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,NTERYENflON ËN S'TUAT'ON DE CR'SE

llexist trois t),pes de crises et il est irtPortort


de lesidentifier â
nt d'intervenir puisque leur étiolotie,
leur symptomatologie, leur traitement et leur issue som dif,érentes.

Distinctions concêptuelles entre les types de crlses

Psychosociale PsYGhoDat}tolorlqùê Psychotreu matiq uê


Peftes précoces, fragilité
Stress, pertes, deuils, Événement traumatique
Étiotogie psychologique, ântécédents
conflits, etc. (viol, etc.)
psychiâûiquês
Troubles de sané mentale
Sympbmetologiê Pôlê dépressif possiblês : psychose, trouble Pôle ânxiêux
de I'axe I
Résolution de p.oblèmes, E luâtion / triage, Désamorçage, séance
acquisition de strdtégies stâbilisation de l'état émotil de vêôâlisâtion
lntertntion3 de d'adaptation pour les lien et alliânce thérâpeùtique, (deb.df ng), interveitjon
crise sphères cômportementâles, tecommandâtion d'une de psychothérâpie
affectives et coflitives théreDie à lonE têrme bève
Retour à l'équilibre ou
Prévention dê lâ rêchute, Un sens est donné au
lssuê piitiYe âcceptâtion de nouvelles
retour graduel à un équilibre
stratéxies
Atgravâtion de la Trouble de strêss post-
lssuê Ég.tiYe Fragilisation
Dsyahogâtholorie traumatique

Pour h. crises psychosociâles : I'intervendon est d'une durée de i&Lhuil rêncôntres.


Potlr laa crises psychopatholodques i I'imervention de cJise.est de. courte durée et plus ciblê, puis
orientê vers un suivi à plus long termè '> tofi.; a I lat)1al
Pour lar crises psychotraumaliques : I'inlervention doit êtte râpide êt paécoce

'fous les tlapcs de crise ont une coroctéristiquê corlrrnune


soit le ôesoia d'unc intêrvcntion immédiate, ôrève et drredive.

ON RtTRoUvE TROIS EIATS DE FONCTIONNEHENT D'UNE PERSONNE

Évolution de l'étât d'équilibre à l'état de crise

État dccrise ) Dassâqe à l'âcte


Déso4misation : 4" ÀaruJsorgânrra
d.vulnérâbilié --:'--_ \'ëI}riir1i,,rr
3 mardes
bilis!tion
: La personne va bien malgré les stressêurs. Elle sê mâintient en âluilibre e! trouvê
des rnoyens pour libérer les tensions et se mmener à l'étât initial. Êlle emploie un des trois tyPes sùivants :

I'activié phyiique, la détùte totâle ou le chantemênt d'âctjvité.

@:[âPeBonneâunsentimen!deû-rtilité,dessentimenBdésagéâblêsq',,i
erwahissent le champ de la consciencè. Les moyens pour litÉrer la tenson ne foncdonnent plus. Lâ
personne modifie ses comPonêments.

: Lâ personne vit une phâsê dê désoEânisetion importante. La personne adopta des


solutions plus ou moins adéquâtes pour rctrouver l'âluilibrê : Cettê phase comprend la désorgânisation

,;i::1i'Îï'"ill',,T),, ,,, ;,t ;-.4*ut iQt:zr // ,'Li'g t" Li'e ? ,""^-


Lo courbe de lo montée de I'ogression comprcnd 5 étopes
La 3iùratlon I Le point de dépar! > anxlété ou menace
Liêic.Lda : 5 mârch6 ) 3 nnrches dans l'éat dê wlîérâbilié
4' mârchê : la désorSanisatlgn (compgrtemant offcnsif ou défensif)
La phesc aiguë : y ma.chc de I'c6calâdê ou encoiq nomnée ( Le pâslag. à l'âÉte D
Le ræouvramant ou la réGuÉration
l,-a st bilitation

Des interventions sont oplropiées à dtacune des étopes


o lâ relâtion d'aidê est e{lcâce pour lei 3 p.emières maaches de l'€qalâd€ (étât vulnérable)
o À la marche 4, I'intervention pone sur le désamorça8ê de la crise, de hire diminuer la tension, de
hire diminuer le sentimcnt de perte de contrôlê et d'eugmenter lâ sécurité dê lâ pêrsonne
(désortanisition)
O À la 5'marche (passate à I'acte ou phase eituè), lâ pêr.onnê n'es! plus à l'écoutê; donc, ilfau1 assurer
sa protection, celle de lâ personne et cellê dqi â!û"es pê6onnês
@ Le recowrêment ou la récuÉræion : Uintêavention doit permettre âu suiet de se rêposer, de
relrôwer son calme et de Péparer le terrâin pour une intervention d'aide
@ [â sabilisation : L'intêrvention dolt sécuriser la personne et I'aider à apprend.e de son expérience de
crise afin d'éviær une nouvelle crise.

ll importe de connoftre le continuum verbol


d'une personne en escalode
t. Questions r A des PtoPos sd.conigues ffes gui loi ?)
1 Refur ; rvontrc son désoccord, son refus
3. yentilotbn dê ses émotions : Erpdmê so colèrê, son hquissoncc
L lntimidîtùôn : Têstê lès limites
5. Possogê à ,'dcæ j gcste prFiguc êt ogtcssif (diffi<xrhé à s'cxpdm.tr vcùolcmènt)

Les indic$ sont observables chez une personne en escalade ;


à nous de les reconnaître

N'oublions pas que la p€rsonne en éiat de crise a bèroin d'aide et que nous sommer là
pour Ia soulager et la âire retrouver son état d'équilibre irit ol ou rupérlour, si possible.
INTBRVENTIONS EN PT]ÀSE DB DÉSORGÀNISÀTION

QUOI OBSERVER? OBJECÎIFS DE L I INTERVENTION I'ODES D ' I NTBRVEIITION


LÈ n.\,edu d',nxlét' s'L lève. Désamorcer Ia crise.
Le sLrjet mdn resre cie ld tésrs- Faire drminuer 1a tension.
ser le volune de la radro...)
Faire diminuer le sent i - 1,, . \or,.r...
I
- Pr ovoquc son cnt OUrèqe ,'; ment de vulnérabilrté. Respecter I'espace vital et 1a
- r ourne en r ond n\. tt I liberté de mouvement.
- tdlt de- renôcês. )\\-" Faire diminuer le senti -
Ii adopte une attitude défen- ment de perte de contrôle. S'approcher du sujet de cô!é (ce
mouvemenL Serd PerçU Comme mO.LnS
SIVE: Àugmenter la sécurité chez menaçant et cette position protège
1
- refuse de coopérer :' I \ -::,.
fa personne. davantage frintervenantt Ie face à
- r.rfuse de I'arde \ (' face, au contraire, est souvent
- protes te contre Ies limites perçu conme une confrontation, un
affrontement).
Éviter tout faux mouvement {les
- se f er:me faux mouvenents peuvent en effet
être perçus conme une menace).
- menace de se suicider
Donner du support (même s'if est
Il devient morns rationnef: plus difficile d'entrer en contact
avec 1a personne ) -
- drfficile de lui faire com-
prendre des choses. Identrf lcr 1e comportement déran-
geant et décrire I'imPact de ce
comportement sur soi et sur les
aulres (messàge "le"). I _
', h 6t i11\ f'' r '{\L i \
INTERVENTIONS ET ÉTÀT WLNÉRÀBLE \-}.,]

QUOI OBSBRVER? OBJECÎIFS DE L' INTBRVÊNTION I'TODES D' INTERVENTION

Changenrent dans 1es conporte- Faire diminuer 1e senti- l4anifester sa disponibilité a


ments: ne nt de vulnérabi Iité du I'autre:
suj et
- habitudes de vie - "vous ne semblez pas "fee1er",
I'
. Faire diminuer fa tension voulez-vous en Parfer?
. habillement du suj et. - "Ca n'o pas lrai.r d'al ler très
. proPreté fbrt?"
. alimentation Augmeoter la sécurité du
. participation aux activités sujet. - "Avez-vous 1e goût de jase!?"
- atlltudes Ramener le sujet à un Êtdbl i r une reLaLlon de conf.Ldnce:
état d'équilibre,
. reqressron - être empath iq\re
. Iaisser-aller - falre pieuve de..respect,r d.'é:
. retrait coute. -- t\'{ ' + \r. \c È tr ' rr ( -\r ' t I
. tristesse - 'u
PIUJ ri Ç\'
. anxrété Encourager le sujet à exPrimer
. agitation vetbalemênt ses seit I ments, ses
. excitat i.on émotions.
. hausse de I'agressivité
. .!nsrdbr I rté cles humeurs. L'aider à jdent-Lfjer l'or.Lgine
de son màl aise (.stresseLrr-s).
L'indrvrdu est encore capable
d'une conversation rationnelle
Ouù.,,i , ,--*' q\
Donner du supPort. ,.1-.ç, t1,l 6, -, .'
Il recherche de I'attention et Câfmer - rassurer.
répond à de I 'attention -

L'état vulnérable est la période la plus favorable à f interventiotpar ia nlai'ion &orL


Note rl est importanL d'avoir oéjà observé fes comportements pour être en mesure de noter des
changements.
i
c0uR8E O E LA ,{0ltTÉt AGrEss tvr

ETÂT D€ CÂISE

ù&'!gù5'Iï"" PASSAGE À U'NCTT

er a
DES ÉMOTIONS

RERJS

ETAT D'EOUILIBRE

RÉACTION

^ftr,*
..!.I
rnGioru MOYEN
,\- \*, )\ "r{vr.r=r,
,tr,p..*
STRESS STRESS
OBJECTIPS DE L ' INTERVETITION À LÀ PEASE ÀIGUB

QUOI OBSERVER? OBJECTIPS DE L ' IIITEIV.ENTIOII I'ODES DI INÎERVENT ION

Le sulet Irerd le contrôIe, il Assurer sa proPre pro- . Demander l'aide de ses colfè9ues.
esl dangereux pour lui et/ou tection-
Pour les dutres- - Intervenir physrquenent, de façon
Àssurer 1a P!OteCt i On non violente et en dernier recouls,
- Agresse verbalement ou délruit des autres Personnes. après avoir utilisé Les autres
du natérie1. nodes d' i.ntervention (spécif iquês
Assurer l,â Protection àu passage à I'acte).
- s'attaque .lux per_sonnes. du suj et .
. si nécessâire, lsoIer le sulet,
- Tente de se suicider. cont rôler le sui et.
S'autonuli le.
S'inEoxiqLre avec des drogues Ouelques consignes sur I I intervention
ou des médrcaments, est en physique:
état de surdosage ("overdose" )
- immoblliser le sujet sans le bles-
Fd.tL rn rer rarl PsYchoLique. ser et sans t'étouffer
- agir rap idement
- respecter les rnouveftents naturels
(ne pas tordre ]es fiembres)
- retenir les gestes pendant qu'on
leprend Ie contàct verbal
- ne re]âcher qu'après une ententê
c.Iaire sur Ia suite.

ote: Chacune des situâtions de Ia phase aiguê fait l'objet d'une étude plus détaiIIée dans 1a tz
part ie des Interventions spécifiques. lâ

J'
,t .)è
rNTERvBMrroNs EN pHÀsE pE RÉcupÉRÀTroN// t.'r -).1 tfii+tt

QUOI OBSERVER? MODES D' I$TERVENTION

Diminution de la tension. Permettre au sujet de


-ll se Au débuL, 9àrder Je sr.Lence.
reposer et de retrouver
Le suj et reprend progressive- son calme. Par Ia suite, reprendre contact,
ment fe contrôle sur ses com- établir un lien-
portements. Préparer le terrain pour (Le moment peut varier selon:
une intervenlion d'aide.
11 éprouve de Ia gêne, de Ia - 1'ampleur de La ct:ise
honte, de 1a culpabilité, du - Ie besoin de récupération de
reinords, de 1a crainte. I'individu
Il est réceptif. - vos disponibilités. )
Il redevient rationnel. Supporter et sécuriser-
Ne pas amener tout de suite Ie
sujeL à parler de son problÀme.
Focâ I i ser sur le ph]'sique.
(Ex.: - prendre une dortche
- faire une re.laxat ion
- f isoler, s'i1 le désire


INTERVENTIONS ÀPRÀS LÀ CRISE

OUOI OBSERVER? OBJECTIFS DE L I INTERVENTION UODES D'INTERVENTION

.Le sujet srest repose. sécuriser 1e sujet sur ce - s'entendre avec fes autres membres
qu'i1 vient de vivre. de 1'équipê Pour Prendre du temPs
. II a reErouvé sôn cafme, avec Ie suiet.
Àider Ie sujet à aPPren-
dre de son expérience de . Rassurer Ie sujet sur ce quril a
crise. vécu.3,"lrj!;,trl {,i trl q ,ir*i+ ! .
't.l Q.r-r .l\
. Proposer Votre aide. I
ïL,f*J
. s'i1 accepte,
- I'ajder à conprendre ce q,ri
s'est passé :
. en identifiant 1e stresseur
Aéc lenchant
. en identifiant les stsresseuls
précédents, cer.rx rencont'rés à
i'état d'équilibre et à l'état
vuLnérabIe ( rePre!1dre Le Pro-
cessus de 1a crise en vous
^ remémoranL Ie tableàu). r
O" tF., 4.r, I. r. t lu4r 16rr qur k '
y\âo-:. {
. uLilrsdr le proiessuè de résolu'- ,"
tion de problèmes: il. *i\0^ w) I

- définir .Le problème il$*'l"UVfrt


- inventorier Ies solutions possr-
bles

Note: Cette étape est lrune des plus importantes car eIIe pernet de récupérer I'énergie
déployée et de faire des acquis pour le futur.
,)

QUOI OBSBRVER? OBJECÎIFS DE L ' INÎERVENÎION MODES.. D' INÎDRVENÎION

fâire diminuer sa ten-


sion. et,/ou évi'ter d' en
accunuler. )

Voir avec lui ce qu'iI a apPris


de cette exPérience.
si le suiet a besoin d'une aide
Dlus soé;ialisée, lui ProPoser
à. te iérérer à un(e) spécia-
liste.
Informer vos co1lègues de- votre
intêrvention.
A^,c-cL, *,L ''>
CGmt du BG-Sr*t lârrlm
FrrËsc ( r \lL, t r:-,,,..,^-f a.^ \,i'--[ -" r( c..--r,
' S.did Fd,q û pr.'lcD.i .i.l. t{d+'Ll.h
' S..tid iolrq ei{d ètt..ù.|'
Services de réadaptation
Grille d' auto-observation

Nom de I'adolescol : hd.ùLa-Ë: Unlta da vL: Daia :-

Conséqueirce

lLt.-,-1,.. | ,.. ra-/' I .--


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fnrrvcnir ùrtarrnf lln ntodèlc


ââGT6it'.r" oio,,nê, .r., Prcubq J ,
m ditrcùlla. Lo4!.uil' Grétrt Morin'

DSMI 5 novcmbrc 2009


Ç
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'/1Ài"t- ta/ ' ?4L , .(^' *6-e L--".-"-" r/'
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larrloppam.hl d. l. pcrronn.
cHolx
STÂb€ AG€
Sl on posùlG, comm! F.rûd, qu. cr qul noul.sr lrriv6 drn! l'.nl!ncô â POSIÎIF NÊGÂTIF
r,n lmpacl crlliqo. ôt d6linirif dan! h lormldon d! lâ porioflmllra, on prut crolra
( u6 lo dév€loppGm.nr d. l'indlvldu n'.!i qu un dmph allbo..don d.s thàm6. ca{È@ - mali.rc.
; Labli! drns l6t p.rmlôr.srnhéô! dô h vl.. t prychlDlys. ! coîltlbué â établk - honb.ldour.
.ùtonm6
l.r croy3ncr qu. h p6rsonn.llté ær li)é€ vc.t l'ôgr dô 6 rrB ct.!i p.u .ui6no ,
c'Éngâr par l! 3uite. 1læomôr.û{ôintâl hri.tv. cû|olbilna

Rog€r! r'!sl I
con6 oplnon ên cofllidé€nl. b pd3onnâlilé
opposô
6.1I rB .êrivlra lnlark lta
. rmm6 plu3 lndapsndônts du p63sé oi 6!!c.pÛbl! d..,!cùslls.r tout b lon! ds l2-llûr ld.^Ùla - cdlu.lm d. tôL
ô dabur d. l'!9. ldùlr. l9 - 35 .i! lôrimira i.ol.rid r"'r \t i
Êt"tà,'"1&." . ."n-*"
Dâ plu! €n plu3, lca p3ychologuos !p6cbli5é..n dâv€loppâmânt .'€nlôn.
rnt pour rdoptrr unô po3ilion inro.médlâlra !t lllhmôr qu. 16l .rp&k nccs pâ3-
35 - 50.8
o! ont un6 lnllu.rlco lmporiÂnt! mrh pr3 lblolumlnt pgrmrncnl!, D€ cc hla0.na(fumol da.t6t ir
)inl d6 w6, lô! 6xpêri6nce! ultérlôurr! pGuv€nt ronlorcù o(j allér.r la person-
, lltd élÂblio à lr lin d6 l'onlahc6. "Toul n! 3. iouc dorE pa! avanl 3ir ans".
Cha.un6 dè cæ hull âtap€s d€ lâ viô lmpliq!. én qù€lqu6 Êotrô uno crËo
Bl6n quo 16 délotminlsm6 d6 Fr6ud âlt été corul€3t6, r€ concêpiion de3 d'idenlilé. Eion qu6l6s périodos d6 p65sâ9€ d'un€ étâps à l'sulro soiBnt das pé'
s des do d6volopp€msnl prévsul6ncors. dodes de grand€ vulnér6bililé, 6llês olirônl ls possibilité de dévolopp6t dô nou_
v€ll€s lorcss el sontd3s €xpérionco6 ùès richos.
D'sulroiÂuteur! ont obsorvé qu'sprè! ls! 5tad6! ortl, arul6t phalliqùo,16
p.lrlod6 d6lsl6nc6 6t lâ pub€rt6, d'!uù6r c.ls6t d6 dôv.lopp6mont p6lvsntôtt.
L.ltrJorJ. dr Oal, Sh..ây
i( enrilléasch€r lâ meio.lt6 d6s p€l3onnæ.
Bécêmmonl. GôilShêohv! ptoposé un€ nouvolls desciption du dévolop'
L. lhéo|I. d. E tt Etllsod p€m€nr {t.l quiconslilu6 un6.rt€nsron des tt.vaux d'Erlkson. Consci6rllo do lail
qu Êrikson 6vsil ùôs p€u élatlo.é sr ponsé€ srll 16 dévolopp€m€nl de l'adull3,
€.lk Erikson a ldonlillé hoit rl,td6! do dévolopp€rnonl0il Sion quo 5a âllê â €^rrepris un6 rsvus ds là litl6lluro 6u lê suiol €l etl€clué uno séri€ d'€n'
ll éori€ soil bâsé6 lut 163 stada! psyôhosrxuol! lr€udloru, il3'.3tplu3 iniérsssé rrovues fiô. dérlillê.s .v€c d.s âdull€3 ds lous l4 âgôs Ell6 t .onclu qu6 los
a r âspÉct! psychosocisux dcs pétlodô! d. h vl. qu'ô Lur ssp.cl biologlqÙ€.ll rdutlor s6 dévâlopD€nl à trtv6..cinqcds6s qu'€ll. âpp€li6 de!'Pâssages".
clnçoll ls développêmênl humtln commo un€ .6.iâ d€ coitlit! qud It pdtsonno
d h résoudre. Ch6qu6 conllil 6m6rgs , un ino.fi€ni dc lô crobsanco où l'envi' âl Lâ dé.àcinêm6nl {18.22 lnsl
ronnomont lâit dot d.mand4 .péciliqu.. à l'individu. C6lt6 cor tontaûoî avsc Cens période conespond .u rflom€nl où l'individu quine sss parsnts 6l
l onvironnsmonl est un€ ctiso qui lmpliquo un chânglmGnt d6 porspêclivo d6 la comm€ncs à vivr6 son indép€ndaôco linanciêr€, émotive 6l sociâle. L€ jouno
parl do lâ personno, un choir 3nÙô dsux l6çon! do lâitolscoà lâ vl.. S il€n tésul rdulls vir alors do nombrêusos c.ainr6! êt lnc€rtilod€s màis gâtde soriv€nl uno
16 un choir adspld sur nouvoll6s srioencss ds ls siluâtlon l. dévslopp€menl s€ lâçlda de conlianco en prenânl ouvénom€nl des risques. ll s'39it d'un€ cli56
pooisùil, avsc l'én€ryi6 nécesssiro pourâboldd l. slâdo suivânt Sil'individu lait d idonlité imporlrnG ei c€ut qul n€ téussissont pas â quine. l€ur {amills d'origi
un mauvals choix. il so cré€ un p'oblômo €l psrd ds lâ lorc. n6coss.n6 Pour a(- no pour s€ rel.ouvêr comôo individus lndépendanls dovronl ds rourê lôçon l€
iiontor la proctÉin€ ctis6. lai!ô plus rard Comm€ Etikson, Shoohy 6tlirmo en ôft€l que chaqu€ cris6 doil
êùe résolùei sielle est évilée. ell€ surgiô plus làrd, â un momenl oÙ les déci_
L6 tablesu qul suil résumo l€s ditfétonles étlpos du dévsloppemenl sions s€ront plus ditlicil€sà pt€ndr€.
t€ll€! quo décrlles par Edkson llindlqu€ égalem€nr l'â9â movon quicorr€spond
à châqu€ stado âinslqu€ 1€3 chdx positilsol nôgatil! qulp€uv€nlon
rétultd 1r, t1 '!r .l'fi'',-q
('.t SrlEEuY O P.i..o.:l.r.r3.t pritlrlùr.. d. l'ac..dult. MôÀiiéâl P'.i..5S.r.cr

lrd Earl(soN.Ê n Cn dàoo.t.n.t SocLlll2tâ.d l. Nd Ytr: Ndl6.l96a

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