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EBE MAT 1 SESSION 2013 CAPES CONCOURS EXTERNE TROISIEME CONCOURS ET CAFEP CORRESPONDANTS Sections : MATHEMATIQUES LANGUES REGIONALES : BRETON TAHITIEN PREMIERE COMPOSITION Durée : 5 heures Cateulatrice électronique de poche - y compris caleulatrice programmable, alphanumérique ou & écran graphique — @ fonctionnement autonome, non imprimante, autorisée conformément a la circulaire n° 99-186 du I6 novembre 1999, L'usage de tout ouvrage de référence, de tout dictionnaire et de tout autre matériel électronique est rigoureusement interdit. Dans le cas oit un(e) candidat(e) repére ce qui tui semble étre une erreur d’énoncé, il (elle) le signale trés lisiblement sur sa copie, propose la correction et poursuit I’épreuve en conséquence. De méme, si cela vous conduit é formuler une ou plusieurs hypotheses, il vous est demandé de la (ou les) ‘mentionner explicitement. NB : La copie que vous rendrez ne devra, conformément au principe d’anonymat, comporter aucun signe distinctif, tel que nom, signature, origine, etc. Si le travail qui vous est demandé comporte notamment Ia ‘rédaction d'un projet ou d’une note, vous devrez impérativement vous abstenir de signer ou de identifier. Tournez la page S.V.P. ® Probléme 1 : nombres irrationnels ensemble des nombres rationnels est noeé Q Cn rappale que tout nombre retionne on nut peat rie sus ta frme ©. op et sont des eters relatifs presente ea: ‘Un nombre rie est dit rraionnel sl n'eppartiont pas 4: Dans ce probléme, on se propose de démontre Uirravionalité de quelques nombres réls. Les trois parties de ce probldme sont indépendantes. Partie A : quelques exemples de nombres irrationnels 1. Soit n un entier naturel, Démontrer que si y/n n'est pas enties, alors il est irrationnel. 2, En déduite que si p désigne un nombre premier, alors «/p est irrationnel. In2 3. Démontrer que le nombre —— est irationnel. in3 1 4, Onrappelle que e= "=. On se propose de démontrer que le nombre ¢ est un nombre irrationnel. a i Pour cela, on fait Phypothése quill existe p et q, entiers naturels non nuls, tels que € : eton démontre que cette hypothése conduit & une contradiction. Pour tout entier naturel n, on pose : ty Hy nxn 4,1. Démontrer que les suites (u,)neq &t (Va)nane SOnt adjacentes, puis montrer que : ty 0 1.5. Aprés avofrjustié que la suite de terme général (5) | endirea 8 Hlmonsra conve gence de la suite (I,)yen et déterminer sa limite. 2. Pour tout entier naturel k, la dérivée d’ordre k de P, est notée P*), Par définition, PO = P,. En distinguant les trois cas suivants, démontrer que P(0) et PC @ sont des entiers relatifs: 2.1, 0 2. En reprenant les notations de la question 1, démontrer que : nea Goeeta, VaeN x=S,+ En déduire que x amet un développement en série de Engel. 3. On suppose quill existe deux suites distinctes croissantes dentiers (a,)nen €t (By)new telles que ay > 2, bp > 2et: WREN — [agy.-,2q3- Fb} gr sedd Dpgscans legged On pose np =min {ne | 3.1. Démontier que [apy 1 3.2, Démontrer que si x = [4g,.-+,dqy-+-] alors agx —1 0, h(t) =0 sinon, ob A est un réel strictement positif. 2. Deux résultats préliminaires 2.1. Démontrer que pour tous réels strictement positifs x et ¥ : 1.2. hdéfinie par h(t) xlny Vx € [a,b], f0=0 (On pourra procéder par contraposition. 3. Une maximisation d’entropie sous contrainte de moyenne et de variance On siintéresse dans cette question aux fonctions de 3 d'espérance nulle et de variance égale & 1, Cest-A-dire telles que : © cr Cf (0) est intégrable sur R d'intégrale nulle «© ¢-+t7F(t) est intégrable sur R d'intégrale égale a 1. On appelle cet ensemble. 3.1, Démontrer que g €.W, ott g désigne la fonction définie & la question 1.1 3.2. Soit f un élément de W. Démontrer que = -{ F(@)in(g@x)) dx = H(g) 3.3. En utilisant les résultats de la question 2, démontrer que : « Hf)

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