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2 Crédit-bail 11
2.1 Définition 11
2.2 Problématique 11
3.1 Introduction 21
3.3 Problématique 21
4.1 Définition 30
4.2 Problématiques 30
1.1.1.1 Prudence
Prévus par les articles 3 et 6 du règlement de l’AU/C, le principe de prudence consiste à prévoir
les risques et incertitudes susceptibles d’affecter le patrimoine et les résultats de
l’établissement et ce afin de présenter une image fidèle et d’obéir aux règles de sincérité et
régularité des comptes.
En résumé, l’approche retenue est de ne pas transférer un risque quelconque sur les
"générations futures".
La présentation des comptes et les méthodes d’évaluation ne peuvent être modifiées, si des
modifications interviennent, elles doivent être décrites et justifiées en annexe en précisant les
incidences comptables du changement.
Elle s’applique :
• aux méthodes d’évaluation,
• aux méthodes de présentation.
Ce principe interdit l’imputation, directement sur les capitaux propres d’ouverture, des
incidences des changements de méthodes et des omissions de produits et de charges des
exercices antérieurs, la régularisation de telles opérations devant nécessairement se faire par
l’intermédiaire du compte de résultat de l’exercice en cours.
Il est nécessaire d’obtenir des informations périodiques d’où le découpage de la vie économique
en exercice comptable (durée 1 an sauf dérogation).
Ce principe entraîne la constatation des écritures de régularisation.
Position fiscale Particularité fiscale : Si aucun bilan n’a été arrêté au cours d’un exercice civil,
il est nécessaire de déterminer un résultat provisoire qui sera ultérieurement
déduit du résultat définitif (cf. article 6 du CGI).
Ce principe consiste à respecter la valeur nominale de la monnaie et ne tient pas compte des
variations du pouvoir d’achat.
Principe remise en cause avec les nouvelles normes IFRS : juste valeur.
Ce principe ne peut être valablement utilisé lorsqu’il est probable que, dans un avenir prévisible,
l’entreprise puisse disposer de fonds suffisants pour régler ses dettes à leur échéance ou encore
lorsque, pour une entreprise, qui autrement serait solvable, il existe des factures externes
susceptibles de l’amener à arrêter son activité ou à en réduire le volume de façon significative.
Normalement, cette situation doit être appréciée sur la période suivant la clôture de l’exercice
contrôlé, et pour laquelle il est probable de faire des provisions. Mais il convient, le cas échéant,
de prendre également en considération tout événement devant intervenir postérieurement et
susceptible de remettre en cause la perspective de continuité d’exploitation (recommandation
de l’Union européenne des Experts comptables en 1979).
Exemples :
• situation nette négative ou fonds de roulement négatif,
• utilisation importante d’emprunt à court terme pour financer des prêts ou des
investissements non susceptibles d’être réalisés rapidement,
• etc.
En cas de remise en cause de ce principe, les actifs et les passifs du bilan doivent être évalués à
leur valeur de liquidation.
1.1.1.7 Transparence
Au/C – art. 6,8,9,10,11).
b) Présentation et communication non seulement régulières, mais aussi loyales, de bonne foi,
des informations « sans intention de dissimuler la réalité derrière l’apparence »,
Exceptions :
i) la compensation légale est possible lorsque les créances et les dettes sont simultanément
réciproques, fongibles, certaines, liquides et exigibles.
ii) la compensation entre créances et dettes connexes issues d’un même contrat (compensation
juridiquement fondée art. 34 de l’AU/C).
Exemples :
• crédit bail,
• biens acquis avec réserve de propriété
• concessions de biens,
• personnel extérieur à l’entreprise,
• effet remis à l’escompte et non encore échus ou honorés.
L’objectif le plus général de la comptabilité et de satisfaire les besoins des utilisateurs. Par
conséquent l’objectif primordial des états financiers et de "donner une image fidèle du
patrimoine, de la situation financière et du résultat de l’entreprise" – Article 8 de l’AU.
Les règles d’évaluation sont prévues dans chapitre 4 – titre 1 de l’AU portant organisation et
harmonisation des comptabilités des entreprises.
Les deux composantes de la valeur d’un bien sont son utilité et sa rareté.
L’utilité est l’aptitude à satisfaire un besoin ; la rareté et le fait qu’un emploi implique la
renonciation à un autre emploi.
La valeur des biens de second rang (ou de capital) découle de la valeur des biens de premier
rang (ceux qui satisfont directement le besoin) qu’ils permettent de produire. Ainsi la valeur
théorique d’un actif immobilisé est la somme actualisée des flux de liquidité qu’il sera capable
d’engendrer au cours de sa carrière.
Le problème du comptable n’est pas le fondement de la valeur, mais le choix d’un critère
permettant de mesurer la valeur. On peut imaginer de nombreux critères, très différents, en
combinant deux composantes : le moment auquel on se place (passé, présent, futur) et la
modalité d’évaluation : objective, ou par le marché (achat, vente) subjective ou pour
l’entreprise (valeur d’usage). Cette multiplicité des critères de la valeur se justifie. D’une
grandeur physique, on peut faire une mesure objective et universellement valable. En revanche,
il n’y a pas de valeur universelle et unique, mais plusieurs valeurs particulières, parce que la
valeur est un rapport entre un bien et une personne particulière, dans une certaine situation,
sous certaines contraintes, avec un certain objectif, un certain point de vue, un certain intérêt.
C’est pourquoi la pratique utilise plusieurs critères de la valeur, la limité étant le respect de la
régularité et de la sincérité de la recherche de l’image fidèle.
« La valeur actuelle d’un bien est une valeur d’estimation du moment qui s’apprécie en fonction
du marché et de l’utilité pour l’entreprise ».
La référence au marché vise le prix d’achat-vente du bien, à la date considérée, dans le cadre
environnemental de l’entreprise, prix qui a pu augmenter ou diminuer depuis la date d’entrée
du bien dans le patrimoine de l’entreprise ; pour les biens produits, il faut rechercher cette
valeur de marché, mais aussi le coût actuel de production du bien.
La valeur actuelle n’est pas égale à la valeur précédente, car il faut tenir compte de l’usure ou de
l’obsolescence du bien considéré, par un abattement en fonction de l’âge du bien.
Bref, la valeur actuelle d’un bien est le prix qu’accepterait d’en donner, dans le lieu est l’état ou
se trouve ce bien, un acquéreur de l’entreprise (et non du bien isolé)
Elle la plus faible des deux valeurs : valeur d’entrée et valeur actuelle.
Si la valeur actuelle est la plus, elle est retenue mais la valeur d’entrée est maintenue au bilan et
une provision ou un amortissement est inscrit au bilan.
Deux nouveautés :
• une provision pour dépréciation n’est pas à ajouter aux amortissements que si son montant
est significatif par rapport à la valeur comptable nette du bien.
• les dépréciations constatées sur les comptes d’actif circulant (stocks et créances) et de
trésorerie sont enregistrées comme des charges externes (décaissables) afin de ne pas
laisser en dotations, donc dans la capacité d’autofinancement, ces charges qui sont, dans
leur majorité, décaissées à court terme.
Le crédit bail constitue un mode de financement garantissant une certaine flexibilité. Pour les
besoins d’investissements lourds, il est préférable pour une entreprise de payer des loyers que
d’immobiliser dans un achat des ressources. Elle améliore sa situation de trésorerie et remplace
les coûts fixes par les coûts variables.
2.2 Problématique
ii) l’annulation des loyers payés au cours de l’exercice en contrepartie des intérêts et du
principal de l’emprunt (cf. tableau d’amortissement de l’emprunt).
iii) le calcul puis la comptabilisation des intérêts courus non échus (ICNE) liés à l’emprunt.
Il se caractérise par :
• la location d’un bien,
• la promesse de vente dudit bien.
Principes comptables
• prééminence de la réalité économique sur l’apparence juridique (applicable)
• règle que seuls les actifs, propriété de l’entreprise figurent à l’actif (remise en cause).
Les redevances de crédit bail sont enregistrées au compte de charges par nature.
2.4.2 Retraitements
Généralement, le contrat comporte une option d’achat contre paiement d’un montant
relativement faible par rapport à la valeur du contrat. Aussi, il faut déterminer le taux équivalent
de l’emprunt en prenant en compte la totalité des paiements qui seront effectués : annuités et
option d’achat.
-
Ce taux est celui qui égalise l’équation suivante : V = a* -
V = Valeur d’entrée du bien
‘a = annuité déterminé dans le tableau d’amortissement reçu du crédit-bailleur
‘i = le taux d’intérêt équivalent (inconnu)
‘n = nombre d’annuités
‘opa = montant de l’option d’achat
La société Melotte a acquis le 30 juin 2009 un matériel industriel, au moyen d'un contrat de
crédit-bail auprès de la SGBS, dans les conditions suivantes :
Levée d'option : 30 juin de l'an 2016 pour 200 000 FCFA Htva.
TAF :
1. Etablissez le tableau de remboursement de l’emprunt.
2. Calculer le taux d’intérêt équivalent (en utilisant MS Excel) en utilisant la formule du
TRI.PAIEMENTS
3. Etablissez le tableau d’emprunt équivalent.
4. Etablissez le tableau d’amortissement du bien.
5. Passez toutes les écritures que vous jugez nécessaires au cours de l’exercice 2009 et 2010.
2. Taux équivalent
-6
V = 709130**1- 1 i
‘i = 12,6%
Intérêts à
Date Période Emprunt 12,06% = (A) Amortissement Annuités Restant dû
30/06/2010 1 3 000 000 361 741 347 389 709 130 2 652 611
30/06/2011 2 2 652 611 319 853 389 277 709 130 2 263 334
30/06/2012 3 2 263 334 272 913 436 216 709 130 1 827 118
30/06/2013 4 1 827 118 220 314 488 815 709 130 1 338 302
30/06/2014 5 1 338 302 161 373 547 757 709 130 790 546
30/06/2015 6 790 546 95 324 613 805 709 130 176 740
30/06/2016 7 176 740 21 311 178 689 200 000 - 1 948
L’information des tiers sur l’opération de crédit bail est assurée principalement par l’état
annexé à travers :
• le tableau 5 qui présente les mouvements des biens détenues en CB et contrats assimilés.
• le tableau 7 qui présente les échéances des dettes à la clôture de l’exercice.
En fiscalité sénégalaise, le retraitement du crédit bail est admis. Aussi, les intérêts d’emprunts et
les amortissements sont déductibles du résultat fiscal.
Un contrat de crédit bail peut être cédé avec l’accord du bailleur et moyennant le paiement
d’un droit.
Les opérations de produits et de charges résultant de la cession du droit au bail sont imposables
ou déductibles.
Le bien est
• immobilisé
• amorti sur la durée normale d’utilisation restante.
2.8.2.1 Levée
En cas de levée de l’option, aucune écriture n’est à passer. Le bien est déjà à l’actif.
Après la levée de l’option, le bien est considéré comme les autres immobilisations et la cession
suit le même traitement.
En règle générale les opérations sont réalisées avec des partenaires sis dans la zone Franc. Ce
qui n’implique pas de recalculer les opérations à la contre valeur.
Cependant, il peut arriver qu’on fasse des opérations avec des opérateurs en dehors de la zone
Franc.
Article 50 : Lorsque la valeur des éléments de l’actif et du passif de l’entreprise dépend des
fluctuations des cours des monnaies étrangères, des règles particulières d’évaluation
s’appliquent dans les conditions définies par les articles 51 à 58 ci-après.
3.3 Problématique
A clôture : les droits (créances) et obligations (dettes) sont évalués au taux de clôture et des
ajustements sont passés.
3.4.2 Immobilisations
Les immobilisations sont maintenues au cours du jour de l’acquisition quel que soit le mode de
paiement.
3.4.3 Stocks
Des dépréciations sont constituées si la valeur au jour de l’inventaire, compte tenu du cours de
change audit jour, est inférieure à la valeur d’entrée en compte.
1 ème méthode : valorisation des achats et des stocks au cours d’achat (ou au cours d’achat
calculé sur la durée de rotation des stocks)
Selon l’article 58, les avoir en monnaies étrangères sont évalués au dernier cours officiel de
change connu à la date d’établissement des états financiers.
Le gain ou la perte de change est inscrit directement dans les produits ou les charges financiers
de l’exercice.
Suite à cette évaluation, les créances ou les dettes en devises apparaissent au bilan à leur valeur
à la date de clôture.
Toutefois, les pertes probables de change doivent être prises en compte dans le compte de
résultat :
• opérations à moins d’un an : une charge provisionnées est constituée par l’intermédiaire du
compte 679 – Charges provisionnées financières (débit) et du compte 599 – Risques
provisionnés à caractère financier (crédit).
• opérations à plus d’un an : une provision pour pertes de change est ainsi constituée par
l’intermédiaire du compte 697 – Dotations aux provisions à caractère financier (débit) et du
compte 194 – Provisions pour pertes de change (crédit).
Afin d’éviter de suivre les provisions constituées d’une période sur une autre, nous suggérons
qu’elles soient reprises à l’ouverture de la période suivant celle de leur constitution. Les
provisions de la période en cours seront ainsi constituées sur la base de la situation à la fin de la
période.
Toutefois, la perte totale future est recalculée à la fin de chaque exercice et mentionné dans
l’Etat annexé.
P = Perte globale
D = Durée restante à courir
A la clôture, si l’entreprise a des positions différentes sur une même devise et à des échéances
proches, elle doit effectuer une compensation des pertes probables et des gains probables pour
dégager sa position globale de change. La dotation à la provision pour pertes de change est
alors limitée à l’excédent des pertes de change probables sur les gains de change probables. Si
les gains de change sont supérieurs aux pertes l’entreprise peut ne pas constituer de provision
de pertes de change.
Difficulté d’interprétation :
1) Compensation entre créances & dettes d’une même devise ou toutes devises confondues
2) Echéances proches
La société Toucouleur effectue des prestations pour la Société Afrique afin de connecter ses
différents sites. L’opération, conclue le 1 juillet 2008, est libellée en US dollars et s’élève à
$.1.000. Le 8 juillet, 1$ valait 448 FCFA.
Toucouleur a encaissé le règlement d’une partie de la créance, soit $.750, le 10 juillet. A cette
date 1$=450 FCFA.
A la clôture du mois de juillet, le cours de change s’établit à 1$ pour 446 FCFA.
Comptabilisation des prestations effectuées (sans prise en compte de la TVA) 1 juillet 2008
Nota : le compte 411xxx – Client – Société Afrique – présente un solde débiteur de 250$*448 =
112.000 FCFA (ou 448.000 – 336.000).
Le solde de la créance réévaluée en FCFA au dernier cours connu à la clôture s’élève à 250 $ *
446 = 111.500 FCFA.
Il apparaît ainsi une perte de change probable de (112.000 – 111.500)= 500 FCFA.
Fournisseurs
Cisco 40107 25/11/N 5.000 $C 9.075 31/1/N+1
Jules 401023 15/11/N 7.500 $C 15.700 31/1/N+1
Openga 401045 8/12/N 20.000$ 34.560 28/2/N+1
$C = dollar canadien
TAF :
1) Rappelez les règles générales d’évaluation et de comptabilisation applicables aux créances en
devises :
Le 1er novembre 2008, le fournisseur sénégalais Mbayang a vendu 100 sacs d’arachide à un
client Canadien – Marc Perroux, pour une valeur total en contre valeur en FCFA.1.500.000. Le
taux de chance à indiqué sur le contrat et de 1$C = 350 FCFA. La devise du contrat est le dollar
canadien ($C).
Le 15 novembre, Mbayang a reçu un avis de crédit de la banque d’un montant KFCFA.675 net de
frais. Après analyse, elle se rend compte que c’est Marc Perroux qui a fait le paiement. Le 15
novembre le dollar canadien valait FCFA.250.
Travail à faire :
Passez toutes les écritures que vous jugez nécessaire.
NB : Aucune écriture n’a été passée en comptabilité.
Exclus :
• prestations continues : loyers ou les intérêts,
• prestations discontinues à échéances successives échelonnées sur plusieurs exercices :
contrats d'entretien, de maintenance ou d'abonnement de services.
4.2 Problématiques
• Problématiques comptables : reconnaissance du chiffre d’affaires et de la marge et
détermination du pourcentage d’avancement
• Problématiques associées au « prévisionnel » : élaboration de l’estimé à terminaison
• Problématique de « l’incertain »
Trois méthodes :
i) la méthode à l'achèvement
ii) la méthode à l'avancement
iii) la méthode du bénéfice partiel à l'inventaire
Comme son nom l’indique, c’est à l’achèvement que le résultat est constaté.
D’où
Exercice d’exécution
• aucun chiffre d'affaires n'est inscrit en classe 7 ;
Exercice de terminaison
• CA total passé en classe 7 avec contrepartie en créances clients ;
• charges de l'exercice de terminaison dans les comptes de la classe 6 ;
• le coût de production des "en-cours" des exercices précédents annulé par le compte 73 ;
• acomptes reçus des clients virés au crédit des comptes clients concernés ;
• dépréciations éventuellement constituées sont reprises.
Synthèse
4.5.3 Avancement
Exercice d’exécution
1. CA correspondant aux travaux exécutés au cours de chaque exercice et acceptés par le
client est porté en classe 7 ;
2. Charges dans les comptes de la classe 6 par nature ;
3. Aucun "en-cours" n'est porté au bilan, à l'exception de la partie des travaux exécutés
pour laquelle le client n'a pas encore donné son accord ;
4. Créances clients sont créées en contrepartie des travaux inscrits dans le chiffre
d'affaires, les acomptes versés venant en diminution des créances correspondantes ;
Execice de terminaison
• Idem qu’en exercice d’exécution
Problématique
• Comment déterminer le % d’avancement ?
Synthèse
En cas de démonstration d’un bénéfice prévisionnel (cf. conditions OHADA – Chap 6 – Section
13 Acte uniforme) :
Exercice d’exécution
i) aucun chiffre d'affaires n'est inscrit en classe 7 ;
ii) charges relatives au contrat en classe 6, par nature ;
iii) en fin d'exercice :
• coût de production porté dans les "en-cours" avec contrepartie, pour l'exercice, en classe 7,
dans la variation des "en-cours" (compte 73) ;
• les acomptes reçus des clients subsistent au passif du bilan de l'exercice ;
• la quote-part de résultat, calculée comme il est indiqué ci-dessus, est enregistrée en classe
7, au crédit du compte 753 par le débit du compte 475 " ;
Exercice terminaison
• Chiffre d'affaires total de l'opération est à comptabiliser en classe 7 avec contrepartie en
créances clients ;
• Charges de l'exercice de terminaison sont enregistrées dans les comptes de la classe 6
correspondant à leur nature ;
• Coût de production des "en-cours" des exercices précédents est annulé par inscription au
débit du compte 73 ;
• Comptes reçus des clients sont virés au crédit des comptes clients concernés ;
• Quote-part du résultat bénéficiaire comptabilisée antérieurement est débitée au compte
653 par le crédit du compte 475, pour solde de ce compte.
31/12/N Couverture des charges Coût de production 34xx ou 734 xxou 735 xxx
(exécution) dans compte encours 35xxxx
Quote-part bénéfice % x Bénéfice 475xxx 753xx
prévisionnel
…….
Date Opérations Traitement comptable Débit Crédit
……
31/12/N + 2 Charges par nature (personnel, Dans la clase 6 6xxxx 5xxxx ou 401xxx
(terminaison) matières premières, services
extérieurs,…)
Facture définitive Dans le compte de 411xxx 70xxx
produit