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• Ménage
Exercice2 :
Exercice 3 :
-Impôts
Revenu Revenu
disponible des
__________
-
________________
_
ménages =
____
+
________________
Prestations Revenu
Revenus primaires Prélèvements obligatoires
sociales Disponible
milliards Cotisations des
Impôts
d'euros sociales ménages
1995 886.5 289.9 75,3 314,4 -------------
2000 1059.3 --------- 133,2 335.7 923,0
2006 1328.4 425.7 -------- 422,2 1175,1
Comptes nationaux, base 2000.
Source : http://www.statapprendre.education.fr/insee/revenus/dispo/rdb.htm
Questions :
1. Complétez le schéma
2. Complétez les trous du tableau
3. Calculez le taux de prélèvements obligatoires en 1995, puis en 2006.
4. Calculez l’augmentation des prélèvements obligatoires et du revenu disponible entre
1995 et 2006. Que pouvez-vous en conclure ?
Exercice 4 :
Comment sont classées les activités suivantes ? (consommation finale, consommation intermédiaire,
investissement)
· achat de locaux par une entreprise
· Achat de carburant par M. Dupond.
· Achat d’un magnétoscope par un ménage
· Achat d’une machine à pain par une entreprise individuelle
Exercice 5 :
Au quatrième trimestre 2008, la formation brute de capital fixe (FBCF) des entreprises non financières
(ENF) s’est à nouveau repliée (------% après ------- %). Les perspectives de demande médiocres, les
conditions de financement défavorables et la forte baisse du taux d’utilisation des capacités de
production ont nettement pesé sur l’investissement des industriels. L'investisssement en produits
manufacturés s'est contracté de -------- du fait principalement du fort recul des achats de véhicules
automobiles (-5,7 %) et, dans une moindre mesure, de la réduction des dépenses en biens
d’équipement (-1,4 %). Les investissements en construction ont également continué de se réduire au
quatrième trimestre 2008 (-1,7 %). La baisse des dépenses en bâtiment s’est en effet accentuée (-1,1
% au quatrième trimestre après -0,1 % au troisième), tout comme celle des
dépenses en travaux publics qui se sont repliées de 2,5 %, en partie en raison des mauvaises
conditions climatiques.
Sur l’ensemble de l’année 2008, les investissements des ENF ont ainsi très fortement ralenti (--------%
après -------- % en 2007). Ce net ralentissement a concerné tant les dépenses en bâtiment et travaux
publics (------% après -------- %) que celles en produits manufacturés (-----% après ------- %) et en services
(-------% après -------%). Malgré ce coup de frein aux dépenses d’équipement, le taux d’endettement
(rapport de la dette sur la valeur ajoutée) des ENF s’est accru fortement, atteignant 122,6 % au
troisième trimestre (soit 16 points au-dessus de sa moyenne de long terme). Le taux d’investissement
(rapport de -----------------------------------------------) des ENF a pour sa part atteint un niveau record, à 19,7
% au troisième trimestre 2008
Source : http://www.insee.fr/fr/indicateurs/analys_conj/archives/mars2009_f2.pdf
Questions :
1. Complétez les trous du texte en utilisant les donnée du tableau et la définition du cours pour le
dernier trou
2. Quelles sont selon le texte les causes de la chute du taux d’investissement ? Sont-elles plutot de
type keynésienne ou libérale
3. Quelle est l’impact de la crise des subprimes sur l’évolution de l’investissement ?
Exercice 6:
Ce qui frappe le plus, dans ce climat de crise extrême, c’est que le gouvernement s’acharne à
maintenir son taux ultra-réduit de 12,5 % d’impôt sur les bénéfices des sociétés. Brian Lenihan l’a dit et
répété le 7 avril : il est hors de question de revenir sur la stratégie qui a fait la fortune du pays depuis
les années 1990, en attirant les sièges sociaux de multinationales et les investissements étrangers.
Mieux vaut ponctionner lourdement la population irlandaise que de prendre le risque de tout perdre en
faisant fuir les capitaux internationaux. Difficile de prévoir comment les Irlandais réagiront lors des
élections européennes : rejet du gouvernement, rejet du monde extérieur, ou même rejet des deux à la
fois. Mais une chose est sûre : l’Irlande ne se sortira pas seule du terrible engrenage dans lequel le
système international l’a enferrée.
La stratégie de développement fondée sur le dumping fiscal, adoptée par tant de petits pays, est un
désastre. L’Irlande a été suivie par beaucoup d’autres dans cette voie, et ne peut revenir seule en
arrière. Presque tous les pays de l’Est ont maintenant des taux d’imposition des bénéfices des sociétés
d’à peine 10 %. En 2008, le géant informatique Dell avait annoncé la fermeture de ses unités de
production et leur relocalisation en Pologne, provoquant la panique en Irlande. L’accumulation de
capitaux étrangers se paie en outre au prix fort : actuellement, un pays comme l’Irlande verse chaque
année environ 20 % de sa production intérieure sous forme de bénéfices et dividendes aux détenteurs
étrangers de ses bureaux et usines. Techniquement, le RNB (revenu national brut), dont
disposent véritablement les Irlandais, se retrouve ainsi de 20 % inférieur au PIB.
Source : Le désastre irlandais, Par Thomas Piketty, Libération 14 avril 2009 (Thomas Piketty est
directeur d’études à l’EHESS et professeur à l’Ecole d’économie de Paris)
Questions :
1. Expliquez la phrase soulignée en expliquant la relation liant RNB et PIB
2. Comment Piketty explique-t-il cet écart entre les deux variables dans le cas irlandais ?
3. Que pense-t-il de la stratégie de croissance menée par l’Irlande ? Expliquez
Exercice 7 :
T4 T4 T4 T4
2005 2006 2007 2008
124.6 121.2
Exportations 116.3 120.8
1 8