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CARTE N° 1 : LE RECTANGLE :
Cet article est le premier d’une série décrivant des tracés
orthogéométriques ( c’est à dire de figures géométriques et de lignes droites,
d’où ce néologisme, dépassant le cadre de la simple orthoténie. ). Ces figures
sont contenues à l’intérieur de : un, deux, ou trois cercles, et sont bien
entendues, définies par les atterrissages d’OVNI et les apparitions mariales.
Croquis N° 1 :
Ce croquis N °1 représente la première des figures géométriques.
Elle est impressionnante dans sa simplicité apparente. En réalité,
elle se décompose en de nombreux points de rencontre de deux ou plusieurs
droites, de trajectoires inattendues, et d’angles à 90 degrés. Pour éviter un
affreux salmigondis inacceptable pour l’œil le plus attentif, j’ai dû les découper
en plusieurs dessins beaucoup plus parlants.
Ici, nous retrouvons la ligne primordiale sur laquelle le cercle prend son appui,
avec Chambord-Gisors comme rayon de 184 kilomètres.
Le chef d’orchestre est un nouveau venu, nettement extérieur au
cercle, puisque sa distance du Mont-Saint-Michel est de 830 kilomètres. C’est
dire combien le père des trois-quart du rectangle, est loin de sa progéniture. Il
s’agit de Trans-En-Provence, au sud de Draguignan, dans le Var ; atterrissage de
janvier 1981, justifiant ainsi le titre de ce livre. Car avant lui, impossible de
créer ce rectangle, même en possédant tous les autres éléments. Ne parlons pas
de Belleville-sur-Mer, ‘’ née ‘’ par la grâce des deux auteurs, Gruais et Mouny,
en 1997. En effet, on constate que si la ligne part de cette agglomération, elle
coupe Gisors, véritable angle nord du rectangle.
Trans-En-Provence est un posé aussi indiscutable que les
précédents, car non seulement le petit engin de trois mètres de diamètre s’est
posé sous les yeux du témoin éberlué, mais il a laissé une trace circulaire,
comme signature de son passage fugitif. Et le SEPRA, organisme on ne plus
officiel, en la personne de monsieur Jean-Jacques Vélasco, l’a photographiée
sous tous les angles, et analysé sa composition. La caution est donc de taille.
Petit sourire : ce cercle laissé par l’engin, n’est-il pas là pour
inviter à tracer une circonférence pour déterminer les différentes figures que je
présenterai ?
Nous avons trois angles : B, C, D. Le quatrième est fourni par ce
Haut Lieu qu’est le Mont-Saint-Michel, puisque sa trajectoire vers Trans coupe
le cercle en A. A partir de là commencent les mathématiques. Le rectangle
mesure 296 sur 220 kilomètres.
Le rapport des côtés donne 1, 345. Or PHI au carré, soit 2, 618,
divisé par ce résultat fournit le quotient 1, 946. Si hasard il y a, il est
prodigieux ; car PI sur PHI ( 3,14 / 1, 618 ) = 1, 941 !
Passons aux périmètres : le rapport cercle sur rectangle ( 1156 /
1032 ) = 1, 120. C’est la racine cubique de 1, 414, la racine carrée de deux ( 1,
122 ). Et c’est aussi la racine cinquième de la racine carrée de PI ( 1, 772 ) avec
1, 762 , soit à 0, 56 %.
Enfin le rapport des surfaces ( 106307 / 65120 ) aboutit à 1, 632 ;
il approche PHI à 0, 87 %.
La seconde illustration ( N° 2 ), voit intervenir trois nouveaux
figurants, dont deux sont très connus du public : le village de Jeanne D’Arc ( ou
dite D’Arc ), et Lourdes, la plus prestigieuse , mais pas la plus spectaculaire, des
apparitions mariales. Elle est associée à Tournai en Belgique, plus discrète dans
l’esprit de bien des gens. Or, elle est réputée chez les historiens, pour son
tombeau de Childéric 1 er, fils supposé de Mérovée, géniteur de la dynastie
mérovingienne, découvert en 1653 à l’église Saint-Brice.
Lourdes-Tournai est loin d’être anodin ; c’est un axe très
important, qui aura l’occasion de se mettre en vedette. Présentement, il permet à
Tournai de rejoindre le Mont-Saint-Michel, en coupant à angle droit la ligne
Belleville-sur-Mer-Gisors. Qui plus est, le tracé issu de P1, point de rencontre
du cercle avec Lourdes-Tournai, passe exactement par le milieu du Mont-
Tournai.
E, rencontre du Mont-Saint-Michel-Cheverny, avec le côté A-B,
lance une perpendiculaire à cette droite partant de P1, vers Domrémy.
Enfin dernier angle droit ; celui obtenu par le croisement de
Lourdes-Tournai et du coin C-Cheverny.
Croquis N° 2 :
Croquis N° 3 :
Croquis N° 4 ci-dessous :
Voici un nouvel atterrissage d’OVNI, ou plutôt deux, en 1973 et
1974 Riec-sur-Belon, près de Pont-Aven en Bretagne. La ligne allant à Trans-
en-Provence coupe sur le cercle à la fois Lourdes-Tournai, et le méridien GM :
belleville-sur-Mer- Lascaux. Carrefour baptisé P1, et sur lequel vient se jeter
Gisors-Cheverny prolongé. Les pointillés désignant la ligne primordiale, sont là
pour indiquer que P1 est en dehors de Gisors-Lascaux.
Au tour du croquis N° 5 :
Restons avec P1 qui en rejoignant Marliens-Cheverny sur le
cercle, forme un triangle rectangle avec Belleville-sur-Mer. Au passage, on
s’aperçoit que la distance Belleville-Marliens égale celle de Marliens-Trans-en-
Provence avec 420 kilomètres.
Croquis N° 6 :
Puisque nous avons fait connaissance avec Riec-sur-Belon, la
revoici qui apparaît doublement. En perpendiculaire avec Chambord à Gisors-
Lascaux ; ensuite en accord avec Domrémy pour recouper au même endroit
Belleville –sur-Mer-Gisors-Trans-en-Provence, et Marcilly-Mouriéras.
Marcilly est un atterrissage sur lequel l’enquêteur-ufologue
Claude Burkel a beaucoup travaillé, notamment en utilisant une nouvelle
technique par la radiesthésie.
Croquis N° 7 :
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Raymond TERRASSE , janvier 2006