
teus de Liev, coins &
mend, peuvent tus?
sn sont rts fie du bl
chissage et du epessage chez des
patties. Ex dit de eur cris
Ae dese, es pouvoir pubis