Bernadette MALGORN et Christophe BECHU : « DIALOGUE ET COOPERATION »
Dimanche 14 Février 2010
à REDON (35) Bernadette MALGORN ALGORN,, tête de liste de la Majorité présidentielle en Bretagne et Christophe BECHU,, tête de liste UMP pour les Pays de la Loire ont symboliquement choisi la ville de Redon avec une vingtaine de leurs colistiers pour discuter des relations entre les deux régions. Sans vouloir s’enfermer dans le débat de la réunification de la Bretagne historique, les deux têtes de listes ont abordé le sujet. Bernadette MALGORN ALGORN et Christophe BECHU ont dans un premier temps constaté que les socialistes au pouvoir dans les deux régions avaient traité la question de la réunification avec beaucoup d’hypocrisie. «Ce n’est pas parce que nous avons vons des avis divergents qu’il faut arrêter de se parler. N’ajoutons pas des frontières aux frontières administratives » a déclaré Christophe BECHU. Quant à Bernadette MALGORN, elle a constaté « qu’en 2004 les socialistes bretons avaient fait beaucoup de de promesses et rien ne s’est passé. Bien au contraire nous avons fait machine arrière dans les coopérations interrégionales » Les deux candidats ont affirmé d’un commun accord que leurs différences de point de vue sur la réunification « ne devaient pas servir de prétexte à l’immobilisme ». Bernadette MALGORN estime que « la demande de réunification, un sentiment fort des Bretons, doit être traitée avec sérieux. Dialoguons avec nos amis des Pays de la Loire. Ne posons pas la réunification en préalable à des coopérations qui feront qu’ensemble nous serons plus forts » assure la candidate bretonne. Les deux candidats ont décidé d’engager des coopérations concrètes dans trois domaines. La liaison ferroviaire à grande vitesse Rennes/Nantes. La mise en place ce d’une commission interrégionale sur la culture bretonne. Enfin des coopérations sur l’enseignement ’enseignement supérieur et la recherche, à travers les Pôles de compétitivité notamment dans le domaine de la mer « ce qui bénéficiera toute la région y compris à l’ouest breton » conclut Bernadette MALGORN.