Browniennes… Diffusent, hurlent le sabbat de ta gloire ô fille de l'Elysée Les âmes enivrés se détachent et fusionnent en ton monastère...succombent aux charmes de l'infernal réseau de tes nœuds shibariques Les chœurs de ton orgie suent...l'Eau de vie des esprits psychotiques qui pèlerinent ta félicité...qui consument les résidus de leur droiture au donjon ésotérique de tes caprices... Le temps psychologique se figeait le temps d'une Grande Marche... Le soleil gris apocalyptique...LSDique dénudait l'Allégorie pour que surgissent de l'essence de sa chair, de ses formes inintelligibles, des moutons électriques en zêta ζ...des androïdes à orifices multiples...androgynes, froids, maternels et cruels. Les orifices de ces CsO aux profondeurs insondables par le plus viril des membres, communicants, cheminaient, traitaient, filtraient et aromatisaient la viscosité du matériel génétique colonisateur Tes voiles se brisaient, ô fille des dieux et mordillent mon Onan prosterné, castré par le début de la fin de son phallus infantile Ta nudité me bandent les yeux, les délivrent des fleurs de latex, des poupées en vinyle et des florilèges des perversions du boudoir bourgeois...tes courbes sont l'ablation du purgatoire, la rupture avec une époque sans sources masturbatoires, sont sources masturbatoires, électromécanique, bio létale, radioactive...une révision, une réinterprétation du concept onanique dans son intimité séminale