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2) Définir mes niveaux d’études en écologie. Citer et expliciter des exemples à chaque fois.
Définir les producteurs et montrer leur importance pour les écosystèmes. Quelle est leur
importance dans la naissance et le développement de la vie sur terre ? (pg 1 écologie)
L’individu : une souris (ce qui représente les caractères biologiques de la vie = être vivant)
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3) Expliquer le cycle du carbone. Quel est le rôle des océans dans ce cycle ? Citer 4 exemples de
l’impact de l’homme sur ce cycle.
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4) Expliquer les transferts d’énergie et de matière au sein d’un écosystème. Représenter une
pyramide écologique montrant l’évolution de l’énergie disponible au sein d’une chaîne
alimentaire.
Lors du transfert d’E entre chaque nœud de la chaine alimentaire (entre chaque individu),
une perte d’énergie importante systématique a lieu. Heureusement, l’E lumineuse (captés
par végétaux chlorophylliens) compense les pertes mais il y a toujours une diminution de la
quantité d’énergie d’un niveau à l’autre, le long de la chaîne alimentaire.
CONSOMMATEURS
TERTIARES
(énergie -)
CONSOMMATEURS
SECONDAIRES
CONSOMMATEURS PRIMAIRES
PRODUCTEURS
(énergie +)
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5) Définir les relations biotiques qui existent au sein d’une biocénose ? Illustrer à l’aide
d’exemples.
Tous les êtres vivants établissent des relations entre eux. Ils peuvent être partenaires ou adversaires.
La compétition (+/-) : relation de conflit entre des animaux « adversaires » de même espèce.
Ex : Les cerfs (profit au mal dominant accès aux femelles et à la nourriture, période de rut)
La coopération (+/+) : relation d’entraide entre les animaux « partenaires » d’une même
espèce. Ce comportement engendre des bénéfices pour la population. Ex : Insectes sociaux :
les abeilles ; profit à la ruche meilleure défense, meilleure alimentation, meilleure
reproduction).
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6) Décrire le cycle de l’azote. Expliquer les conséquences de l’utilisation et du lessivage d’un
excès d’engrais azoté sur les eaux stagnantes.
CONSEQUENCES ?
EUTROPHISATION : - enrichissement des eaux en substances nutritives (N,P) qui
entraine un déséquilibre écologique): ↑ N, P ↑Plancton eau verte ↓ lumières
mort plantent ↑ bactéries ↓O2 mort animaux.
Lessivages engrais pollution N des eaux stagnantes (peu renouvelées).
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c) Climax = écosystème en équilibre (sol nu espèces pionnières climax)
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Avec la condensation des vapeurs d’eau sous forme de nuage puis qui retombent en
pluie, toutes ces molécules dites organiques seraient tombées à la surface de la
planète dans les nouveaux océans créant ainsi un bouillon primitif ou soupe
primitive, point de départ de la vie.
Expérience de Miller : vérifier l’hypothèse de synthèse abiotique de molécules
organiques càd la fabrication de matière organique à partir de matière minérale
sans intervention des êtres vivants.
Hypothèse 2 : Origine autotrophe chaude La vie serait apparue au niveau des
fissures de sources hydrothermales des profondeurs océaniques. Les molécules
prébiotiques nécessaires auraient été synthétisées sur les sulfures métalliques
présents servant de catalyseur.
Le succès actuel de cette hypothèse vient en partie de la génomique, selon laquelle
les ancêtres des procaryotes actuels seraient apparentés aux archéobactéries vivant
actuellement au niveau des sources thermales et qui n’utilisent pas l’énergie solaire
(chimiosynthèse). L’origine océanique aurait en plus offert une protection contre les
UV. Au contraire, les acides aminés son très sensibles aux hautes températures ce qui
n’est pas compatible avec cette hypothèse. Il n’existe pas de preuve expérimentale
aujourd’hui.
Hypothèse 3 : La panspermie La terre aurait été ensemencée par des molécules
organiques complexes amenées pas des météorites. De fait, au début de son histoire,
la terre était bombardée pas des centaines de milliers de météorites et des analyses
des comètes (comète de Haley) montrent des traces de matières organiques.
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- Variation à chaque génération sélection des « meilleurs »
- Expansion au détriment des autres individus
Exemple : Il existe des girafes à petit cou et à grand cou. Les arbres étant
grands, seuls les girafes à grand cou ont survécu ! La descendance avait
donc un grand cou.
Les données actuelles des théories de l’évolution :
La théorie synthétique ou « néo darwinienne » : Cette théorie doit son nom
au regroupement des données de la systématique, de la paléontologie et de
la génétique. Nouveau mode de pensée : « pensée populationnelle ».
L’évolution est considérée comme l’évolution de groupements d’individus de
même espèce c’est-à-dire de populations (et non comme la transformation
d’individus isolés). La théorie synthétique explique l’évolution par l’action de
la sélection naturelle.
La théorie neutraliste : Les observations montrent que les populations sont
polymorphes. La diversité observée est le résultat d’un équilibre d’où son
nom de polymorphisme équilibré. Mis à part des cas extrêmes (éliminer les
individus les plus inaptes ou favoriser eux qui ont des gènes très avantageux),
les allèles d’un même gène sont généralement neutres vis-à-vis de la
sélection et le facteur principal de l’évolution est le hasard lié à la
reproduction sexuée.
La théorie « des équilibres intermittents » : Théorie défendue par les
paléontologistes : le plus souvent une espèce reste stable très longtemps,
puis elle est remplacée brusquement par une nouvelle espèce.
IMPORTANCE DE L’ISOLEMENT ?
- Spéciation : le processus évolutif par lequel de nouvelles espèces vivantes
apparaissent.
- La spéciation, c’est la naissance d’une espèce ou plus à partir d’une espèce
ancestrale.
- Mécanisme de spéciation : Lorsque l’ensemble des individus qui constituent
une espèce forme plusieurs populations isolées, chacune des ces populations
peut acquérir des caractères particuliers et donner naissance à des variétés
différentes au sein de la même espèce. Si ces variétés sont, par la suite, dans
l’impossibilité de se croiser, elles divergent de plus en plus et finalement sont
inter-stériles : elles constituent alors des espèces distinctes.
- Barrière qui sépare les variétés d’une même espèce peut être de nature
variée : barrière géographique (fleuve, montagne…) ; barrière temporelle
(période de reproduction ≠) ; barrière écologique (≠niches écologiques) ;
barrière comportementale ; barrière mécanique.
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L’isolement permet d’éviter tout croisement et donc pas de mélange des gènes
divergence des variétés possibles.
11) Qu’est-ce que des organes analogues et homologues ? Citer des exemples. Comment se
forment-ils ?
HOMOLOGUES : structures héritées d'un ancêtre commun, elles ont donc la même structure
et la même origine embryonnaire. divergence évolutive (mécanisme de l’évolution à citer)
Exemple : membre des tétrapodes, la nageoire d'une baleine, l'aile d'un oiseau et le bras
d'un humain sont homologues.
ANALOGUES : simple ressemblance, structures apparues indépendamment dans l'évolution
des espèces. convergence évolutive du à un environnement commun.
Exemple : aile d'un papillon et celle d'un oiseau ne sont pas héritées d'un ancêtre commun
(elles n'ont pas la même structure mais des adaptations similaires : surface de l’aile,
épaisseur allègement).
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population. Ex : Girafes taille moyenne avantagées dans milieu d’arbres de taille
moyenne.
La sélection diversifiante : Elle élimine les phénotypes intermédiaires et favorise les
phénotypes extrêmes. Ce type de sélection tend à diversifier la pop. Ex : Girafes
petites & de grandes tailles favorisées dans un milieu hétérogène comportant petits
& grands arbres.
Les autres facteurs d’évolution
Les mutations sont des modifications de code génétique. Elles font
apparaître de nouvelles formes allélique. Il s’agit de la cause ultime de la
variation génétique qui rend l’évolution possible. Elles peuvent être neutres,
défavorables ou favorables. Pour avoir une influence possible sur
l’évolution, la mutation doit avoir lieu dans les cellules reproductrices c-à-d
lors de la méiose. Elle peut être transmise à la descendance.
Le flux génétique est le déplacement d’allèles d’une population vers une
autre lors de la migration d’individus entre ces 2 populations. Les fréquences
alléliques dans les 2 populations vont donc être modifiées.
Les fécondations non aléatoires se produisent quand des individus porteurs
de certains génotypes se fécondent plus fréquemment que le hasard ne
pourrait le prévoir. Exemple fréquent : Autofécondation chez les fleurs ; Ce
processus sélectionne donc un phénotype particulier
La dérive génétique est une modification aléatoire de la fréquence d’un
allèle sans que la sélection naturelle intervienne.
- Ce phénomène se produit surtout pour les allèles neutres qui ont les mêmes
valeurs adaptives. Ainsi une mutation neutre qui ne procure ni avantage ni
désavantage sélectif peut très bien se répandre dans une population autant
qu’être éliminée.
- La dérive génétique peut également être due à 2 effets :
a) L’effet fondateur qui résulte de la colonisation d’un nouveau territoire par
un petit nombre d’individus, les individus « pères » ne sont pas
nécessairement représentatifs de la population d’origine.
b) L’effet d’étranglement qui résulte de la brusque réduction de la taille d’une
population. Les individus survivants ne sont pas obligatoirement
représentatifs de la population d’origine.
L’impact sera d’autant plus important que la population est petite.
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Mutation silencieuse : pas de modification de la séquence d’acides aminés de la
protéine.
Mutation faux sens : remplacement d’un acide aminé par un autre acide aminé.
Mutation non sens : remplacement d’un acide aminé par un codon stop (
protéine plus petite).
b) Conséquence des insertions et des délétions : En ajoutant ou en
enlevant une paire de nucléotide, ces mutations décalent le cadre
de lecture de l’ARNm par les ribosomes. La séquence d’acides
aminés est alors profondément modifiée à partir du point de
mutation. On parle de mutations de phase.
B) Les mutations chromosomiques : Modifications du nombre ou de la structure des
chromosomes.
Modification dans la structure :
- L’inversion : inversion dans la succession des gènes placés sur un
chromosome.
- La délétion : perte d’une partie d’un chromosome.
- La duplication : dédoublement d’une partie d’un chromosome.
- L’insertion : transfert d’un fragment interne de chromosome dans un
autre chromosome.
- La translocation : échange de fragments de chromosomes entre deux
chromosomes.
Modifications du nombre de chromosomes :
- Polyploïdie : cellule qui possède plus de 2 lots de chromosomes.
Viable et fréquente chez la plante : gigantisme des plantes (plantes
cultivées).
Anomalie mortelle chez l’homme.
- L’aneuploïde : ajout ou suppression d’un ou plusieurs chromosomes.
Trisomie : 2n+1 chromosomes
Monosomie : 2n-1 chromosomes.
14) Pour quelle raison des mutations morbides (rendant malade) récessives subsistent-elles dans
les populations ?
Dans les mutations néfastes récessives, les hétérozygotes sont porteurs sains et ce n’est donc
pas néfastes. Cependant, l’allèle est caché et il se maintient durant des générations.
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