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Timing : Analyse
technique
Ê Ôa déontologie et la conformité
Ê Un métier Hyper-sensible qui se réfère au code de déontologie
établit par la banque
Ê Discrétion et secret bancaire
Ê Ôutte anti-blanc iment et anti-noircissement, GAFI, PTCN Æ
Ê Ô
Ê r
50 valeurs choisies parmi les 660
composant le Dow Jones Stoxx. Cette sélection s'opère en fonction du pays
et du secteur d'activités des sociétés. La révision de l'indice est annuelle.
Ê D
sélection sur les mêmes
critères les valeurs du DJ Euro Stoxx.
Ê Un benchmark est un portefeuille de référence. Sa composition ne
change normalement pas, mais peut faire lǯobjet d ǯajustements
ponctuels
Ê Il convient donc en premier lieu de définir son allocation entre les
différentes classes dǯactifs. Il peut être diversifié et regrouper des actifs
de nature différente (actions, obligations, monétaire) sur des zones
géographiques différentes ou au contraire être « pur » et ne
comprendre quǯune seule classe dǯactif (ex : CAC 40)
Ê Rappel sur les classes dǯactifs : actions, obligations, monétaire et
produits dérivés
Ê Notion de diversification : la théorie financière nous indique que la
diversification permet de réduire le risque global dǯun portefeuille
(réduction du risque spécifique de chaque actif, mais pas le risque
systématique !) tout en captant de la rentabilité.
^ Æ
^
Ê La GPSM peut prendre à son tour des positions par rapport à lǯallocation
tactique, qui devient sa « référence », autant de fois que voulu au cours
dǯun mois, dans la limite des contraintes et de la Tracking Error relative à
lǯallocation de la Société dǯAsset Managment
ô
Écart-type :
9
Covariance :
m ÅóÅÅ Å
m ÅóÅ Å
è
Plus le gérant sƞécarte du benc mark, moins lƞexcès de rentabilité sƞaccroît.
2,50%
2,00%
1,50%
1,00%
0,50%
0,00%
0,0% 1,0% 2,0% 3,0% 4,0% 5,0% 6,0% 7,0%
-
Ô Ô
Ê Limites dǯintervention = respect des bornes minimales et/ou
maximales pour chaque classe dǯactifs (Actions, Obligations,
Monétaire). Elles sont compatibles avec la tracking.
Ê A chaque objectif dǯinvestissement, un benchmark et un mandat
de gestion => donc un univers de gestion, une tracking error et
des limites dǯinterventions.
#
P
Ô
Ê Cet indicateur mesure la sensibilité dǯune portefeuille ou dǯun actif par
rapport à sa référence.
Ê ~= COV (Ri,Rb) ou COV (Rp,Rb)
VAR(Rb) VAR(Rb)
Ê Ainsi, par exemple, le comportement de lǯaction Renault, sǯexplique
pour partie par celui de son marché (CAC 40). Un Béta de 1.1 signifie
que lorsque le CAC 40 augmente de 1%, Renault augmente de 1.1%.
Ê Expression linéaire :
Ê Ri ou Rp = ô i ~.Rb i
(ou est un bruit blanc de variance nulle et dǯespérance nulle)
Ê m
{ M
{
{
Ê m
{ M
{
Ô
'
Ý
14,00%
12,00%
10,00%
8,00%
6,00%
4,00% ~
2,00%
0,00%
0 0,02 0,04 0,06 0,08 0,1 0,12
Ý
!
!
Ê Ces variables nous permettent dǯanticiper le cycle économique,
donc nos prises de positions actives par rapport au benchmark : la
question qui obsède un actionnaire est de savoir quel sera le
niveau des bénéfices ou des cash flow, qui déterminent la valeur
de son investissement.
Ê Sur un plan Macroéconomique, le niveau des bénéfices et des cash
flow dépendent de la croissance !
Ê Quelles sont les variables qui déterminent la croissance ?
Ê Illustration au travers de sources de déséquilibres et de régulations
Ê Conjoncture Macro-économique i zoom sur la crise des
surprimes, ses maux et les remèdes
1 2 3 4 5 3 ´ 9 10
Ê (1) Crise de change : attaque spéculative de SOROS contre le GBP en
septembre 1992, relayée par les Hedge Funds, puis contre le FRF et ITL
en 1993 qui conduira à la sortie des parités de leurs fourchettes du SME.
En réponse aux déséquilibres créés par ces attaques, la monnaie unique
sera créée.
Ê (2) Crise Japonaise et asiatique
Ê (3) Crise Russe
Ê (4) Explosion de la bulle des TMT
Ê (5) Attentat des WTC
Ê (6) Faillites dǯEnron (2/12/01) et de Worldcom (25/06/02) => crise
profonde de confiance qui donnera naissance à la loi Sarbanes-Oxley
Ê (7) La seconde guerre dǯIrak aura lieu (invasion en mars 2003). Tension
sur le pétrole.
Ê (8) Attentats de Madrid (mars 2004) et de Londres (juillet 2005) : les
marchés ont appris à digérer ces évènements
Ê (9) Les ouragans du golf du Mexique accentuent les tensions sur le
WTI, déjà sur ses plus hauts historiques avec la forte croissance
mondiale tirée par la Chine. Tensions inflationnistes.
Ê (10) Début de la crise des surprimes
Ô
!
!
)**+,
Ê A lǯorigine, un ralentissement de la croissance =>sur
investissement i sur production i faillites => désinflation
i sur endettement privé i créances bancaires douteuses =>
risque de faillite bancaire i crédit crunch => retrait massif
des investissements étrangers => chute du Nikei, chute du
Yen, accentuation du ralentissement éco => dépréciation
des actifs étrangers au Japon (donc chute des bourses
mondiales) et risque de contagion aux pays partenaires
commerciaux par contraction des échanges et dépréciation
dǯactifs.
Ê Peu de possibilité de politique de relance excepté une
politique de dépréciation de du yen pour soutenir les
exportations
Ê 2) Celle-ci a provoqué une remontée des taux directeurs puis une récession lors de
son explosion
Ê 3) Pour sauver lǯéconomie US de la récession, la FED a baissé durablement ses taux,
accélérant la création monétaire
Ê 4) Cette dernière, excessive, a alimenté la bulle immobilière US puis celle des
surprimes ǥ
Ê Remarquons que pour sortir de la récession actuelle, conséquences de la crise des
surprimes, les taux des banques centrales sont historiquement bas (0.25% aux USA et 1.25%
en zone Euro).
Ê Et lǯhistoire se répète ǥ
Cours de "Gestion de portefeuille" - Reproduction interdite 43
Ô
4"1
))'3*'233)
Ê Contexte : la bulle des TMT nǯa pas achevé sa purge.
Les marchés financiers sont déjà fortement en baisse
Ê Les conséquences :
Ê La donne géo-politique est bouleversée, le choc psychologique est
sévère
Ê Les marchés financiers, décrochent violemment, déboussolés par ce
type dǯévènement qui leur sont inconnus
Ê Pourtant, les marchés se reprennent et, en lǯespace de 3 mois ,ils
gomment le krach boursier né des attentats.
Ê Les vrais conséquences économiques se feront ressentir plus tard
par une baisse de la confiance des consommateurs et par des
tensions sur le pétrole lors de lǯinvasion de lǯIrak en 2003.
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