RAPPORT
D’ACTIVITE ET
PROJET
D’ORIENTATION
34ème CONGRES 9 & 10 avril 2009
SOMMAIRE :
Un 34ème Congrès structurant une Vie Syndicale CGT au service de l’activité revendicative
Bilan d’activité
Forces organisées
1er axe de travail : Un fonctionnement au service des salariés (actifs, retraités, chômeurs)
CoGiTiel
Le Commerce
Les Métaux
- Mécanic vallée
- L’USTM CORREZE
Les Transports
Le mensuel « Ensemble »
La Direction de l’UD
Le Bureau de l’UD
1
2 UN 34ème CONGRES STRUCTURANT UNE VIE SYNDICALE CGT AU
3 SERVICE DE L’ACTIVITE REVENDICATIVE
4
5 Dans un contexte où le salariat est en profonde mutation, ce Congrès de l’Union Départementale CGT
6 de la CORREZE aura comme perspective d’amplifier la capacité de toute la CGT CORREZE à porter
7 l’activité revendicative au plus haut et sur tout le territoire départemental.
8
9 Cette activité revendicative est attendue par les salariés, les privés d’emploi et les retraités du
10 département.
11
12 Pas un seul salarié, chômeur, retraité n’est épargné par la crise vécue par le pays.
13
14 Après des années d’austérité salariale, de précarisation de l’emploi, de sous-investissements et de
15 dégradation des conditions de travail, cette crise est vécue comme une double peine pour les salariés.
16
17 Dans les entreprises, beaucoup de directions se cachent derrière la crise pour essayer de justifier leurs
18 politiques financières conduisant à des suppressions d’emplois, des fermetures de sites, au gel des
19 salaires, à la dégradation des conditions de travail...
20
21 Depuis des années, les résultats financiers des grands groupes ne cessent de s’accroître.
22
23 Chaque année, les bénéfices réalisés par les entreprises et les dividendes versés aux actionnaires
24 battent des records et chaque année, la part de la population active ou retraitée s’enfonce de plus en
25 plus dans le marasme.
26
27 Nous sommes donc bien face à une crise du système, la finance n’étant pas séparable du reste de
28 l’économie.
29
30 De plus, l’analyse des différents tableaux ci-dessous confirme la modification importante de la
31 démographie sur notre département.
32
33 La part des retraités dans la population est en constante progression, les emplois par secteurs
34 d’activités sont de plus en plus importants dans les activités de services alors que les emplois
35 industriels stagnent voir régressent.
36
37 Pour être au service de l’activité revendicative, qu’elle soit pour les actifs comme pour les retraités, la
38 CGT doit s’adapter à ces nouvelles situations.
39
40 C’est à partir de ces constats, que l’UD CGT Corrèze doit façonner son organisation afin d’aider les
41 salariés (actifs, retraités et sans emploi) à construire un rapport de force puissant consacré à l’action
42 revendicative.
43
44 Toute la démarche proposée dans ce document est orientée vers la structuration d’un syndicalisme
45 porteur de solidarité, de projets revendicatifs, dans l’entreprise, dans les zones industrielles et/ou
46 commerciales, sur les lieux de travail et les lieux de vie.
47
48 Le Congrès de l’USR CGT CORREZE (Union des Syndiqués Retraités) aura lieu les 19 et 20
49 novembre 2009.
50
51 Ce sera un moment important où sera mis en débat l’activité spécifique « Retraités », activité où les
52 actifs ont toute leur place (ne sont-ils pas de futurs retraités) et, après le Congrès de l’UD, la réflexion
53 pour la mise en œuvre d’activités revendicatives sur les lieux de vie devra être poursuivie lors de ce
54 Congrès de l’USR.
55
56
57
58 BILAN D’ACTIVITE
59
60 Sans vouloir effectuer une liste exhaustive de l’activité de la CGT sur notre département depuis le
61 33ème congrès, les exemples suivants n’en sont que les principaux :
62
63
Congrès de l’UD CGT 19 (2 & 3 février)
CPE et le CNE
Fusion SUEZ- GDF
2006 Remise en cause du système de protection sociale
Congrès Confédéral (24 au 28 avril)
Comité Général de l’UD (24 octobre)
Congrès de l’USR (10 novembre)
64
65
66
Défense de la Sécu et de l’Hôpital
Défense du Ferroviaire (12 avril)
EDF - Ouverture du marché (1er juillet)
2007
Conférence régionale des UL (14 juin)
Conférence régionale sur l’aéronautique (19 juin)
Conférence nationale des UL (13 & 14 décembre)
67
68
69
Action du 29 janvier
Action du 19 mars
2009
Congrès de l’UD CGT 19 (9 & 10 avril)
73
74
75 IMPLANTATION DU SALARIAT CORREZIEN
76
UL BRIVE - Cantons de BRIVE 2004 10820 19,76% 9793 17,88% 20613 37,64%
UL BRIVE - Canton de DONZENAC 205 815 1,49% 452 0,83% 1267 2,31%
UL BRIVE - Canton de LARCHE 190 1007 1,84% 320 0,58% 1327 2,42%
UL BRIVE - Canton de MALEMORT 467 3494 6,38% 2058 3,76% 5552 10,14%
TOTAL UL BRIVE 2866 16136 29,47% 12623 23,05% 28759 52,52%
81
82
Répartition des emplois par Union Locale
(Réalisé à partir des données ASSEDIC 2007) {Sans la Fonction Publique}
Etablissements Salarié (H) Salariées (F) Total salariés
UL USSEL - Canton de BORT 161 644 1,17% 633 1,15% 1277 2,33%
UL USSEL - Canton d'EYGURANDE 36 240 0,44% 334 0,61% 574 1,05%
UL USSEL - Canton de MEYMAC 93 346 0,63% 264 0,48% 610 1,11%
UL USSEL - Canton de SORNAC 48 194 0,35% 353 0,64% 547 1,00%
UL USSEL - Cantons d'USSEL 425 2139 3,91% 1504 2,75% 3643 6,65%
UL USSEL - Canton d'EGLETONS 192 1253 2,28% 690 1,26% 1943 3,54%
TOTAL UL USSEL 955 4816 8,79% 3778 6,90% 8594 15,69%
83
84
85
86
Répartition des emplois par tranches
(sans la Fonction Publique)
Nombre total de
Etablissements Nombre de Salariés (H) Nombre de Salariées (F)
Salariés
1 à 5 salariés 2137 33,39% 2404 7,98% 2072 8,41% 4476 8,17%
6 à 19 salariés 1490 23,28% 4951 16,43% 3368 13,68% 8319 15,19%
20 à 49 salariés 945 14,76% 5757 19,11% 3670 14,90% 9427 17,22%
50 à 99 salariés 725 11,33% 4306 14,29% 3657 14,85% 7963 14,54%
100 à 250 salariés 791 12,36% 6416 21,29% 5279 21,44% 11695 21,36%
Plus de 250 salariés 313 4,89% 6298 20,90% 6581 26,72% 12879 23,52%
2008
61830 21068 34,07% 16662 79,09% 5771 34,64%
(sans bulletins CGT invalidés)
2008
(avec les 3531 bulletins CGT 61830 21068 34,07% 20193 95,85% 9302 46,07%
invalidés)
96
97
98 FORCES ORGANISEES
99
100 Estimation du nombre de syndiqués sur le département : 3500 (difficultés pour connaître le chiffres réel)
101
102 Nombre de FNI 2007 réglés à CoGéTise : 2016 (actifs) – 32 (chômeurs) – 1042 (retraités)
103
104
105
106
Timbres mensuels Timbres mensuels Timbres mensuels Timbres mensuels
Année (actifs) (chômeurs) (retraités) (Total)
réglés à l’UD réglés à l’UD réglés à l’UD réglés à l’UD
109
110
111 UN ENGAGEMENT POUR UNE VIE SYNDICALE AMELIOREE
112
113 Un débat entre nous, franc, sincère, sans tabou est nécessaire sur ce qui concerne la Vie de la CGT sur
114 notre Département.
115
116 Si nous voulons avoir une CGT digne de son passé et toujours apte à construire l’histoire des salariés
117 et retraités de notre pays, il est temps de se remettre en ordre de marche pour aller vers plus de
118 conquêtes.
119
120 Pour cela, la CGT départementale doit s’organiser pour être plus au service des syndiqués et des
121 salariés (actifs, chômeurs et retraités).
122
123 La pression idéologique patronale et gouvernementale par l’intermédiaire notamment de la télévision a
124 modifié considérablement le comportement humain.
125
126 Nous venons de subir plus de trente années de casse industrielle et de modification du monde salarial.
127
128 Du fait de cette transformation de la société, la quasi-totalité de notre travail syndical relevait plus
129 d’une opposition aux plans dits sociaux.
130
131 Ceci ne nous conduisait-il pas à ne débattre que des revendications patronales alors que notre mission
132 première est de travailler à l’élaboration des revendications des salariés, des chômeurs et des retraités.
133
134 Le taux de syndicalisation est trop faible dans notre pays.
135
136 Nous n’arrivons pas à progresser en nombre de syndiqués malgré la progression constante du nombre
137 d’adhésions.
138
139 Le bilan positif des adhésions est contrebalancé par le nombre trop important de perte de syndiqués.
140
141 Lors des départs en retraite, la continuité syndicale est-elle bien prise en compte dans nos Syndicats ?
142
143 Cette difficulté rencontrée avec les retraités, nous la constatons également avec les syndiqués qui pour
144 des raisons diverses sont appelés, soit à changer d’employeur, soit à se retrouver au chômage.
145
146 Nous créons de nouvelles bases or le constat est que quelques mois après la création, l’existence de ces
147 bases est remise en question car nous ne sommes pas organisés pour effectuer le suivi et l’aide de ces
148 nouveaux syndiqués.
149
150 La CGT existe, elle a des capacités organisationnelles importantes, mais c’est à nous de les faire
151 émerger et les mettre en place.
152
153 Alors, quelles sont les pistes sur lesquelles nous pourrions travailler ?
154
155 1er axe de travail : Un fonctionnement au service des salariés (actifs, retraités, chômeurs)
156
157 La mission première pour la CGT doit être l’activité revendicative.
158
159 Celle-ci ne se décrète pas, elle doit être le fruit de multiples rencontres et débats avec les salariés et les
160 syndiqués, sur le lieu de travail et le lieu de vie.
161
162 Utilisons-nous suffisamment les heures d’informations avec les salariés, là où cela est possible ?
163
164 Pour nos syndiqués, l’Assemblée Générale n’est-elle pas trop souvent oubliée ?
165
166 Réunir les syndiqués de son établissement au minimum une fois par an ne serait-ce pas le meilleur
167 moyen d’être à leur écoute, tant sur leurs revendications professionnelles que sur leur vision du
168 fonctionnement du Syndicat ?
169
170 Peu de Syndicats se réunissent en Congrès, moment privilégié où l’on doit et peut débattre sur les
171 structures de son Syndicat, sur les axes revendicatifs à porter devant les salariés, sur le statut (et sa
172 mise à jour) de son Syndicat ou Section Syndicale.
173
174 L’UD ne devrait-elle pas travailler avec les Syndicats le souhaitant à la réussite de tels moments
175 d’expressions démocratiques?
176
177 Pour une vie démocratique plus intense dans sa structure syndicale, ne devons-nous pas permettre
178 l’émanation des diverses catégories de salariés : les hommes, les femmes, les jeunes et les moins
179 jeunes, les salariés relevant des ICTAM, les travailleurs immigrés…
180
181 Les membres de la future Commission Exécutive de l’Union Départementale n’auront-ils pas à
182 prendre plus en compte le problème de la continuité syndicale ?
183
184 Que ce soit celle du syndiqué actif accédant à la retraite, du syndiqué actif qui se retrouve sans emploi
185 ou celle du syndiqué qui change d’employeur.
186
187 Ne faut-il donc pas que la Commission Exécutive mette en place un groupe de travail chargé de
188 réfléchir à la mise en place de méthodes, d’outils pour aider les Syndicats dans le sens d’améliorer
189 cette continuité syndicale ?
190
191 2ème axe de travail : Connaissance des syndiqués
192
193 Se connaître et se compter pour mieux agir au service des revendications.
194
195 Se connaître : la connaissance de syndiqués dans notre proche entourage ne pourrait-elle pas permettre
196 d’avoir d’autres liens entre nous ?
197
198 Se compter : savoir que nous ne sommes pas isolés dans un secteur géographique pour porter une
199 revendication ne peut être que rassurant et mobilisateur.
200
201 Pour cela, l’organisation de la CGT doit se renforcer autour de deux dispositifs indispensables :
202
203 1°) La mise en place de responsables à la Vie Syndicale.
204
205 2°) L’utilisation de CoGiTiel.
206
207 Les Responsables à la Vie Syndicale
208
209 Très peu de structures (UL, USD, Syndicats, Sections syndicales) nomment un militant à cette
210 responsabilité.
211
212 Par exemple, la « comptabilisation » et le suivi des Syndiqués sont souvent effectués par le Trésorier.
213
214 La syndicalisation n’est pas prise comme un acte essentiel dans la vie du Syndicat, c’est trop souvent
215 une activité aléatoire, non programmée (exemple : lors de manifestations, combien de camarades ont
216 pour mission de proposer l’adhésion sur le parcours ?).
217
218 La transmission des résultats des élections professionnelles aux UL et à l’UD se fait que trop rarement.
219
220 La gestion de la formation syndicale des syndiqués, des élus n’est pas ou peu suivie dans les Syndicats,
221 souvent le travail de recensement des syndiqués et des élus à former est aléatoire.
222
223 En fait, souvent, tout ce travail d’organisation est laissé au seul Secrétaire du Syndicat.
224
225 Pendant la période de préparation du Congrès et lors du Congrès, n’aurions-nous pas à réfléchir chacun
226 dans son Syndicat, dans sa Section Syndicale à la mise en place de cette activité dans sa structure.
227
228 L’UD pouvant s’engager à former les militants qui prendraient cette responsabilité.
229
230 CoGiTiel
231
232 Trop peu de militants responsables de Syndicats ou Sections Syndicales ne l’utilisent pas ou pas
233 suffisamment.
234
235 C’est un des outils de travail du responsable à la Vie Syndicale.
236
237 La connaissance des syndiqués, de leurs mandats, de leurs responsabilités, des formations syndicales
238 suivies, passe par leur inscription et le suivi de ces syndiqués dans CoGiTiel.
239
240 Malheureusement, de nombreux Syndicats et Bases sont dépourvus de l’outil informatique Internet,
241 donc n’ont pas d’accès à CoGiTiel ou CoGéTise.
242
243 Pour remédier à ce problème, la mise à disposition d’un matériel informatique ne devrait-elle pas être
244 envisagée dans les locaux de l’UD ou des UL ? Les Syndicats pouvant alors venir à l’UD ou à l’UL
245 pour apprendre à rentrer leurs données et se servir de ces outils.
246
247 La formation à cet outil de travail ne doit-elle pas être envisagée très sérieusement d’autant que la
248 Confédération est en train de recenser les formateurs sur CoGiTiel.
249
250 3ème axe de travail : Le déploiement de la CGT
251
252 72% de nos bases ont un nombre de syndiqués inférieur à 5 et, dans ce contexte, quelle activité
253 syndicale peut être développée avec si peu de syndiqués ?
254
255 Souvent se côtoient dans une même zone géographique, plusieurs entreprises de tailles diverses,
256 d’activités identiques ou différentes.
257
258 Les bassins d’emplois traditionnels sont en restructuration voir, appelés à disparaître.
259
260 Des situations nouvelles nous obligent à réfléchir et à agir différemment :
261
262 • La mise en place notamment par les communautés de communes de zones industrielles.
263
264 • Les concentrations d’activités liées à la construction des autoroutes A20 et A89.
265
266 • La politique de gestion de l’emploi, des aides financières, de répartition d’activité prônée par le
267 patronat (exemple : le cas de la Mécanic vallée) doit remettre en cause notre fonctionnement.
268
269 Même si ces regroupements sont le fait de choix stratégiques patronaux ou politiques, il n’en demeure
270 pas moins que de fait, une multitude de salariés y sont regroupés et, souvent la présence de la CGT y
271 est faible voir inexistante.
272
273 Les questions qui nous sont posées aujourd’hui ne sont-elles pas :
274
275 • N’avons-nous pas à opérer des regroupements de syndiqués pour faire ressortir des
276 convergences d’intérêts ?
277
278 • Comment et avec qui la CGT doit-elle créer les conditions optimums pour s’implanter sur ces
279 regroupements d’activités ?
280
281 • Quelles mesures sont à prendre pour être à l’écoute de ces salariés, les informer et les aider à
282 construire leurs revendications ?
283
284 • Comment allons-nous mener des campagnes de syndicalisation sur de telles zones ? Zones où
285 les salariés votent CGT, par exemple aux Elections Prud’homales, mais où nous n’avons
286 souvent aucun syndiqué.
287
288 Sur cette réflexion stratégique, n’avons-nous pas à mettre beaucoup plus la notion de solidarité en jeu.
289
290 Ne devons-nous pas, à coté du « militantisme d’entreprise », nous tourner vers un « militantisme sur le
291 lieu de vie » où actifs, retraités et sans emplois peuvent se retrouver plus facilement pour organiser
292 l’action CGT ?
293
294
295 Une action CGT construite sur les lieux de vie, dans un territoire donné, ne répondrait-elle pas à un
296 enjeu syndical fort en matière de réponses aux problèmes d’aménagement du territoire (transports,
297 crèches, écoles, vie des retraités, aide aux personnes âgées…), aux problèmes de protection sociale,
298 aux problèmes de défense du pouvoir d’achat ?
299
300 Ce congrès doit permettre de dégager des pistes de travail concernant le déploiement CGT sur les UL
301 et certaines professions.
302
303 Trois années séparent les Congrès de l’UD, trois années ou la Direction de l’UD pourrait avoir le
304 temps nécessaire à la réalisation des cinq objectifs de déploiement de la CGT sur :
305
306 Les UNIONS LOCALES, l’AIDE A DOMICILE, le COMMERCE, les METAUX et les
307 TRANSPORTS.
308
309 Les Unions Locales
310
311 Un travail important (activité revendicative, création, structuration, suivi des syndicats…) doit être
312 réalisé autour des activités professionnelles et interprofessionnelles, sur les activités plus spécifiques
313 telles que celles des Retraités, celles des Ingénieurs, Cadres et Techniciens, celles des jeunes, celles
314 des sans emplois, celles du juridique…
315
316 La solidarité doit être le maître mot dans nos Unions Locales.
317
318 L’Union Départementale doit aider les Unions Locales, à partir des décisions des Congrès de ces UL :
319
320 • en travaillant à la mise en œuvre de la résolution du 48ème congrès recommandant la création de
321 syndicats professionnels ou multi-professionnels afin de ne plus avoir de syndiqués
322 « isolés » syndiqués dans les UL,
323
324 • en identifiant les zones susceptibles d’accueillir une antenne de l’Union locale, ceci pour
325 favoriser l’implantation de syndicats de site et l’aide aux salariés de ces secteurs
326 géographiques,
327
328 • en impulsant et aidant les Syndicats d’un bassin d’emploi ou d’une zone d’activité à mener une
329 activité revendicative en correspondance avec des problématiques spécifiques (transport,
330 crèche, zone sécurisée, restauration, statut unique pour un site, etc.).
331
332 Toutes les forces de la CGT composant l’entité UL se doivent de participer à son activité, que ce soit
333 bien évidemment les actifs mais également les retraités.
334
335 Les aides à domicile
336
337 Un travail important est déjà réalisé par les responsables syndicaux de cette activité.
338
339 Des actions syndicales menées auprès des élus politiques régionaux, départementaux ont eu lieu.
340
341 Une journée d’étude s’est tenue à MONTREUIL le 6 février.
342
343 Dans le prolongement de cette activité, menée par la CGT ADAPAC et ADMR avec la Région CGT et
344 les UD 19-23-87, la nouvelle Commission Exécutive ne devrait-elle pas avoir comme mandat (avec la
345 coopération des syndiqués de ce secteur, leur Fédération, l’USD Santé, l’Union des Syndiqués
346 Retraités), l’élaboration d’un cahier revendicatif afin d’aider les personnels de ce secteur mais
347 également les bénéficiaires de ces aides dans le but de développer un véritable service public d’aide à
348 domicile ?
349
350
351 Avec les militants CGT présents sur les lieux de vie, ne faudrait-il pas aller à la rencontre des salariés
352 des autres associations qui oeuvrent dans l’aide à domicile ?
353
AIDES à DOMICILE (données 2007)
603 Le nombre de ses membres est fixé par la Commission Exécutive et ceux-ci sont pris parmi les
604 membres de la Commission Exécutive de l’Union Départementale.