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COLLECTION
MÉLANGES
CONCERNANT LA NOUVELLE JÉRUSALEM
TOME QUATRIEME.
S A I X T - A M A N D (CHER)
A la Librairie de LA NOUVELLE JÉRUSALEM, chez Porle, libraire.
PARIS
M. MISOT, RL'E DE SÈVRES, 96.
E. JIING-TRECTTEL, LIBRAIRE, RUE DE LILLE, 19.
LOS DUES
SWEDENBORG SOCIETY, 36, BLOOMSBURY STREET, OXFORD STREET.
NEW-YORK
PUBÎ.ISIIING HOUSE 0F THE GEN. CONVENTION OF THE SEW JERUSALEM
S» 20, COOPER UNION.
1865
AVERTISSEMENT.
es Traduites par une de nos sœurs d'Angleterre, la plupart onl été jointes
aui éditions anglaises des mêmes ouvrages.
VIII
une courte crise, son esprit avait quitté son enveloppe mor-
telle.
La veille de sa mort il venait de corriger la dernière
feuille d'épreuve d'un travail capital : son Index Méthodi-
que des Arcanes Célestes, en deux volumes in-8°. Un troi-
sième volume supplémentaire, en partie imprimé depuis
longtemps (voir page AÙ9), attend son complément pour
lequel des matériaux se trouvent heureusement préparés.
Pour ÏIndex Méthodique de l'Apocalypse Expliquée, le
seul aujourd'hui manquant des Index particuliers, un pre-
mier travail préparatoire était fait et la rédaction commencée
jusqu'au mot «Apocalypse». Notre ami M. Blanchet, grâces
lui en soient rendues, a accepté la tâche importante de cette
rédaction.
Toujours devançant la publication., trop lente à son 'gré,
retardée qu'elle était par les difficultés que présentait ma
part de la lâche, celle de la révision sur les originaux, et
par d'autres raisons, M. Le Boys a laissé, préparés en ma-
nuscrits sur le plan de notre Èsaïas, outre les Livres des
Quatre Évangélistes et des Psaumes, ceux de Jérëmie,
des Lamentations et de Josué; et en français, préparés
d'après la version de Swedenborg complétée par celle de
Schmidt, Ésaïe et Jérémie.
Nous n'avons pas parlé des ouvrages accessoires d'intro-
duction à la doctrine publiés ou réimprimés par ses soins :
Exposition Populaire de la Vraie Religion Chrétienne, par
A. Blanchet; La Religion du Bon Sens et deux volumes de
Mélanges d'Éd. Kicher; VAppelât Noble et les Particula-
rités de la Bible, par Rendell ; l'Abrégé de la Vraie Reli-
gion Chrétienne, par Rob. Hindmarsh, et ses Lettres au
Docteur Priestley, traduites par M. Eug. Rollet: enfin ces
volumes de Mélanges, dont nous présentons ici le second.
Rien, en effet, ne pouvait mieux répondre à nos senti-
ments d'affection et, nous le croyons, à l'attente des nom-
breux amis de Le Boys des Guays, que de commencer par
ces souvenirs personnels la reprise de la tâche de notre cher
collaborateur.
Cette tâche, nous voulons, avec le secours de la divine
Miséricorde du Seigneur, la poursuivre selon la mesure de
nos forces, selon l'aide et les ressources dont nous pourrons
disposer par l'appui de nos frères. Nous rendons grâces ici à
ceux qui déjà nous secondent, à l'un d'eux surtout qui, après
avoir eu la plus grande part au soutien de l'œuvre de
notre collaborateur (voir pages A08 et suiv.), nous continue
son généreux appui.
Puisse le Seigneur bénir nos communs efforts et les faire
servir à l'avancement de son règne.
Auc. IIARLÉ.
TABLE.
ERRATA
ESQUISSE.
CHAPITRE XX.
c'est elle qui ferme le Ciel pour que les maux et les
faux n'y entrent pas, et c'est elle qui ouvre le Ciel pour
les biens et les vrais ; les douze Apôtres aussi repré-
sentent tout ce qui appartient à une telle foi. A. C.
Préf. IIIe Part. Cette foi est chez le régénéré quand
il a reçu la Divine Sagesse ou le Divin Vrai : c'est
alors qu'il reçoit en abondance des biens et des vrais
à la place des maux et des faux qui ont été chassés,
et qui sont tenus éloignés et dans l'impuissance de
lui nuire.
2û. Or, Thomas, 24. Or, le sensuel,
L'un des douze, L'un des principaux mo-
biles,
Appelé Didyme, Qui doit coopérer avec les
autres chez le régénéré,
N'était point avec eux N'était pas d'abord con-
quand vint Jésus. joint avec eux quand le Sei-
gneur influa.
Thomas, qui représente le sensuel du régénéré, a
été surnommé Didyme, c'est-à-dire, Jumeau, parce
que le sensuel, bien que constituant l'externe du ré-
généré, est le frère jumeau des internes ou des au-
tres principaux mobiles, et comme tel, il doit se
conjoindre à eux ou coopérer avec eux chez le régé-
néré; car tant qu'il reste séparé, la régénération est
imparfaite. Thomas n'était pas avec les autres Apô-
tres quand Jésus vint; c'est-à-dire que le sensuel
n'avait pas conscience de la présence du Divin Amour
dans les intérieurs du mental du régénéré; et cela
parce que le sensuel étant plongé dans les idées mon-
7*.
78 EXÉGÈSE.
CHAPITRE XXI.
19. Or, il dit cela, signi- 19. Or, cet influx mani-
fiant de quelle mort il devait fesle par quelle vie nouvelle
glorifier Dieu ; la foi doit glorifier la Divine
Sagesse ;
Et, ayant dit cela, il lui Et, en même temps, il lui
dit : Suis-Moi. est insinué qu'elle doit se
mettre sous la direction du
Divin Amour.
9*.
EXÉGÈSE.
G É N É A L O G I E DE J É SU S - C H P. I ST .
JÉSUS-CHRIST.
« GÉNÉALOGIE DE JÉSUS-CHRIST.
« Saint-Amand, 12 février
(I) Voir Tome VII de la /terne, pag. 216 à 223; 248 à 256j 285 J
288.
13*.
150 APPEL.
rapporter le succès -de leurs travaux individuels, c'est-à-dire,
pour transmettre les souscriptions qu'ils pourront recevoir. »
Tous ceux qui s'intéressent à la publication des
écrits de Swedenborg et au maintien de notre Renie,
dont le but principal est d'en propager la connais-
sance, s'uniront certainement à nous pour exprimer
à nos frères des États-Unis toute leur reconnaissance
pour l'accueil bienveillant qu'ils ont fait à la com-
munication du Rédacteur de cette Revue, et pour le
zèle qu'ils mettent à venir au secours de la Nouvelle
Eglise de France; mais nous espérons aussi que ceux
de nos frères de l'intérieur, pour lesquels la position
de fortune n'est pas un obstacle, redoubleront d'ef-
forts pour soutenir la Revue, qui est notre seul dra-
peau ostensible, et pour hâter la publication des
écrits de Swedenborg.
Le seul Ouvrage de notre Auteur, les Arcanes
Célestes, aura 17 volumes grand in-8° (*). D'après le
mode actuel de publication, il ne paraît qu'un demi-
volume par an, et par suite nous ne sommes parve-
nus jusqu'ici qu'à la moitié du 3me volume; en con-
tinuant ainsi il nous faudrait pour les 1-4 volumes et
demi qui restent à publier vingt-neuf années, tandis
que si nous n'étions pas arrêtés par la question fi-
nancière, nous pourrions en publier deux et même
trois volumes par an. UApocalypsis Explicata for-
mera 10 volumes in-8° ; à ces 27 volumes il faut en-
core ajouter tous les Traités traduits par Moét, qui
(*) Voir aux notes additionnelles.
APPEL. 151
« Nathaniel Holley.
<c T. 0. Prescott.
« Wm. llooper. »
160 NÉCESSITÉ D'UNE NOUVELLE TRADUCTION
Le Rédacteur-Gérant de la Revue ayant commu-
niqué au Comité de rédaction une lettre qu'il a
adressée aux membres du Comité de la Nouvelle
Église à Cincinnati, sur le sujet dont il est parlé
dans les deux pièces précédentes, le Comité de ré-
daction a jugé qu'il était à propos d'insérer cette
lettre dans la Revue, son contenu étant de nature à
intéresser plusieurs de nos frères, tant en France
qu'à l'étranger.
A Monsieur B.
20*.
234 LE DANGER DE LA PROPAGANDE
t
Au même.
A Monsieur F
A Monsieur C
A Monsieur Ch. P.
2l.
RÉPONSES A DIVERSES QUESTIONS.
A. Monsieur J. A....
DE LA SOCIÉTÉ.
A Monsieur H , à Manchester.
24*.
SUR LE SPIRITUEL.
A Monsieur D.
A Monsieur D.
26*.
ÉTAT SPIRITUEL DE LA FRANCE.
A Monsieur D...
A Monsieur II
,27*.
318 DANGER DES COMMUNICATIONS
A Madame B , à Nantes.
De l'origine du mal.
Cette question que vous me posez est de la
plus haute importance ; je n'ai pas la prétention de
322 DE L'ORIGINE DU MAL.
a résoudre ici à la satisfaction de tous ceux qui dé-
sireraient la voir complètement hors de doute ; il
faudrait pour cela la traiter pour ainsi dire ex pro-
fessa ; je vais cependant vous présenter quelques rai-
sonnements qui font qu'elle ne laisse en moi aucun
doute, parce que je la trouve implicitement résolue
par suite des principes qu'on rencontre ça et là dans
Swedenborg.
Tout ce qui procède de Dieu, nous dit notre Au-
teur, est Dieu ; ou, tout ce qui procède du Divin est
un Divin ; ainsi, le bien, le vrai, la justice, etc.,
sont Dieu ou des Divins dans les réceptacles dans les-
quels ils se trouvent, anges, esprits ou hommes. Tous
ceux qui croient avoir Dieu en eux ailleurs que dans
le bien, le vrai, la justice, etc., sont dans une grande
erreur, et deviennent enthousiastes, visionnaires,
etc. Le Seigneur habite ainsi dans ce qui lui appar-
tient (insuo) chez l'ange et chez l'homme. Toutes
ces choses de Dieu sont incréées comme Dieu ; comme
lui elles sont ab œterno in œternum ; mais la créa-
tion n'est que in œternum, et non ab œterno;
c'est là ce qui principalement la distingue du Divin.
La création, ou, en d'autres termes, les êtres ou
vases récipients de certains attributs de Dieu, n'étaient
pas des divins, ont dû nécessairement avoir un Pro-
pre, et ce propre par cela même est opposé au divin ;
si un seul de ces récipients n'avait pas son propre,
il serait Dieu ; or, l'opposé du Divin, ou du bien, du
vrai, de la justice, etc., est le mal, le faux, l'injus-
DE L'ORIGINE DU MAL. 323
tice, etc. Voilà donc ce que sont les hommes, et
même les anges du troisième Ciel, considérés quant
à leur propre, lequel, quoique éloigné par la récep-
tion du Seigneur chez eux, n'en subsiste pas moins,
et même est indispensable pour leur perfectionne-
ment continuel pendant l'éternité (in œternum);
s'il cessait de subsister, ils se confondraient avec
Dieu et perdraient ainsi leur individualité, ou ce qui
fait qu'ils sont des créatures distinctes, et l'œuvre de
la création, qui a principalement consisté à former
des réceptacles ou récipients de Dieu, distincts de
Dieu, serait détruite. Les Très-Anciens, quoiqu'ils
reçussent d'abord le bien et le vrai sans les altérer
d'une manière perceptible, avaient donc en eux à
l'état latent les opposés, par cela seul qu'ils étaient
des réceptacles de Dieu, distincts de Dieu et non des
dieux.
En créant les hommes, Dieu savait par conséquent
qu'il les créait renfermant caché en eux un opposé,
qui plus tard se développerait, et constituerait l'enfer ;
il le savait, et s'il n'y a pas remédié, c'est qu'il ne le
pouvait pas sans renoncer à la création, ainsi qu'il
résulte de ce qui précède, et aussi parce que cet
opposé était indispensable pour la formation et le
perfectionnement à l'infini de son Royaume ou du Ciel.
Cela peut à première vue paraître extraordinaire,
mais néanmoins cela est une vérité que prouve l'ex-
périence, lorsqu'on y a recours en réfléchissant sur
la nature du bien, du vrai, de la justice, etc. Est-ce
324 DE L'ORTGINE DU MAL.
que l'homme pourrait se former une idée du bien s'il
n'y avait pas le mal, ou du vrai s'il n'y avait pas le
faux, ou de la justice s'il n'y avait pas l'injustice, ou
du beau sans le laid, ou du chaud sans le froid, etc. ?
« Le bien, dit Swedenborg, n'est connu tel qu'il est
que par relation avec un bien qui est moindre, et par
opposition avec le mal L'opposé ôte et aussi
exalte les perceptions et les sensations ; il les ôte,
quand il se mélange, et il les exalte quand il ne se
mélange pas. » — D. P. 24. — « Le mal et en
même temps le faux servent pour l'équilibre, pour la
relation et pour la purification, et ainsi pour la con-
jonction du bien et du vrai chez d'autres. » — D. P.
21. — II résulte de là que Dieu, quoique Tout-Sa-
chant et Tout-Puissant, ne pouvait pas faire que le
mal n'existât pas, puisqu'on créant l'univers il fallait
nécessairement qu'il créât quelque chose qui ne fût
pas Lui. Ce qui était conforme aux lois de son Ordre
Divin, c'était de créer des réceptacles, et d'y infuser
en même temps le bien et le vrai, avec pleine liberté
pour chaque réceptacle de conserver ces précieux
dons, ou de les altérer en se retournant vers son
propre.
Nous n'avons pas en France l'avantage de
posséder, comme en Angleterre et aux Etat-Unis,
des temples et des ministres exerçant publiquement.
La liberté des cultes n'existe en France que sur le
papier ; nos (rois révolutions qui l'ont proclamée
n'ont pas encore suffi pour l'introduire de fait, sinon
DE L'EXERCICE DU CULTE. 325
momentanément. Elle n'existe de fait que pour les
cultes reconnus par l'État, à savoir, Catholique ro-
main, Protestant national et Juif ; on ne tolère pas
même les Protestants dissidents, à plus forte raison
ne nous laisserait-on pas libres de prêcher publique-
ment. Cependant ici, à Saint-Amand, depuis près de
vingt ans que nous nous sommes séparés ouvertement
de l'Église romaine, on ne nous a pas inquiétés ; les
cérémonies se font dans un salon de ma maison que
j'ai affecté à l'usage du culte ; les baptêmes et les
mariages s'y célèbrent aussi, et quand il y a un décès,
l'enterrement se fait publiquement sans que l'auto-
rité s'y oppose. Nos frères de Paris se réunissent
aussi dans un local particulier. Il y a seize ans, nous
avions entrepris la construction d'un temple, dont
vous verrez le plan dans le second volume de la Re-
vue ; mais, par des motifs qu'il serait trop long de
vous expliquer, celte construction a été suspendue,
et nous n'en sommes pas fâchés aujourd'hui; car,
sous le gouvernement actuel, il ne nous aurait pas
été permis de nous y réunir.
Au même.
«•Icqionhq '
'l ob Jo obyuc!
336 ANNIVERSAIRE SÉCULAIRE,
Lyon. Troyes.
Lyon, palais des arts. Valence.
Maçon. Valenciennes.
Montargis. Vannes.
Montauban. Versailles.
Montpellier. Vienne.
Moulins. —
Nancy. BELGIQUE.
Nantes. Anvers.
Narbonne. Bruxelles.
Nevers. Gand.
Nîmes. Liège.
Orléans. Louvain.
Pau.
Périgueux. SUISSE.
Poitiers. Lausanne.
Reims.
Rochefort. ÉTATS-SARDES.
Saint-Etienne. Nice.
Saint-Omer.
Saint-Quentin. HOLLANDE.
Saumur. Utrecht.
Sedan.
Strasbourg. ALLEMAGNE.
Tarbes. Hambourg.
Toulon. —
Dans une lettre précédente, je vous avais indiqué
les envois gratuits faits aux principales bibliothèques
de Suède et de Paris, et à quelques bibliothèques de
DISTRIBUTION AUX BIBLIOTHÈQUES. 337
France ; j'ajouterai que l'année dernière une collec-
tion complète a été acceptée par la bibliothèque de
l'école polytechnique.
Voici les noms des villes qui n'ont pas répondu à
mon offre gratuite, ou qui ont refusé le don :
Alger. Foix.
Alby. Grasse.
Amsterdam. Le Puy.
Auxerre. Leyde.
Avignon. Marseille.
Berlin. Metz.
Calais. Niort.
Cambrai. Oran (Algérie).
Castres. Perpignan.
Châteauroux. Rouen.
Cherbourg. Soissons.
Colmar. Toulouse.
Constantine (Algérie). Tours.
Dieppe. Turin.
Épinal. Verdun.
Voilà donc une centaine de collections complètes,
c'est-à-dire, plus de cinq mille volumes mis à la dis-
position du public, et confiés à la garde de biblio-
thécaires, hommes instruits et toujours jaloux de
conserver précieusement les ouvrages qui sont une
fois entrés dans l'établissement qu'ils dirigent. En
agissant ainsi, nous avons cru suivre une impulsion
donnée par le Seigneur, et nous espérons que ces
volumes produiront leurs fruits lorsque le Seigneur
29.
338 ANNIVERSAIRE SÉCULAIRE.
UN SUPPLÉMENT
34*.
SOCIETE DE LA NOUVELLE EGLISE
I>E L'ILE-MADIUCE.
Au même.
25*.
PUBLICATION DES SAINTES ECRITURES
VERSIONS LATINE ET FRANÇAISE.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Saint-Arnaud (Cher), 16 juin 1861.
37*.
438 CONSEILS ET DIRECTIONS A L'ÉGLISE
Au même.
Au même.
Saint-Amand (Chef), 25 juin 1862.
Vous avez très-bien fait de chasser tout
DE L'ILE-MAURICE. 437
saires de la Nouvelle Église, ou pour confondre ceux
qui prétendraient que Swedenborg a dit des choses
que réellement il n'a pas dites, ou qui interpréte-
raient mal des choses qu'il a avancées.
Au même.
Saint-Arnaud (Cher), 16 juin 1861.
37*.
438 CONSEILS ET DIRECTIONS A L'ÉGLISE
Au même.
géant que nous ayons au moins sous les yeux les pas-
sages qui sont donnés dans cet Index, et qui n'ont
pas été cités en tout ou en partie dans les autres
Écrits de Swedenborg, nous aurons à examiner sur
les lieux s'il vaudra mieux faire nous-mêmes le dé-
pouillement de ces passages, ou confier à un copiste
intelligent la transcription de tout le manuscrit. —•
A notre retour d'Allemagne, nous avons le projet
d'aller avec quelques autres de nos frères à la con-
férence générale de la Nouvelle Église, qui ouvrira à
Londres le 12 août.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
Au même.
An même.
Au même.
A Mademoiselle P , à ***.
Au même.
Au même.
Saiiit-Amand (Cher), 25 octobre 18G/i.
NOTE DE L'ÉDITEUR.
La première partie de ce volume, jusqu'à la Page 281,
imprimée sous la direction de Le Boys des Guays, contient
des renvois à des Notes Additionnelles pour lesquelles, in-
terrompu par la mort, il n'a pas laissé, à notre connaissance,
de renseignements manuscrits. Nous ne pouvons qu'y sup-
pléer de noire mieux, sans avoir la certitude de répondre
complètement à sa pensée.
NOTE DE LA PAGE 40.
Voir, au sujet de la traduction de la divine Parole, les
Articles, Pages 157, 160, 169. — H est à remarquer que
l'emploi du vous en parlant à une seule personne a été une
innovation introduite vers le xvn e siècle dans les versions
françaises catholiques des Saintes Écritures, et à laquelle
sont étrangères quelques versions antérieures.
NOTE DES PAGES 139, 145.
Voir sur la Revue, sur sa suspension en 1848 et sur la
suite de la publication des Ouvrages de Swedenborg, la No-
tice en tête de ce volume, Page iv, et l'Article, Page 285.
NOTE DE LA PAGE 142.
A la Note sur Moët, ancien bibliothécaire de Louis XVI,
nous pouvons ajouter ce renseignement : Un recueil litté-
raire anglais de 1807 (cité par Vlntellectual Hepository de
mars 1856, Page 143), rapporte que Moët venait de mourir
récemment à Versailles, à l'âge de 86 ans.
40.
470
NOTE DE LA PAGE 150.