Jacques Louis David avait incarn le peinture classique .

.Sa conversion l'Empire et le retentissement de son Sacr de l'empereur Napolon Ier o le sens pique de l'histoire est uni un ralisme minutieux dans les portraits, librent l'lan grandiose qui couvrira des murailles ou d'immenses toiles .David reste l'admirable portraitiste de Madame Rcamier, de Madame de Verninac (Louvre) ou du Vieillard au chapeau (Anvers). Il finit sa vie Bruxelles, et exerce une influence europenne par ses disciples Il aura t le matre de Gros, Grard, Girodet, Ingres, Isabey, comme d'artistes mineurs
3 ecole de david

Anne Louis Girodet-Trioson n en 1767- deced en 1824 curieux lve de David, sensible Chateau-briand (Funrailles d'Atala) et Mac Pherson (les Ombres des guerriers franais conduites Ossian), crivain lui mme, possde un got de la posie et un charme un peu morbides.

Rival de David au nom de Raphal, Jean Baptiste Regnault .avec quelques qualits de plus que eXavier Sigalon, restent de froids imagiers antiquisants. Picot, Heim, Jean Baptiste Mauzaisse sont de rigides acadmiques. Pierre Paul Prud'hon entre (1758-1823) est un indpendant dont la grce triste, hellnistique, est plus son aise dans l'expression du charme fminin (Portrait de l'impratrice Josphine, 1803)
4 . Les antiquisants

5 Jean Auguste Dominique Ingres et lacadmisme

Autre grand indpendant, mais lve de David, form Rome et Florence, Jean Auguste Dominique Ingres (1780-1867) devint le maitre de l'Acadmie par son opposition Delacroix. Il proclame qu'il faut trouver le secret du beau par le vrai , mais il n'est pas un raliste ; ses nus, depuis la Grande Baigneuse (1808) jusqu' la Source (1856), sont des efforts pour atteindre le grand style, et son exotisme est factice (Grande Odalisque du Louvre, 1814 ; Odalisque l'esclave, 1842 ; Bain turc, 1863). Ses chefs-d'oeuvre ne sont ni ses grandes commandes ennuyeuses ni ses toiles trop savantes mais ses portraits peints (Monsieur, Madame et Mademoiselle Rivire, 1805 ; Madame de Sennones, 1814 ; la Duchesse de Broglie ; Madame Moitessier) ou dessins avec une acuit infaillible (Famille Stamaty, 1818, Louvre).