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De ce --scaned by amine Brabin BENVOUCER ANALYSE URBAINE _Eléments de méthodologie Office des Publications Universitaires - 18/10/2007 Brahim BENYOUCEE -: URBANISTE , ENSEIGNANT- CHERCHEUR ieee = SA ee EE DiotiG © Cue ANALYSE URBAINE Eléments de méthodologie Boa 34 pada t FA-O2-3(, ae OFFICE DES PUBLICATIONS UNIVERSITAIRES i, Place centrale de Ben-Aknoun (Alger) INTRODUCTION Les peoblémes que pose l'analyse urbane sont principalement dordre méthodologique . Liusage de cette notion est devenu courant chez tous lex spécialistes dont les intérées de recherche sont ligs aux problémes de Turbain, mais cecte notion sombm dans.une large confusion dans lu mesure wit Panalyse urbaine couvre des scms variés scion lusage auquel elle est destinge, selon lu Spécificité de son usager ( le. spécialiste) et les objectits qu'elle est sensée réaliser , Nous utilisons les méies termes Pour désigner des analyses i objets, objectifs ct approches différents. En effet, si Tanalyse faite par un sociologue urbain, un architecte, un urbuniste, un géographe urbsin ete... est ume analyse relative A un objet commun ; Turbain, il reste nécessaire de cerner des nuances qui permertent de distinguer la part du commun, du diffrent et d'insérer chaque cas d'analyse dans Ja logique propre i-chaque discipling, de maniére A eréer un réseau digchange et d'articulation, tout en préservant les préoccupations essentielles de chacune des disciplines. Unc telle tentative ura un impact direct sur la formuintion des probiématiques, la détermination des objectifs et le choix des approches et méthedes et pertiettra de pérer avec’ maitrise oe. efficacité et d'optimiser l'analyse urbaine , Dans cette perspective-novs proposons op texte relatif a Fanalyse: urbaine, fiodeste quill soit, i re prétend pas apporter des solutions miraculeuses, autant quill engage un ordre méthoelique gui permettenit de saisir les nuances, de placer chaque élément 2 sa Place et de gérer avec maitrise un processus danalyse , Le texte est composé de trois parties: 1 + Introduction au phénomene urbain 2. ~Liumalyse urbaine : démarche et méthode = généralings 3. - Lanalyse urbaine et Ja planification , Programmation d'actions 4, -Danalyse urbiine et Yaménagement ¢ projection } 1, INTRODUCTION AU PHENOMENE URBAIN 4.1. NAISSANCE DU VILLAGE La découverte de Vagriculture (période néolithique ) fut un événement tds importane dans Thistoire de Vhumanité, dans le sens ob elie permit, gritce hun long processus doccumulation dexpériences et de connaissinces, le passage fun stede relativement avancé de la civilisation humaine - Crest le passage du niveau naturel en mauére des mlations emrretenues aved fetvironnement ( stade de'la chasse, dela evelitetis et de lu grotte } A uh niveau complexe. celui de la transformation ct reproduction dex ressources naturelles, Ce niveau, obtenu grace au surplus accurnalé en qatitee d'expériences et de connaissances, exige fixation ct sédetturisation de Thomme, férmation et organisation de La collectiviré humaine, production dlun espace de vie et d'habitat approprid . Ce fut In naissance du village en tant que forme premiére de Yétablissement humain - 1.2. NAISSANCE DE LA VILLE Les exigences'de Ja collectivité humaine en matiére dorganisution et gestion sociale, institutionnelle, doonomique, séourituire, cultarcile ... ete, sont & Torigine de la nuissarice’ de lu ville. Cest une -entité socio-physique supérieure, qui vint répondre ® ces exigences, en assurant Jes fonctions politiques, économiques, militaires:sécurituires et culturelles ... - La ville est ainsi un phénoméne historique , qui conve au mispn d'Btre dans ce comtexte Si la campagne, en terme dientité socio-physique. sidentitic principalement h activité agricole, In ville par conwe widettifie & la production de services ct biens non agricoles. Cos deux entités sont interdépendantes i cet épard et forment un tout cohérent, lonité de Tétablissement humain. — Le territoire de cette «nite est composé, d'un noyuu urbain, centre par eacellence de part son role et ses fonctions et de Ja campagne qui constitue sapériphérie . Depuis. be rapport yille-campagne devint l'instrument approprié pour Vapproche de I'espace humanised. Liorganisation de ces: rapports, fut & V'origine de la nuisance des systémes de division de travail, de distribution des niles; powyairs, forictions et d'organisation des relations sociméconomiques {modes tle production } . ‘Ces rapports: prirent des formes particuliéres selon les contextes historiques et les. modes de production économiques, 1.3. LA VILLE POLITIQUE Les civilisations urbaines antiques, tirient l'essentiel de surplus et de ressources déployé dans le développement des villes, & partir de fn campagne: leur développement allait de pair avec la conquéte de territoires agricoles et la domination exereée sur ces territoines, selon des rapports de maitres et desclaves. Les espuces urbuins étaient davantage des cités plutit que des villes, dang le sens of Jes droits d'appropriation, dé gestion et de participation ( citoyennet? } n'étuicnt pas disuibuds & dgalié entre les merahres tle la collectivité; mais ils étaient réservés & une catégorie, qui s‘érigeait en maitre, qui obéit dans ses relations A un systtme de parenté ( aristocraties ... ), qui exerguit sa domination et souveraineté sor l'cnsemble du tecritoire & la fois physique ct humain. En dehors de-cette catégorie, il y'avait les esclaves et les ranger ( clients de In cité ), Du point de vue de |'organisation politique, on reconnait des cités- Etats, en terme d'unités politiques souveraines, of la territoine physique de la ‘cité se confond avec celui de la souveraine’ de ['Etat, On reconnait également des systimes unifis, ob le territoire de souversineé dé [Ett comprend plusicurs villes ov-cités, qui prirent soit Ia forme de l'empire { cas général} soitlu forme de république . Les historiens, attribuent ces options & des facteurs topographiques et considérations siratégiques en matidre de communication ét de gestion, : 4 a dans le sens oo ey teritoires of se soot développés les cités-Etats, sont des territoires carectérisés pur des ruptures ( sites a reliefs dissigués cas du monde de Ja Grice antique, iu marécageux, cas dé li Mésoporamie }; alars que les pays unifiés, cofacident uvec des espuces articuldés, favorables & la communication et maittise, cas de lEgypte ( présence du Nil qui tamasse toute Ja valle } et cas du monde romain, () présence ‘de lo mer méditerranéesine } . Mais, les facteurs humains et culurels sont également & considérer, dans le sens: ob le-monde de Ia Mésopotamie est passé sows Fempire babylonien & Munification du. pays, levent la contrainte du-site, grice 2 Yaménagement artificicl de canaux, qui periment larticulation et cammunication. des espaces implantés en site marécugeux .... 1.4. LA VILLE MARCHANDE Les civilisntions urbaines post-untiques. civilisation de [slam par exemple, se démarquent des précédentes, essenticlicment par la substinetion de la valeur déchange: & li valeur de La rente foncitee ageionte . En effet, les villes devaient subordonner leur développement & un aystéme d'échange, grace 4 la révolution marchande . Lessentiel du surplus ct ressources déployés en matiére du développement urbain, relevait de !échange. La ville se libera ainsi de Ja campagne, qui demeura seulement, lespace d'approvisionnement en matiéres premiéres agricoles et produits agro-alimentaines . Les villes devaient se towmer vers: les marchés et bénéficier do la valeur d'échange, grfice 4 un systéme de mise en relations des marchés , Systéme propre & la ville; caractérisé par wn mouvement économique dynamique 4 ressources denses, dont effet sc traduit par un développement urbuin remanquable ( croissance et eration de villes, progrés culturels, scientifiques et artistiques }. Ce sysitme est fondé sur la misc cn place d'un ‘systtme de structuration du territoire, qui devait comprendre, une typolagie varie des villes, selon le rile et échelle: marchés principaux et secondaires, Worigine, = x danivés ou. de tmnsit,. , Ce sysitine comprend égulement, un réseau Céléments duriculation et de mise en relution: tracé de vaies, Ponctud a Taide de carefours, de carivanimil, ... en: exigeant une beone connuissance géogruphique-et lopogruphique, organisation dy mouvement et de In sécurité... La manipulation de fa monnaie, trouve sa Place au coeur de ce. systémo, Lt contena de léchange s'étendait au deli de. hiens économiques, Ala culture, aus techniques et sciences. Le concours de Méchinge & In fois économique, scisntifique et culture|, eye pour effec, un développement urbain. exemplaice, qui trouve sen context dans li civilisation iskumique & /époqué médiévale, dant lvecident Brittle relais d partir de Mpoque de In renaissance 15. LA VILLE |NDUSTRIELLE Le surplus accumulé, en matiére Economique, scientifique ot colurelfe. Permit Ie passage d Iére industrielle, signalée par la découwerte de lo vapeur comme éhencs nowvelle. Cotte tre se truduit par le passage de l'économie marchande de Téchange 2 Péconontie de transtormatine industriclle ; Concemant lurbain, ceci nous permit c'apprécier un premier Phéromeéne, celui de Fimplesion, selon leguel, il eat comcentratinn des villes autour des basing miniees. & peoximies des sources energie ct de matitres Premiéres.. ‘Trés vite, Ii révolution des communications, grice 4 Viovention du train, permit la levée de la vonerainte dele localisation. . En effet, si Cimplantation des. villes (murchés demplois } était déterminge par la luculisution des sources dénergie ct. de matidres premiéres selon ope considération essenticlle, celle de lu distance, la découverte du train, qui ainific négation de la distance, leva cette contrainte. Elle permit, en onvrant ley possibiliués de transport dé biens ot personnes, aux villes de simplanter un peu partont duns te territoie, ct on assiste & un phénoméne explosion, traduit par la peolifération des villes set tout te territoire. I est eneffet A signaler que Mhistoire des phénoménes de l'homme, ct de la sociét!, névéle. que Tévolution tend des phénoménes simples, vers des phénomenes Ree a SS \ ; plus complexes, et de rythmes de changement relativement lents & des rythmes plus acecélérts . Lihormme amis presque 4500 siteles pour découvrir Vagriculture et se sédentariser, 9) siteles pour passer au sysiéme marchand d¢conomic déchange, 13 sigcles seulement pour paver au systime diéconomie de ‘transformation industrielle. Le concours des effets de la révolution industrielle, ceux de lo révolution des transports et communicutions et ceux de ta technologie, eut pour conséquence, un mouvement d'urbunisution considérable 4.6. LE PHENOMENE URBAIN CONTEMPORAIN Cene urbanisation se traduit par la efoissance des populations orbaines cngendne par l'sccroissement naturel compte tenu dé la baisse des tox de mortlité, suite a Yaméloration des conditions de vie ct du niveau de Ja santé ct par Ic mouvement des populations, sous effet de la polarisation, que les villes exergaicnt, en terme de marchdés privilésiés d'emploi - Elle se traduit également par Ja croissance du nombre des villes, exprimée par ln création de anuveaux noyaux urbains ( piles industriels }, extension des noyau existants, selon une densification verticale on horizontale et selon un processus continu d'urbanisation des territcires agricoles. En outre aux aspects quantitatify de ce phénaméne d'urbanisation { croissance en nombre, densification des tailles, rythmes de croissande aeedlérés, .., etc}, i] cut mutation radical des structures, formes ct paysages, In fois spatioux, sociaux et Sconomiques, l'urbaniswtion excessive des espaces, prolifération et domination dé Vordre urbain, en terme de mode de vie, cullure, signes et symboles; et c'est bien A cet égunt, que Ie mouvement urbuin est qualitié de phénoméne et méme plus de rtvolution 1.7. LA PROBLEMATIQUE DE L'UABAIN Si en effer la problématique générale que dégase ce phénoméne, Sarticule autour de Vappmche et de la compréhension des meécenismes et processus de ce mouvement, ct la recherche des formes appropries, pour son encadrement et gestion, en découlent d'autres problémariques spécifiqnes, compte-teng de léchelle, du vontexte; de lu dimension appméciée, de Vobjet étudié ot de Nobjectif vise, A. LA PROBLEMATIQUE DE L'‘AMENAGEMENT REGIONAL - A léchelle du territoire ct de la.rfgion, la ville est considénie comme Une composite, contenue wins un vaste territoie, eapende par un systme dinterdépendunce, contenant un réseau de villes Lurbanisation, sous forme de multiplication de villes et dextension continne, aboutit & la férmation de grandes apelomérations urbaittes, selon un phénoméne de juxtaposition des territoires urbunisées. Ce phénomeng pose une problématique propre A laménogement du termitoire et 4 Yorganisation régionale, ei. terme de problémes de disparités et. de dysfonctionnement. Elle est i caractire pluridisciplinaire, compte wenu de la spécificind de lobjat et de ladimension considérée . Elle est ailministrative et politique, vis A vis de organisation des limites: administratives, distributions des téles, responsabilités et pauvoirs, organisation des structures instinitiontelles, d&entralisation dex pauvotrs, Structuration en échelles .. . Elle reléve du dormaine de l'économie evde lu y6ographie wrbuines, vis avis de la dynamique socio-éconamique dans son rapport i espace. Eile reléve également de l‘aménagement régiooal et urbain, & Tégand des problémes de lorgunisation des telutions entre les espaces: urbaing cantenus, dans Ie souct de lamélioratian des conditions de fonctionnement, du point de yne, infrastructures ; transports, éguipements, modullinés appropriés ule Faffectution du sal... . Elle nous renyole, & titre d'exemples, au théme des villes moyennes et des -villes nouvelles, cn terme de Stratégies et instruments de régulation régionale-et teritoriale , 8, PROBLEMATIQUE CENTRE-PERIPHERIE : La-eroissance urbaine, au rythime acedélérd quelle observe, finit selon un processus de densification horizowtale, extension continue et mutation du sol ugricole, par voir d'urbuniser tout le territoire. Ceci tend A substimer au rapport iraditionnel ville-campagne, un rapport nouveau, celui du centre périphérie, en terme de deux calégories diespaces, & structure, rile ot fonction différents, appelés 2 engendser selon Ic mode de rapports entretenus, toute la dynamique socio-économique . Cette problématique s‘urticule autour des phénoménes d'ormanisation fonctionnelle ( compatibiliné onme sspuces et activités, relations. encadrement dies flux... ete), Elle nous renvois également b des problématiques seconduires < C. LA PROBLEMATIQUE DES CENTRES : Le centre en terme, despacs dé production par excellence de’ la décision, qui s¢ voit conférer la fonction de supervision et gestion . Le centre en terme également, despice de produccon par excellence des services quiy sont fortement concentrés . Le centre en terme, d'espace et noyau original, refléte par sa pérennité, la plus forte expression de Videntité du lieu, en tunt quiespace of sont concentrées. Je plus de valeurs. symboliques de l'histoire , Hestépalement 'espace productour pur excellence de innovation, de part la dynamique socie-eultureile et économique qu'il engendre ; Test pour toutes ces raisons, ‘espace le plus solliciné, Tespace reve . Tidispose d'une forte capucité dé polarisation . ‘Les problématiques que posent le centre sont diversifiées et multiples. Compte tenu, du mouvement de flux de biens'et personnes, quil-engendre, pose le problime d'accessibilité, cn terme de modes: de wansporis, infrastructures ¢t organisation de !a circulation . | | = 9 Compte tenu de la forte dynamique, quil engendre, le payange du Cente so trainsforme & une rapide allure, qui affect: a la fois, fonctions, | structures’ et formes; ct st pose 4 cet égand Je probleme de } dysfonctionnement de [espace Tl nous renvoie a une striégie de réorganisation, en terme d'amélioration des conditions de fenctinnnement du pointde vue, hygitne, sécurité, accessibiling . Tl nous renivoie également, & une etratdgie de restructuration, qui vise une mutation mdicale du eOle, fonction, structure et forme, loragu'll Sagit Cun fort degré de dystonctionnement d'un espace, qui par ailleurs ne pose aucune contriints Gu résistance A Tuménogement, eelles. que la valeur historique ob culturelle, le bon état du cadre bati, une tigide strucenne.., . Tespace le plus densiffé, le plus fortement nceupé; ecci pose le problime de la dégradation du cadre bati, habitat, infrastructures et équipements ... . t Comptes tenn de liafftum trés fort des populations vers fe centre, il est Ceri nous renvoie & une sratigie de nénovation, en weme Gamélicration de liar et des conditions de fonctionnement . Et également & une stratégie de réhabilitation, en terme toujours Pamélioration des conditions de fonctionnement selon un traitement approprié aux espaces qui posent des contmintes et des nésistances i Vamenagement. ; tele que les dissus anciens et historiques, 4 és fortes valeurs symboliques et structures rigides, uppelées 4 @tre préservées ; tels que fes grands ensembles, dont le cadre biti est nent, de bon état et pose pour cela une contrainte... . D. LA PROBLEMATIQUE DE L'HABITAT ‘Qui s'articule autour des formes de matérialisition des effets de la i demande d'espace en matiére d'hubitat , Elle ne se pose pas seulémient en terme quintitatif ( programmation ), Mais également en terme quoliwtif; en terme de réponse uppropriée; compte tenu des exigences en matiére du confort humain et qui nous renvoie 4 une approche bio-climatique du probe; ct en terme de réponse appropri¢e te compte tenu, de schemas culturels de représentution Ue espace, selon une approche socio-culturelle , E. LA PROBLEMATIQUE DE L'ENVIRONNEMENT Elle s'articule autour des effets de ta croissance urbaine et prolifdration des activins, en mutiére de pollution de lenvironmemenc; et vise la recherche des féponses appropries:, F. LA PROBLEMATIQUE DE L'ORGANISATION INSTITUTIONNELLE Elle s'articule autour de organisation institutionnelle, des fonctions de. contréle, de planification, praduction et gestion de Tespace’, Elle nous fenvaie aux notions dinstitutions, acteurs, pluns et instruments d'uranisine - 2. L'ANALYSE URBAINE GENERALITE-DEMARCHE ET METHODE 24. L'ANALYSE URBAINE Elle peut ére congue comme un gutil, an instrument indispensable & toute recherche relative & Turbain; aussi comme une phase ues importante du processus de la production urbaine planifiée, Cependant les Ghjectifs ct les problématiques de toutes les recherches dans Jesquelles elle siinstre sont différent s: et par conséquent les approches et les meéthades employées ditfénent fleur tour Bien que toutes ces analyses focmulent eur problématique générale autour de deux précecupations majeures, & savoir @connsitre les mécanismes qui animent le processus de la dynamique orbaine; et agir par la recherche de formes d'orgunisstion et Ge fonctionnement approprids pour une croissance coh¢rente, les axes de travail diffrent selon les différentes prfocevpations et font varier & la fois les abjectify et les approches; et on se trouve avec une variété de cas @unalyscs § tite dexemple , = Tahalyse qui vise une connaissance générale . * Tanalyse qui vive fa produeticin ot ln verification ‘instruments théoriques = celle qui vise la lecture interpretation des tissus et strictures urbsines * celle qui vise la planification urbaine ; © celle qui vise l'aménagement urbuin et l'interventini ... etc, 2.2. LA DEMARCHE Elle consists A définir les éléments fondamentunx qui strocturent toute analyse orbaine, dws le but de maitriser usage st de garantir la cobérence ct Ie bon fonctionnement du processus id'anatyse . 2.2.1, La problématique Crest [élément fundamental et le point de départ de lanalyse . 12 fl permet de comer diane maniére cohérente etconsciente le probléme que Vunalyse tend a résoudre . Tl est ainsi impensable qu'une analyse puise étre entamée sans au prialable avoir dégagé, d'une manidre cohfrente et claire Je probléme soulewé, Elle consiste 2 la formulation Wone priblémarique autour des préncenpations majsurcs {questions J, que’ -soulavs le probléme, qui différemment de celles. d'un profane cn la matiéve, sont struceunées et relivent d'une connaissance générale et préwable du probléme, qui émane de jectures théoriques ou d'une observation sammiaire du terrain: ce me sont done ws des questions neutres, naives ou obsolues . es préoccuputions sont appelées ensuite A &tre insérdes dans un odie ene de réflexion qui constitue le carine wénéral du fonctionnement ct de séférence de Tanalyse: ce qui nécessite aussi une connaissance préalable des théories , Des hypothtses de tevail ( conclusions unticipées ) peuvent selon lex cas aussi étre avancdes . Liutilité d'une problématique est fondamentale, pour la fixation diobjectifs et le choix dapproches et de meéthodes de Tanalyse . Les problémes sont tellement varids qu'il est nécessuire de cemer la spécificité de chacun et de définir son depné @autonomie — ct dinterdépendance, afin dele placer dans son contexte théorique et de le tuaiter avec les outils et les instruments les plus appropriés , Nous n¢ pouvons pas cniter, & titre dexemple,.le probléme de fesifucturation ou de ténovation ou d'extension de la méme maniére, ni avec les mémes outils. Done, tute la cohérence et le bon fonctionnement de Tanalyse dépendent de cewe partic fondumentale 2.2.2, L'objet C'est un élément-fondamental anes, qu'il faut définir ayec beaneaup de maitrise et de délicatesse . Hest le cneur de l'analyse, corc'est bien de étude de cet dlément quill sugit; dune maniéie tts simple c'est une réponse & Ia question quoi analyser’? . Le probléme, c'est quill sagit IA de Tespace soclo-urbain, tin dbjet tres complexe ct eés difficile A titer; car il s'agit d'un environnement em expansion, produit par la compléxité des interactions denses et articulées & la fois spaciales, sociales et économiques... - Cest un contenu vaste et diversifi¢ quill famdratt saisir avec beaucoup de délicatesse, selon les abjectifs et les disciplines. 1) faudrait surtout ne pas tomber dans lorreur d'une vole réductrice selon laquelle, Yurbain serait réduit A une. seule catéyorie Taspects. ( sporiale et physique, sociale, éeonomique ou politique )-¢t qui tend A éliminer d'uutrey aspects impliques; ni dans V'erreur des pénéralités, qui ne pewt permettre @aboutir & des résultats concrets Le principe cst celui d'upprécier selon ia discipline, le depré Tauwmomie de ses propres aspects, tont em reconmaissant lex crépeaux damiculation avec les autres aspects , Aussi de considérer Tespace soclo-physique comme aysttre qui relive de interaction de: trois éléments fondumentaux, & savoir ; a) fe cadre physique et spatiate : Syst#me propre au formes données aux licux et objets construits, leurs articulations et dynamique, Elle implique one structure propre A une. Jogique de telutions et d'articulation: une oreaniaution obéissant A. des inécanismes propres i VaFfectation &t occupation de Fespace; une dynamique felevant du comportement socio-deanamique, que ta culture urbaine encedre: une hi¢rarchie d'échelles emboitées et urticuldes . &) La dynamique sock-écomomigues 4 Processus de formation et de transformation des structures et relations scciales et économiques, qui interviennent dans Totganisation et le fonctionnement de Vespace socio-physique . c) Laeutiure urbaine : Clest fe cadre tbs large dé références, valeurs, connuissances, événements socio-¢conomiques, qui relévene ce 'sceurutution collective dexpéricnces, yuleurs et connaissances. fl constitue le fondement privilégié du processus dé création de stuctures, formes et institutions; le fondement galement de [laboration des iddes, détinition de valeurs morales et Teligieuses ( sources c'attitudes ot de componement j; le fandement uussi du processus de créariviné et production intelectuelle et artistique . Test indispensable tout en considérant l'objet dans sa globalité, d'opter- pour un andre selon l'usage, les objectifs et Ia discipline , Un ordre de prioricé doit étre find, selon lequel Vélément ow la catégorie d'aspects directement é- A la discipline ct Nusage bénéficie du premier rang en qualité ce principal alors que les autres, deviennent des objets secondaires , 2.2.3. Finalités : Pixer Vabjectif final est d'une grande wtilité, cur il définit Musage et le camactére de l'analyse Tl peut s'ngic én effet d'un objectf qui vise = une connaissance etnérale une considération d'ondre théorique une planification programmiation d'actions une opération d'aménagement ( urbenisme opérutionne! } qui & son tour détermine des objectifs propres, variés et spécifiques notamment > 4) réorganisation urbaine > Crest une action dont it contenu est lié au souci de l'amélioration des conditions d'organisation et de fonctionnement de Pespace urbain . b) Rénovation , réhabilitatian : C'est une action lige 4 la recherche des formes: d'inbégration, du point de vue des conditions de foncticnnement. Elle yise aussi l'amétioration de l'état et des conditions de fonctionnement du point de vue hyzitne, sécurité et nccessibilité, on réponse uux exigences nouvelles, compte tenu de le dynamique socio-économique . Toutefois elle vise, pour les sites @ fore identiné architecturale, Sronde valeur xymbolique et historique ef righle structure, lex meilleures formes de préservation de lidentité architecturale et de lesprit du tiew «) Restraeturation urbaine : C'est une action qui poursvit lobjectif dune mutation radicals de la fonction, forme et structure de l'espace urbain. ‘Traitement approprié aux espaces souffrant dun fort degnt’ de dysfonctionnement 4 Tégard de la dynamique socio-économique, dont les caracttres ne présentent aucune conurainte, pour une wansformation radicale, 15 Elle impliqus une nouvelle organisation fonctionnelle, une nouvelle structure et configuration de l'éspace biti. dj Extension urbaine > esi une action fide & la recherche des formes de matérialisation des réponses apportées aux demendes nouvelles, en rautiére d'cspace pour Vemploi, habitat, équipement et infrastructure, du paint de vue Programmation, imiplantution et organisation . 2.2.4 L'échelle: Léchelle constitee un élément fondamental, car-clle permet de définir Vorticulation entre un niveau et un autre, i partir duquel le contenu devient contenant et le sous-systime devient systéme . Selon une vision systimique ue I'espace, of nous les niveau hiémrchiques sarticuleat Jes uns avec les autres et s'impliquent Jes ung dans les autres, Péchelle joue un role fondamental . Lanalyse en dépend, pour unc large part, car les limites et les dimensions des espaces d'observation se tronvent impliquées par l'échelle , 1 pour slagiren effet de quatre grundes échelles en maitre de planification - a) U'écheHe territariale + ‘(Of 1a ville est considérée comme-un élément d'un grand systéme vis d vis d'un environnement constitud de réseaux de villes . 6) Liéchelle régionale : ‘i la ville constine un élément d'un-systéme plus néduit et considérée: vis Avis de son environnement étendu c) L'échelle arbaine ‘Oi la ville est considéite comme: systéme en soi, dans sa dynamique interne et sex relations vis A vis de son environnement immeédial { [aire dinfluence ) cu le zone de relutinns prioritaires , 16 d) Liaire urbaine 2 Saisie comme une partic de ta ville ct contenue duns son systéme, dans 4&4 manifestations, c dynamique, organisation, struceurution et jae. Crest [échelle privilégi¢e de Turbanisme opémtionnel, qui vise une setion Waménugement . 3. L'ANALYSE URBAINE : ET LAPLANIFICATION-PROGRAMMATION D'ACTIONS , Les deux phases cssontielles du processus de la production planifi¢e et gestion dé Vespace socio-physique, sont im planification-programmation d’actions et 'urbanisme opérationnel; ils constituent pur ailleurs les deux thémes principaux du programme d'urbunisme dispensé dans nos dcoles d'Architeeture - Pour micux saisir Tutilivé et a nature de Vanalyse urbaine dans le PROCcHSUs, NOUS avangAHNs sans trop de détails, les définitions essentielles . 3.1. DEFINITIONS ; a) Le planificarion urbatne > C'est un processus engagé par la puissance publique qui tend A conjoguer selon une vision globale, les actions et les intentions d'une toultitude d'gents imervenamts ( acteurs ), agissant dune maniére cohérente, selon leurs propees intéréts et d'une manitre aveugle, dans le sens ob ils ne tiennent pas compte de dn présence des autres acteurs . Crest un processuxe qui tend & projeter les effets d'une politique globale, { expression d'un projet de société | en matiére de Production , codification et gestion de Nespace urbuin . Processus de définition d'une politique daménagement et de Structoration de espace. socic-physique, — impliquant détermination d'sctions & mener, fixation de stratégies, dobjectifs et de moyens d'actions ( instruments } et engagement de mécanismes de décisions, de contile, d'orientation et de gestion , - Ensemble de prévisions et Wintentions qui visent A éelairer favenir . 5) L'erbanisme opdrationnel : Tl recouvre Vensemble des actions et interventions programmées et Planifiées, qui tendent 4 projeter, sur Je terrain, Ie contenu d'une. politique @aménagement et de structuration de lespace socio-physique . 3.2. LA NATURE DE L'ANALYSE L'unalyse urbaine en matitr: de planification est un outil indispensable. Outre les préoccupations de la planification relatives aux mécanismes de décision, de controle et d'orientation et aux moyens d'actions { instruments durbanisme), qui fiat lobjet d'études et de recherches & coructére pluridisciplinaire { juridique, soviologigue, politique et économique }, analyse urbaine ¢st un cotil indispensable, en yue d'une connaissance générale et exhaustive de la réalicé urbuine, qui vise lo détermination ct la programmation de Tensemble des actions et interventions, Aengager ensuite selon un processus de l"urbanisme opérationnel . Objectifs : ‘C'est une analyse qui vise une connaissance générale, cm vue de emer les différents problémes relatifs 4 'orgunisation, fonctionnement, évolution et configuration physique de Tespace secio-physique. Les memes problémes font l'objet d'actions & mener yor Ie terrain; d'actions & planifier ct & programmer, Sur la base des résultats de ceote analyse, que les docurnents durbanisme ( plans ) sont trés souvent confectionnés . Clest une sorte de diagnostic de lespace socio-physique. Une analyse peéliminaire, générale et exhaustive, du 1° degré, nécessaire pour le détermination des actions ¢t interventions i programmer. ‘Objet 2 Lanalyse recouvre lensemble des aspects qui caractérisent l'espace. socio-physique et canceme l'ensemble des domaines qui le compasent: oo ———— . Le ouch: biti, le patrimoine foncier et lenvironnement écologique , + La population - + Les activités , Léchelle et fe domaine d'apptication Dans la mesure of cette analyse prichde trés souvent Ia contection des documents d'urbanisme. Celle Activités muture, taille, structure, croissance, densité ct localisation , | ¢) Fiche n° 03; "Transports organisation, fonetionnement, svcessibilité, deeré de satisfaction, itinéraires ct modes , i d) Fiehe a" 4: Le patrimoine foncier surface, nature et statut, localisation, deeré d'aptitude & la construction . e) Fiche n° 05: Patrimoine naturel nature, superficie, qualité, localisation _ Sf) Fiche n® 06; L'espace physique , cadre bati : Composé de : = espaces conseruits = espaces libres, aménagés on non, végétawx ou minéniux = espaces réseaux concermés par toute T'infrastructure linéaire dé surface, soutervaine et wénenne | ; . regroupés en théme selon la destination d'usage : « Fiche n’ 07: L'habitat * Fiche n° 08; Les équipements = Fiche n® 09: Les espaces d'activités * Fichen’ 10; Les ¥.B.D Choix des oritéres d'identification des espaces consirwils : . Destination d'usage Le localixatan Lioccupation du sol (consommation de l'espace ) implantation { position relative } Llorganisution, la stricturation, la configuration Liétat du cadre biti et mode de construction Superficies Densitds . eee eee Cholx d'une nemencluture d'identifiention + ensemble de critéres Wobservation: Choir d'une grille de valeurs d'appréciation : échelle de valeurs de synthéses: nécessatre pour lévaluation NB. : Le madéle de fiche sera présente en annexe , Gy. (2). voir annexe - 3.3.3. Lrenquéte et recuell des données ; Aprés le choix judicieus des méthodes d'enquéte et d'observution ct la préparition des aystémes identification, des outils et documents, vient Texécution du travail de terrain proprement dit , Tl consiste en lobservation. enquéte, consultation des documents, recucil et enregistrement des données , - 3.3.4. Traitement des données ; Etape tres importante de M'analyse, qui consist a : * déterminer les différents ratios et rapports des données qquantitatives selon Vintérét recherch¢, afin dien dégager des conclusions . « représentation graphique: représcnter le maximum de donhées numeénques selon des systtmes gruphiques, afin de faciliter leur lecture et d’apporter plus de clareé , * cartes thématiques : cnregistrement de toutes les données ef renseignements sur des cartes ét plans selon une sélection thématique- Ceci , nécéssite au préalable, la sélection d'un systtme de représentution en sipnes pur théme ct qui doit carrespondre 4 une échelle de valeurs, relative & chaque eritre afin de permeting Nenregisiement d'un maximum de données, tout en @vitaat la surchurge et facilitmat la lecture , 24 345. Elaboration de synthéses ; Tl slagit dans cette étape, de proofder selon des techniques ct méthodes sélectionndes, k-ddeager certnines conclusions: relatives aux différents aspects abservés notamment aves l'usage de li technique de mise en elation de données = Croisement des données , Superposition et comparaisan des données . Echelle de valeurs d'appréciution ‘Traitement des rapports ct ratios afin d‘aboutir i |'labaration d'une synthése, relative A la qualité et situation de lexpace urbain; et une autre relative & laminude A 'aménagement . wane Exercice de simutation } Les cartes thématiques, contiennent des informutions relatives & Tespace ( par catégories }, identifié selon les critéres proposés et appnécié égulement selon des critéres. Ces informations sont représentécy par des signés solon un systtme de représentation symbolique, bien chaisi . + Représentation des thémes ou fonctions : Habimt = Ho . ( logique de représentation, opte pour Equipements = RQ la retenue des deux premiéres lettres du mot gui déyigne la nature fonctionnelle de I'espace ) = Représentation des critéres d'identification ; Eat = A Clogique de représéntation Densité = O reléve de Poption pour Structuration = 0 des sighes péométriques Identité = ¥ tine d'exemple . 3 © Représentation des valeurs attribudes Selon Jes: signes conventionnels. attribués. aux valeurs, Positives et négatives avec degré d'intensité ; +++ > Tres positif’, Excellent +e. 2 Bon + : Bon E : Moyen -- 4 Taras. ves i Médiocre Lu superposition des cartes thématiques, about 4 La localisation de toutes les informurions regroupées, qui suggérent selon l'imerprétation faite, Vattieude ) prendre, Ifaction & proposer, Texemple que nous proposons; Etat de Ihabitat et des équipements mauvuis, densité forte, identité nulle, ..., suggére une wetion de rénovution ¢t également de réorganisation , 34.6, Conclusion d'analyse , formulation d'hypothises intervention ; Crest I'étape finale du processus, qui suite & Téluboration de synthéses ot au dégagement des résultats, nécessite lanalyse des résuluty et la détermination diactions ct interventions éventuelles, formulées en terme dhypothases 3.3.7. De la proposition de I’action a la décision de laction: + Une analyse finale, des effets dimpact et des implications opérationnelles, doit présider & Mengagement du processus de décision, Programmation qui doit en outre préveir les mécanismes ct les instruments de mise en oeuvre ( urbunisme opérationnel }. Laction passe du stade de la proposition, au stade de la décision. grace aux mécanismes dé la production de décision, qui impliquent ucteurs, institutions ct instruments { procédures }. Ccat du ressort de |'urbanisme institutionnel . 4.3.8. De le programmation 4 la projection urbalne ; Une fois Taction décidée, proprammée et encadrée sur le plan opérationnel, elle ext prise en charge en terme de projet urbein, qui engage pour sa part un processus de créstivité, nécessitunt une analyse d'une autre nature, plus approfondic et A champ resteint, qui repose sur une recherche | de lecture interprétation de fespnce urbuin (structure et paysage } et une | recherche de comcepwalisation . Wl Vise la traduction du contenu du programme, en configuration dobjets et lieu constrvits, selon les lois et régles d'usage, propres au mode de communication et d'expression propre aux objets construits, formes, coukeurs et lumiéres (expression architécwerale }. Pour mieux approcher le probléme spécifique et identifié a wne échelle plus restreinte, il est recommandé de démamer, i partir, d'un schéma d'aménagement au 1/3000 ( de préférence } contenant les actions loculisées . A-appuyer également d'un schéma de structure au L5000, contenant | les éléments structuranis et Icurs relations ( accks , limites , articulations , tad}. A appuyer d'un schéma d'organisation fonctionnelle au 1/5000 également, contenant { les carecitres de affectation, distrifution et organisation fonctionielle de lespace }. ANNEXE 01; CRITERES D'IDENTIFICATION 1, OCCUPATION DU SOL a CES i piles = aaiee bate esa » Coefficient d emprise au sol Surtizce totale de la parcelte bh COs atbtc+d = i) eee s S| Coefficeient tion du sol = —Steface totale plancher . iccie sons : by rece = Surface totale de fa parcelle 28. F . IMPLANTATION a. Forme et surface de la parcelle FF ae Longueur Lo a Rappert fargeur 1 b. Implantation par rapport au domaine public. C. Implantation par rapport aux droits de Ilnltes séparatives : © Limires lutérales : Pel aes fours mitoyens: murs spares 29 = Limites arritres + d, Prospect: yue., vis 4 vis des terrains publics et privés Meseré selon te reppaee eter vow Aauterr des bitimencs F a) F) 2 3 | ! i 1 hlth2 WL+h2 bL+h2 2 2 2 | ANNEXE DE LRSPACE CONSTRUIT OL: SYSTEME D'IDENTIFICATION ET D'APPRECIATION CRITERES METHODES D'IDENTIFICATION VALEURS D'APPRECIATION i 4 = ; ‘Organisation fowctionnelte Drestinotion (use | Espaces cccupés par chaos necivatt js bomogendiné + Fonction deeninnnte. Le btéropengitd {+ dpe Pinndgration © habitat osyuipément , transports. infrastructures , deere Gutilisaien et Goohupation st qualing 1 Tilson enire les espace (davances } . Liaisons (tungenticlle, de diverts, Lexalission © Modes duces i de contour } ___|*_Linine de desgene tu d'inftience Acressibilltd. | iulle, faible. forts) * Surface béhie a sol’Surlace acceasoire Cillisation = CES: Surface hitse an saliSuctare totake Paccetle: feasité faible | Farte / moyenne: Cecupation dy sol | C.0.8 Surface planchen*Surtace totale pancelle slensité horizantakt ! verticale + Hauora a ni espace and ! chargé = Surface f Implantadion + lmpiuamting par rappot au deewire public nplannaticn dessert alignementietrais .imitpendinte de ta ame oi iépentante ‘pouspect« hautduellargeur deo sei = Implantetion pay rappoct aux droie do Simites] > Séporatives akérales * murs mityens . comes adpanda . + Implantation conditannge > par reliet , micro lima, morphokogie , percepion contrat | périphérique oe Ce bi, cere «anes apt vides, pleines, couleury et inmitres .. = _sabeur historique of cpus Tanganiaion = logiqne de cliswibutan des fremes ‘Orgunbulioe T formes $1 ecaninnes He) desineatn. 6 Daten Bice { Giecht )i DOMAINE FONCIER PUBLIC : Surface tole; ha, % STU Surface utilisée > ha, % STU Surface non vtilisée ; ha, % STU Surface réserves foncitres > ha , % STU ‘Localisation (A reporter sur plan } Prix moyen dam? Coit durbanisation primaire ( traitement terrain , T, VRD + ment } Colt urbanisation secondaire oe: ) . ‘Colit de taconstruction DA / m’ . Aptitude A la construction faible , moyenne, forte (degré de constroctibilin }. B. DOMAINE FONCIER PRIVE : * Mémes crittres d'identificarion . af FICHE N° 05 PATRIMOINE NATUREL A. NATURE: « Cours d'eau, canal, lac,... = Espaces boisés , foréts , pare , ... 5. STATUT * Domaine public # « Domaine privé ¢. IDENTIFICATION : = = Selon nature de mesure , aurfuce , volume , longueur ... D. LOCALISATION: * Acfeporter sur le plan E. QUALITE ECOLOGIQUE : = Faible, moyenne, forte F. IMPACT SUR L'ESPACE URBAIN: * Mesure des effets G, ETAT: « Endégradation , en conservation , és bon état H. DEGAE D'UTILISATION : + Faible , moyen, fort 1. NIVEAU D'ENTRETIEN : * Paible . moyen, fort. aa FICHE N* 06 L'HABITAT A. OCCUPATION DU SOL : a Surface totale habitat Surface fonciére résidentielle Surface bitie aw sol ( habitation ) Surface équipements ¢ intégrés A Uhabitat ) Surface bitie au sol (¢quipement } Surface autres constructions Surface non batie Surface non utitisée Surface voirie ( primaire , secondaire , tertiaire ) Surface accessoire ( stutionnement , voirle d'accés aux habitations , eapaces verts ). Surfaces activités intégrées A habitat ( par secteur ) (Coefficients d'occupation du sal ( par catégorie } = Surface fetate planchery Surface foneiére Coefficient d'emprise av sol ( par catégore ) = Surface totale batie ax sel Surface fonciére B. DENSITES : Né habitants Surface terale habttot—Habjha Densités brute = Densités neties = Nb habitants Surface totale nette (par carégoriel—Habtha Coefficient occupation = Surface rmtale Nb habia (par catégorie) HABITATION ; * Nb total de logements . TYPOLOGIE DE LOGEMENTS : En individuel > F2/~- Fo |F# [FS + Surface fonciére my? % Surfuce plancher Surface moyenne par logement Nb total de logements En semi collectif: mémes crittres , mémes paramaétres Encollectif; mémes critéres , mémes paramétres Le Nb de logements selon statut public - privé / location , = propriété / - % du total ‘Taux d'oocupation par logement, T.O.L. »mayen = Nb_ habitants Nb log ements ‘Taux d'occupation pur piées, T-O.P. moyen = NB personnes t Nb de pidces Jogement selon un échantillon, représentatif de Venguéte } . ‘Nb Whabitants , pour plus d'extitude , par FICHE N° OF LES EQUIPEMENTS 4. OCCUPATION DU SOL: AL. Surface &yuipements( de nivewu urbain } A.2. Surface équipements ( intéerés i l'habitat ) * Surface par secteur et selon types O Enscignements ( primaires .secondaires.. supérieur ) O Santé ( selon hi¢rarchic } O Commerce ( scion nature } DO Services ( selon nanare ) O Culture ({ hitrarchie , nature } O Sport ( hidtarchie , nature } O Loisirs ( higrarchie , naeure ) + Surface Fonciére ( brute et-neae selon catégories } * Surface planchers + Surface accessoire * Surface bitie, mon bitic , now utilisée +» COS,CES + Desai Nb habitents ret ea OU ETL IE ee eg Surface touale fonciére (equipement) = Denker neues population concernée "Secteur concerné (Surface) population scolarisde fselom_ niveau, Surface , espaces enseignement (selon niveme) . FONCTIONNEMENT , DEGRE D'UTILISATION ET DE 41 FONCTIONNEMENT : ‘. : Surface équipement/ hab Coefficient diéquipement moyen , “AZ Sauipement a 4 iat Surface plarcher/hab = Quota par babitant en m2 , soit en unité de mesure spécifique aw service et au secteur . Nb de lis Ex: hab (scinté) ‘Taux d'occupation ; selon la mature du secteur et lcxigence de Tenquéte . Nb d'éléver » Ex: T.0,classe (enseignement ) = ———— « te ent) aaa Taux de fréquentation : usagers en jours! mois fan .- %, + Bégré occupation et d'utilisation (appréciation ) : Sous utilisées , moyen , sur utilisée Apprésiation & apporter daprés les nésultars dex coefficients d'occupation et d'utilisation . * Degré de satistaction ; appréciation . échelle de valeurs: trés peu , peu, moyen , satisfaisant, tres, Elle peuvent tre tirées des résultats d'unc cnquéte de psychosociolegic, appliquée sur un échantillon représentatif, soit | de la réponse directe A la question, soit du traitement de critéres quantifiables d'observation . | 42 FICHE N° OB NATURE DU RESEAU (PAR TYPE) » Curactéeistiques « Localisation (i reporter surun plan spécifique } ETAT: » Date Cinstallation + Appnéciation selon échelle de valeur * Qualiné d'entretien DEGRE D'EXPLOITATION : ‘Capacité théorique: ‘Capacité réelle { A comparer avec norme théorique } ‘Capacité initiale ‘Capacité finale Usagers: Nb total actuel eee ee ‘Cupacité ( sclon unité de mesure spécifique ) = Quota pur; Nb total passagers A comparer avec norme théorique FICHE N° 09 ESPACES CONSTRUITS , CADRE BATI A. LOCALISATION ; | selon destination d'usage ( reporter sur les plans) modes dacceés , aire d'influence B. OCCUPATION DU SOL ; Surface au sol ( bitic ) Surface foncitre C.E.S Surface bitie au sol’ Surface totale de la parcelle C.0.8 Surface planchers / Surface totale de la parcelle Hauteur ( en niveaux / en m } Auteur rat —<—<—_$<$_— = largeur de fa vole C. IMPLANTATION : eee een ee Forme de la purcelle Disposition de la parcelle / par rapport au domaine public Disposition de lo parcelle / par rapport aux droits de limites Disposition de la parcelle / par rapport aux contraintes du relief Disposition de la parcelle / par rapport au microclimat Disposition de la parcelle / par rapport a la perception visvelle Disposition de lo parcelle / pur rapport i la tame Typologie des parcelles Forme de disposition . D. L'ORGANISATION : Forme de distribution des espaces Lignes et ples, direction de croissance Propriétés associatives et distributives Caracttres de densification , horizontale et verticals - E. STAUCTURATION : . Systime relationne! des espaces ‘Lignes et points de force Axes, voles, trames, noeuds, places, limites, accts, articulation, ... Localisation Higrarchisation (échelle } Direction Roles Fotne Architecture F. CONFIGURATION . Curactéristiques architecturales ; formes, gabarits , fagades , ouvertures , accés , volumes , vides , pleines . lomitres , couleurs Typologic = 5 de forme O de fucades ( ct d'autres éléments , sclon nécessités , Ex: toitures , accks, ...) Hiérarchisation (échelle ) Identité ; identification des styles O unitaire , diversifiée valeur historique et culturelle style dominant , degré de définition 0 mppori fond / forme / trace / architecture , Perception: degré de lisibilité G. ETAT: . Dates d'édtification Etat de la bitisse : selon échelle de valeurs ( appréciation ) Etat des installations ; selon échelle { électricité, gar eau) + Btat de lenvironnement ; selon échelle ( VRD , espaces verts 2.) = Deeré d'cnintion ; selon dchelle (VRID. espaces vers...) + Mode des constructions ( procédé, matériuux ) . N.B > Cés crittres propres & identification dex espaces et objets sonstruits ne sont pas tous indispensubles pour une analyse petlininaire , Toutefois, Tusage peut @ire fait selon les nécessités et tea possibiliiés dans le sens ob ils permetteent fy préparation d'une banque de données inclispensables Ola phase dela projection urbaine | 4. L'ANALYSE URBAINE ETLA PROJECTION 4.1. NATURE DE L'ANALYSE: PROBLEMATIQUE ET OBJECTIFS Suite i la premitre phase qui vise essentiellement lu détermination et Programmation des actions-i.mener sar le terrain, avec la préparation de tous ies instruments opérationnels indispensables, engagds. selon wn processus de décision, de compile et d'orientation , Ensuite succéde fa phase de la projection qui vise quant fi elle, la traduction d'un contenu de palitijue spatiale, en configuration d'objet et fieux construits selon fe mode de communication propre aux objets constraits, aux formes, couleurs et lumiéres , Cee vocation eoaftre & Tanalyse urbaing en vue de la projection un carnctére spécifigue , Cest une analyse approfondic A champs plus restreint et qui Sapplique cssenticllement aux objets et Heux constuits , Par les nombreux et complexes problémes que soulévent ses objectifs, elle nécessite une problématique pour la strecturation de son processus . Les problématiques, sont ‘articulées essentieliment autour des problémes que suscitent ses objectifs qui sont ceux de T'urhunisme opérationmel, & savoir A titre d'exemple, In sforganisation urbaine, la restructuration urbaing, la réhabilitation, lextension, ... etc. ‘Chavun de ces objectifs suscite des problémes specifiques et nécessite Un traitement upproprié qui suggere une problémiutique spécifique et repose sur des fondements théoriques ( cadres , instruments et concepts } appropriés , 4.2. DEMARCHE , METHODES ET APPROCHES : Limalyse en vue de lu projection, éevolue selon deux axes de recherche qui se trouvent au centre de ses intérets . 4.2.1, Une recherche de lecture interprétatian (Qui consiste en tne “ufulyse de. la stroctere, nngunisation, fonctionnement, croissance et configuration des espuces et objets ennsteuits:, (Cstrecture et logique relationnelle } (acteurs, mécanismes et tendances de croisaunce } (formes d'orgunisation } (configuration } 42.2. Une recherche de conceptualisation Qui consist en un encadrement référentiel, & savoir la sélection sinérale de néférences relatives & Varchitectare, Nimplintation ( trueé ), & la fonction, .,, ete... etsélection d'gutils théariques et opérationnels, qui deivent intervenir dans lu conception du projet, & pulser dans les permariences du licu, de Tespace et dela culture ( modes de représentation socio-culnusels de Tespace }, selon les approches d'option , 4.2.3. Les approches ; ‘Des approches, propres an monde des objets ex ‘espaces constraits, ont é86. céveloppés ct ne cessentcdévoluer, Elles affrent les outily Jes plus appropriés pour l'analyse des espaces et objets construits . Liapproche fonctionnuliste avait dominé la théorie urbanistigue longtemps ce s'est étendu durant In peemitre moitié du 20 siéctes, & une ‘époque ob ly fonetion était au coeur de eoutes les sciences, vehicula par ja, to suprématie de la nature et de. ‘environnement sun !homme, exprimée én terme de déterminisme ( Bic-iechnique j, A Vépnque of toute les sciences puisaient leurs nffdrences dans les solences naturelles ; la théorie évolutionniste de Darwin, celle de Frend, Ja théarie déterminisie de ta géographie classique, celle de lethnologie classique, la nostalse de la cabane primitive en architeeture: toutes s'inspirent de Ia méme Iogique, calle qui tend Aexprimer la force dont la nature dispose a priduire dies faity propres & homme et 4 son univers - La deuxitme moitié du 20° sidcle, devait voir surgir en rection ib égard de lhégémonie du forictionnalisme, un Mouvement scientifique, qui substitue fa culture 4 fa nature et fe coneret ( produit social i limmaginaire . Une wale ‘nvolution, qui bouleversa toutes les’ théories et lex approches admises jusqu'icl . 4a Lusbunisme et Varchitecte cn bénéficitrent au méme titre que les autres sciences , Parmi les approches qui suscitent beaucoup d'inteiéts actuellémerit A Vanwlyse urbaine 4) L'approcke structuratiste, traduite en partie per ta methade typo-morphologique + Une approche quia milri au scin de T'école Talienne, développée essentiellement par ses principaix adepis ; CANNIOIA , MURATORI, ALDO ROSSI .. ct qui ne cesse d'évolwer Une approche qui tout en considérant lespace construit selon une vision iyatémigue, ai senchevétrent Plusicurs Composantes, considére l'espace constrult Aun dégrt précis, comme systtme autonome, fonciionnant scion une logique et des mécunismes propres a tui. Lest considéré dans sa structaration, en terme de systime relationnel, ié a des mécanismes de mise en relation &) Lapproche systémigue : 08 Tespace cst considérés en terme dentembis cohérent dans su dynamique selon un mouvement, impulsé par des changes, et animé par des phénoménes cintetaction et des mécanismes de croissances. Ne pouvant montrer dans les détails, et apprécier tows bes cutils qu'une tlle approche. dispense, nous recommandons louvrage de Phillipe Panerai ct collectif, " éléments d'analyse urbaine " qui a réusai A présemter dans tin esprit de synthése tous los axes que développent ces approches , c) L'approche paysagiste : Une approche qui a mri au sein de éeole ameéreaine, développée essenti¢llement par KEVIN LYNCHE et ses adepics, une approche qui ne cesse d'évoluer 4 son tour. Elie considéte espace, selon un rapport de communication de Thommme et de lespace celui dela perception visuélle . Elle développe ses prapres outils et cadres en parfuite liaison avec les phénoménes de perception; et trouve sun extension dans les domaines-de la psychologic et de lu sémantique de Tespuce . 4) D'wutres approches se développent ctuellement ¢t animent et ennichissent la théewie urbanistique ev urchitecturale notamment celle que développe: 3 ‘Qui Considére T'espace selon-un rapport de Vhomme 4 Vespace celui de la prutique, qui confére i la pratique sociale sa dimension spatiale. Parmi les-adeptes de cette école, EDWARD. T . HALL, auteur d'un. ouviage de référence intitulé "la dimension cachée ". Liespace ost congu-en forme de produit socio-culturel relevant des modes de représentation sucio- cultirelle ; Ligpnmeche culturaliste: Une approche que développe, actuellement un de ses adeptes C, NORBERG CHULT2 et diauttes adeptes, Son objet s‘articule essentiellement autour de la théorie du lieu. Ce sont 18 quelques upproches que nous avons évoguées } titre dexemple, qui sont développécs dans les différents ouvrages de néférences cités, lids fi ces différentes éeales , Par cillours, nous ne pensons pas que les différentes appiiches puissent étre contradictoires; elles samt plutit complémentaires, chacune elle privilégic une dimension particulitre qui ne fait que consolider et compléter laure. Elles traitent en effet, de Tespace dans toules ses dimensions, celle du congu, du constrsit, du pergu et du véou . 4.2.4, La démarche méthodique : La démarche: globule se décompose en plusieurs phases : a) Phase de Tobservation, identification, qui nécessite dey techniques d'investigation et des outils appropriés . b) Phase dé traitement et mise en valeurdes données, selon ley techniques approprigs . an ial au : = 6) Phase dévaluation, celle de. lonalyse et interprétation des données, selon les approches approprigs d) Phase de ta proposition, qui reléve des sésultats: de Tunalyse, Jecture et interpretation et Vanulyse de conceptualication , Les échellcs préférenti¢lles sont : 4) 120K) pout lentié urbaine en matiéne d'évuluation et Proposition d'un schéma de structure et d'oryanisation., b) 11000 pour Ja section d'intervention, en matidre de Proposition d'un plan de masse. ©) 1/500 échelle intermédinine, pour vérification et précision . 4) 1/200 propesition § léchelle de Pobjet architectural 424. De l'objectif au subjectif : En effet, Je probléme qi continue A poser fi réflexion en architecture et en urbanisme, est celle de recannaitire Li part ou Ja litnits de Tobjectif. Les fonctionaalistes ont voulu assimiler architecture & une science exucte, dans Te sens ob la forme était conene comme le produit de deux variables @'ute équution a savoir lex besoins et les conditions de création, Hs ont réduit 0 la fin le probltme de la forme & ane éyustion mathématique, mais ils ge sont beurmds @ ln tin, pour tomber dans le pitue d'un mysticisme inwitif . Or une telle attitude démunit Vurchitecture de sa dimension humaine et artistique qui ext trés complexe _ Par ailleurs, ne considérer que Vapporr de Tintuitien et tomber dans Textrémité du subjectif, remcttrait en causes tout le précédent scientifique aoqnis par Yarchitecture ct on aurait plus A neancer lneuvre d'un architect de formation de celle Pun profine . Nous considérons ¢n effet que le nésultat global et final d'un projet urbain et architectural est produit: pur le eroisement de deux aystémes de références différents. L'un exutrieur qui se veut objectif dan le sens ot i résulte d'une anilyse selon des rigles et méthodes scientifiques ct objectives; at Taurre intérigur'st subjectif, celui Qbe véhicule (architects Qui résulte de la mémorisation interne de toutes les connaissances, valeurs, sawoir-faire et informations aequises personnellement Par Vurchitecte, consciemment ou inconsciemmient, émanant dex différentes sources de specialisation et Gupprentissuec. systéme-désiené Pat certains parle fameuse boite noi Cleat ainsi quevle projet esr Produit i la fois, par une eflesion objective et par une intuition structunte qui témoipne de lempreinte propre & Narchitecte, & som temps et & son epace (culmre ), One intnition steuctunée Mans lo sens od le’ syste ue téférences Propre f Varchitect ne peut été assimilé & celui d'un profane , du moment quione bonne partie de ce systime est composée de rfférences acquises POnSCiSMMEnt, sélectionnées el concement difectement Tobjet, Selon ce juste milieu, la forme finale de Tebjet ne peut Gtre apprécide en sui, au risque de tomber dans une appréciation subjective; mais clest la cohérence du Processus et celle du-discours, en terme de tapport entre La réflexion et le produit final. C'est le rapport de Panalyse au procuit Gna) du prajet qui peur tre jug, par rapport & son degeé de cohérence ou d'incohérence , 52 URBANISME , THEORIES , GENERALITES , DROIT f. BAILLY (C) 2. BARDET , GASTON 3. BASTIE (J), DESERT (B) Lorganisation urbaine., théaries et modéles , Paris C,R.U., L978, L'Urbunisme . Paris, PUF , Coll. que snisje: 9° édition , 1977. Liespace urbain., Paris, Masson , 1980. 4@ BERGER (A), ROUZIER (J) Ville et campagne, Paris , Economica, 5. BESSON (LF) 6. CERDA (IHfonso} 7. CHARPE (Alain) 8 CHOAY (Francoise) 9. CHOAY (Frangoise) 1977. Linrégration urbaine , Paris , PUF , 1970, La théoric générale de lurbunisation , Paris , ed. Seuil , 1979, Art ect urtanisme , Paris, PUF , Coll, que sais-je 7, 1983. Urbanisme , topics et réalités , Paris , ed. Seuil , 1979, Le sens de li ville, Paris , ed. Seuil , 169, 10. CHOMBART DE LAUWE(P.H) Des hommes ct des yilles , Paris, 11. CLAVAL (Paul) Payot, 1963. 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