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Petrişor Militaru
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intellectuel de l’être et la théologie – au niveau affectif de l’être, parce qu’elles sont
basées sur la croyance et la dévotion.
En revenant à l’Introduction, on dira qu’il est signée par les Auteurs, qui,
anonymes, ne s’assument pas ce discours et ils ne peuvent être accusés dan le cadre d’un
dialogue direct et sincère. Dirons qu’on ne pas trop intéressés qui sont les auteurs, mais
qu’est-ce qu’ils disent. Premièrement, le motif pour lequel la méthodologie
transdisciplinaire est incompatible, dans la vision des auteurs, de faciliter le dialogue
entre science et religion est „l’esprit scientifique” (p. 23). En d’autres termes, la
méthodologie peut faciliter tout dialogue entre toute discipline, à l’exception de la
théologie et la science, parce que la théologie chrétienne est fondée du point de vue
patristique, non rational, „scolastique”, „analytique-descriptif”. La confusion provient du
fait que „les auteurs” confondent „l’esprit scientifique” avec la raison. Il est le moment de
souligner que la méthodologie transdisciplinaire promouvait un nouveau type de
rationalité. Mais ni ce nouveau type de raison n’est pas accepté par les auteurs parce qu’il
a à la base la raison de type böhemien, qui n’entre pas dans les limites de la doctrine
chrétienne orthodoxe. On va voir pourquoi la science moderne n’entre pas dans l’intérêt
des théologiens orthodoxes et, plus important, quel est le rapport entre le philosophe
allemand et celui-la.
Les auteurs identifient la doctrine de Jakob Böhme avec la méthodologie
transdisciplinaire, peut-être parce que la méthodologie transdisciplinaire et, aussi, l’étude
La science, le sens et l’évolution. Essai sur Jakob Böhme ont le même auteur. Elles ne
doivent pas être confondues. L’étude est le fruit de la méthodologie transdisciplinaire, par
suite on ne peut pas l’identifier avec les méthodes de recherche qui l’ont apporté à notre
attention.
Dans le livre sur Böhme, Basarab Nicolescu souligne l’oeuvre de celui que Hegel
l’a considéré comme le premier philosophe allemand qui a créé l’idée de la tri-unité
sacrée, des cycles septénaires et de l’Incarnation, ce qui le rapproche de la raison
chrétienne. En même temps, la trinité de Böhme est compatible avec l’état T lupascienne,
et les cycles septénaires de la cosmologie de Böhme, liées l’une à l’autre, en permanente
interaction, nous rappelle le principe de la non-séparabilité spécifique pour la physique
moderne. En plus, la philosophie de Böhme a été toujours considérée par l’Église soit
„mystique”, soit „hérétique”, et ainsi comme le philosophe allemand n’était pas accepté
dans le cadre de la raison scientifique contemporaine. En débutant avec l’épisode de
Böhme, le discours introductif devient aberrant et agressif: du fait que Böhme est un
représentant de la gnose, les auteurs arrivent à l’ouvrage d’Alain Besançon, Les origines
intellectuelles du léninisme et ils tirent la conclusion que „la nouvelle gnose manifestée
en Allemagne du XVIème et XVIIème siècle a ouvert la voie aux futures sécularisation”
(p. 30).en réalité, la philosophie de la nature de Böhme a inspirée la littérature
romantique allemande; ses livres ne contiennent pas des affirmations qui pourraient
renvoyer au certain type d’idéologie ou de politique. Certainement, le Dieu de Böhme
„qui se reproduit infiniment, aux touts les niveaux de Réalité” n’est pas compatible avec
Celui de la raison théologique moderne, et c’est le motif pour lequel les auteurs de
l’introduction sont tant rancuniers. Mais l’idée de niveaux de réalité interconnectés et en
harmonie l’un à l’autre est compatible avec l’épistémologie provenant de la physique
quantique.
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En continuant, le débat s’oriente vers la négation des idées de Jean-Yves Leloup,
envisagé comme le promoteur du christianisme de type gnostique (comme celui de
l’Évangile d’après Judas, l’Évangile d’après Marie) et qui apporte l’idée de dogme
comme concidentia oppositorum, en faisant une analogie avec la signification du koan
dans la tradition japonaise, ce que fait les auteurs d’affirmer fortement que „la dogme
n’est pas un koan” (p. 39). Il existe des choses pris littérairement par les auteurs et ça
c’est une autre source de confusion. Par exemple, l’utilisation des syntagmes ridicules
comme „transréligiosité transdisciplinaire” (p. 55).
Un autre aspect qu’on veut mentionner est l’abondance des citations pris des
théologiens chrétiens d’élite. Mais, à l’exception du contexte du dogme chrétien, celles-ci
n’ont rien à faire avec le sujet de la discussion, comme la science ou la transdisciplinarité.
En d’autres mots, quoiqu’ils les utilisent comme argument, elles ne sont pas des
arguments. Et ça pour la simple raison que les théologiens orthodoxes n’ont pas pris en
considération, dans leur message, la relation entre la théologie et la science. Simplement
ils n’ont pas été intéressés.
En conclusion, qu’est-ce qu’on déduit de ces faits? L’introduction à ce livre est
une modalité de manipulation, par moyens rhétoriques, des informations sur la
transdisciplinarité, la philosophie de Böhme et d’autres idées promues par Basarab
Nicolescu et d’autres philosophes reconnus qui soutiennent l’attitude transdisciplinaire
(Bernanrd D’Espagnat, Jean-Yves Leloup, Thierry Magnin) et qui sont cités dans la
préface au but de les dénigrer. Bref, c’est une désinformation et une mauvaise intention,
parce que les auteurs ont lu les livres de Basarab Nicolescu, mais ils leur ont dénaturés le
sens. Les auteurs payent une police, comme s’ils tourneraient l’autre joue, quoique le
discours transdisciplinaire ne soit pas un discours polémique, comme celui signé par les
auteurs.
On considère que ces choses devront faire penser plus, parce qu’en temps qu’en
Roumanie sans nom, sans renom et sans d’arguments nient l’applicabilité de la
méthodologie transdisciplinaire, l’académicien Basarab Nicolescu est reconnu
intergénérationnelle comme Président fondateur du Centre International de Recherche et
Etudes Transdisciplinaires (CIRET) et co-fondateur du Groupe de Réflexion sur la
Transdisciplinarité encadré en UNESCO; en Roumanie, il est professeur de l’École
Doctorale „La Paradigme Européenne” de la Faculté d’Études Européennes de Cluj-
Napoca, ou il enseigne le cours Méthodes générales de recherche: la transdisciplinarité
en sciences réelles et humaines; ses livres Nous, la particule et le monde (1986) qui a
reçu la Médaille d’argent de l’Académie Française ou La science, le sens et l’évolution.
Essai sur Jakob Böhme (1993) qui a reçu le Prix de l’Union des Ecrivains de la Roumanie
et Benjamin Franklin Award for the Best History Book (SUA) sont appréciés sans réserve
à l’étrangère aussi.
En plus, il est important de dire que Basarab Nicolescu accompagné par Lima de
Freitas et Edgar Morin (avec lequel il a rédigé La Carte de la Transdisciplinarité,
approuvé par le Congrès d’Arrabida, Portugal, 1994) ont organisé le Premier Congres
Mondial de la Transdisciplinarité, ce qui a conduit aux études et à la développement de la
méthodologie transdisciplinaire en université et centres de recherche en France,
Portugale, Brésil, Roumanie, Allemagne, Suisse, États Unis et Afrique du Sud. En plus,
Basarab Nicolescu est le coordonnateur de la collection „Science et religion” aux
Éditions „Curtea veche” ont été édités les ouvrages des auteurs qui comprennent le fait
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que la transdisciplinarité est vraiment une méthodologie du dialogue: Niels Henrik
Gregersen, Thierry Magnin, Robert Pollack ou Cătălin Mosoia.