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Une robe prend quelques sens dans mes souvenirs.

Aussi, une robe a vêtu un guerrier fuyant


les ennemis qui le suivent par les traces de ses chaussettes écrasés dans la peau de son port
équin. Elle était figure de style dans l’Europe ancienne, et nous les peuples du sud on l’achète
pour fêter le pouvoir de séduction de nos femmes les plus exotiques.

Il y a une robe qui calme les nerfs. Par son affleure comme un bulbe, elle traduit qu’un
homme charmé pourra mourir dans l’envi, sans être éhonté, par le fait de lui couvrir dans le
cercle de la robe après une mort soudaine.

Les robes qui font alerter les jambes féminines, et qui ne cachent rien, même pas la ruse
historique qui ne doit pas apparaître, parce que les hommes n’ont pas encore pu découvrir,
que si cette ruse existait, ou peut elle se cacher ? Il n’y a aucun lieu qui pourra l’inculper.
Parce que si elle nous gâtait un jour d’un baiser de lions, nous serons les plus fidèles à sa
nouvelle religion.

Faire la fête dans la présence de la robe, marque les unes de femmes énervés – mâchement
drôles, et les autres d’un esprit féminin-narcisse à odeurs qui font trembler les genoux des
hommes les plus droits.

Le savon était un bon ennemi pour notre robe. Il fui les mains, glisse, transforme la robe en un
gisement de terre blanche. C’était le fait de croire que cette robe, qui peut réveiller des
empoisonnés de leurs ennuis, peut aussi enterrer les rêves du plus charmant et gentil des
amoureux.

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