Charles Schweitzer ne s'tait jamais pris pourl un crivain mais la lang
tranqa'ise l'merveillait encor,, soixante-dlx ans, pare qu'il l'avaitappri difficilernent et qrlelle ne lui apparlenait pas tout, fait? : iljouait avec se plaisait aux mots, aima'it les prononcer et sOR: imtoyAhle diction faisait pas grce d'une syllabe 3 ; quand il avait le temps, sa plume a$sorfissit en houquets. lliflustrait votontiers les -vnements de notrefm et de l"'Urniversi# par des euvt'CI dE circongtans,4 : veux de nouvel d'a*iversaira, compliments 5 aux, repas d.e mariag, diseouts:Bs, vers la aint-Cha.rlem,a,gner say.Rtes:, eharades, bo*Jts-rims0, banalits a bles 7 ; dans les congr"s, il improvisait des, quatrains 8, B allemand et frangais. Au dbut de l't nous partions pour Arcachon, les deux fernmes et avant que mon grand-pre erlt termin sb cCIu,I. ll nous crvait tro'is f la semal'n e : deux pges pour Louse, un pn,t-soriptum 10 por A Marie, pour moi toute une tettre en vers. Pour me faire mieux goter [gfs_ ur ma mJe,apprit et m'enseigna les rgles de:[a pr,,6aodig, Ouelqu' ms sutprit, gribouillerll une rponse versifis, o mE prsa de l'ach ver 12, on m'y aida, Ouand les deux femmes,envoyrent la ,fettre, elles ri aux larrne.s13 en Frlfit [a stupeur du rl.Estinataire. Far retsur du co rier'je reg-us u.ri pome ma gloire, ; j'y rpondis par un pome. L'ha tait prise. lb grand-pre et son petit-fils .s'taient u.nis par un lien flouveu ils,se parlaient, comm leslndiens, Gomme les raaquereaux de Montma dans une langue interdite aux femmes" I