Une stratégie d’établissement

qui porte ses fruits

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L’INSA de Lyon
aux meilleures places
des classements et palmarès 2010
 Palmarès 2010
des écoles d’ingénieurs après le bac

L’INSA de Lyon en 1re place

avec 151 points d’avance sur le deuxième !!
« L’INSA de Lyon pourrait même se hisser
à la 5e place d’un classement unique »

A 1re 1re 2e
pour la performance de la recherche pour le CA recherche pour son nombre pour la participation
(sur une échelle de A à G) de doctorants des entreprises
LES ÉCOLES APRÈS BAC

« Quelque soit leur rang dans notre palmarès, toutes les écoles défendent le modèle d’« ingénieur à la française »
fondé sur une formation scientifique pluridisciplinaire de haut niveau, conjuguée à des enseignements d’ouverture
en sciences humaines et sociales et à des stages. »

« Dans notre palmarès 2010, le critère « taxe d’apprentissage » par l’indicateur « participation des entreprises
au financement de l’école », qui cumule la taxe et toutes les sources de financements directs versés par les entre-
prises : dons, chaires, mécénat... »

« Autre piste en vogue pour rapprocher école et entreprise : l’apprentissage. »

« Tous ces efforts permettent aux écoles d’ingénieurs d’anticiper les besoins des industriels. »
Le classement
des écoles d’ingénieurs

L’INSA de LYON dans le top 10

1re 2e
pour le nombre total pour le CA généré par les
d’élèves formés contrats de recherche

« La CTI a tiré la sonnette d’alarme. Elle craint que l’environnement scientifique dans les petites écoles isolées ne soit
pas suffisant pour former des élèves sensibilisés à la recherche. Même constat de la part de la Conférence des directeurs
d’écoles françaises d’ingénieurs (Cdefi). »
100 écoles d’ingénieurs
à la pointe de la recherche

L’INSA de Lyon à la 3e place

2e 3e
pour le chiffre d’affaires pour le nombre
généré de doctorants

« L’INSA Lyon est à la hauteur de sa réputation. L’institut est présent au sein de neuf pôles de compétitivité,
en tant que membre de la gouvernante pour sept d’entre eux. Autant dire que l’établissement ne manque pas de
contrats : un projet pour deux chercheurs en moyenne, ce qui est proche de la saturation. Seule marge d’amé-
lioration possible : les dépôts de brevets, critère sur lequel l’école se place douzième. En cause des chercheurs
dont la notoriété et l’évolution de carrière dépendent encore trop des publications et présentations dans les
conférences internationales. »