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6e édition
adaptée à la
NIBT COMPACT 2005
NIBT Compact
Cet ouvrage a été réalisé par le CREME
(Commission Romande d’Evaluation des Moyens d’Enseignement)
Avec la participation de :
CONFÉRENCE INTERCANTONALE
DE L’INSTRUCTION PUBLIQUE DE
LA SUISSE ROMANDE ET DU TESSIN CATARO 92991 CADEV 102075 ISBN 2-88500-050-3
2 CONTENU
SOMMAIRE
Partie I Norme sur les installations à basse tension
Domaine d’application, but, principes
Gammes des tensions et courants
Partie VI Vérifications
CONTENU 3
N O R M E T E C H N I Q U E D E L’ A S E – N I B T C O M PA C T
Note : le chapitre 2 n’existe pas dans la NIBT COMPACT et a été remplacé par un index
des mots-clés et des définitions. La numérotation a été conservée pour garder une struc-
ture identique à la NIBT 2005.
La NIBT COMPACT est un ouvrage incomplet. Seule la NIBT 2005 peut servir de référence.
On y trouve les indications relatives au choix des tensions normalisées, qui sont pour le
courant alternatif :
Indiquer dans quels chapitres on trouve des renseignements sur les conducteurs de terre
Art. F 1.1.2 • p. 4
Art. F 1.1.3 • p. 4
Art. F 1.1.6 • p. 6
OK NIBT
directives
conducteur polaire conducteur PE
conducteur neutre conducteur PEN
Art. F 1.2 • p. 8
Art F 1.2. • p. 8
10. Quelles sont les répercussions physiologiques sur l’homme dues au passage du courant ?
Art. F 1.3.1 • p. 10
11. Quelle est la valeur de courant (en mA) perceptible avec la langue ?
Art F 1.3.1 • p. 11
12. Un courant continu est-il plus dangereux qu’un courant alternatif de même intensité ?
Art. F 1.3.1 • p. 11
Art. F 1.3.1 • p. 12
Art. F 1.4 • p. 16
Art. F 1.4.5 • p. 21
16. Quel doit être votre comportement en présence d’un collègue en train de subir une
électrisation ?
Art. F1.3.3 • p. 14
3.1 Généralités
3.2 But, alimentation et structure
3.3 Classification des influences externes
3.4 Compatibilité
3.5 Maintenance
3.6 Services de sécurité
On trouvera par exemple le type de systèmes de distribution caractérisé par les genres
et nombre de conducteurs actifs et les genres de liaisons à la terre.
Art. 3.2.2.1
Art. 3.2.2.2.1
Figure 4.1.1b
I. Protection de base :
5.1 Généralités
5.1.1 Généralités
5.1.2 Conditions de service et influences externes
5.1.3 Accessibilité
5.1.4 Identification
5.1.5 Indépendance des matériels
5.2 Canalisations
5.2.1 Généralités et types de canalisation
5.2.2 Choix et mise en œuvre en fonction
des influences externes
5.2.3 Courants admissibles
5.2.4 Sections minimales des conducteurs
5.2.5 Chute de tension dans les installations de récepteurs
5.2.6 Connexions électriques
5.2.7 Choix et mise en œuvre pour limiter la propagation
du feu
5.2.8 Voisinage avec d’autres installations techniques
5.2.9 Choix et mise en œuvre en fonction de la maintenance
y compris nettoyages
5.3 Appareillage
5.4 Mises à la terre et conducteurs de protection
5.5 Autres matériels
5.6 Alimentation pour services de sécurité
6.1.1 Généralités
6.1.2 Vérification par examen visuel
6.1.3 Essais
Art. F 2.8.3
Art. F 2.8.5
Art. F 2.8.3
Art. F 2.9.1
Art. F 3.1
8. Que vaut la valeur du facteur de simultanéité à utiliser lors du calcul de la puissance d’ali-
mentation d’une école ?
Art. F 3.1
Art. F 3.2.1
Art. 5.3.10.5
Art. 1.1.
14. La NIBT est composée de normes suisses et d’autres normes. Quelles sont-elles ?
Assemblée fédérale
(LIE) *
Association des
établissements Polices cantonales
cantonaux SUVA
d’assurances du feu
incendies
les dangers ne
sont pas
toujours
apparents
PLUS DE 2A
Art. 1.3.1.
2. Dans quel cas et sous quelle condition des dérogations à la norme technique peuvent-
elles être admises pour certaines installation?
Art. 1.0.4.1
3. A partir de quand la norme sur les installations à basse tension doit-elle être observée ?
Art. 1.0.5.
4. Citer 2 raisons d’être de la NIBT quant à la protection contre les surintensités et contre les
surtensions.
Art. 4.3.1. / 44
Art. 1.3.1.3.1.
Art. 1.0.3.
AC DC
L-L
HT
(haute tension)
enseignes lumineuses,
appareils médicaux,
transport d’énergie
1000 V 1500 V
Gamme de tension II
BT courant fort
(basse tension)
50 V 120 V
Gamme de tension I
0 0V
I
2A
Domaine des courants*
Art. F 2.4
Art. 1.1.
Art. 2.2.1.
Art. 1.3.2.
5. Quels sont les domaines de courant et de tension d’un éclairage halogène 12V / 300VA ?
F 2.1
Tableau 4.1.4.1a
F 2.1
Exploitant
installation Autorisation
à l’intérieur
Autorisation de l’entreprise générale d’installer
limitée Installateur
installation Contrôles :
spéciale
a) première vérification
raccordement b) contrôle final
de matériel électrique -> rapport de sécurité
Contrôle de réception
Organe
Rapport de contrôle
de sécurité
Inspection
Fédérale
des installations
à courant fort
La présente ordonnance régit les conditions requises pour intervenir sur des installations
électriques à basse tension et le contrôle de ces installations.
Elle s’applique aux installations électriques qui sont alimentées en courant fort, avec
toutefois une tension maximale de 1000 V en courant alternatif ou 1500 V en courant
continu ;
ou exploitées sous haute tension (appareils à rayons X, au néon, ionisants, installa-
tions pour peintures électrostatiques, pour clôtures électriques, etc.).
Définitions
Par installations électriques, on entend par exemple:
– les installations intérieures
– les installations alimentées par une installation du bâtiment, étroitement reliées à cette
dernière et qui sont situées sur un terrain dont l’exploitant de l’installation source a le
droit de disposer.
– installations spéciales (terrains de camping, chantiers, des marchés, des cirques, des
entreprises foraines, des distributeurs automatiques de billets, des panneaux publici-
taires lumineux placés aux arrêts des transports publics, l’éclairage de bâtiments et
d’installations publics.
CONCEPT OIBT II – 3
AUTORISATIONS D’INSTALLER
Le propriétaire veille à ce
que l’installation réponde en
tout temps aux exigences de
Quelles sont Qui n’a pas
sécurité.
les autorisations besoin d’une
d’installer ? Sur demande, il présente un autorisation ?
rapport de sécurité.
Il est tenu de conserver la
Une entreprise reçoit Une personne de
documentation technique et
une autorisation géné- métier, un contrôleur,
doit faire réparer les défauts
rale d’installer si elle un monteur-électri-
de son installation élec-
emploie au moins une cien avec CFC dans
trique.
personne de métier. des locaux qu’ils habi-
tent ou dont ils sont
propriétaires. Ces ins-
Une entreprise reçoit tallations doivent être
une autorisation d’ins- contrôlées.
taller limitée pour des
travaux d’entretien ou Les locataires, dans
de dépannage et des leur logement, s’il
installations électri- s’agit de circuits
ques en aval d’un monophasés pour
coupe-circuit division- lumières et prises pro-
naire au sein de l’en- Installations BT tégé par un DDR de
treprise, si elle occupe Sauf installations chemin de fer, 30 mA. Ces installa-
du personnel spécia- funiculaires, trolleybus, tions doivent être
téléphériques.
lement formé. contrôlées.
Eclairage des routes
et places public.
Une autorisation de Les locataires, dans
travailler sur des ins- leur logement, pour le
tallations spéciales remplacement de
(monte-charge, ensei- luminaires ou d’inter-
gnes, alarme, etc.) ou rupteurs. Ces installa-
une autorisation de tions n’ont pas besoin
raccordement si elle d’être contrôlées.
occupe du personnel
spécialement formé.
II – 4 CONCEPT OIBT
PRINCIPE DE L’OIBT
– Les travaux sont en général exécutés par une entreprise au bénéfice d’une autorisation
générale d’installer. Cette dernière doit faire une première vérification en cours de
travaux, et un contrôle final à la fin de ceux-ci.
– Pour les installations dont la périodicité des contrôles est de 20 ans, l’installateur devra
fournir au propriétaire de l’installation un rapport de sécurité.
A la fin des travaux, dont la périodicité est de 1, 5 ou 10 ans, le propriétaire doit mandater
un organe de contrôle afin d’obtenir un rapport de sécurité. Ce dernier s’établit en même
temps que le contrôle de réception. C’est au propriétaire d’annoncer à l’exploitant de
réseau la fin des travaux et de lui transmettre le rapport de sécurité.
Exemples d’installations :
P = 1 an
Installation de munitions, de citernes, locaux à affectation médicale, chantier, etc.
P = 5 ans
Installations militaires, non ferroviaires des chemins de fer (installations de levage),
corps de scène, locaux avec dangers de corrosion, laboratoires, magasin, etc.
P = 10 ans
Installations de protection civile avec génératrice, bateau, site d’essais haute tension
Locaux humides à usage professionnel, ateliers commerciaux, bâtiments agricoles.
P = 20 ans
Installations domestiques : Immeubles locatifs, villas et appartements.
CONCEPT OIBT II – 5
CONTRÔLE DES INSTALLATIONS
Inspection
Règle les litiges Contrôle périodique
Sur invitation de l’Inspection,
le propriétaire choisit son
organe de contrôle
II – 6 CONCEPT OIBT
1. A quel moment doit-on faire une première vérification dans une installation électrique ?
OIBT art. 24
OIBT art. 24
OIBT 37
4. A qui incombe le devoir d’exécuter un contrôle final dans une installation électrique ?
OIBT 24
5. A part ceux déjà mentionnés, citer deux types de contrôle à exécuter dans une installation
électrique.
OIBT art. 27
OIBT art. 8
CONCEPT OIBT II – 7
9. Quels sont les organes de contrôle selon l’Ordonnance sur les installations électriques ?
OIBT art. 26
OIBT art. 2
11. Un monteur-électricien peut-il exécuter des travaux aux installations électriques dans son
logement s’il en est propriétaire ?
OIBT art. 16
12. Avant la mise en service, que doit faire un monteur-électricien ayant modifié l’installation
électrique dans son propre logement ?
OIBT art. 16
13. Que faut-il faire avant de commencer des travaux sur une installation électrique ?
OIBT art. 23
14. Quand peut-on entreprendre des travaux sur une installation électrique sans annonce
préalable ?
OIBT art. 23
15. Comment doivent être établies, modifiées, entretenues et contrôlées les installations élec-
triques intérieures ?
OIBT art. 3
OIBT art. 7
II – 8 CONCEPT OIBT
17. A quel endroit commence l’installation électrique intérieure ?
OIBT Art. 2
18. Dans quels cas une autorisation générale d’installer sera-t-elle délivrée à une entreprise ?
OIBT art. 9
OIBT art. 10
OIBT art. 23
21. En cas de litige sur la conformité d’une installation électrique, qui décide des mesures à
prendre ?
OIBT art. 34
22. L’installation d’éclairage d’un tunnel routier fait-elle partie d’une installation électrique à
courant fort à basse tension soumise à la norme ?
OIBT art. 1
23. Qui est-ce qui est responsable d’une installation électrique présentant un danger pour les
personnes et les choses ?
OIBT art. 5
CONCEPT OIBT II – 9
4.3.1
4.3.2
4.3.4
5.1.4
LES COUPE-SURINTENSITÉ 5.3.2
5.3.9
On distingue :
Les dispositifs de protection contre les Les dispositifs de protection contre les
surcharges. Pas de défaut dans l’instal- courts-circuits. Défaut dans l’installa-
lation. Par ex.: moteur surchargé, trop tion. Par ex.: défaut d’isolement entre L
de récepteur sur un circuit. et N en L et PE ou L1-L2.
Manque une phase en tri.
Genre :
Disposition :
de déclenchement (omnipolaire). × L2
Par exemple : lors d’alimentation
de récepteurs électroniques pro-
× L3
•
×
×
voquant un courant de surcharge N
sur le neutre dû aux harmoniques
PE
COUPE-SURINTENSITÉ III – 1
Dimensionnement :
• Lors d’une surcharge, le coupe-surintensité doit être capable d’interrompre les surin-
tensités produites par des récepteurs surchargés.
• La protection contre la surcharge doit être assurée également dans les circuits proté-
gés contre les courts-circuits.
• Lors d’un court-circuit, le coupe-surintensité doit être sélectif avec celui qui le précède
immédiatement. Il doit être capable d’interrompre le courant de court-circuit maxi-
mum sans détérioration du matériel, y compris les conducteurs qui lui sont raccordés.
16 16 16
25 40 25
10 10 10
ou
25 25 20
Emplacement
KK K
hauteur
10A
10A
10A
III – 2 COUPE-SURINTENSITÉ
Genres de coupe-surintensité
Coupe-circuit à fusible Fusibles à normal pouvoir de coupure 50 kA (du type gL, gG).
pour usage normal Ils sont utilisés pour les puissances communes et caractéri-
(D=Diazed) sés par trois grandeurs :
Fusibles rapides ne sont plus fabriqués, seuls les gL, gG.
Grandeur DI jusqu’à 15 A, pouvoir de coupure 10 kA sous 250 V
Grandeur DII jusqu’à 25 A, pouvoir de coupure 50 kA sous 500 V
Grandeur DIII jusqu’à 63 A, pouvoir de coupure 50 kA sous 500 V
NH 00 de 6 - 160 A
NH 1 de 10 - 250 A
NH 2 de 20 - 400 A pouvoir de coupure 100 kA sous 500 V
NH 3 de 60 - 630 A
NH 4a de 250 - 1600 A
COUPE-SURINTENSITÉ III – 3
Le pouvoir de coupure représente Disjoncteur B, ou diff. courbe B
l’intensité maximum que peut couper
le coupe-surintensité. Si, en cas de court- Emploi : thermique, résistif
circuit, la valeur de Icc dépasse
le pouvoir de coupure du coupe-surin-
tensité, la coupure n’est plus garantie
(par exemple: un arc électrique persiste
dans le fusible ou aux bornes
du disjoncteur, le coupe-surintensité
explose).
III – 4 COUPE-SURINTENSITÉ
Classes de sélectivité selon la CEI
Sur le disjoncteur 3
Pour les disjoncteurs de la classe 1, on ne donne aucune valeur ; c’est-à-dire qu’un tel
disjoncteur doit être capable de couper le courant de court-circuit pour lequel il est
construit. correspondant à son pouvoir de coupure. Ce sont généralement des disjonc-
teurs extincteurs qui coupent le courant de court-circuit au prochain passage à zéro
(anciens disjoncteurs).
Les disjoncteurs de la classe 2 ne doivent laisser passer qu’un tiers de l’énergie contenue
dans une alternance de 50 Hz du courant de court-circuit considéré (voir les valeurs du
tableau ci-dessous).
Les disjoncteurs de la classe 3 ne doivent laisser passer qu’un sixième de l’énergie conte-
nue dans une alternance de 50 Hz du courant de court-circuit considéré et c’est pourquoi
on parle, dans ce cas, de disjoncteurs limiteurs de courant.
Classes de sélectivité
COUPE-SURINTENSITÉ III – 5
1. Quels sont les 2 genres de surintensité ?
Art. 4.3.1.
Art. 4.3.2
3. Quels sont les dispositifs de protection contre les courts-circuits utilisables dans les instal-
lations électriques ?
Art. 4.3.2
Art. 4.3.3.
Art. 4.3.1.
Art. 5.3.2.1
III – 6 CLASSIFICATION
COUPE-SURINTENSITÉ
DES LOCAUX
8. Comment doivent être disposés les sectionneurs de neutre dans un ensemble d’appa-
reillage (EA) ?
Art. 5.3.7.2.
9. Comment faut-il disposer des ensembles d’appareillage (EA) sur une paroi combustible ?
Art. 5.3.9.
10. Un « profane » peut-il changer lui-même une cartouche fusible d’un coupe-surintensité
HPC ?
Art. 4.3.1.
Art. 5.3.9.
12. Dans quel cas faut-il placer des coupe-surintensité dans des coffrets ou niches correspon-
dant au degré de protection IP 5X ?
Art. 5.3.2.
13. Quand faut-il placer une plaque signalétique près d’un coupe-surintensité indiquant la
valeur de l’intensité nominale ?
Art. 4.3.2.
14. Quel est le pouvoir de coupure nominal d’un fusible à vis, grandeur D II ?
NIBT CREME
15. Comment faut-il disposer les coupe-surintensité de plusieurs circuits lorsqu’ils sont réunis
au même endroit ?
IP54 Terrasse
LOCAL MOUILLÉ
jet IP55
AVEC DANGERS Ex
D'EXPLOSION EEx
CIRCUIT
CAPACITIF
1,5 À 2 FOIS In DU RÉCEPTEUR CAPACITIF
SOIT 2 x 8 = 16A
OU TYPE APPROPRIÉ
Emplacement
• placé à des endroits accessibles
• éloigné de matière combustible
• protection contre contact avec par-
DANS UN ATELIER DE RÉPARATION
CONTENANT DES MOTEURS ties sous tension
À COMBUSTION INTERNE • si encastré dans matière combus-
ET ( HORS DES
min. 1 m
III – 8 CLASSIFICATION
INTERRUPTEURS
DES LOCAUX
4.1.3
4.2.2
4.7.2
LES DISPOSITIFS CONJONCTEURS 5.1.1
5.1.2
Choix selon le local 5.3.10
5.4.3
Dans la pratique, on trouve en général les désignations ou/et les symboles suivants : 7.6.1.4.7
IP54 Terrasse
LOCAL MOUILLÉ
jet IP55
AVEC DANGERS Ex
D'EXPLOSION EEx
Prises type 13 Les prises T13, 15, 23, 25 permettant seulement l’emploi de fiches pour
appareil surisolé et fiches avec conducteur de protection.
Locaux : humide, mouillé, avec dangers de corrosion, dans les ateliers et autres lieux de
travail, installation de bain ou de douche, ainsi qu’aux alentours des piscines.
POUR LES CANALISATIONS FIXES, LORS DE LA MISE AU NEUTRE SELON SCHÉMA
IL FAUT TOUJOURS INSTALLER
TN-C, LE CONDUCTEUR PEN DOIT ÊTRE
DES PRISES AVEC CONTACT DE RACCORDÉ D'ABORD SUR LA BORNE DE
PROTECTION PROTECTION.
Dispositions spéciales
2P 2P+T
DANS UN ATELIER DE
RÉPARATION CONTENANT
2P+T 2P DES MOTEURS À
INTERDIT : SAUF POUR LES APPAREILS À COMBUSTION INTERNE
SURISOLATION OÙ L'ON PEUT ÉQUIPER UN ET HORS DES
CORDON 2P D'UNE FICHE 2P+T. HEURES D’OUVERTURE.
min. 1 m
CLASSIFICATION
DISPOSITIFS CONJONCTEURS
DES LOCAUX III – 9
CHOIX DU DISPOSITIF CONJONCTEUR
Si sollicitations mécaniques : il faut choisir des dispositifs conjoncteurs appropriés
Pour les dispositifs conjoncteurs
Pour les prises dont l’intensité nominale est supérieure à 10 A, le coupe-surintensité
amont ne dépassera pas l’intensité nominale de la prise.
Exemples : Pour les prises dont l’intensité nominale égale 10 A (T12, T13, T15) l’inten-
sité nominale du coupe-surintensité ne dépassera pas:
– dans l’habitat : 10 A si protection par fusible Diazed, 13 A si protection par disjoncteur
– dans l’industrie : 16 A.
au-delà
de 60 cm IPX4
IP2X
Dans salle de bains ou douche : pas
accessible de la baignoire ou de la
douche (voir 7.0.1., min 60 cm)
L2 L3
PE
III – 10 CLASSIFICATION
DISPOSITIFS CONJONCTEURS
DES LOCAUX
1. Dans une étable ou une écurie, quel type d’interrupteur faut-il utiliser de préférence ?
NIBT CREME
Art. 4.2.2.
3. Que faut-il faire lorsque le fonctionnement de l’objet raccordé ne peut pas être observé
directement depuis l’emplacement de commande de l’interrupteur ?
Art. 5.1.4.
Art. 5.3.7.
NIBT CREME
Art. 5.1.2.
7. Dans quels cas doit-on obligatoirement utiliser des prises avec contact de protection
type 13 ?
Art. 5.3.10.
CLASSIFICATION
DISPOSITIFS CONJONCTEURS
DES LOCAUX III – 11
8. Quels types de prises peut-on utiliser dans une fonderie, une cimenterie ou une usine de
concassage ?
NIBT CREME
Art. 5.3.10.
Art. 5.3.10
11. Comment doit-on monter une fiche 2 P sur une canalisation mobile servant à alimenter un
appareil à surisolation ?
Art. 5.3.10.
12. Dans une salle de bains, peut-on installer une prise à proximité de la baignoire ou de la
douche ?
Art. 7.0.1.
13. Faut-il obligatoirement installer des prises type 13 dans une cuisine privée ?
Art. 5.3.10.
Art. 5.1.1.
15. Peut-on équiper une canalisation mobile possédant un conducteur de protection avec un
dispositif conjoncteur sans contact de protection ?
Art. 5.3.10.
Art. 5.1.5.
III – 12 CLASSIFICATION
DISPOSITIFS CONJONCTEURS
DES LOCAUX
3.3
NIN
2000
CLASSIFICATIONS DES LOCAUX 5.1.1
ET CHOIX DU MATÉRIEL
La classification des locaux et donc le choix du matériel à utiliser dans ces locaux sont
déterminés en fonction des influences externes. La norme actuelle classe les locaux en
3 catégories A, B et C (voir NIBT compact N 3.3)
Exemples d’influences externes : humidité de l’air (AB), chocs mécaniques (AG), rongeurs
(AL), etc. Toutefois, en général, il est d’usage d’utiliser ces désignations ci-après :
Locaux secs : Locaux dans lesquels l’humidité relative de l’air ne dépasse pas
75 %.
mat : IP 20 Exemples : locaux d’habitation, cuisines et salles de bain privées,
caves chauffées et aérées, ateliers.
Locaux humides : Locaux dans lesquels l’humidité relative de l’air se situe entre
75 % et 90 % (présence de condensation).
mat : IP 21 Exemples : établissements de bains publics, caves humides,
locaux frigorifiques.
Locaux mouillés : Locaux dans lesquels l’humidité relative de l’air dépasse 90 % (la
condensation perle).
Exemples : buanderies professionnelles, stations de lavage de
mat : IP 54 véhicules, boucheries, serres, locaux dans lesquels les parois et
sols sont giclés avec de l’eau, cuisines professionnelles.
Attention ! Les installations électriques extérieures appartiennent à cette catégorie.
Emplacements
mouillés :
NIBT CREME
a) sec
b) humide
c) mouillé
NIBT CREME
d) un local frigorifique
e) un local de congélation
f) un dépôt de munitions
h) une menuiserie
i) une grange
j) une écurie
3. Dessiner le symbole, ainsi que l’indice de protection IP devant figurer sur le matériel décrit
ci-dessous :
c) étanche à l’eau
d) résistant à la corrosion
4. Les limites de température d’un local avec des températures ambiantes extrêmement
basses sont :
Art. N 3.3
Note la désignation abrégées des conducteurs selon ASE et fabricants de câbles a dispa-
ru de la NIBT 2005; en voici la liste :
Exemples :
Tdc : câble thermoplastique double isolation résistant à la corrosion
Tlf : cordon à isolation thermoplastique, léger, méplat
CH05V-U
H05VV-F
H03VH-H
CLASSIFICATION
CHOIX DES CONDUCTEURS
DES LOCAUX III – 17
Dénominations pour les conducteurs (selon Cenelec) :
nombre de conducteurs
gaine PVC
type national
Index 2
Index 2
3. Quelle condition faut-il respecter pour tirer plusieurs circuits dans le même conduit ?
Art. 5.2.1.7.
4. Comment doivent être installées les canalisations encastrées dans les murs ?
Art. 5.2.2.7
5. Comment relier entre eux les conduits dans lesquels doivent être tirés des conducteurs
isolés ?
Art. 5.2.1.7.2
6. Dans quel cas peut-on tirer 5 fils de 2,5 mm2 dans un conduit M20 (tableau 5.2.1.3.8 p. 21) ?
Art. 5.2.1.3.8
7. Dans quelles conditions peut-on utiliser un conduit combustible THF (coloration orange) ?
Art. 5.2.1.7.5
Tabelle 5.2.1.
Tabelle 5.2.1.2.
CLASSIFICATION
CHOIX DES CONDUCTEURS
DES LOCAUX III – 19
11. Quelles sont les températures limites d’un câble Tdc ?
Tabelle 5.2.1.2.
a) en emploi normal :
b) en court-circuit :
c) lors de la pose :
12. Pouvez-vous installer un câble Tdc dans un local frigorifique classé AA4 ?
Index
Tabelle 5.2.1.2.
Art 5.2.1.
Index
17. Une canalisation plongée en permanence dans de l’huile peut-elle être en PVC ?
Art. 5.2.2.
du genre de local
de l’emplacement
Les parties combustibles placées dans le voisinage des récepteurs d’énergie ne doivent
pas être soumises à une température dépassant 80 °C.
;
Dans les locaux sans dangers d’explosion, mais avec accumulation possible occasion-
nelle de gaz (zone 2, ateliers de réparation pour véhicules à moteur hors des heures
d’ouverture) :
TRANSPORTABLES
Art. 5.1.1.1.1-4 • p. 6
2. A quelle exigence est soumise l’installation d’un récepteur posé au voisinage d’une partie
combustible du bâtiment ?
Art. 4.2.2.
3. Pour quelle raison un récepteur d’énergie sera-t-il disposé de manière à éviter une accu-
mulation de chaleur ?
Art. 4.2.2.
Art. 5.1.1.
Index
Index
7. Peut-on raccorder une cuisinière électrique par l’intermédiaire d’une boîte de dérivation ?
Art. 5.1.1.
Art. 5.1.1.
9. Quelles précautions doit-on prendre lors de l’emploi d’un récepteur transportable placé
dans une étable ou une écurie ?
Art. 5.1.2.
Art. F 2.
Art. 4.1.3.
12. Qui est-ce qui décide si un local présente des dangers de corrosion ?
Art. 3.3.1.
Index
Art. F 1.4.
e
à terr
ise ÉQUIPES DE CONDUCTEURS
de m rre
pas te JUSQU’À 300 V
,5 m: ise à DOUILLE ISOLÉE
>2 5 m m
<2,
g f
c
e
Contrôle de la température à
l’aide d’une bande thermique
a ISOLATION THERMIQUE
b MATÉRIEL COMBUSTIBLE
e PROTECTION INCOMBUSTIBLE
DISPOSITIF DE RÉGLAGE
f (TRANSFORMATEUR, STARTO-STABILISATEUR OU SIMILAIRE)
Art. 5.1.5.
2a. Quels sont les quatre moyens de protection utilisables contre les contacts directs ?
Art. N.4.1.1
2b. Quel moyen de protection complémentaire utilise-t-on contre les contacts indirects ?
Art. 4.1.2.
Art. F 2.9.
Art. 5.1.1.1.
Art. 5.1.2.2 • p. 9
5. Dans quel cas y a-t-il danger d’incendie dans un local contenant de la poussière
combustible ?
Art. 4.8.2.
Art. 4.8.2.
Art. 3.3.1.
8. Quelle est la température maximum des parties d’équipement qui sont tenue par la main
en service normal?
Art. 4.2.3.
Art. 4.2.2.
Art. 4.2.4.
11. Dans les locaux où des matières pourraient être enflammées par les lampes, comment
faut-il monter les luminaires ?
Art. 4.2.4.
Cours CREME
Index
RADIATEURS À RAYONNEMENT
Enclenchement du chauffage
seulement si le ventilateur fonc-
tionne, l’alimentation doit être
interrompue si le débit d’air est
S1
insuffisant.
Si puissance supérieure à 3 kW,
temporisation 60 secondes avant
S2
déclenchement du ventilateur.
B1 T
B2 T S1 INTERRUPTEUR MOTEUR
S2 INTERRRUPTEUR CHAUFFAGE
S3 B1 THERMOSTAT D'AMBIANCE
B2 LIMITATEUR DE TEMPÉRATURE DE 85° C
(PLACÉ PRÈS DU CORPS DE CHAUFFE
CÔTÉ AIR CHAUD)
E1 M1
M E1 CORPS DE CHAUFFE
M1 MOTEUR DU VENTILATEUR
CÂBLES CHAUFFANTS
CÂBLE CHAUFFANT SOUS GAINE
OU DANS TUBE INCOMBUSTIBLE
PROTÈGE DES DÉTÉRIORATIONS
MÉCANIQUES AINSI QUE DE
U max. = 300V CONTRE TERRE
LA CORROSION
400V
Art. 4.2.2.
Art. 4.2.1.
Art. 4.2.4.
4. Où peut-on installer un radiateur à convexion avec flux d’air traversant dans une salle de
bain ?
Art. 7.0.1.
5. Comment faut-il installer un radiateur à convexion de 2,5 kW sur une paroi de bois ?
Art. 4.2.2.
6. Quelle est l’épaisseur de la plaque incombustible posée contre une paroi combustible
lorsque la distance entre elle et un convecteur de moins de 3 kW ne peut pas atteindre 8 cm ?
Art. 4.2.2.
Art. 4.2.2.
Art. 4.2.2.
9. Quelles sont les mesures à prendre lors de l’installation d’un chauffage à air pulsé ?
Art. 4.2.4.
10. Citer un genre de local où l’on ne peut pas installer un chauffage à air pulsé.
Art. 4.2.4.
11. Quelle mesure de protection doit-on appliquer aux installations de câbles chauffants ?
Art. 7.5.3.
12. Lors de l’installation d’unité de chauffage intégrée, quelle température maximum peuvent
atteindre les parties combustibles du bâtiment ?
Art. 7.5.3.
13. Sur quelle valeur faut-il régler le limiteur de température d’une installation de chauffage
à air pulsé ?
Art. 4.2.4.
d d MATÉRIAU
1 ROBINET D’AMENÉE C0MBUSTIBLE
2 RÉDUCTEUR DE PRESSION
3 CLAPET DE RETENUE d
4 SOUPAPE DE SURPRESSION
5 ROBINET DE VIDANGE
6 CORPS DE CHAUFFE 9
7 LIMITEUR DE TEMPÉRATURE 8
8 THERMOSTAT ORIFICE 7
9 INTERRUPTEUR ROTATIF DE VENTILATION ORGANES
ÉLECTRIQUES
6
EAU
CHAUDE
EAU
FROIDE
1 2 3 4 5
IL Y A LIEU DE PRÉVOIR UN
INTERRUPTEUR DE SÉCURITÉ
EMPÊCHANT L’EMPLOI DE L’AP-
PAREIL LORSQUE LA PORTE DE
L’ARMOIRE N’EST PAS ENTIÈRE-
MENT OUVERTE
Art. 4.2.
2. Indiquer la température maximum qui peut-être admise pour un radiateur métallique que
l’on peut toucher en service normal ?
4.2.
3. Faut-il installer un interrupteur dans le circuit électrique d’un appareil producteur d’eau
chaude ?
Art. 4.6.5.
4. Quels sont les dispositifs de sécurité qu’il faut prévoir lors de l’installation d’un chauffe-eau
sous pression ?
Art. 4.2.
Art. 4.2.
5. Quelle distance faut-il ménager entre un chauffe-eau et une paroi combustible, si la tem-
pérature de l’eau atteint 70 °C ?
Art. 4.2.
6. Lorsqu’il n’est pas possible de respecter les distances minimales, que faut-il faire avant
d’installer un chauffe-eau sur une paroi combustible ?
Art. 4.2.
Art. 4.2.
8. Qui est-ce qui dicte les règles à respecter concernant l’établissement et l’exploitation des
générateurs de vapeur ?
Art. 4.2.
9. Dans l’installation d’un chauffe-eau, peut-on utiliser un dispositif conjoncteur comme point
de coupure à la place d’un interrupteur ?
Art. 4.6.5.
10. Quelle est l’intensité nominale minimum d’un interrupteur utilisé pour la commande d’un
chauffe-eau monophasé 2 kW ?
Art. 4.6.5.
Art. N 1.3.4.
12. Quand un dispositif de protection contre les surpressions d’eau est-il nécessaire lors de
l’installation d’un appareil producteur d’eau chaude ?
Art. 4.2.
Art. 4.6.5.
;;
parties combustibles du bâtiment ou moteur ou insérée dans la ligne d’ali-
à d’autres objets combustibles mentation
;;
;;
LE DISPOSITIF DE COUPURE
POUR ENTRETIEN DOIT ÊTRE
max. 80 ˚C VISIBLE EN PERMANENCE, PAR LA
PERSONNE SE TROUVANT
si combustible DANS LA ZONE DE DANGER, ET
À PROXIMITÉ IMMÉDIATE DE LA
MACHINE. SINON IL FAUT PLACER
UN INTERRUPTEUR
CADENASSABLE
Dans les locaux avec dangers d’incen- Protection des parties mécaniques
die ou avec poussières combustibles. Il mobiles, si cela n’est pas possible, il
faut utiliser des moteurs appropriés faut placer un dispositif de coupure
d’urgence.
Pour les moteurs commandés à distance, il faut placer un dispositif de coupure à proxi-
mité du moteur, si cela n’est pas possible il y a lieu d’apposer des mises en garde.
Art. 1.6.5.
2. Un dispositif conjoncteur ≥ 16 A peut-il être utilisé comme arrêt d’urgence d’un moteur ?
Art. 5.3.7.
Art. 4.2.
4. Quels types de moteurs peut-on utiliser dans un local avec danger d’incendie et avec
poussière combustible ?
6. Citer deux cas où il n’est pas nécessaire de protéger un moteur contre la surcharge.
Art. 4.7.3.
Art. N 4.2.
Art. 5.3.7
9. Si l’on place les dispositifs de coupure près du moteur, comment faut-il les disposer ?
Art. 4.6.3
10. Dans quel cas faut-il placer des mises en garde près du moteur ?
Art. 5.3.7
11. Quelles sont les règles à observer lors de la coupure du circuit principal d’un moteur
commandé par un circuit pilote séparé ?
Art. 5.3.7
12. Un système de protection contre les surcharges peut-il être intégré au moteur ?
Art. 4.7.3
13. Dans que cas doit-on utiliser des prises spéciales pour l’alimentation d’un moteur ?
Art. 4.6.5
14. Comment faire pour éviter une remise en marche intempestive d’un moteur ?
Art. 4.6.3
HT
1000 V Transformateur
+ 500 V de sécurité pour
500 V la protection par
BT séparation
50 V
TBT
0V
pour jouet
Aucune partie du
230 V secondaire mis à la terre
Point commun relié au neutre
MATIÈRE INCOMBUSTIBLE
Art. 4.1.4.
2. Dans quels cas l’utilisation d’un transformateur à enroulements séparés peut-elle être
conseillée ?
Art. 4.1.3.
NIBT CREME
Art. 4.1.3.
5. Lors de l’emploi d’un auto-transformateur, quelle borne faut-il relier au conducteur neutre ?
NIBT CREME
N 7.0.4.
Art. 4.1.3.
8. Quelle est la durée maximum de la présence de deux défauts simultanés aux secondaires
d’un transformateur de sécurité alimentant plusieurs appareils ?
Art. 4.1.3.
10. Quelle doit être la valeur du fusible assurant un transformateur de faible puissance résis-
tant aux courts-circuits d’une installation à courant faible ?
F 2.4
11. Quelles sont les mesures à respecter lorsqu’un transformateur de 1000 VA est monté sur
une partie combustible du bâtiment ?
12. Quelles sont les meilleures mesures de protection contre les températures excessives à uti-
liser pour protéger un transformateur ?
Art. 4.2.2.
13. Dans quel cas faut-il renoncer au dispositif de protection contre les court-circuits au secon-
daire d’un transformateur ?
Art. 4.7.3.
14. Comment doit être construit un transformateur utilisé par des personnes non averties ?
Art. 4.7.2.
LES STARTO-STABILISATEURS
Un starto-stabilisateur est un appareillage additionnel pour lampe à décharge dont le but
est de provoquer une surtension pour l’allumage et ensuite d’en stabiliser le courant.
Tube fluorescent :
Electrodes
L
Tube
Starter
Déparasitage
N
Starto-stabilisateur
Les self électronique peuvent être montée sur du bois à condition que la température soit
limité à 80°C (au maximum ou porter le symbole F , elles doivent être montés conformé-
ment aux dispositions relatives aux transformateurs et aux condensateurs.
DOIGT D’ÉPREUVE
Art. N 4.2.
Art. 4.6.5.
Index
4. Que faut-il faire lorsqu’un condensateur déclenché pourrait mettre des personnes en danger ?
Art. 5.1.1.
Art. 5.3.7.
Index
Art. F 1.4.5
Art. 4.6.4.
Si, au contraire, la tension nominale dépasse 50 V, il faut que l’une des conditions
suivantes au moins soit satisfaite :
L’exploitant de réseau décide quelle mesure de protection doit être appliquée dans son
réseau (sauf cas particuliers).
Lors de l’emploi de la basse tension, 50 V à 1000 V, les mesures de protection des per-
sonnes sont les suivantes :
MISE AU NEUTRE IV – 1
3.2.2
4.1.1
4.1.3
5.2.1
Dans les installations électriques, la mise au neutre est une mesure de protection. En
reliant au conducteur de protection des installations ou des appareils, on évite que,
dans le cas d’un défaut, des parties conductrices tangibles ou saisissables se trouvent
sous tension et risquent alors de mettre en danger des personnes ou des choses.
La norme technique de sur les installations électriques intérieures stipule que la mise
au neutre ne doit être appliquée que si le conducteur PEN de la ligne de raccordement
est mis à la terre au passage du réseau dans l’installation électrique intérieure.
TRANSFORMATEUR
RTR = 0.2
RL = 2.4
L1
L2
L3
IDÉF FUSION DU
IDÉF CONDUCTEUR PEN IDÉF
FUSIBLE
RPEN = 2.4 DANS LES 5 s
LE NEUTRE EST
IDÉF MIS À LA TERRE IDÉF
RD = 0.1
Schéma équivalent simplifié (on suppose la résistance de la terre beaucoup plus élevée
que celle des conducteurs cuivre).
Le moteur est assuré par des fusibles de 10A retardés ; calculer la valeur du courant de
défaut, ainsi que le temps de fusion des fusibles.
IV – 2 MISE AU NEUTRE
3.2.2
4.1.3
5.2.1
5.2.3
5.4.6 CHOIX DU MODE DE MISE AU NEUTRE
Il existe 3 systèmes de mise au neutre :
1. SYSTÈME TN-S
Si la conductance des conducteurs en cuivre est inférieure à 10 mm2, la mise au neutre
selon système TN-S doit être appliquée.
Avantages :
• Protection efficace par DDR
• Mesure d’isolement simplifiée (pas de liaisons N-PE, ce qui évite des accidents dus à
l’omission du rétablissement des liaisons).
• Compatibilité électromagnétique CEM améliorée
2. SYSTÈME TN-C
Si la conductance des conducteurs en cuivre est égale ou supérieure ou égale à 10 mm2,
la mise au neutre selon système TN-C peut être appliquée.
SYSTÈME TN-C :
DANS TOUT LE SYSTÈME, LA FONCTION DU
CONDUCTEUR NEUTRE ET DE PROTECTION
EST ASSURÉE PAR UN SEUL CONDUCTEUR
L1
L2
L3
PEN
PE
RÉCEPTEUR
Avantages :
• Economie de cuivre, facilité de tirage (4 conducteurs seulement), réduction des coûts.
MISE AU NEUTRE IV – 3
Inconvénients :
• Danger que des masses de récepteurs mises au neutre soient mises sous tension par
la rupture du conducteur PEN.
• Le système TN-C n’est pas favorable du point de vue de la CEM, car des courants
circulent dans les parties métalliques non électriques du bâtiment.
N PEN
RUPTURE
TENSION
DANGEREUSE
3. SYSTÈME TN-C-S
Si la conductance des conducteurs en cuivre des installations électriques est >10 mm2 la
mise au neutre selon système TN-C-S peut être appliquée.
SYSTÈME TN-C-S
DANS UNE PARTIE DU SYSTÈME, LA FONCTION DU
CONDUCTEUR NEUTRE ET DE PROTECTION EST
GARANTIE PAR UN SEUL CONDUCTEUR PEN
L1
L2
L3
PEN
N
PE
>10 mm2
PEN N
PE
PEN PE
PRISE 3L N PE RÉCEPTEUR 3L N PE
Remarques :
Pour raccorder un neutre bleu clair à un ancien neutre jaune, on placera un embout jaune
sur le conducteur bleu clair à ce raccordement.
IV – 4 MISE AU NEUTRE
MISE AU NEUTRE SELON SYSTÈME TN-S
Exercice :
.........mm2
200A
160A
Comptage indirect
kWh
TI
M M
Z1 = Z 2 = Z 3
MISE AU NEUTRE IV – 5
1. Quelles sont les possibilités d’effectuer la mise au neutre ?
Art. 3.2.2.
Art. 3.2.2.
Première lettre : T
Deuxième lettre : N
Autres lettres : C
Art. 5.4.2.
Art. 5.4.6.
Art. 5.2.1.
NIBT CREME
7. Peut-on utiliser des fils bleu-clair, vert-et-jaune ou jaune comme conducteur de polaire ?
Art. 5.2.1.
IV – 6 MISE AU NEUTRE
8. Lors du raccordement de conducteurs, peut-on se fier uniquement au marquage ?
NIBT CREME
Art. 5.4.6.
Art. 5.4.6.
Art. 4.1.3.
a) un appareil fixe :
b) un appareil mobile
portatif à main :
12. Déterminer le repérage, les couleurs et les symboles des conducteurs (anciens et nou-
veaux) :
Art. 5.2.1.
Neutre :
PEN :
PE :
Equipotentialité :
MISE AU NEUTRE IV – 7
MISE AU NEUTRE SELON SYSTÈME TN-C-S
A partir de 10 mm2 de section, il n’est pas obligatoire d’installer un conducteur de protec-
tion séparé. Le conducteur neutre est un conducteur de courant et en même temps un
conducteur de protection, appelé conducteur « PEN ».
Il est raccordé directement aux parties métalliques, par un pont dans les prises ou dans
les bornes des appareils fixes.
16 A 80 A 20 A 63 A
M M
Z1 = Z2 = Z3
IV – 8 MISE AU NEUTRE
1. Comment doivent être réalisées les connexions des conducteurs de protection ?
Art. 5.4.3.
Art. 5.4.3.
4. Dans une canalisation mobile, est -il permis d’établir une liaison entre le conducteur de
protection PE et le conducteur neutre N ?
Art. 5.4.3.
5. Peut-on utiliser un conducteur neutre comme conducteur de protection dans une canali-
sation mobile ?
Art. 5.4.3.
6. A partir de quel endroit, ne doit-on plus réunir le conducteur neutre N et celui protection PE ?
Art. 5.4.6.
7. Au point de séparation TN-C et TN-S, quel objet doit-on insérer et dans quel conducteur ?
Art. 5.4.6.
Faire un schéma
Art. 5.4.6.
Art. 5.4.7.
10. Dans le système TN quel est le point d’alimentation généralement mis à la terre.
Art. 4.1.3.1.
11. Quelles sont les caractéristiques des masses de l’installation dans le système TN ?
Art. 4.1.3.1.
MISE AU NEUTRE IV – 9
12. Citer les deux conditions nécessaires pour que le système de protection TN soit autorisé.
Art. 4.1.3.1.
Art. 5.4.2.
Art. 4.1.3.1.
Art. 4.6.1.
17. Quel est le seul moyen autorisé pour déclencher le conducteur de protection ?
Art. 4.6.1.2.
Art. 4.6.1.
Art. 4.6.1.
Art. 4.6.1.
IV – 10 MISE AU NEUTRE
4.1.4
Production :
B Très basse tension de sécurité réalisée au moyen d’un groupe convertisseur moteur-
générateur.
ON PEUT UTILISER
UN MOTEUR À EXPLOSION
U2 ≤ 50V
Attention, avec la TBTF, une liaison avec des circuits de tension plus élevée peut exister !
D D’autres sources qui ne dépendent pas de circuits TBTF (très basse tension fonction-
nelle) ou de circuits à tension plus élevée, par exemple :
un groupe électrogène
une source électrochimique
un transformateur résistant aux courts-circuits max. 30 VA
On distingue :
• la très basse tension de sécurité : aucune partie active du circuit et des masses n’est
mise à la terre.
TBTS
AUCUNE LIAISON AVEC LA TERRE
PE
• la très basse tension de protection : une partie active du circuit et des masses sont
mises à la terre.
PE
LIAISON FACULTATIVE
AVEC LE CONDUCTEUR
DE PROTECTION
TBTF
SYSTÈME D'ALIMENTATION
AVEC PROTECTION PAR N
COUPURE AUTOMATIQUE
PE
SYSTÈME D'ALIMENTATION
AVEC PROTECTION PAR N
SÉPARATION ÉLECTRIQUE
CONDUCTEUR D'ÉQUIPOTENTIALITÉ PA
ISOLÉ ET NON MIS À LA TERRE
Les prises et fiches de courant de circuits TBTF ne doivent pas être compa-
tibles avec ceux des autres circuits.
NIBT CREME
Art. 4.1.
3. Quelle est la condition pour loger dans la même enveloppe protectrice des conducteurs de
TBTS et de TBTP ?
Art. 4.1.4
NIBT CREME
NIBT CREME
Art. 4.1.4.
NIBT CREME
Art. 4.1.4
La tension du circuit d’utilisation ne doit pas dépasser 500 V ou 230 V pour les locaux
médicaux.
Dans une installation avec transformateur de séparation prévue pour alimenter un seul
appareil, il ne faut pas raccorder 2 récepteurs ou plus !
PE
LA PERSONNE EST ÉLECTRISÉE
S’IL Y A DEUX DÉFAUTS EN
MÊME TEMPS
N
PAS DE
PE DANGER
Pour les autres cas, on peut brancher plusieurs récepteurs à un transformateur de sépa-
ration selon le schéma suivant :
U1 = 230V U2 = 230V
PE
Art. 4.1.3.
2. Quelles sont les différentes sources pouvant être utilisées pour appliquer la protection par
séparation électrique ?
NIBT CREME
NIBT CREME
NIBT CREME
5. Quelles précautions doit-on prendre lors de l’alimentation de plusieurs circuits séparés ali-
mentés par la même source (même enroulement secondaire) ?
Art. 4.1.3.
Art. 4.1.3.5.
7. Lors de l’alimentation d’un seul récepteur, doit-on relier à terre les masses métalliques ?
Art. 4.1.3
NIBT CREME
Figure 4.1.3.
Figure 4.1.3.
11. En cas de défaut entre deux masses alimentées par des conducteurs de polarité diffé-
rentes, dans quel temps l’installation doit-elle être coupée ?
Art. 4.1.3.
12. Une personne touche le circuit secondaire d’un transformateur de séparation. Se fait-elle
électriser ? Expliquer votre réponse
NIBT CREME
Si toutes les parties conductrices sont reliées entre elles, elles présentent toutes le même
potentiel, de ce fait aucune tension dangereuse ne peut se produire.
Pour chaque bâtiment, les normes imposent le tirage d’un conducteur principal d’équipo-
tentialité auquel il faut relier les parties suivantes :
• ligne de terre
• conducteur PEN de la ligne de raccordement (conducteur de terre)
• conducteur de protection principal
• conduites principales d’eau et de gaz
• tout autre système de conduites métalliques (par exemple, colonnes montantes des
installations de chauffage et de climatisation)
• autres structures métalliques du bâtiment
• installations de protection contre la foudre.
ÉLECTRODE DE TERRE
CONDUITES DE CHAUFFAGE
CANAUX DE VENTILATION
PILIERS MÉTALLIQUES
RAILS D’ASCENSEUR
CONDUCTEUR PRINCIPAL D’ÉQUIPOTENTIALITÉ
• Sa section peut être réduite de moitié par rapport à celle du conducteur principal de
protection ; elle sera comprise entre 6 et 25 mm2 au maximum. Si ce conducteur est
relié à une installation de protection contre la foudre, sa section sera de 10 mm2 au
minimum.
Art. 4.1.3.1.
Art. 4.1.3.1.
3. Quand des éléments conducteurs pénètrent dans un bâtiment, où devez-vous les raccor-
der à l’équipotentiel ?
Art. 4.1.3.1.
Art. 5.4.7.
Art. 5.2.1.
Art. 5.4.7.
a) 6 mm2 b) 16 mm2
c) 35 mm2 d) 95 mm2
Art. 5.4.7.
TRANSFORMATEUR
1 DE COURANT
TOTALISATEUR
2 ENROULEMENT
DÉCLENCHEUR
3 DÉCLENCHEUR
S 4 MAGNÉTIQUE
4 VERROU
3
T IB IB N CONTACTS DE
S L’INTERRUPTEUR
I∆n DIFFÉRENTIEL
2 S T TOUCHE D’ESSAI
RP 1
RP RÉSISTANCE
D’ESSAI
I∆n
IB COURANT
DE SERVICE
I∆n COURANT
DE DÉFAUT
Si la somme des courants entrant et sortant n’est pas équivalente parce qu’un courant de
défaut circule dans le conducteur de protection ou la terre, le dispositif DDR coupe l’ins-
tallation sur tous les pôles.
N PE L N L PE
L1
L2
L3
N DDR DDR
POINT NEUTRE
MIS À LA TERRE
• mode de pose
apparent sur mur
en béton
63 A 40 A • température
ambiante 30 °C
kWh • pas de groupement
de circuits
16 A 16 A
Remarques :
• A l’aval d’un dispositif DDR, le conducteur neutre doit être entièrement isolé de la terre.
• Le conducteur de protection sera tiré indépendamment du conducteur neutre, il n’y
aura aucune liaison entre ces deux conducteurs.
Compléter le schéma, tracer tous les conducteurs et indiquer la section (méthode de réf. B).
Si l’installation est réalisée selon le schéma TN-C, il faut utiliser un conducteur de protec-
tion séparé du conducteur neutre à partir du disjoncteur à courant différentiel-résiduel :
L1
L2
kWh L3
PEN
PEN
I∆n
DDR
SCHÉMA TN-C
I∆n
DISPOSITIF DE DÉCLENCHEMENT
DÉPENDANT DE LA TENSION
Les dispositifs à courant différentiel-résiduel portant l’inscription U < doivent être mon-
tés dans des installations mobiles (font exception certaines applications 5.3.2.2.2.3).
Ces dispositifs sont construits de façon à ce qu’en cas d’absence de tension ou de chute de
tension en dessous d’une certaine valeur, il résulte un déclenchement, ceci même si les
récepteurs raccordés ne provoquent aucun courant de défaut.
Les DDR qui réagissent aux courants de défaut alternatif et continu pulsé portent le
signe .
Le fonctionnement n’est assuré que si le courant de défaut prend la valeur zéro au moins
une fois par période.
L N
DDR
I,n
Tous les circuits doivent être précédés de DDR avec le signe continu-pulsé.
DDR
RACCORDEMENT
FIXE
PRISES ET LUMIÈRE
Art. 4.1.2.
Art. 5.3.2.
Art. 5.3.2.
4. Que signifie le symbole U< placé sur le boîtier d’un dispositif à courant différentiel-
résiduel ?
Art. 5.3.2.
Art. 5.3.
Art. 5.3.
Art. 5.
Art. 5.
Art. 5.
10. Quels conducteurs doivent être coupés par un dispositif à courant différentiel-résiduel ?
11. Dans une installation transportable, à quel endroit faut-il placer le dispositif de protection
à courant différentiel-résiduel ?
Art. 5.
Art. 5.
13. Comment peut-on s’assurer du bon fonctionnement d’un couplage de protection à courant
différentiel-résiduel ?
Art. 6.1.3.
14. Le fait d’actionner la touche d’essai d’un DDR prouve-t-il que l’installation qui lui est rac-
cordée est conforme ?
Art. 6.1.
Règles de base :
Le courant nominal d’un dispositif de protection à courant de défaut ne doit pas être infé-
rieur à celui du coupe-surintensité qui le précède immédiatement.
Exceptions :
*3A La somme des courants nominaux des coupe-surintensité montés en aval, multipliée
par le facteur de simultanéité du tableau 5.3.2.2.6.1 ne doit pas être supérieure à l’in-
tensité nominale du DDR qui les précède.
OUI NON
Une personne sur sol isolant est prise entre L1 et une partie
conductrice tangible d’un objet mis au neutre
Un court-circuit entre L2 et L3 ou L1 et N
Un court-circuit entre L1 et PE
EXERCICE
Si le DDR n’est pas dans le même tableau que le coupe-surintensité placé en aval, quelle
règle faut-il appliquer ?
Art. 5.3.2.3.3
20A
DDR In = ......... A
1 m OU DANS LE
MÊME TABLEAU
10A 10A 6A
6A 8A 1A
EXERCICE 2
63A
DDR In = ......... A
1 m OU DANS LE
MÊME TABLEAU
EXERCICE 3
80A
DDR In = ......... A
1 m OU DANS LE
MÊME TABLEAU
L1=7A L2 L3 L2=4A L1 - L2 - L3
APPLICATIONS
Prise
en dehors
du volume 2
Attique
IP54 Loggia
DDR exigé ouverte
DDR exigé
IP54
Porte vitrée
à coulisse Loggia
avec fenêtre
DDR à coulisse
non
exigé DDR
non exigé
Balcon
ouvert
DDR IP54
exigé
DDR exigé
(la personne qui utilise un objet transpor-
table à l’extérieur [ex. : tondeuse, cisaille,
etc.] doit s’assurer que la prise est proté-
gée par un DDR ou utiliser un disjoncteur DDR exigé
DDR transportable à proximité de la prise
de courant)
IP54
Oui L’interrupteur
différentiel reste-t-il
fermé ?
Non
L’interrupteur Oui
L’interrupteur Défaut d’isolation
différentiel reste-t-il
différentiel a un défaut. entre l’interrupteur
fermé ?
différentiel et les
fusibles ou les
Non disjoncteurs,
ou sur le neutre.
Le défaut réside dans la Remettre en marche les
canalisation fixe de ce circuit. utilisateurs l’un après l’autre, ou
Localiser le défaut en mesurant bien rebrancher les fiches
l’isolation et en débrancher les fils jusqu’à ce que l’interrupteur
dans les boîtes de dérivation. différentiel s’ouvre.
L’appareil dont la mise sous
tension provoque l’ouverture de
l’interrupteur est défectueux.
Art. 4.7.2.
Art. 4.7.2.
Art. 5.3.2.
4. Quels sont les conducteurs qui doivent traverser le circuit magnétique du DDR ?
Art. 5.3.2.
5. Quels sont les conducteurs qui doivent être coupés lors du déclenchement du dispositif à
courant différentiel-résiduel ?
Art. 4.6.1.
Art. 4.7.2.
Art. 4.1.2.
Art. 4.7.2.
Art. 4.7.2.
10. La protection par DDR est complémentaire à quelle autre mesure de protection ?
Art. 4.1.1
11. Le courant nominal d’un DDR peut-il être inférieur au coupe-surintensité qui le précède ?
Art. 5.3.2.
12. Donner dans chaque cas si un DDR est obligatoire et sa valeur I∆N.
Art. 4.7.2
NIBT-CREME
NIBT-CREME
14. Quelle est la condition que remplit le DDR pour la protection des personnes lorsque la ten-
sion nominale dépasse 50 V ?
NIBT-CREME
• Les conducteurs isolés doivent être colorés sur toute leur longueur.
• A l’intérieur d’objets dont les conducteurs sont tous de la même couleur, les conduc-
teurs d’équipotentialité, de protection et PEN doivent être marqués aux extrémités
et aux raccordements.
• Les conducteurs nus doivent être marqués au moins aux raccordements.
L1 L1
N N
jaune bleu
PE PE
embout jaune
L1 L1
N N
jaune bleu
PE
embout jaune
L1
L1 L1
N bleu
N N
jaune jaune
PE
PE pas raccordé
embouts jaunes
4a) prolongement d’un tronçon en TN-C dans une installation en Sch III
L1 L1
N PEN A ≥ 10 mm2
jaune vert et jaune
embout bleu
4b) passage du TN - C - TN - S
L1 L1
L2 L2
L3 L3
N PEN raccordé
sur la borne PE
PE
liaison en amont du sectionneur
PE
N
embout bleu
L1
NIBT CREME
2. Que faut-il faire lorsque l’on doit relier un conducteur neutre de couleur bleu clair à un
autre de couleur jaune ?
NIBT CREME
3. Comment sont repérés les conducteurs isolés (PEN ; équipotentialité, neutre, protection
polaire) dans les canalisation fixes ?
Art. F 2.2.
4. Où peut-on utiliser des fils tous de la même couleur et comment faut-il les repérer ?
NIBT CREME
5. Quelles sont les couleurs que l’on ne peut pas utiliser pour désigner un conducteur polaire ?
Art. F 2.
NIBT CREME
7. Quelles sont les couleurs des conducteurs polaires d’une canalisation mobile ?
Art. F 2.
Art. F 2.
a) de terre ?
b) PEN ?
c) d’équipotentialité :
L1
N
jaune
L1
PE
N
jaune
L1 L1
N N
jaune jaune
SURINTENSITÉ
SURCHARGE COURT-CIRCUIT
La protection est assurée par la fusion La protection est assurée par la fusion
du fusible ou par le déclenchement du fusible ou par le déclenchement
du disjoncteur (thermique). du disjoncteur (magnétique).
Elle est réalisée par le coupe-surintensité inséré à l’origine de la canalisation, lequel pro-
tège à la fois contre les surcharges et contre les courts-circuits. L’intensité de consigne du
coupe-surintensité doit correspondre aux valeurs du tableau 5.2.3.1.1.15.5 (facteur de cor-
rection combiné KGH).
Cette méthode doit obligatoirement être appliquée aux installations situées dans des
emplacements explosibles ou des locaux avec danger d’incendie
Elle contient des dispositifs de protection prévus pour interrompre tout courant de sur-
charge dans les conducteurs avant qu’il y ait un risque quelconque dû à un échauffe-
ment. Ces surcharges sont provoquées par des récepteurs surchargés (par exemple :
moteur bloqué).
Les dispositifs servant à la protection contre les courants de surcharge doivent déclencher
lorsqu’ils sont traversés par des courants de 1,45 fois la valeur du courant de réglage, ce
qui est le cas avec :
– fusilles gL (ancien) 1,3 x In: doit tenir 1 h. / 1,6 x In: doit couper avant 1 heure
– fusilles gG (actuel) 1,13 x In doit tenir 1 heure / 1,45 x In doit couper avant 1 heure
Cette disposition peut être appliquée lorsque la protection contre les courants de surchar-
ge est réalisée par d’autres moyens ou qu’elle n’est pas nécessaire comme par exemple :
– dans une canalisation qui ne peut pas être parcourue par des courants de surcharge
et qu’elle ne comporte ni dérivation ni prise de courant ;
– dans une installation de télécommunication, commande, signalisation ou analogue ;
– pour des moteurs d’une puissance nominale ne dépassant pas 500 W (sauf s’ils sont
placés sans surveillance dans des locaux présentant des dangers d’incendie).
Les dispositifs servant à la protection contre les courants de courts-circuits sont à placer à
chaque endroit où une réduction de section des conducteurs, la méthode de référence ou
la constitution des canalisations nécessitent une diminution du courant admissible (excep-
tions voir 4.7.3.2.2 et 3)
On distingue :
• Le courant de court-circuit maximum (Ik max), soit un courant apparaissant en cas de
court-circuit aux bornes de sorties du coupe-surintensité qui protège la canalisation.
Cette valeur peut être mesurée ou calculée. S’il s’agit d’un circuit triphasé, c’est le
courant de court-circuit triphasé Ik3.
• Le courant de court-circuit minimum (Ik min), soit un courant apparaissant en court-
circuit à l’extrémité de la canalisation, en bout de ligne (entre les conducteurs L et PE).
Pour un circuit monophasé, on adoptera les trois quarts (0,75) de la valeur minimum
du courant de court-circuit unipolaire.
Ik max Ik min
M
Toute tension de défaut > 50 V doit impérativement être éliminée dans les 0,4 seconde
(voir 5 secondes si circuit ne comprenant ni de prises, ni de récepteur saisissables pen-
dant leur utilisation).
DÉFAUT D'ISOLATION
Pour déterminer le temps maximum que peut supporter la canalisation lorsqu’elle est
soumise au courant de court-circuit minimum (Ik min), on utilise la formule suivante :
t=
Ik min
k · A 2 [s]
t max
TEMPS MAXIMUM PENDANT
LEQUEL LE COURANT DE
COURT-CIRCUIT N’ÉCHAUFFE
PAS DANGEREUSEMENT
LES CONDUCTEURS
EXEMPLE
lth = 38A
100A In = 38A
10 mm2 10 mm2
M
Ik min = 600 A
Ik min = 600 A
t = k·A
–––––
Ik min
2
=> 115 · 10
–––––––
600
2
= 3,7 s
c) Vérification du temps de fusion maximum des fusibles de 100 A lents. Avec un courant
de 600 A, les fusibles fondent en 3 s.
d) Puisque la coupure est plus rapide que celle autorisée par le temps t et que les 5 s
prescrites, la canalisation est correctement protégée contre les courts-circuits.
Cet exemple montre que l’application de la norme permet une réduction de section de
50 mm2 à 10 mm2.
Cette méthode ne peut pas être appliquée aux installations situées dans des empla-
cements explosibles ou dans des locaux avec danger d’incendie.
Déterminer :
• la conformité de l’installation.
EXERCICE 2
disjoncteur
C63A lth = 32A
In = 32A
6 mm2 6 mm2
M
Ik 1 = 1423 A
Déterminer :
• la conformité de l’installation.
Exemple :
On mesure au coupe-circuit général (Diazed 16 A) un courant de boucle (Ik max) de 150 A
entre phase et neutre.
On désire alimenter un chauffe-eau qui absorbe 10 A avec une ligne de 1,5 mm2 sans insé-
rer de coupe-surintensité supplémentaire.
La longueur de la ligne est de 35 m.
SOLUTION
U 230
R1 = ––––– = ––– = 1,53 Ω
Ik max 150
ρ·I·2 0,0175 · 35 · 2
R2 = –––––– = –––––––––––– = 0,816 Ω
A 1,5
U 230
Ik1 = –––– = ––––– = 98 A
Rtot 2,346
t = k·A
–––––
Ik min
2
=> 115 · 1,5
–––––––
73,5
2
= 5,5 s
Temps maximum durant lequel la tension de défaut peut dépasser 50 V: 5 s } > 1,6 s.
La protection des personnes ainsi que la protection des conducteurs contre la sur-
chauffe étant garantie, l’installation est conforme aux normes en vigueur.
In min .........
In max .........
A = 1,5 mm2 lave-linge
I=8A
IK1 = 270 A
séchoir
I=7A
Art. 4.3.
2. Selon quels critères dimensionne-t-on les conducteurs des installations à basse tension ?
Art. 4.3.4.
Art. F 2.3.
3. Quels sont les accessoires capables de protéger une installation contre les surintensités ?
Art. 4.3.4.
Art. 4.1.5.
Art 4.3.4.
Art. F 2.
Art. 4.3.4.
Art. 4.3.4.
Art. 4.3.4.
10. Lorsque l’on calcule le temps de coupure maximum d’un circuit, quelle sera la valeur du
courant de court-circuit à prendre en considération ?
Art. 4.3.4.
a) Coupe-circuit tripolaire
b) Coupe-circuit unipolaire
11. Comment assure-t-on la protection contre les surintensités lorsque la section de la ligne est
diminuée ?
12. Dans quels cas peut-on placer le dispositif de protection contre les surcharges ailleurs
qu’en amont d’une canalisation ?
Art. 4.7.3.
13. Dans quels cas peut-on se dispenser de dispositif de protection contre les courts-circuits ?
Art. 4.7.3.
14. Dans quels cas peut-on placer le dispositif de protection contre les court-circuits ailleurs
qu’en amont d’une canalisation ?
Art. 4.7.3.
Lorsqu’une partie d’installation n’est à protéger que contre les courants de court-
circuit, l’intensité nominale du coupe-surintensité en amont de la canalisation peut se
déterminer en ne tenant compte que du temps de coupure en cas de court circuit de
la ligne.
Ainsi donc on ne peut pas associer une section de conducteur à une intensité nomi-
nal d’un coupe-surintensité selon un mode de pose donné.
Note : Sans autre indication, les sections indiquées dans ce manuel le sont pour des
conducteurs en cuivre isolé au PVC, température ambiante 30 degrés Celsius.
Selon:
Déterminer l’intensité – intensité nominale des récepteurs raccordés
nominale de la ou
canalisation – courant nominal du coupe-surintensité placé
en amont ou sur le parcours de la canalisation
Déterminer la méthode
de référence selon le
mode de pose
oui
simultanéité ?
non
Correctement dimensionnée si la protection des personnes (déclenchement en 5 s ou 0,4 en cas de tension de défaut) et
la protection des installations (déclenchement avant la détérioration de la ligne en cas de court-circuit) sont respectées.
Déterminer la méthode
de référence selon le B1
mode de pose
oui
oui simultanéité ?
non
méthode de référence B1
16 A
A = 1,5 mm2
Correctement dimensionnée si la protection des personnes (déclenchement en 5 s ou 0,4 en cas de tension de défaut) et
la protection des installations (déclenchement avant la détérioration de la ligne en cas de court-circuit) sont respectées.
Selon :
Déterminer l’intensité
nominale de la – intensité nominale des récepteurs raccordés
80 A
canalisation
Déterminer la méthode
de référence selon le E
mode de pose
OUI
oui
simultanéité ?
NON
note : pas de risque
de surcharge car le
méthode de référence E moteur est protégé
4 circuits par un thermique
75 A
25 mm2
Correctement dimensionnée si la protection des personnes (déclenchement en 5 s ou 0,4 en cas de tension de défaut) et
la protection des installations (déclenchement avant la détérioration de la ligne en cas de court-circuit) sont respectées.
Exemples :
Pour un tracé : 2 m dans une goulotte, 10 m sur chemin de câble performé, 2 m dans un
conduit apparent : B2
1er tronçon : B2
2e tronçon : E toute la longueur en B2
3e tronçon : B2
si l’on connaît l’intensité nominale (In) qui traverse la canalisation en service normal
sans risque de surcharge (par exemple : une canalisation alimente un chauffe-eau tri-
phasé 6kW) sans risque de surcharge
si l’on connaît l’In de l’organe de protection contre les surcharges (par exemple : un dis-
joncteur triphasé 32 A protège un groupe de prises)
Tableau 5.2.3.1.1.12.1 p. 30 : facteurs de correction pour câble isolé au PVC pour des tem-
pératures ambiantes différentes de 30 °C, à appliquer aux valeurs de courant admissibles
pour câble en l’air.
Température en °C 10 15 20 25 35 40 45 50 55 60
Facteur de correction (f°C) 1,22 1,17 1,12 1,06 0,94 0,87 0,79 0,71 0,61 0,5
EXEMPLE 1 :
Une canalisation (méthode de réf. B1) alimente un récepteur qui absorbe 17 A au réseau.
La température ambiante du local est de 15 °C. Quelle est la section de la ligne ?
EXEMPLE 2 :
Une canalisation (méthode réf. B1) alimente un récepteur qui absorbe 17 A au réseau. La
température ambiante du local est de 55 °C. Quelle est l’intensité du courant à prendre en
compte pour déterminer la section de la ligne ?
EXEMPLE :
Un câble 3*1,5 est parcouru par un courant de 17 A. Sa méthode de référence est B2. Sa
température de fonctionnement est d’environs 70°C. Sion entourent ce câble par plusieurs
autres câbles de température identique, la température ambiante de celui-ci est de 70°C
et donc sa propre température va augmenter dépasser 80°C . Si on remplace ce câble par
un modèle 3* 2,5 mm2 alors sa température revient alors à une valeur admissible d’envi-
rons 60°C
Lorsque plusieurs circuit sont placés dans la même canalisation on doit diminuer le
courant admissible dans les conducteurs pour éviter leur surchauffe.
Le facteur à prendre en considération est le facteur Kh qui dépend des modes de pose.
D’autres valeurs de ce facteurs peuvent être pris en considération selon les types d’instal-
lation.
Le facteur à prendre en considération est le facteur Kg qui est une valeur approximative.
D’autres valeurs de ce facteurs peuvent être pris en considération selon le type d’installa-
tion.
Facteur Kgh
Groupement et simultanéité allant généralement de paire, le coefficient Kgh a été déter-
miné avec les facteurs Kh et Kg.
Les valeurs pour ce coefficient donnée dans la NIBT 2005 sont des propositions. La norme
européenne prévoit d’autres valeurs selon si c’est pour l’habitat ou l’industrie. Dans
chaque installation une valeur différente peut être envisagée.
Quelque soit la valeur, la source ou la méthode de calcul des valeurs choisies pour ces
différents coefficient :
• Si la température du câble est supérieur à sa valeur limite en service permanent
(70°C pour le PVC) alors l’installation n’est pas conforme ;
• Si la températeur du câble est inférieur ou égale à sa valeur limite en service per-
manent alors l’installation est conforme
70
C
Nombre de Facteurs Facteurs
circuits KGH KH
1 1 1
2 0,88 0,80
3 0,83 0,70
4 0,80 0,65
5 0,78 0,60
6 0,77 0,57
7 0,76 0,54
8 0,75 0,52
9 0,73 0,50
10 0,73 0,50
11 0,73 0,50
12 0,72 0,45
13 0,72 0,45
14 0,72 0,45
15 0,72 0,45
16 0,71 0,41
17 0,71 0,41
18 0,71 0,41
19 0,71 0,41
20 0 70 0 38
A 1 13,5 18 24 31 42 56 73 89 108
A2 1 13 17,5 23 29 39 52 68 83 99
1 15 20 27 34 46 62 80 99 118
2 12 16 21 27 37 49 64 79 95
3 10,5 14 18,5 24 33 43 56 69 83
4 10 13 17,5 22 30 40 52 64 77
5 9 12 16 21 28 37 48 59 71
6 8,5 11,5 15,5 19,5 26 35 46 56 67
B2 7 8 11 14,5 18,5 25 33 43 53 64
8 8 10,5 14 18 24 32 40 49 62
9 à 11 7,5 10 13,5 17 23 31 40 49 59
12 à 15 7 9 12 15,5 21 28 36 44 53
16 à 19 6 8 11 14 19 25 33 40 49
20 et + 5.5 7,5 10 13 17,5 23 31 37 45
Note : La plupart des installations dans les habitations peuvent être dimensionnées
selon la méthode de référence A (pour autant qu’il n’y ait qu’un circuit).
Dans une habitation, on désire raccorder un moteur triphasé avec un fonctionnement non per-
manent dont le courant d’emploi est de 12 A avec un câble Tdc dont la longueur est de 36 m.
Déterminer la section de la ligne d’alimentation si la conformité quand au courant de court-
circuit est réalisée.
La température ambiante ne dépasse pas 30 °C, le moteur est protégé par un disjoncteur de
25 A LP C, le câble est posé sur une paroi dans un tube d’installation.
Solution
soit : In = __________ A
Iref =
EXERCICE 2
Le même moteur est installé dans un local dont la température est de 55 °C. Quelle sera la
section des conducteurs de la ligne d’alimentation ?
Solution
soit : In = __________ A
Le moteur correspondant aux conditions de l’exercice 1 est alimenté par un câble tiré dans un
canal contenant 5 câbles en tout. Quelle sera la section des conducteurs de la ligne d’ali-
mentation.
Solution
soit : In = __________ A
EXERCICE 4
Le même moteur est installé dans un local dont la température est de 55 °C. Quelle sera la
section des conducteurs de la ligne d’alimentation ?
Solution
soit : In = __________ A
nombre de circuits 1 2 3 4 5 6 7 8 9 12 16 ≥ 20
facteur kgh 1 0,88 0,83 0,8 0,78 0,77 0,76 0,75 0,73 0,72 0,71 0,7
Les conducteurs qui ne sont chargés qu’à moins de 30 % de leur courant admissible
peuvent être négligés pour le groupement.
a) doivent avoir une section minimum de 6 mm2 pour les colonnes et lignes principales
et les lignes d’alimentation générale
b) une section d’au moins 1,5 mm2 pour les lignes de répartitions, les lignes division-
naires et les lignes de récepteurs
5.2.5
4.3.4.3
CANALISATIONS FIXES
vérifications
Les valeurs trouvées lors des calculs de dimensionnement de câbles indiquent les sections
minimums des canalisations.
Art. 5.2.
a) b)
2. Quelle est la section minimum admise pour les conducteurs d’une ligne principale ?
Art. 5.2
3. Que vaut le facteur kgh pour quatre circuits chargés à 20, 40, 60 et 100 % ?
Art. 5.2
Art. 4.7
5. Quand peut-on renoncer à protéger une installation contre les courants de surcharge ?
Art. 4.7
6. Sous quelles conditions l’emploi de fils de 0,5 mm2 est-il autorisé pour une installation fixe ?
Art. 5.2
7. Quelles sont les conditions à respecter afin de pouvoir dimensionner une canalisation fixe
selon le tableau 5.2.3.1.1.15.2.2
Art. 5.2
A1 :
A2 :
B1 :
B2 :
Mode de pose le plus défavorable corres- Le bois est considéré comme un isolant thermique.
pondant à la SN SEV 1000:2000 (E+C)
tableau 5.2.3.1.1.11.3, 2e colonne
A1 3 2
A2 3
B1 3 2
B2 3 2
C 3 2
10 42 46 39 50 57 46 52 63 57
16 56 61 52 68 76 62 69 85 76
25 73 80 68 89 96 80 90 112 101
35 89 99 83 110 119 99 111 138 119
DIMENSIONNEMENT DES
CONDUCTEURS DE PROTECTION (PE)
Lorsqu’ils sont posés avec les conducteurs polaires, LES CONDUCTEURS DE PRO-
TECTION doivent avoir :
• la même section que les conducteurs polaires jusqu’à 16 mm2
• de 25 mm2 à 35 mm2 : une section de 16 mm2
• à partir de 50 mm2 au minimum : la moitié de la section des conducteurs polaires.
L1 L2 L3 N PE Alimentation :
L1, L2, L3, N : 120 mm2
PE ......................... mm2
L 2,5 mm2
N 2,5 mm2
PE ...... mm2
L1
L2 25 mm2
L3
N 25 mm2
PE ...... mm2
Chaudière
80 kW
méthode de réf. B1
L1, L2, L3 ....... mm2
PE ....... mm2
L1
L2 50 mm2
L3
N 50 mm2
PE ...... mm2
3L PE In = ........ A
120 mm2
....... mm2
In = ........ A
50 mm2
....... mm2
In = ........ A
25 mm2
....... mm2
EXERCICE 3 :
3L PE In = ........ A
In = 83 A
....... mm2
In = ........ A
In = 42 A
....... mm2
In = ........ A
In = 64 A
....... mm2
Art. 5.4
2. Quelle est la section d’un conducteur de protection isolé et monté avec des conducteurs
polaires assurés à 32 A (mode de pose B2) ?
Art. 5.4
3. Une ligne est assurée à 80 A, quelle sera la section du conducteur de protection (mode de
pose B1) ?
Art. 5.4
Art. 5.4
Art. 5.4.
Art. 5.4
7. Peut-on utiliser une partie conductrice d’un objet comme conducteur de protection pour un
autre objet ?
Art. 5.4
Art. 5.4
DIMENSIONNEMENT DES
CONDUCTEURS NEUTRE (N)
Généralement, le conducteur neutre fait partie de la même canalisation que les
conducteurs polaires et a la même section. Toutefois :
• Si le conducteur neutre en service normal conduit un courant plus grand que celui
des conducteurs polaires, le conducteur neutre doit avoir une section plus impor-
tante que celle des conducteurs polaires (dustributions polyphasées déséquilibrées
ou avec présence d’harmoniques). Elle sera déterminée de la même façon que
celle des conducteurs polaires.
• Si le conducteur neutre en service normal conduit un courant nettement inférieur
à celui des conducteurs polaires, la section du conducteur neutre peut être dimi-
nuée (sans pour autant être inférieur à 16 mm2) de la même façon que celle des
conducteurs polaires.
EXEMPLE 1
• Section des conducteurs polaires (selon la plus grande intensité soit pour 100 A)
B1 5.2.3.1.1.15.5 16 mm2
EXEMPLE 2
Un courant de 10 A traverse les conducteurs L1, L2 et L3. Entre L1 et le neutre se trouve une
résistance pure, entre L2 et le neutre un condensateur pur et entre L3 et le neutre une induc-
tance pure. La méthode de référence est A. Quelle est la section du conducteur neutre ?
• Section des conducteurs polaires : 1,5 mm2
• Courant dans le fil neutre
Par calcul (ou diagramme vectoriel) on trouve 27,3 A
• Section du conducteur neutre
Le courant dans neutre étant supérieur à celui des conducteurs polaires, sa section
sera de : 6 mm2
DIMENSIONNEMENT – Conducteurs N V – 38
5.2.3.4
5.3.9.7
5.4.6.2
Lors du dimensionnement, les conducteurs PEN sont considérés de la manière que les
conducteurs neutres
Pour certaines applications dans lesquelles le courant dans le conducteur PEN peut
atteindre des valeurs élevées, un conducteur PEN ayant la même section ou une section
supérieure à celle du conducteur polaire peut être nécessaire.
Il n’est pas nécessaire que les conducteurs PEN soient isolés dans l’ensemble d’appa-
reillage les pièces de structure ne doivent pas être utilisées comme conducteur PEN.
Cependant, il est autorisé d’utiliser les rails de montage en cuivre ou en aluminium
comme conducteur PEN.
Dans les installations existantes, avec conducteur neutre de couleur jaune, celui-ci peut
être utilisé comme conducteur PEN lors d’extensions de lignes d’alimentation générale, de
colonnes ou lignes principales ou lignes d’abonnés pour autant que les exigences rela-
tives à un conducteur PEN soient remplies. Le conducteur neutre existant devra alors être
clairement repéré comme conducteur PEN à chaque point de dérivation.
Lors d’extensions d’installations existantes, le conducteur PEN désigné en vert-et-jaune
doit être relié au conducteur PEN jaune existant (anciennement conducteur neutre).
EXERCICE 2
......... mm 2
......... mm 2
63A ......... mm 2
......... mm 2
......... mm 2
160A
......... mm 2
......... mm 2
......... mm 2
40A
......... mm 2
......... mm 2
......... mm 2
25A ......... mm 2
200A
......... mm 2
......... mm 2
3L N PE
EXERCICE 3
......... mm 2
......... mm 2
63A ......... mm 2
......... mm 2
......... mm 2
160A
......... mm 2
......... mm 2
......... mm 2
40A
......... mm 2
......... mm 2
......... mm 2
25A ......... mm 2
200A
......... mm 2
......... mm 2
3L N PE
DIMENSIONNEMENT
DES CONDUCTEURS DE TERRE
Les conducteurs de terre doivent avoir au moins la même section que les conducteurs
de protection.
La section du conducteur de terre doit être au moins égale à la moitié de celle d’un
conducteur polaire raccordé à l’aval du coupe-surintensité général
• sans être inférieur à 16 mm2
• ni être supérieur à 50 mm2
COUPE-SURINTENSITÉ
GÉNÉRAL
1 2
L1 L1
10mm2 35mm2
3 4
L2 L2
50mm2 120mm2
L3 L3
PEN N
PE
1 16mm2
2 16mm2
3 25mm2
4 50mm2
Dans les installations électriques intérieures (en schéma TN), on doit relier à la terre le
conducteur PEN de la ligne d’amenée au point d’introduction du réseau dans le bâtiment.
Pour la mise à la terre des installations électriques intérieures, on dispose des prises de la
mesure courant de court-circuit permet de mesurer l’efficacité de la mise à terre :
ÉPAISSEUR :
3 mm
SOL HUMIDE
Les prises de terre doivent être constituées d’un métal résistant à la corrosion.
par exemple :
métal section
cuivre 50 mm2
acier zingué au feu 75 mm2
Prises de terre :
CONDUCTEURS DE LIAISONS
ÉQUIPOTENTIELLES PRINCIPALES
La section du conducteur principal d’équipotentialité peut être réduite à la moitié
de celle du conducteur principal de protection.
• sans être inférieur à 6 mm2 (si l’installation est reliée à une installation de protec-
tion contre la foudre, la section doit être au moins de 10 mm2)
• ni être supérieur à 25 mm2
COUPE-SURINTENSITÉ
GÉNÉRAL
L1 L1
L2 L2
1 2 3
L3 L3
10 mm2 25 mm2 120 mm2
PEN N
10 mm2 25 mm2 120 mm2
PEN PE
10 mm2 16 mm2 70 mm2
Note : tous les éléments conducteurs raccordés à l’équipotentiel peuvent servir de conduc-
teurs d’équipotentiel si leur conductance est au moins égale à celle du conducteur cuivre
raccordé et qu’aucune interruption de ce conducteur ne puisse se produire.
Exercice 2
Exercice 3
conducteur de terre ....... mm2
équipotentiel principal ....... mm2
(avec mise à protection contre la foudre)
Coupe surintensité
générique (CSG)
Exercice 4
La section des conducteurs en cuivre des canalisations mobiles est déterminée en fonction
du courant nominal du récepteur raccordé à demeure ou de la prise de prolongateur, ou
encore de la prise de connecteur, selon le tableau
NOTE: une canalisation mobile est toujours en câble souple. Toutefois, un câble souple
peut être utilisé dans une installation fixe. Dans ce cas, sa section est la même que pour
un câble rigide.
FICHE-RÉSEAU
PRISE DE PROLONGATEUR
CORDON PROLONGATEUR
Lorsqu’un cordon
prolongateur de rac-
DISPOSITIFS DE PRISE DE COURANT
CORDON DE RACCORDEMENT
PRISE DE
CONNECTEUR
DISPOSITIF
CONNECTEUR
Protection :
Le temps de coupure en cas de tension de défaut supérieure à 50V des matériels mobiles
ou portatifs de classe I qui peuvent être saisis ou tenus en main en permanence durant
leur emploi est de 0,4 seconde au maximum.
Montage :
• Les enveloppes conductrices de canalisations mobiles doivent être reliées à leurs deux
extrémités au conducteur de protection
• Il est interdit de faire passer les canalisations mobiles à travers des parois, des plafonds
ou des planchers.
• A une seule et même fiche il n’est permis de raccorder qu’une seule canalisation mobile.
• Les canalisations mobiles doivent être reliées aux objets qu’elles alimentent de façon
telle que les efforts de traction et de torsion exercés sur la canalisation ne puissent pas
se transmettre aux bornes de raccordement.
• Dans des canalisations mobiles et dans les dispositifs conjoncteurs, le conducteur
neutre et le conducteur de protection doivent toujours être séparés.
• Les canalisations mobiles sans conducteur de protection ne doivent être équipées que
de dispositifs conjoncteurs sans contact de protection. Il n’est permis de les équiper
d’une fiche avec contact de protection que si leur autre extrémité est raccordée à un
appareil à surisolation ou encore à une prise de connecteur ou de prolongateur pré-
vue pour appareils à surisolation.
Cas particuliers :
Canalisation mobile avec DDR
• Dans les enrouleurs, le câble de raccordement au réseau doit être connecté à l’amont
du dispositif à courant différentiel-résiduel. Le câble prolongateur équipé de sa prise
mobile, ainsi que les prises montées éventuellement sur la partie fixe de l’enrouleur
doivent être raccordées à l’aval du DDR.
Locaux avec dangers d’incendie:
• Des cordons souples doivent être choisis pour les canalisations mobiles qui sont pré-
vues pour un usage intensif (par exemple type HO7RN-F – anciennement appelé GdF
– ou analogue).
Locaux corps de scène étables, et écuries
• les canalisations mobiles doivent comporter une enveloppe protectrice mécanique-
ment renforcée et non conductrice.
Art. 5.2.4
2. Quelle est la section minimum admise pour raccorder un objet lourd transportable ?
Art. 5.2.4
Art. 5.1.1
4. Un réchaud de 230 V / 2000 W est raccordé par un dispositif connecteur. Quelle sera la sec-
tion minimum du cordon de raccordement ?
Art. 5.2
5. Un cordon de raccordement est équipé d’une fiche réseau à l’une de ses extrémités, que
trouve-t-on à l’autre ?
Art. 4.1.3.2.
Définition
a)
b)
Définition
Art. 4.1.3.1
Définition
11. Dans une canalisation mobile sur enrouleur avec DDR incorporé, où ce dernier doit-il être
placé ?
Art. 5.3.2.2.
12. Comment appelle-t-on une canalisation mobile équipée à l’une de ses extrémités d’une
fiche et à l’autre d’une prise de prolongateur ?
Art.définitions
13. On désire alimenter une cuisinière électrique triphasée 400V/10 kW avec un cordon mobi-
le ; quelle est la section des conducteurs ?
Art. 5.2.
14. Quels sont les critères qui permettent de déterminer la section des conducteurs en cuivre
d’une canalisation mobile ?
Art. 5.2.
15. Dans quels cas utilise-t-on des canalisations mobiles de 2,5 mm2 ?
Art. 5.2.
Art.définitions
min: 10 cm ZONES
EXPOSÉES Les câbles enterrés doi-
max: 20 cm
vent être signalés par
une bande de marqua-
MUR BÉTON: ge.
TUBE (THF)
ÉLASTIQUE E
Si le câble est armé, ce
dernier doit être raccor-
20 cm dé au PE à chaque
CANALISATION POSÉE
HORIZONTALEMENT extrémités.
OU VERTICALEMENT
h max: 15 cm Min. 60 cm
max: 30 cm sans protec-
PROTECTION MÉCANIQUE tion méca-
nique ou si
posé avec
d’autre cana-
CONDUITES APPARENTES CONDUITES NOYÉES CONDUITES ENTERRÉES
lisation ( p.e.
gaz)
Les parcours des canalisations qui sont rigidement fixées et encastrées dans les parois doi-
vent être horizontaux ou verticaux ou parallèles aux arêtes des parois, hormis dans les
plafonds ou les planchers où il y a lieu de choisir le parcours pratique le plus court.
• Le diamètre intérieur des conduits doit être choisi de manière que des conducteurs iso-
lés puissent être introduits sans contrainte et sans dommage pour le revêtement isolant.
• Les conduits contenant des conducteurs isolés sont à relier entre eux avec du matériel
approprié afin d’empêcher la pénétration de corps étrangers.
• Les conduits combustibles (coloration orange) doivent être complètement enrobés dans
une matière incombustible. Ces conduits ne doivent pas dépasser de plus de 10 cm les
parois et les plafonds.
Art. 5.2.1
2. Quelles conditions faut-il satisfaire pour que les conducteurs appartenant à des circuits
différents puissent être placés dans un tube commun ?
Art. 5.2.1
3. Peut-on tirer dans un même tube des fils T alimentant les objets suivants ?
• 1 moteur de ventilation 3 x 400 V/400 W.
• 1 machine à laver le linge 3 x 400 V/3600 W.
Art. 5.2.1
Art. 5.2.1.2
Art. 5.2.2
6. Quelle mesure de protection prendre si des animaux risquent de provoquer des dégâts
aux canalisations ?
Art. 5.2.2
7. En montage apparent, à quel endroit peut-on s’attendre à ce que les canalisations fixes
soient exposées à des sollicitations mécaniques ?
Art. 5.2.2
Art. 5.2.1
Art. 5.2.1
Art. 5.2.2
Art. 5.2.2.8.1.7 p. 26
12. Quels sont les risques liés à la non observation de la pose horizontale ou verticales des
conduites dans les murs ?
Art. 5.2.2
13. Est-il possible de réaliser une canalisation fixe avec des conducteurs isolés sous tube dont
les coudes sont à nu ?
Art. 5.2.1
Art. 5.2.2
15. Citez des exemples de sources thermiques pouvant endommager une canalisation
Art. 5.2.2
16. Citez un tube que l’on ne doit en tout cas pas utiliser dans un local avec une présence per-
manente de corrosion?
Art. 5.2.1
Borne PE assurée
contre le déserrage bornes conformes
ordre et clarté
dans locaux avec dangers d’incendie :
boîte dès IP 51
ou mesures spéciales.
C
Dans les circuits 2LN et 3LN, il faut prendre garde que des surcharges dues à des charges
asymétriques ou à des harmoniques peuvent apparaître aux jonctions d’un conducteur
neutre commun.
Clarté de l’installation
Dans le cas d’un appartement ou d’un local similaire la clarté de l’installation sera consi-
dérée comme satisfaisante si l’agencement des canalisations permet de comprendre sans
trop de peine, sans en posséder le plan et même si elles sont noyées, quel est le schéma
des connexions.
Lorsqu’un même départ conduit à plusieurs interrupteurs, prises et emplacements de
luminaires, cette clarté est généralement assurée si l’installation comprend un nombre
suffisant de boîtes de jonction et si l’on n’effectue pas trop de connexions sur les bornes de
raccordement des appareils. Dans les appartements, on devrait éviter de prévoir des déri-
vations à partir de luminaires.
A une seule et
même fiche, il
n’est permis de
raccorder qu’une
seule canalisa-
tion mobile
RÉCEPTEUR
• Des « bornes spéciales » sont des points de jonction permettant de sectionner et de rac-
corder.
• Le sectionnement ne doit pas pouvoir se faire manuellement, mais uniquement à l’aide
d’un outil.
• Dans l’ensemble d’appareillage, on peut utiliser des bornes spéciales à la place de
sectionneur de neutre sauf au coupe-surintensité général ou à un coupe-surintensité
d’abonné.
Art. 5.2.6
2. Peut-on raccorder une machine à laver au moyen d’une boîte de dérivation sans prise
réseau?
Art. 5.2.6
3. Un conducteur en cuivre de 1,5 mm2 peut-il être serré dans une borne commune avec un
conducteur de 16 mm2 ?
Art. 5.2.6
4. Où peut-on faire une liaison entre le conducteur de protection et le neutre quand cela est
nécessaire ?
Art. 5.4.3
5. A-t-on le droit d’insérer des dispositif de coupure sur le conducteur PE (si oui comment) ?
Art. 5.4.3
Art. 5.2.6
Retour ou neutre :
Conducteur PE :
7. A quoi faut-il faire attention lors de la l’installation de prises monophasées branchées sur
un circuit triphasé ?
Art. 5.2.6
Art. 5.2.6
8. Sur des parties combustibles d’un bâtiment, quel type de boîte de jonction faut-il utiliser ?
Art. 5.2.5
Art. 5.2.6
10. Est-il admis de placer une fiche réseau aux 2 extrémités d’une canalisation mobile ?
Art. 5.2.1
11. Que faut-il faire aux point de connexion des conducteurs PEN ?
Art. 5.1.4
Art. 5.2.6
13. A quelle condition particulière les jonctions pour conducteurs de protection doivent-elles
être soumises ?
Art. 5.4.3
14. Comment faut-il exécuter les jonctions entre conducteurs ainsi que les raccordements des
conducteurs aux appareils et récepteurs ?
Art. 5.2.6
15. Comment procède-t-on en pratique pour que les efforts de traction ne se transmettent pas
aux bornes de racordement ?
aux fiches
four à raclettes
TRAVERSÉES
Lorsque les extrémités d’une Pas d’accumu- Lorsqu’une canalisation traverse
canalisation électrique se trou- lation des éléments de construction, les
vent à des températures d’eau possible ouvertures demeurant après le
; ;;;
;;;
ambiantes différentes, cela peut passage de la canalisation doivent
être propice à la formation de être obturées selon le degré de
condensations. Dans ce cas des résistance au feu prescrite avant la
précautions doivent être prises traversée.
pour protéger la canalisation des
effets des condensations.
; ;;;
FERMER
CONDUCTEURS EN PARALLÈLE
Lorsque plusieurs conduc- S’il s’agit de mono- Si l’on relie en parallèle des
teurs sont reliés en parallèle conducteurs une mise monoconducteurs, Il faut
sur la même phase ou le en parallèle de veiller à ce que les conduc-
même pôle, des mesures conducteurs n’est teurs polaires de chaque
doivent être prises pour admise que pour des canalisation présentent les
s’assurer que le courant se sections supérieures à mêmes sections et les mêmes
répartit également entre longueurs. On prendra éga-
eux 70 mm2 lement des dispositions parti-
culières pour compenser l’in-
fluence magnétique
RAYONS DE COURBURE :
INDIQUÉ PAR LE FABRIQUANT,
ENTRE 3 ET 15 FOIS LE
Tdc-aT DIAMÈTRE SUIVANT
LE TYPE DE CÂBLE.
INTERDIT Tdc
10 x d
6xd
RÉCEPTEUR,
APPAREIL OU
ACCESSOIRE
CONDUCTEURS SOUPLES OU
EXTRA-SOUPLES LIGNE FIXE :
DANS TUBE OU BRIDÈ.
INTERDIT : AGRAFES,
CLOUS OU ACCESSOIRES ANALOGUES
Art. 5.2.1
2. Un câble Tdc peut-il traverser des éléments d’un bâtiment sans tube de protection ?
Art. 5.2.2
3. A quoi faut-il prendre garde lorsque l’on pose un tube de traversée entre un local mouillé
et un autre local ?
Art. 5.2.2
4. A quoi faut-il faire attention lors du raccordement de prises monophasées dans un circuit
triphasé ?
Art. 5.2.6
Art. 5.2.6
Art. 5.2.2
tableau 5.2.13
7. Lors de la pose comme canalisation fixe, peut-on utiliser des agrafes ou des clous pour
fixer des câbles extra-souples ?
Art. 5.2.2.8.1
Art. 5.2.2
9. La pose d’un tube en «U» est-elle admise où de l’eau de condensation peut se former dans
le tube ?
Art. 5.2.2
10. Comment faut-il faire pratiquement pour éviter que l’arête vive d’un tube ne blesse l’iso-
lation des fils ou des câbles ?
11. Dans une salle de bain , peut-on placer une boîte de dérivation en zone 1 ?
Art. 7.01
Art. 5.2.1
Art. 5.2.1
13. Quand est-ce que des connexions n'ont pas besoin de rester accessible ?
Art. 5.2.6
14. Quel précaution prendre pour faire passer une canalisation dans une salle de bain ?
Art. 7.01
Pour notre profession, nous allons surtout nous intéresser aux tableaux EDS.
La NIBT 2005 contient une série complète de définition réservée aux ensembles d'appa-
reillage au chapitre 5.3.9.2.
Des dispositions valables pour les locaux affectés à un service électrique (7.29) valent éga-
lement pour les couloirs de service et les portes.
V – 63 ENSEMBLE D’APPAREILLAGE
Accessibilité:
<0,6 m
min 1,6 m
>0,6 m
h max
2,5 m
ENSEMBLE D’APPAREILLAGE V – 64
Construction d’un ensemble d’appareillage
Lors de la construction d’un ensemble d’appareillage l’on devra tenir compte de l’accès de
celui-ci aux personnes ordinaires ( BA1), averties (BA4) ou qualifiées (BA5).
Les parties actives doivent être placées à l'intérieur d'enveloppes ou derrière des barrières
possédant au moins un degré de protection IP 2X ou IP XXB.
Il y a lieu de recouvrir les parties nues sous tension montées à l'intérieur du coffret et au dos
de la porte qu'à proximité des organes à desservir.
Le coffret ne peut être ouvert qu'à l'aide de moyens auxiliaires (outils). Un panonceau de
mise en garde doit être apposé à proximité de la serrure.
– Lorsqu'il est nécessaire de supprimer les barrières, d'ouvrir les enveloppes ou d'enlever
des parties d'enveloppes, cela ne doit être possible que :
• soit à l'aide d'une clé ou d'un outil ;
• soit après mise hors tension des parties protégées ;
• Des parties actives pouvant être sous tension après le déclenchement d'un ensemble
d'appareillage doivent être protégées contre les contacts fortuits.
V – 65 ENSEMBLE D’APPAREILLAGE
Echauffement
Enveloppes extérieures :
Surface métallique 30 °C
Surface isolante 40 °C
Organe manuel de commande
En métal 15 °C
En matériaux isolant 25 °C
Bornes pour conducteurs 35 °C
Conducteurs 35 °C (limitée par la Tmax de l'isolation –
70 °C pour les isolation T)
Barres 50 °C (température max. 85 °C –
norme en préparation)
35 °C si raccordées avec des conducteurs
isolés ou des appareils
Constituant incorporés Selon instructions du fabriquant,
généralement température maximale
50 °C donc échauffement max. 20 °C
Les ensembles d'appareillage qui sont Les ensembles d'appareillage qui sont ins-
ouverts vers des parties de bâtiments ou tallés dans une armoire fermée, faite d'un
des substances combustibles, doivent être matériau non combustible ou difficilement
séparés de celles-ci par un revêtement combustible (EI 30), peuvent être montés
incombustible et thermiquement isolant (EI immédiatement sur ou dans des parties de
30). bâtiment combustibles.
ENSEMBLE D’APPAREILLAGE V – 66
Désignation
Tout ensemble d'appareillage doit être muni d'une ou plusieurs plaques signalétiques
marquées d'une manière durable et disposées à un emplacement leur permettant d'être
visibles et lisibles (elles peuvent être apposées derrière une porte ou sous un couvercle).
Chaque ensemble d’appareillage doit être désigné avec au minimum les informations sui-
vantes :
• degré de protection IP ;
V – 67 ENSEMBLE D’APPAREILLAGE
Points de raccordement
Il est recommandé que les bornes soient situées au moins à 0,2 m au-dessus de la base des
EA montés sur le sol et, de plus, qu'elles soient placées de façon telle que les conducteurs
puissent leur être facilement raccordés.
Les bornes doivent être telles que les conducteurs extérieurs puissent être raccordés par un
moyen (vis, connecteurs, etc.) assurant que la pression de contact nécessaire correspon-
dant à la valeur assignée du courant .
Des bornes doivent être prévues pour permettre le raccordement des conducteurs neutres
séparément pour chaque circuit. Ces bornes doivent être disposées ou marquées de
manière que leur attribution aux circuits soit clairement reconnaissable.
Pour tous les circuits d'entrée et de sortie, des bornes sont exigées pour les conducteurs de
protection et, le cas échéant, pour les conducteurs PEN et d'équipotentialité. Ces bornes
sont disposées de manière à pouvoir raccorder les conducteurs PE de chaque circuit sépa-
rément. Elles doivent être disposées à proximité des circuits et doivent présenter un mar-
quage adéquat.
Sur chaque borne ne peut être raccordé qu'un seul conducteur PE.
L'identification des bornes de raccordement doit permettre le classement clair des circuits
ENSEMBLE D’APPAREILLAGE V – 68
1. Qu'est-ce qu'une personne :
2. Sur la base de quels documents la NIBT s'est-elle inspirée pour faire la partie 5.3.9 ?
Art. 5.3.9
3. Quelle précaution prendre pour qu'un usager puisse avoir accès aux matériels (coupe-
surintensité) de sa distribution ?
Art. 5.3.9.7
4. Un monteur électricien est-il autorisé à changer un HPC dans un local affecté au service
de l’électricité ?
Art. 4.3.1
5. Avec quel accessoire peut-on contrôler si les parties conductives sous tension sont inac-
cessibles ?
Art. 5.3.9.7.
6. Comment dimensionne-t-on les bornes de raccordement des départs d’un ensemble d’ap-
pareillage ?
Art. 5.3.9.7
7. Quelles précaution prendre losrqu'un EA est destiné à être manœuvré uniquement par
des personnes averties ?
Art. 5.3.7
V – 69 ENSEMBLE D’APPAREILLAGE
Courant assigné (In) des ensembles d'appareillage
L'intensité nominale du courant d'un EA peut être déterminée selon les exemples suivants:
• adaptée au courant de réglage du coupe-surintensité installé dans l'ensemble d'appa-
reillage ou
• au courant de réglage des coupe-surintensité et de l'intensité nominale des récepteurs
raccordés.
Les circuits de réserve doivent être pris en compte pour la détermination du courant
nominal des ensembles d'appareillage.
Sont considérés comme intensités nominales de déclenchement des circuits de réserve: soit
le courant nominal du coupe-surintensité (porte fusible) ou l’intensité nominale du fusible
installé ou l’intensité nominale maximale de déclenchement indiquée sur le coupe-surin-
tensité. L’intensité nominale de l’ensemble d’appareillage ne doit pas être dépassée par la
somme des courants nominaux de tous les circuits, circuits de réserve compris.
ENSEMBLE D’APPAREILLAGE V – 70
DIMENSIONNEMENT DES BARRES OMNIBUS
OU DES LIGNES EN CUIVRE
Définition du barre omnibus (jeu de barres) :
Conducteur de faible impédance auquel plusieurs circuits électriques peuvent être rac-
cordés séparément.
Ce terme ne préjuge pas de la forme géométrique, de la taille ou des dimensions du
conducteur
L1-L2-L3 In = 100A
100A
2 x 12 mm Cu
b) d’après la somme des courants nominaux des récepteurs raccordés (sans facteur
de simultanéité)
L1-L2-L3 In = 47 A
In = 47A
V – 71 ENSEMBLE D’APPAREILLAGE
c) En tenant compte du facteur de simultanéité
In = 180 A
10A 16A 20A 32A 40A
NOMBRE DE CIRCUITS : 5
FACTEUR DE SIMULTANÉITÉ : 0,7
In = 118 · 0,7 = 82,6 A
BARRE DIMENSIONNÉE POUR 100 A
In = 118 A
a) D’après la somme des courants nominaux des récepteurs raccordés, pour une
température ambiante de 40° C max :
L1-L2-L3 In = 47 A
10 mm2
In = 26 A In = 21 A
In = 47 A
ENSEMBLE D’APPAREILLAGE V – 72
b) En tenant compte du facteur de simultanéité
NOMBRE DE CIRCUITS : 4
FACTEUR DE SIMULTANÉITÉ : 0,7
L1-L2-L3 In = 65,1 A In = 93 · 0,7 = 65,1 A
16 mm2
In = 28,8 A In = 45,6 A
4 mm2 10 mm2
• Le dimensionnement des conducteurs polaires est normalement déterminé par les dispo-
sitions relatives aux conducteurs polaires ou selon :
Facteur de simltanéïté
Le facteur de simultanéité d'un EA ou
Nombre de circuits Facteur
d'une partie d'un EA ayant plusieurs
principaux de simultanéité
circuits principaux est le rapport de la
somme maximale, à n'importe quel 2 et 3 0,8
instant, des courants présumés dans
tous les circuits principaux considérés 4 et 5 0,7
à la somme des courant assignés de
tous les circuits principaux 6à9 0,6
10 et plus 0,5
Iprésumé = Σ In * facteur de simultanéité
V – 73 ENSEMBLE D’APPAREILLAGE
Procès-verbal d’essai individuel pour ensembles d’appareillage
Un procès-verbal d’essai individuel pour ensembles d’appareillage selon SN EN 60439 - 1/3
doit être établi et comprend les essais suivants :
• Essai d’isolement sous 500 V DC, R [MΩ] Mesure entre circuits de puissance et PE
• Essai diélectrique à 50/60 Hz Uessai [V] entre circuits de puissance et châssis, entre
circuits de commande et châssis et entre circuit TBTS et châssis
• Essai à vide sous tension U [V] du circuits de puissance, de l’ordre des phases, du
circuit de commande et du dispositif de protection (DDR, verrouillage, etc.)
L’essai de continuité du circuit de protection sous 10A entre PE et masses doit être effectué
uniquement en cas de doute sur la continuité du circuit de protection.
L’essai diélectrique à 50/60 Hz n’est pas nécessaire sur la mesure d’isolement a été effectuée.
Lors d'un contrôle périodique la mesure d'isolement peut être remplacée par une mesure
des courant de fuite.
ENSEMBLE D’APPAREILLAGE V – 74
EXERCICE 1
63A
In = ..... A In = ..... A
EXERCICE 2
L1-L2-L3
125A
....... x ....... mm
V – 75 ENSEMBLE D’APPAREILLAGE
EXERCICE 3
L1-L2-L3 In = ..... A
8A 6A 15A
EXERCICE 4
L1-L2-L3 In = ..... A
........ mm2
63A 25A
........ mm2
EXERCICE 5
L1-L2-L3 In = ..... A
........ mm2
8A 9A 16A 4A 8A
ENSEMBLE D’APPAREILLAGE V – 76
EXERCICE 6
L1-L2-L3 In = ..... A
........ mm2
EXERCICE 7
L1-L2-L3 In = ..... A
........ mm2
16A 32A
8A 13A 8A
EXERCICE 8
L1-L2-L3 In = ..... A
........ mm2
V – 77 ENSEMBLE D’APPAREILLAGE
1. Quelle précaution faut-il prendre pour installer un EA sur une partie combustible du bâti-
ment ?
Art. 5.3.9
2. Quel est le coefficient de simultanéité appliqué pour 5 coupe-surintensité alimenté par des
conducteurs de 16 mm2 ?
Art. 5.3.9
3. Quelle est la puissance perdue ( dissipée en chaleur) par un fil de 2,5 mm2 parcouru par
un courant de 18 A ?
Art. 5.3.9
4. Quelle est la puissance perdue ( dissipée en chaleur) par un dijsoncteur C de 13A par-
couru par un courant de 13 A?
Art. 5.3.9
Art. 3.2.4
Art. 5.3.9.7.1
Art. 5.1.4
Art. 5.1.4
9. Quel est l'intensité maximal d'un disjoncteur placé à l'aval d'une prise T13 dans une cui-
sine non professionnelle ?
Art. 5.1.2
ENSEMBLE D’APPAREILLAGE V – 78
OIBT
5.3.16.6
6.1.3.8
VÉRIFICATIONS
L’Ordonnance fédérale sur les installations à basse tension « OIBT » exige à l’article 24
qu’une première vérification soit faite avant la mise en service partielle et complète.
A noter que cette vérification peut être exécutée par le monteur électricien ; toutefois,
la responsabilité est endossée par l’installateur. Avant le remise de l’installation au
propriétaire, un contrôle final propre à l’entreprise doit être fait par une personne du
métier ou par un contrôleur chef monteur électricien et les résultats seront consignés
dans un rapport de sécurité.
Rapport de sécurité
L’art. 35 de l’OIBT exige, dans le cas d’intallations dont la périodicité des contrôles est
de 20 ans, que le propriétaire présente à l’exploitant de réseau « distributeur » le rap-
port de sécurité établi par l’installateur lors de la remise de l’installation.
L’art. 35 exige, dans le cas d’installations dont la périodicité des contrôles est inférieu-
re à 20 ans, que le propriétaire présente à l’exploitant de réseau un rapport de sécu-
rité établi par un organisme de contrôle indépendant de l’installateur et ceci, dans les
six mois à compter de la remise de l’installation
VI – 1 VÉRIFICATIONS
OPÉRATION 1
Vérification de la continuité du conducteur de protection
Pour les schémas TN-S et TN-C-S, ouvrir le sectionneur de neutre
PRISE DE TERRE
L1 L2 L3 PE
N PE L N PE L
RÉCEPTEUR
MIS AU NEUTRE
La vérification peut se faire au moyen d’un ohmmètre, d’un ronfleur à pile ou une lampe
de poche (contrôle sommaire U = 4 - 24 V I = 0,2 A min).
Si aucun défaut de continuité : l’ohmmètre indique environ zéro, le ronfleur ou la lampe
fonctionne normalement.
VÉRIFICATIONS VI – 2
OPÉRATION 2
Mesure de la résistance d’isolement dont le but est de contrôler les conditions d’isolement
OUVRIR
L1
L2
OUVRIR D
L3
OUVRIR C
PEN
OUVRIR B N
A PE
1° Avertir l’exploitant
2° Enlever les fusibles ou déclencher le disjoncteur
3° Vérifier l’absence de tension
4° Ouvrir le sectionneur de neutre
5° Vérifier l’absence de tension avec le neutre (en cas de croisement)
6° Une tension étant générée lors de la mesure, débrancher les appareils électroniques
ou ponter les phases et le neutre
7º Déconnecter les appareils d’utilisation
8° Mesurer
a) Mesure PE / N
b) Mesure PE / L1
c) Mesure PE / L2
d) Mesure PE / L3
Dès qu’une des valeurs mesurées n’est pas suffisante, arrêter les mesures et suppri-
mer le défaut
VI – 3 VÉRIFICATIONS
La mesure de la résistance d’isolement permet de contrôler si l’on garantit :
Cette mesure doit être effectuée avant la mise en service d’une nouvelle installation.
Installations neuves
Installations existantes
L’appareil de mesure doit être capable de fournir la tension d’essai spécifiée avec un cou-
rant de 1 mA.
Lors de la mesure, tous les appareils d’utilisation seront déconnectés. Lorsque le circuit est
susceptible de contenir des récepteurs électroniques, il faut relier les conducteurs polaires
et le conducteur neutre avant de procéder à la mesure.
Si les résultats de mesure montrent des valeurs trop faibles, il faut déconnecter les récep-
teurs électroniques et répéter la mesure pour chaque conducteur individuellement.
VÉRIFICATIONS VI – 4
La mesure est à effectuer sur chaque groupe divisionnaire, même si la mesure sur le grou-
pe principal est en ordre, afin de pouvoir détecter une inversion des conducteurs neutres.
Déclencher d’abord tous les coupe-surintensités mais n’ouvrir qu’un sectionneur à la fois
(si les deux sectionneurs de neutre sont ouverts, le mélange des neutres ne pourra pas être
repéré).
L1
L2
L3
N
PE
ouvrir
R = INFINIE
POUR AUTANT
QU’AUCUN RÉCEPTEUR
NE SOIT RACCORDÉ
R=0
SI LA RÉSISTANCE R = 0 ENTRE CONDUCTEURS N ET PE,
CELA VEUT DIRE QUE LES FILS NEUTRES SONT CROISÉS
OPÉRATION 3
Essai du dispositif de protection à courant différentiel-résiduel et de l’installation rac-
cordée en aval.
N PE L
T 30mA
●
a.
1 0
●
b.
5mA
10mA
15mA
30mA
150mA
300mA
●
a. Fonctionnement du DDR
actionner la touche d’essai, le dispositif doit déclencher
●
b. Essai de l’installation avec un appareil d’essai pour DDR :
• 1er essai : le DDR doit déclencher avec 1 x I∆ n en 0,3 seconde
• 2e essai : le DDR ne doit pas déclencher avec 0,5 x I∆ n
(I∆ n = courant nominal de déclenchement)
En pratique, un DDR 30 mA déclenche entre 25-60 ms pour un I∆n de 19-23 mA.
VI – 5 VÉRIFICATIONS
OPÉRATION 4
Mesure des courants de court-circuit.
Vérification des conditions de mise au neutre
Attention : pour déterminer le Ik min, il faut multiplier le I mesuré (Ik1) par 0,75.
VÉRIFICATIONS VI – 6
OPÉRATION 5
Vérification du cycle des phases dans les prises triphasées
Modèles actuels :
Ces dispositifs conjoncteurs correspondent aux normes internationales, leur emploi est
obligatoire dans les nouvelles installations.
L1 L2
L2 L3
9h
4h PE L2 L1 L3
6h
L1 PE
L3 PE
L3 N L1 L2 L2 L3
4h 9h
L2 PE PE L3 L1 6h N
L1 N PE
Anciens modèles :
Ces dispositifs conjoncteurs ne correspondent plus aux normes internationales, leur ins-
tallation n’est plus autorisée dans les nouvelles installations.
L2 L3
L2 L3
L1 N
PE L3 L2 L1 N L1 L2 L3 PE L1 PE
PE
T9
VI – 7 VÉRIFICATIONS
1. A quel moment doit-on faire une première vérification dans une installation électrique ?
OIBT Art. 24
OIBT Art. 24
3. Un DDR (I∆n = 30 mA) peut-il déclencher lorsque le courant de défaut à la terre est de
15 mA ?
Art. 6.1.3.9.3 • p. 11
4. Quelle est la valeur minimum de la résistance d’isolant dans une installation neuve en BT ?
Tableau 6.1.3.3.2 • p. 6
Art. 6.1.1.1 p. 1
Tableau 6.1.3.1
OIBT Art. 27
8. Donner la valeur de Icc min dans une installation lumière et prise dans locaux d’habita-
tion (villa)
Tableau 6.1.3.6 • p. 8
VÉRIFICATIONS VI – 8
RÈGLES POUR LES INSTALLATIONS
ET EMPLACEMENTS SPÉCIAUX
2,4 m au delà
Volume 0 Volume 1 Volume 2
du volume 2
IP :
Matériel autorisé
Interrupteur :
Prises :
Boîtes de jonction:
7.02 Piscines
Les exigences de ce chapitre s’appliquent aux bassins des piscines, y compris les pédiluves
(bassin pour les pieds), et aux volumes les entourant.
Les piscines sont, comme les salle de bain, décomposée en 3 volumes :
Interrupteur et
prises
■ ■ 6 avec DDR 30 mA
our individuel
distance au V0 : 1,25
des bâtiments qui
ne sont pas norma-
■ m avec DDR 30 mA impossible
lement nettoyées ou individuel
aux jets d'eau
TBTS 12 V AC
Protection
TBTS 30 V DC
supplémentaires
(source hors des volumes 0,1 et 2)
Luminaire classe de
protectio II
Matériel Spécialement conçu pour piscine ou classe I si DDR
30mA ou
Jonctions ■ ■ ■
OK
Les circuits avec prises de courant et les matériels électriques fixes tenus en main, tous
deux avec un courant nominal In jusqu'à 32 A, doivent être protégés un dispositif de
protection à courant différentiel-résiduel avec un courant différentiel nominal de fonc-
tionnement I∆n 30 mA.
Pour les appareils à réflexion tels que les chauffages à infrarouge pour les poussins ou
pour les porcs, la distance doit être d’au moins 0,5 m, à moins qu’une autre distance soit
spécifiée dans les instructions du fabricant.
7.05.4.1 7.05.4.7
Les matériels électriques installés pour un usage normal doivent présenter au moins le
degré de protection IP 44.
Dans les locaux présentant des quantités dangereuses de matière combustible (foin,
paille, etc.), un indice de protection IP5X est nécessaire ou même IP6X en présence d’im-
portante quantité de poussière combustible (AE5).
Afin de prévenir une électrocution ou un incendie dû à un coup de foudre sur le parc exté-
rieur, les règles suivantes doivent être respectées :
Appareil
Le dispositif d’alimentation doit être installé sur une base incombustible (Pical 83) qui
débordera de 10 cm de part et d’autre de l’appareil.
Alimentation
Le dispositif d’alimentation doit être raccordé au moyen d’une prise fixe installée à proxi-
mité immédiate de celui-ci.
Mise à terre
Une bonne mise à terre est nécessaire pour prévenir un incendie en cas de coup de foudre
sur la clôture extérieure ainsi que pour le bon fonctionnement de l’installation.
a) Pour les bâtiments équipés d’une installation de protection contre la foudre, la
mise à terre de l’appareil sera raccordée au paratonnerre.
b) Pour les bâtiments non pourvus de protection contre la foudre, on utilisera la
conduite métallique d’amenée d’eau ou une électrode de terre équivalente.
c) La ligne de mise à terre doit être la plus courte que possible et ne pas dépasser
5 mètres de longueur. Sur les parties combustibles du bâtiment, le fil dont la sera
logé dans un tube isolant et difficilement combustible THFW. La ligne de terre doit
être constituée d’un fil de cuivre de 8 mm de diamètre ; elle doit descendre et être
posée sans changement brusque de direction.
Alimentation du parc
La ligne d’amenée au parc fixée au bâtiment doit être aussi courte que possible. Sur les
parties combustibles du bâtiment, on emploiera un conducteur à isolation renforcée
(10 kV) d’une section d’au moins 1,5 mm2, qui sera tiré dans un tube non conducteur et dif-
ficilement combustible THFW.
Dresse-vache
2. En cas d’alimentation de matériels fixes pour lesquels les sources de courant peuvent
être placées à l’intérieur de l’enceinte conductrice exiguë), on utilisera :
• la protection par liaison équipotentielle supplémentaire qui doit relier les masses
des matériels fixes et les parties conductives de l’enceinte ou
• la très basse tension de sécurité TBTS ou
• la protection par séparation électrique des circuits limitée à un seul appareil par
enroulement secondaire de transformateur de séparation ou
• l’utilisation de matériels de classe de protection II (surisolation). Les circuits doivent
être protégés par un dispositif à courant différentiel-résiduel I∆n 30 mA.
Liaisons équipotentielles :
Les éléments conducteurs des véhicules, chariots, caravanes ou conteneurs doivent être
reliés au conducteur de protection de l'installation en plusieurs endroits, si le type de
construction n'assure pas la continuité électrique. La section nominale des conducteurs
utilisés pour cette fonction ne doit pas être inférieure à 4 mm2 pour le cuivre.
Tous les circuits de prise ainsi que tous les circuits terminaux jusqu'à 32 A sauf les
éclairages de secours doivent être protégés de manière complémentaire par un dis-
positif à courant différentiel-résiduel I∆n = 30 mA
Canalisations :
• Des câbles/canalisations avec protection mécanique ou armés doivent être utilisés par-
tout où un risque de dommage mécanique existe.
• Les âmes des câbles doivent être en cuivre et doivent avoir une section minimale de 1.5
mm2.
• Les câbles/canalisations souples ne peuvent pas être posés à des emplacements acces-
sibles à tous, à moins d'être protégés contre les dommages mécaniques.
Les tubes pour installations électriques, les rubans de marquage ou les recouvrements de
câbles pour câbles/canalisations d'alimentation pour installations d'éclairage extérieur
doivent être, pour des raisons d'identification, marqués par une couleur convenable et
séparés des autres systèmes d'alimentation.
Il faut protéger les matériels comportant de l'éclairage par des DDR avec I∆n = 30 mA.
Cette règle ne s’applique pas aux luminaires fixés à l’extérieur et alimentés depuis l’inté-
rieur du bâtiment.
Objectifs
Permettre aux personnes de parcourir les locaux et les voies d'évacuation en toute sécuri-
té. Et de trouver facilement les sorties :
• En cas d'incendie.
• En cas de panne de courant générale.
• En cas de panne de courant partielle.
• En cas de panique.
Obligation :
En fonction du nombre d'occupants, du nombre de niveaux,
de l'affectation des bâtiments, une signalisation des chemins
de fuite, ainsi qu'un éclairage de sécurité sont exigés par la
norme de protection incendie de l'Association des établisse-
ments cantonaux d'assurance incendie AEAI. d
Conception :
Les signalisations blanc sur fond vert
d : distance maximale entre le
Dimensions des signaux de secours éclairés (selon AEAI) panneau et l'observateur.