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PR eee EXTRAIT DV PRIVILEGE. ARLeETTRES PATENTES DV ROY, don- y, nécsa fain& Germainen Layc le vingt-ncuficfne = jour de Noucmbre,lAn de grace Mil fix cens tren- te trois, & de noftre regne le vingt-quatriefme. Signées, Lovis, & plusbas, PAR LE Roy. Ds Lomenie Seellées du grand {¢eauen Cire jaune fur fimple queué, confirmatiuesa d'autres precedentes. Verifiées au Patk - mentlc feifiefme jour de Ianuier,mil fix cens trente quatre. Par Jefquelles il eft permis 4 Pierre Ballard, feul Emptimeurdela Mu- fique de faMajefté, d'imprimer, faire imprimer, vendre & diftri- buer route forte de Mufique tant vocal qu'inftrumentale , de tous Autheurs, nonobftane toutes autres Lettres Ace contraire: Faifant defence 4 route autres perfonnes de quelque qualité & condition quills foyent d'entreprendre ladittc impreffion de Mu- fique, n'y cn extraire aucune partie en quelque lorte ou manie- re que ce foit, ny mefmes contrefaire les Notes, Caracteres > Lettres grifes: ny autres chofes inuentées par ledit Ballatd qui feruent audit exercice. A LA REY -NE. ANNE DAVSTRICHE. BADAME, L’extreme deuoir ou m’attache 'honneur que jay deftre Ei Vostrae Maresre, mia fait vnc {ecrerte violen- ce, &¢m'a forcé de prenfenter 4 fesyeux cequtacuquel- is ta gloire d'entrenit fes oreilles. Que-filon me blafme de temerité pour auoir ofénettre au frontde cét ouurage vn nom figloricux quele fren, jeferay bien aife qu'on feache queyeFay faitagin quill y euft aumoins quelque chofe de grand 8c derecommandable dans celi- ure, 4 qui je ne fouhaitte poine de fore plus heureux que de pouucir aller ju(qu’aux lieux ow les vertusde Vosrax MarastTe adorées = eftant affeuré, Mapaue, quil n'eft point de climats fi efloignez, ny de Terres fi cachées ou la Renomméce n’ayt parlé de-vous, comme de Ia Princeffe du monde la plus accomplie , & la plus digne de cegner farles corps & dans le coeur des hommes, parmy Jefquels, MADAME, Te portelaqualiré de Tres-bumble , tres-obeiBant , ey tres- Sidelle fernizenr eo fujé de V. Nd. Ricwaxp. VR LE ROY. 3 Apres que ton comrroux a brisé sant de seites? Chacumte craimt , ton cowrage pent tons, Extu faits des conqueStes Dont jamas tonsites Roys wont feew venir & bent. Que tes yeux foyent ounerts eatin , Vaey-tu viem de parfait Stu nme te regardes ? Potions fabs toys ces abattass Ext tes plite fowres gardes Nefont pas tes faldats : mais ce font tervertus » Ta fais voiren tous liewx Pour la gloive des Cienx Diineroyable effets de farce , de clemence : Sams te flatter tes faits font innit , Es, ejouria France, Aunembre defts Rozs verradesx Saini#s Loy 1s. a 4 i newr de vows voir, Philisje feds hors dewsoy-mef- me! me!Envain wu a7 a" lien, il foit ficharmant 5 actin wilt Wari alien 2 owma haope 1B ° Es lesplus aymables delices Nepeunent toucher mea reifin » Tay heanrechercher lei plas eet ee, Lenrfecturs ne me peut guerit , Es pour mettre fin dmespeines Ti fass-voms rensiv on mesarir . Towa les jours ma dostears aigrit , Etriemne remit mon oprit Dedans fag > ow alors que des penfers plus dowx , Piplatidonbene fee Viennent lentretenirde vous» Dinine arbitre de mes jours, Interrompez, le sriffe cours Des enunsi que reffent men ame: Marante d des yeux Amarante Ades yeux Dit mon 4- meelt resi €, Vadme re leurs beautex,j'a- dore DE RICHARD. 5 Teme trouble anfii-toff que 7 appergeit leurs charmes, Dion erage de plears que je me pais Sarix: Mais je difcerme encore a trancrs de mees Larmes Loft qui wecbloas C- qui me fs many. Beaax yeas , neirs o> brillants de qui le fowme tue! Conca gate plejecdemecsives ungeeeet Oftfqnex mes regerds ,esbionifex.ma vent : Maus Lar! me pafiez.peins ju/ques dedabs man arar. Aitirex, fenlement dvofive belle amerce Les cacurs que veus fentex, capables de wes dards , Esleiffex.cn repos un qui n'a pasla farce De foufeenir tefelat devas meindres regards . Ains pz Ricwanp. & 2 qui od fiw vw Roy-tu Tirfis reduireen cendre Vn d ad ad =" = c ay- murs ‘Toy qui me veux d Je desendefendre, Es teikemsardil fant i Eaux yenxegui defious veffreem- edad re Power od _&. Mafezrmt defame, oa mea vie. 3 ij bf wy fagreceeit ovigue Aine fi que me fide” i rhs hs Mon . i _& d DE RICHARD fm mearsposrfa beau=- 12. t¢. J : te a eifine age, p fom chant ext des charmes , puifantes ames nines pcre ie to ‘Roys: Etjeway point dyeux ny dorciliesy ‘Sije me ments pour les meraciller Defonvifage ,o-defa voix . Neeliqne’ dont les meraciltes Charmits les yeux, a seb dl) od dd nd a meet eferui- 0, Etwosfanenrs eh vos mefpris Cesfero 4 ddd ad DE RIGHARD. 9 ” Pawr-veue japprends Ame centraindre Etjamaisrien neme faisplaindre D'vs fen qui me brafie en tous litux : Nal nc (fast le mal qui me touche , *ilfeit Vray que mes yeux Moped benpie oe vntbe Mais guy? le, ‘ay dans lame seer wae Paribas Queje meer bi ame, Stab aren eacrestakide Arre ve Ricnarp c . i) g 4 24 Lj] \ gr ; q > ix Is | = 2 hil § s rl} & : H ¥ N rer yy a mS i “ & a HH § : | | 3 = = “BIL St = g < 3 ass oe i an a@unamant: Jd o28 feele~ ment, Haima Si e!fAa! seperds La vie add 3 J 4 é J Ic HARD. Io I fens ceder dscns fos charmecs , Exncor que fafroidenr m outré, Sa eit reigue ab filemocat , Lerma meprischamente Et nepoint refentir fis armes Et sont ce que pent mon courage Celt pareiire fans jugemens . Celt de lay dire inceSamment Halma Siete. Ha! ma Silwie. Bu belange ,quemeaplainse Yaullpeuere Oeste, Tene putt plus vier de feime. Car mon mel sfirepe Hal ma Silaia cy Puss que je fpeuois que nos diewe Craignent peas fa puiflamce y Pourguoy faible, O fans refittance Me prefentay-jeancevayons de fes yeux? Amoar. Temewrs fans me plaindre du fort, Ny de la main victories Sai rend mac fi, Et merend vain jujques dedans la mort . Amonr. c iy Eaas.yeux,quidefious vofireem- pi- edad re Powwez ad 4 + Quay? faar-il donc wb des Reps 4 ris ove brett de see pani: Ieff-uray ves Halas ff ay fei ime 5 fay fat ym [eal crime, of COOOERE | ou me vie. Haffez, nue de fats oon xi, 3B = DE RICHARD Pom meursposrfabeas=. t¢. tt. ° 1 & al jour y Fiihadeale mepefade Queje mnurray bien toff d'ancour, Si'voss wen denencr mabade » Aras vg Ricuarp. c wv dunamamt: Tadore les yeux d'une da- wet, Quitdicnmeri- i d6 4d dtd 4h) 3)3 SoS ICHARD. Io Nee? ferme menrs! Hal é jeme rptursien views a- mani! ment! a 4 Fy in aro ceder atom. fecharmes, Encor que fa; ficear mr otirige Tetronue fons mefpres charment, Benepate Frente erm Etsout ce que pent anon ctirage Celt pareifire fans jugement Coit de lny dire incefamment Ha! ma Silvie. Ha! ma Silaie, Soufrer, bel ange , que ma plainte Voucdsforvere exficrnan toxrment, Te nepuis plus vfer de feinte = Carmen mal eft e Ha! ma Sil cj té le fla me, Gdienx!qacle atteint'd man ame ! Ie s'eh ii plus Beles! 3 a ‘ add dddd ‘a4 Pais que je fpaues que nos ditux crigainety “ey iamce y Pourquoy faible , Cr fans refiftance Meprefentay-je aux rayons defes yeux? Amur. Temeurs fans me plaindre du fort , Nydeld main vicForien/é fe Qui rend ma chente glorienfe, Etmerend vainjafques dedans la mart . moar. © ij E RICHARD. n = : ¥ + : 1 = 1 a Temeurs , Gn oft foupirer , Le vefpett empafche ma plainte: Mass ni ayant plus d'eppoir , dois-jeanvirde Ls crainte > Non. pene fecerty enderer Que Lon paye ma fernitude Detantad ingratitude . Mass bas ! fi je dit mon sourment W'attire for wey fa calere , Et dans man défe(peir deis-seencore Lay plaire ? ‘Taifant posr fan cententement , Les vignenrs dome ingratitude Payeme fermitude ? S : sres s'allement, Cesbe aux seuxces divins fabeaux Quim'eflairent ,o aldo d me confem ment: Ic les-vis,ch jelear fis veir Quelle ei mepafi- 4 6 ad a Jabba d eo e@ ae = _e-"e — a | = =p be a DE RICHARD. Ig aod e . 8 @ Tewbisis que leurs dowx regards Fiffent rajenniz toute chofes , Les flesrs naiffayent de tontepars Ce weltvie qu willets & que refer, Esl Amour en moy feulement Accordsis leplaifir awecque le sourment.. Bhai riew me teuchoit labeawté Dont je comtempleis la merncille Toner fina S'oppofe d ma foy nompareille : Exde peur deme fecomrir Ele feint dignorerce qui me fait meurir Depuss que payvemrans dapper Man amour n'a point de . Beawx yeux , vous me le cropexspas y Colt poarce qu'il eFF incroyable , Et mes extrefeespafiens Ne pennene s dgaller qu dns perfettions Arns pe RrcHAaRDs D wy iwi~ nits Seament, J 4 ¢ = a. add Ewne beauth done les graces dis d 4 4 bie tous les cers enflemmer : Vapi: Amowr deureiebiew te charmer DE RICHARD 4 ET Rien weit fi dowx quel ameuresfeflame, F'n jour s°y pape aufis toit qu'un moment : C'oft viare beareux que mouriremaymant , Etceftun corps qui n'a point dame — oo —— dais dea dita, dien. L'efpoir qui flatte envsinla dowlesr qui me touche, Aw lcnde Vadencirivite fa rigewr, Es la diferetion en me formant Le bouche, Onsred mile somrments la portede wor cerur . En fis 2 man malbesr nul autre ne refemble, Sirgfique de-ves eux les amiensperden ejoar, smenrs being devas de quatre merts cnfembie , Doone. detigur ds dsp demeee Beansé qui pounce tout , adorable Siluie y. Dimmer’ ond'unregerdfinece my du trys : Mais pour guey vine price deme Leifer lavie? Je ne Ld puss aymer quand je nevoss vey pas . See Se Se 4 c#* @ - . ici 4 ar) 6 6-5 __=B. a ee a f—«2 _p__b tons les jours? On que ay-je Le bien de-veus veir tous les joes? pars?” d J @ « —~4—2_¢ Hedas | ay trop ves, malbeurewx , Puss qu'en ce moment ri Awec mon corur me raifon Self perdué , Oli Tay vew ves yeast comme un eftlair Qui brille, & qui feperd ent air Des le moment qu'il d percé la wut . 0! qwilmevandreit beaucoup mieux Nsssir poins eit cuvicax , Que d crmporter un regres qui moe tui! Olimpe . a By d ‘EncH fait cour- roms d dumort, Ie voy parla od FA ee z , s dux yeux de tous Que mes flames iytsexpest- wits enne- mit.Aaxyeax de tows mesen- od a = +} oS —teg te ee <3 — * {__f —<——_ a Lenrepprit a trompl mes faings , Ils fant & juges & sefmneis fi © Delavine ardewr qui m'c Exces jalowx fame preparer, A faire fintir Amon tme Lemal de nous voir fepartz,.” Beau fajet du few que je fons, Faut-il que mes veux tnnocens Trowsems tant de facheux obstacles? Et queparParrcit dudenoir , Amour qui fait rant de miracles , Pour mey foit va dieu fans pousoir ? Aras pg Rrawannd, E ~ cipi> —t¢, Et que d'une crutile atteies-te,Et que d'une cruelle attein= 2 Add) —— pe a 2b bbb ee ae <3 a enn 2 —_——_24___ Ss Beaux, 2 je dewoisexpirer Deslemomentdesattre abfence Siles mann qu on me peatgaarir Forcens d quelque violence, Celtmains dpleindre quad masrir. zy Elas!— que je fone de mal, Ma peis' off toxjours d 1PIP 3) b >. of b bb | — es we fastparun arreit faral Quitter cette jeune meracil- le» Forcépar la rigueur ad ddddT) = beep —__b b=p b =p b-p eo te || _¢. te + cs { | - & “UG Crack. ennemiade mon bith , Refpe#, denvir , obeiftance , uclle ennuy farpafic le micn? omer pecivatene, Foréd par La rigueur. Destine qui, 2,00 ford Poyez. Deiat de men martyre: Halex, vaus , downex meg lemert, Las! Cofitont ce que jedefire. Fercéparlariguent.» re, Refons~ a. a ad Blege- « ance es fF 4. gue de tes comfile Lapa ddd = A! a a b jaw symarsifon d Lacan ptinitls Sarabond. DE RICHARD. 129 4 ad o dd] =p] « na *& a Sem ame ides vertus qui w ons poins deparcilles . Ses. scant lepouneir de nous fimederlan, Sa bouche es un oracle, ccefont deux merucilles Que de weir fon vifage, & dentendre fa voix. Coe dons ma raifon 12 faible refittence, ‘Ses charmes fur mes fens ont ¢ fait-un, telofere, Qe bien ling de mangquerd amony, ay de comflance Tenepuisdefrerque Diene, on Ls meoré, — je mmwrsenlanguesr, Il ne, fast plus qu'vw'amourenfe eillade Pour d “LPS Sacurs de man fort. Je vaymourir, jememenrs,le vay amearir , je me a ao J LP) od levey desjate trifie barque Guim’ datlomdire cn Enfere Tefins desjalesoferts dela Parque Qui vient siner mon ame de-ves firs. Haleencffiit. Mats cc envainil fortes gemifant. Halcencfifais, Atanas pz Ricwann. F cy Raconte lay comme Siluie , Qui fenle gouuernsit mon fire, A regen ke conp de lamert Aplus belaage delavie, Et que cet accident triomphe en mefise jour De tonses les forces d’ Amour . Las !jen'en puis dire entre chefé, eafinpios rekchent mon difeses? Adieu rnificen , reprends ten cexrs, Rai nem plus que meey ne repefe : Suhpe. mes regress jay bien pew Y arreffer V tila des pleurs pews te haiter « Fij a 363 WS Et quite a F ifeean qui cowrs apres tey-mcfine, 3 o peatonendei- og Pane efcon- od J fuirtey-mefine anf-ff, Arrefieva 3 ce. Etlepluagrandde mes defs C'est lamersph veitreprefin- ee d 13 ad o 4. _. < 1 Sarabande, DE RICHARD. 3 did] J4d) 10) . < ee ee ey —e__¢t_& —@& A 1 4) J Loing de ves beaux yeax, dent Damour Efelairoie mes nuiss les plusfombres Les plus beause foleils dela Cour WNeme paroifient que des ombrer. Rien que velive ofprit ficharmant , Velire vifage nefeconde, Les Graces parlens feulemsent Deputs queveusefies am monde. Anfidans veitre ofeignement Patel defelpoir me, 2 QW il femnble que pour mex tearmcnt Le Gieln'ays poins fait de remede . Armarilles ei fait de mey iene ” Eile foal flambean de ss foy Essent ce qui m'cfileire an monde « Rien que vene ,belafire des Gienx Ne retient eon ame sferniz, Eericn que le fem de ves yeux Ne nourrit le fen de ma vies PF iy A ge RECIT. J o bmp & oe Efailefrey des puifvants Rays, A quije laif- 4 Et 3) 9) é 4 J I ft pour tout choix La gleire de ree rendre homma- ge, 4 Neptune flatte mon courroux , Lrorgueilde Mars off 4 genoax Lors que ma freer animéc, Et kefoleil me luis aux Ciewx Que pour guider en mile liewe Les courriers demarenommée. Cieuxide quideffendla finde mesdoulenrs, eS im = “ ae. tt Lee « = _e aL a P us SS * oY o™ — Quichigerenben-hesr [ef- tat des —mifera= bles ,Serez a « —#. ————_5 2 ek >a _—p _b a. —b_a_ccie © oe 2 ga bee be 7 ‘2 * e = sa Cd «4 x a7 a « vous amestmanx —tonjonrs inexe- ra bles Sans jaan od add J i a ee = . bea ee = — a ee £. £—— €. e * ¢ ¢ * = ana . DE RICHARD. a oI . arvelier fe cours le cours de mes sat. ears ?heurs? 4) 3 17S ] Jl @ 6 — Aaa. a6 Race —3e =e a ee ee ba tla o Vac | i tt —_ — Tat = ew A. = = = Lefaing qui me deuore & qui me varongeant Quclaue pars que jefois , fait que tout m'importane , Esbeitas obitiné de ma srifte fortune Fait mefine que je fais malbeurcux en fongeant . Wne faite demanx dans mon cour renaifanss , Ainfigu d Promethte vous prolongez. mavie , Bx femble que le Ciel defcharge fon enuic, En-ver/ant defiuemey des malbeurs ipuifants . Sije change de lew ,fijeveille 0k je dors, Ried echoes tafe ime deaearecersine, I fancroit pour mon bien, oh mse changer moyeme/ine , smawrir une fois pony finir tant de morts . Arns pe Ricuarp. G Cloris. DIALOGVE. Tirfis , la crain- sede brufler Me fait reca~_ ler, Tinfls je te vervaydeloing S'il en OF be- foing. ad od Sloe A ee Se a ee Pal : 7 a— « - A . Et bien Quandye te d tide J a ‘ —#. «. 2 Lane Re $i 8 Tirfis. DIALOG VE. 26 Loris attends unpew Quel ardenr de mon fea M'ayt Cloris attends au-moins Que tes yense foyts tefineins Com- o 3d : od de fen- eee Leftat om je fam. i wea fla- me Auf- fi diem que mes plesr: . d a DIALOGYVE. ons fi je me puit. Odie! Odiewx! que ay mourirje meurs. DE RICHARD. 27 Odieux ! Odjenx! Odiewe! que J ad adsd 43 Aaa €_63 a ab be —& ace pe a bb > 2 Zee bc cs S68 A amet A 7 £- te * Zz 9 = vw « = <— - peal ————___ labeauté Fait ghire quels beawté Fait glaire de fa d TABLE DES AIRS SVR LE LVT DE RICHARD. A Marantca desyeux.feuil.s Ie veis autre jour pres des eaux, Amarillis je vay mourir, 12 _Icuncbeauté dontles graces. Angeliquedonties. 9 L B Lesycux baignez de pleurs. Beauxyeux, quidelouyolne. 7 , ° Beauté digne de mileautclz. 16 O! rigourcux sfogncncac : c Ceneft faitcourrons4lamore. 17 Puis queI'adorable Angelique, ‘Croy-tu Tirfisreduireencendre. 6 D Recirs. ‘Dep ageles loexda den. 4 Dansce beau jour de ph ifirs (efuis keffroy des puiffants Roys. Geant Roy dane he vito 3 O Giewx: dc qui defpend. ors Hat quedetes confeils. zo Ruiffean qui cours apres. Helatrquejefoutedsmal, 1p Vousdoutezfijefuis malade. I Dratocve- ‘Tamais vne fibelleflamme. 10 TayveucettcaftredelaCour. 11 Clorisattends vnpeu. FIN. C4 H 5 4 iy 18 ay 24 a 26

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