Par exemple, un site peut être hébergé sous un serveur Windows, avec comme
serveur web MS-IIS, comme langage de script ASP et comme base de données
MS-SQL Server.
Un autre peut être sous Linux, avec apache comme serveur web, PHP pour le
langage script et MySQL pour la base de données.
Mettre en œuvre un site miroir du site de l’UMVF, revient donc aussi à répliquer
ses satellites.
Implications
La solution consistant à aspirer les sites satellites et à les héberger sur un seul
serveur ne convient pas entre autre pour les raisons suivantes :
L’aspiration d’un site dynamique posera des problèmes car un aspirateur
parcoura un site d’hyperliens HTML en hyperliens HTML hors, les sites
dynamiques sont capables de générer des URL en fonction de plusieurs critères
de navigation, d’authentification, ou bien lors d’une recherche via un moteur de
recherche.
Les aspirateurs ne sont pas capable actuellement d’aspirer entièrement le
contenu d’un sites web même statique, si ce dernier utilise par exemple du Java
Script pour coder les hyperliens.
Cela nécessitera des réécritures d’URL, ce qui n’est pas gérable, les hyperliens
sur du site portail UMVF faisant références à des serveurs web externes.
Serveur unique
Serveurs virtuels
L’utilisation de serveurs virtuels permet une gestion beaucoup simple des sites
miroirs
Dans les faits, nous créerons plusieurs serveurs virtuels sur un même serveur
réel, en utilisant les technologies logicielles de virtualisation, telles que VMWare
ou Microsoft Virtual Server (qui sont gratuits). Le principe est donc d’obtenir
tous les avantages d'un serveur dédié, sans devoir en subir les coûts.
Ainsi, le webmestre d’un site satellite disposera d'un contrôle complet sur son
hébergement, et le manipulera comme s'il s'agissait de sa machine. Le
webmestre a donc tous les droits sur tous les dossiers, et il peut y installer tous
les logiciels qui lui semblent nécessaires au maintien de son service en ligne.
Ici le systeme d’exploitation hote est un windows 2000 server sur lequel est
installé VMWare server