Je n’ai pas un cœur malade Ni une tête défragmentée Je n’ai qu’une âme différente Une autre façon de voir et d’aimer
Mes sentiments ne sont pas nomades J’nai pas de virus sous le nez Y’a que des préjugés qui tourmentent Mes sens, ma tête, mes amitiés
Chaque soir dans ma chambre, dans le noir, dans la pluie Couché dans la ouate qui m’endort, je me dis…
Défonce cette porte et lève le voile Sur ton cœur qui explose et qui reçoit L’amour d’un être semblable à toi Et dans un cri Donne naissance à ta seconde vie.
Je n’ai pas un cœur malade J’ai seulement peur de l’afficher Il y a des ondes bégayantes Chaque fois qu’il essaie de s’exprimer
Et j’ai beau rire, pleurer, souffrir J’ai peur de l’aide, d’être consolé Et je me vois, là, dépérir Sous des yeux noirs, en deuil d’aimer
Chaque soir dans ma chambre, dans le noir, dans la pluie Couché dans la ouate qui m’endort, je me dis…
Défonce cette porte et lève le voile Sur ton cœur qui explose et qui reçoit L’amour d’un être semblable à toi Et dans un cri Donne naissance à ta seconde vie.
Oublie ceux qui t’ont dit quoi faire Oublie ceux qui t’ont noyé les yeux Oublie ceux qui t’ont demandé à refaire Ce que tu as de plus précieux.
Défonce cette porte et lève le voile De ton cœur qui explose et qui reçoit L’amour d’un être semblable à toi Et dans un cri Donne naissance à ta seconde vie Ta seconde vie Ta seconde vie Ta seconde vie