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Ta b l e d es m a t ie res

TABLE DES MATIERES........................................................................................................1


AVERTISSEMENT..................................................................................................................3
LA CONSTRUCTION DE L’IMAGE....................................................................................4
-- I INTRODUCTION................................................................................................................4
-- II DYNAMIQUE DE L’IMAGE.................................................................................................5
-- 1 L’occupation de l’espace.............................................................................................7
-- 2 Lignes implicites...........................................................................................................7
-- 3 Les lignes......................................................................................................................8
-- 4 Les courbes.................................................................................................................10
-- III LES COULEURS............................................................................................................10
-- 1 Le jaune......................................................................................................................10
-- 2 Le rouge.....................................................................................................................10
-- 3 Le bleu........................................................................................................................10
-- 4 Le vert.........................................................................................................................11
-- IV LES ZONES DE L’IMAGE................................................................................................11
LES OUTILS DE DESSIN.....................................................................................................13
-- I LA BARRE D’OUTILS DESSIN............................................................................................13
-- 1 Le dessin de formes....................................................................................................13
-- 2 Modifier les attributs du dessin..................................................................................17
-- 3 Manipuler les formes..................................................................................................18
-- 4 Texte et dessin............................................................................................................20
-- II LA GESTION DES IMAGES................................................................................................21
LE LOGICIEL........................................................................................................................22
-- I INTRODUCTION..............................................................................................................22
-- II L’ÉCRAN POWERPOINT.................................................................................................23
-- 1 Modes d’affichage......................................................................................................23
-- III LE DÉMARRAGE..........................................................................................................24
CRÉATION, OUVERTURE D’UNE PRÉSENTATION...................................................25
-- I CRÉATION D’UNE PRÉSENTATION VIERGE...........................................................................26
LE MASQUE...........................................................................................................................28
-- I PRÉAMBULE..................................................................................................................28
-- 1 Création du masque...................................................................................................29
-- 2 Les autres masques.....................................................................................................30
CRÉATION DES DIAPOSITIVES.......................................................................................32
-- I LES ANIMATIONS............................................................................................................33
-- II LES ACTIONS................................................................................................................34
-- 1 Changement de la couleur des liens...........................................................................34
-- III UTILISATION DU MODE PLAN.........................................................................................34
CRÉATION ET EXECUTION D’UN DIAPORAMA........................................................36
-- I TRANSITIONS ET MINUTAGE.............................................................................................36
-- II EXÉCUTION DU DIAPORAMA............................................................................................37
-- 1 Exécution....................................................................................................................37
-- 2 Annotation du diaporama..........................................................................................38
-- III LA VISIONNEUSE.........................................................................................................38
ESAT/DGF/DETG POWERPOINT 97

Avertissement.

Ce document n’est pas exhaustif, il s’agit d’un


guide plus que d’une référence. Ne sont expliqués que
les principes fondamentaux du logiciel.
En conséquence, un certain nombre de notions
sont passées sous silence car supposées acquises au
fil de l’utilisation de Word ou d’Excel.

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La construction de l’image.

Avant d’aborder le côté purement logiciel, il paraît


important de voir ou revoir quelques notions sur la
construction de l’image. La diapositive Powerpoint est en
effet porteuse d’une information qu’il convient de faire
passer efficacement. Cet objectif peut être complètement raté
pour peu que l’image soit mal construite.

-- IIntroduction.

L’image est avant tout un cadre à l’intérieur duquel se


trouve un monde à part entière. Notre oeil y voyage,
l’explore. La première chose à éviter est donc qu’il soit
tenté de sortir de ce cadre : l’idéal est de guider le regard
vers l’information utile.

Couramment utilisé horizontalement, le cadre comporte


certaines lignes de force représentées dans la figure 1.

La simple existence d’un


cadre rectangulaire suscite une
réaction naturelle de notre
oeil symbolisée par les flêches
de ce croquis. La tendance
générale est de partir en haut
à gauche pour dériver vers le
bas à droite, avec plusieurs
retours vers la gauche du
cadre.

Figure 1 : le cadre vide Le graphisme naturel des


éléments de l’image est la
plupart du temps assez fort
pour modifier ce cheminement.

Si une image donnant un sens implicite et du texte sont


présents sur la même image, il faut prendre garde à leur
orientation respective.

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Vous avez deux images à votre disposition, à laquelle


associeriez-vous le texte suivant :

PARTIR EN VACANCES

Dans l’image ci-dessous, le A l’opposé, ci-dessous, texte


texte et la voiture et voiture ont des sens de
fournissent la même direction lecture opposés, on ne peut
de lecture, on peut donc lire pas lire l’image et le texte
l’image et le texte simultanément. Le message est
simultanément. lu en premier, l’image dans
un deuxième temps.
La direction de la voiture, de
gauche à droite, correspond au A la fin de la lecture,
départ, à la sortie, dans l’oeil revient sur la voiture
notre culture : il y a pour comprendre son rôle, son
cohérence entre la lien avec le texte : les deux
signification implicite du sens de lecture opposés
dessin et le sens du texte. créent une rupture d’où des
difficultés à saisir l’image
dans sa globalité.

De plus la voiture est


dirigée plutôt dans l’idée du
retour que du départ.

PARTIR EN VACANCES PARTIR EN VACANCES

-- IIDynamique de l’image.

Tous les points de l’image n’ont pas la même importance,


certains sont plus stratégiques que d’autres.
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Contrairement à une idée reçue, ce n’est pas le centre de
l’image qui est le plus important bien au contraire. Disons
simplement qu’un décentrement est généralement souhaitable
dans le simple but d’instaurer un rapport entre le sujet et le
reste de l’image. Alors qu’un centrage parfait crée une grande
stabilité et une absence de dynamique, un léger décentrement
aura tendance à opposer le sujet à ce qui l’entoure.

Dans la mesure du possible, ces décentrements ne doivent


pas être arbitraires. Un architecte romain a défini les
« proportions du beau » qui ont conduit à la définition du
nombre d’or ( 1 + 5 = 1.618 ) qui est assez proche de la règle des
2
deux tiers en photographie. A quoi aboutit cette règle ?

Une image peut être partagée harmonieusement


verticalement et horizontalement en 3 zones d’importances
égales. Les axes définissant ces zones sont les axes forts de
l’image. Les points d’intersection de ces axes sont les points
forts ou points d’or. Le sujet principal ou l’information doit
s’y trouver dans la mesure du possible.

Point d’or

Axe fort

De plus, selon le sujet et la façon dont il est traité,


les bords de l’image ont une influence plus ou moins grande.
Ils sont utilisés comme références pour les diagonales de
l’image, donnant ainsi de l’importance aux angles qu’ils
forment avec elles.

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Si les lingots avaient été régulièrement disposés la


composition aurait été monotone. La dynamique vient simplement
des angles créés par les lignes du sujet avec les bords du
cadre.

-- 1L’occupation de l’espace.
La distance séparant deux objets influe fortement sur
l’effet engendré. Lorsqu’elle est grande, l’espace les
séparant prend d’autant plus d’importance : ils ont une grande
force de cohésion. Lorsqu’ils sont rapprochés, le rapport
entre eux tend à les isoler de leur environnement : ils
influent sur l’espace les séparant et n’ont pas d’action sur
le reste de l’image.

On remarque que l’oeil tente presque toujours de


reconnaître des formes dans un assemblage de points, la zone
délimitée peut alors devenir prédominante, au détriment du
reste de l’image.

-- 2Lignes implicites.
Deux objets ponctuels sont reliés entre eux par une ligne
implicite influant sur l’équilibre de l’image. La ligne a une
certaine énergie découlant du mouvement de l’oeil qui la
parcourt : il en ressort une sensation de déséquilibre quand
les deux points sont décentrés.

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Dans le dessin ci-dessus à gauche, l’effet est moindre


car la ligne correspond à la direction de plus grande
stabilité : l’horizontale. Quand la liaison passe près du
centre, comme dans le dernier croquis, on obtient une
sensation d’équilibre.

Le sens de lecture se fait en général du point le plus


fort vers le point le plus faible, ou encore vers le point
situé près d’un bord.

Deux points forts trop bien équilibrés peuvent rendre une


image fatiguante à lire. Ici, par exemple, à cause de la
parfaite symétrie, l’oeil ne sait pas dans quelle direction
aller : un incessant mouvement de va-et-vient apparaît et crée
un certain inconfort de lecture.

-- 3Les lignes.
Les qualités graphiques des lignes sont plus fortes que
celles des points. En effet, en plus des qualités statiques
des points, les lignes possèdent des caractéristiques
dynamiques liées à leur direction et à leur sens.
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Les lignes horizontales ont un effet plus reposant que
les diagonales ; une ligne en zigzag peut être excitante. Des
lignes fortes et franchement dessinées peuvent exprimer
l’audace, alors que des lignes fines et moins précisément
définies expriment la délicatesse.

II.3.a - Les horizontales.

Les lignes horizontales sont associées dans notre esprit


à l’idée d’horizon, et suggèrent ainsi la distance et
l’espace. D’autre part, la notion de pesanteur nous fait
assimiler l’horizontale à un support d’où une connotation de
stabilité.

II.3.b - Les verticales.

La ligne verticale est associée aux idées de vitesse et


de mouvement, vers le haut ou vers le bas. Plusieurs lignes
verticales ensembles donnent une impression de force et de
puissance.

Ensemble, les lignes horizontales et verticales sont


complémentaires. Elles induisent un équilibre par l’annulation
de leurs énergies respectives. L’équilibre peut aussi venir de
l’impression sécurisante qui se dégage d’un élément debout sur
une surface stable.

II.3.c - Les diagonales.

Les diagonales sont les lignes qui apportent le plus de


dynamique dans l’image ; elles ont des connotations de
mouvement et de vitesse encore plus fortes que celles des
verticales, d’autant plus que des lignes horizontales et
verticales sont présentes. En leur absence, ce sont les bords
de l’image qui fournissent le repère géométrique.

Alors que le principe de la pesanteur confère leur


stabilité aux horizontales et verticales, il donne
l’impression que les diagonales vont tomber.

De plus les effets de la perspective expliquent pourquoi


les diagonales comportent certaines connotations de profondeur
et de distance.

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-- 4Les courbes.
Les courbes suscitent une plus grande impression de
mouvement que les droites. Ce mouvement se faisant sans
heurts, les courbes donnent souvent une idée de douceur, de
fluidité : pour la plupart des gens, elles sont plus
attrayantes que les droites. Lisses et fluides, elles
encouragent l’oeil à les suivre. Elles constituent donc un
excellent moyen de guider l’attention du lecteur dans une
image.

Toutefois l’introduction de courbes dans une image est


difficile à obtenir.

-- IIILes couleurs.

Le choix des couleurs est d’une importance primordiale


dans la réalisation d’images. Ce choix peut même être
influencé par la méthode de projection utilisée.

Une mauvaise appréciation des couleurs et de leur


coordination peut conduire à des effets désastreux sur la
lecture de l’image : illisibilité, stress ou gêne.

-- 1Le jaune.
C’est la couleur la plus lumineuse et la plus claire de
toutes. Il peut selon les cas être associé à l’agressivité ou
à la gaieté. La vigueur du jaune vient de son symbole le plus
courant : le soleil. Par extension, le jaune symbolise la
lumière.

-- 2Le rouge.
De toutes les couleurs, le rouge est la plus forte, la
plus insistante. Lorsqu’il est placé parmi d’autres couleurs
moins actives (comme le vert), le rouge est projeté en avant.

Le rouge dégage une impression de force, de vitalité et


de chaleur intense. Par extension, il a des connotations de
passion d’un côté, d’enfer de l’autre. Si on ajoute
l’association évidente avec le sang, le rouge peut être
rapproché de la guerre et de la violence.

-- 3Le bleu.
A l’inverse du rouge, le bleu semble reculer. Il a moins
d’influence visuelle que deux précédentes : plus il est
sombre, plus sa force est grande.

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Le bleu exprime le calme et la froideur (utilisé en
décoration, il peut réellement donner la sensation que la
température est plus basse qu’elle ne l’est). Il suggère la
vie intérieure de l’esprit et la réflexion. Il est associé au
ciel et à l’eau.

-- 4Le vert.
C’est la couleur à laquelle l’oeil humain est le plus
sensible : pour une très faible luminosité, on voit mieux en
lumière verte qu’avec n’importe quelle autre longueur d’onde.

C’est une couleur d’espérance et de progrès. Il appelle à


un mouvement en avant par opposition à l’interdiction du
rouge.

-- IVLes zones de l’image.

Le chapitre précédent rappelait les règles d’harmonie


d’une image. Cependant, l’harmonie n’est pas tout, la
construction de l’image doit également appuyer l’information
présentée. Dans ce but, il est important de connaître la
signification et le rôle des différentes zones de l’image.

Avant toute chose, l’image est le reflet de notre monde


et de notre culture, d’où les interprétations suivantes.

Une image peut être coupée horizontalement en deux zones.

La partie supérieure
symbolise le ciel, la
spiritualité mais aussi
la prééminence.

La partie inférieure,
attachée à la terre,
reflète l’enracinement, le
matérialisme.

De la même manière, une séparation verticale peut être


réalisée. Cette séparation définit un axe des temps.

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Futur

Passé

Le progrès s’impose donc de la gauche vers la droite, la


régression en sens inverse. La partie gauche de l’image est
également la zone d’arrivée dans l’image alors que la partie
droite est la zone de départ (partage lié au sens de lecture
de gauche à droite).

Cette séparation a une influence non négligeable : par


exemple, un visage situé dans la zone d’arrivée est mieux
perçu que s’il est situé dans la zone de départ.

Dans le premier cas, la distance entre le bord de l’image


et le visage laisse une place importante devant l’individu :
c’est un espace d’avenir, de découverte. Une information
importante peut s’y trouver, le regard du profil nous y
conduit naturellement.

Dans l’autre cas, le regard bute contre le bord de


l’image. La lecture est difficile. En effet, elle débute sur
les yeux du profil pour s’arrêter immédiatement sur le bord :
le regard est contraint à sortir du cadre. L’information qui
se trouverait à gauche n’aurait aucun impact.
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Les outils de dessin

Powerpoint est souvent utilisé comme un logiciel de


dessin. Pourtant Word et même Excel disposent d’outils de
dessin performants. Powerpoint dispose juste de quelques
petites fonctionnalités supplémentaires.

Petite remarque : globalement, on dessine de la même


manière dans Word que dans Powerpoint ou Designer. N’hésitez
plus à passer à d’autres logiciels, avec ces bases vous vous
adapterez assez vite à la puissance de vrais logiciels de
dessin.

-- ILa barre d’outils Dessin.

Parmi tous les outils de dessin, on peut distinguer


plusieurs groupes :

• Les outils chargés de réaliser des formes géométriques :


rectangle, ellipse, trait et formes automatiques.

• Les outils dont la fonction est de modifier l’allure de la


forme dessinée,

• Les outils destinés à manipuler les objets dessinés.

-- 1Le dessin de formes


I.1.a - Les bases.

Quelque soit la forme, la procédure est toujours


identique :

Cliquez avec la souris sur l’outil que vous voulez


utiliser1, relâcher le bouton de la souris et déplacez la à
l’endroit du dessin : une croix apparaît. Cliquez, maintenez
appuyé et déplacez la souris : la forme se dessine.
Lorsqu’elle atteint la bonne dimension, relâchez le bouton de
la souris.

1
Un double clic permet de dessiner autant de formes que l’on veut sans avoir à recliquer sur
l’outil.
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Une fois dessiné, le dessin est entouré de petits carrés
blancs appelés « poignées de dimensionnement ». Leur rôle :
permettre de changer les dimensions des formes dessinées. En
plaçant la souris sur l’un d’entre eux, on voit apparaître une
double flèche noire : cliquez, maintenez appuyé et déplacez la
souris. Les dimensions doivent changer.

La présence des carrés blancs indique également que la


forme est sélectionnée. Toute action de votre part s’applique
uniquement à la forme sélectionnée. Lorsqu’aucun dessin n’est
sélectionné, placez la souris sur la forme que vous souhaitez
manipuler et cliquez une fois, les carrés apparaissent.

Pour sélectionner plusieurs formes simultanément, avant


de cliquer sur chacune d’entre elles, maintenir la touche
« Shift » appuyée.

Pour déplacer une forme, sélectionnez la. Placez la


souris sur son contour, une quadruple flèche doit apparaître

. Cliquez, déplacez la souris. Vous pouvez aussi utiliser


les flêches du clavier.
Remarque : pour déplacer les objets beaucoup plus précisément, utilisez simultanément la touche
Ctrl
et les flèches de déplacement.

I.1.b - Les plus.

Les formes automatiques autorisent quelques petites


manipulations supplémentaires.

.I.1.b.1 Le losange jaune.


Lorsqu’il est présent, le losange jaune permet de changer
certaines proportions de la forme sélectionnée. Placez la
souris sur le losange, l’extrêmité d’une flèche apparaît :
cliquez, déplacez.

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.I.1.b.2 Les courbes de bézier


Les courbes de bézier se trouvent dans la rubrique
« lignes ».

Les 3 outils de la 2ème ligne s’appellent respectivement :


courbe, forme libre et dessin à main levée.

Pour dessiner une courbe, cliquez, relâchez et déplacez


la souris : un segment de droite apparaît.

Cliquez, relâchez et déplacez la souris dans une autre


direction, le segment s’incurve.

Répétez l’opération jusqu’à obtenir le dessin voulu. Pour


finir la forme, cliquez deux fois.

Pour dessiner à main levée, cliquez, maintenez le bouton


appuyé et déplacez la souris. Vous dessinez comme avec un
crayon. Si vous relâchez le bouton de la souris, le dessin est
terminé.

La forme libre est un mélange des deux outils précédents.


Cliquez, relâchez et déplacez la souris : des segments de
droite apparaissent. Le clic permet seulement de changer de
direction, les segments ne s’incurvent pas. Si vous maintenez
appuyé en déplaçant la souris, vous dessinez à main levée.
Pour finir, cliquez deux fois.

Il n’est pas forcément toujours aisé de parvenir au


dessin souhaité. Au lieu de redessiner, sélectionnez la forme,

appelez le menu contextuel et cliquez sur . Une


multitude de petits carrés noirs doit devenir visible le long
de votre dessin. Vous travaillez maintenant sur une courbe de
bézier.

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Powerpoint DGF / DETG
Placez la souris sur un des carrés, cliquez, glissez : le
carré se déplace et la forme est modifiée.

Placez à nouveau la souris sur un des carrés noirs ou sur


un segment puis appelez le menu contextuel.

Permet d’ajouter un point à l’endroit où se


trouve la souris
Supprime le point sur lequel se trouve la souris

Ces 4 commandes définissent la tangente à la


courbe au point concerné. Hormis le point
automatique, tous les autres font apparaître la
tangente, le trait bleu, et deux carrés
blancs. Il est possible de déplacer les carrés
blancs mais pas n’importe comment, tout dépend
du type de point.

Pour les non-matheux et pour les autres


quelques exemples.

Point Point
Point lisse Point d’angle
automatique symétrique

Pas de tangente
visible

Les 3 carrés sont Les 3 carrés sont Les 3 carrés


toujours alignés. toujours alignés. peuvent ne plus
Le noir est Le noir n’est être alignés
toujours au plus forcément au
milieu des deux milieu des deux
blancs blancs

.I.1.b.3 Les connecteurs.


Lorsque plusieurs formes sont reliées par des traits, il
ne faut plus déplacer les formes sinon les traits ne les
relieraient plus. Une solution pour remédier à ce problème :
les connecteurs.

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Après avoir choisi un type de connecteur, en plaçant la
souris sur la forme à relier, des petits carrés bleus
apparaissent : ce sont les points d’accrochage des
connecteurs. Reliez les formes comme vous le feriez avec des
traits classiques.

Déplacez l’une des formes, les traits se modifient en


conséquence.

-- 2Modifier les attributs du dessin.


Les paramètres de base d’une forme sont la couleur de
remplissage et la couleur de trait .

Si les outils ci-dessus semblent plus pratiques,


n’oubliez pas de penser au menu contextuel et à la commande
qui offre des possibilités supplémentaires.

Un certain nombre des outils se présentent en deux


parties : le symbôle avec une barre colorée et une petite
flèche à côté . La barre colorée vous indique la couleur
attribuée à l’heure actuelle au bouton. Si vous cliquez
dessus, cette couleur sera appliquée sans avoir de choix
préalable à faire. La flèche permet de changer la couleur de
l’outil

Dans le cas du pot de peinture, un


clic sur la petite flèche donne
cette fenêtre.

Partez à la découverte des


différentes possibilités : vous ne
vous ferez pas mordre.

Pour changer le type, l’épaisseur d’un trait ou ajouter


des flèches, choisissez l’un des 3 outils suivants : .

: ces deux outils agissent sur l’ombre ou la


perspective 3D qu’il est possible de donner à la majorité des
formes dessinées.

Lorsque vous cliquez sur un de ces boutons, une petite


fenêtre apparaît, vous proposant les différentes options. Vous
y trouverez également les commandes suivantes :

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Powerpoint DGF / DETG
Elles affichent des barres d’outils qui vous permettront
de changer couleurs, orientations et différents autres
paramètres des fonctions “Ombre” et “3D”.

-- 3Manipuler les formes


I.3.a - Les couches.

Première chose à savoir et certainement l’une des plus


importantes : lorsqu’on dessine dans Powerpoint, chaque forme
se retrouve seule sur l’équivalent d’une feuille de calque
parfaitement transparente. Réaliser plusieurs formes consiste
donc à empiler ces couches de calques les unes au-dessus des
autres : il y a autant de couches que d’objets à l’écran.

Conséquence : certaines formes peuvent en cacher d’autres


si elles se trouvent au-dessus. Il y a bien sûr des outils ou
des commandes qui permettent de passer des formes au-dessus ou
au-dessous d’autres objets.

Sélectionner l’objet que vous souhaitez déplacer puis


appelez le menu contextuel, vous trouverez la commande
suivante :

Premier plan et arrière-plan déplacent directement


la couche contenant l’objet en haut ou en bas de la pile.

Les commandes avancer et reculer font remonter ou


descendre les objets couche par couche. Il est donc parfois
nécessaire de beaucoup cliquer pour une couche au niveau
voulu.

Utilisez cette structure en couches pour masquer


certaines formes ou certains morceaux par d’autres objets. On
peut ainsi obtenir des objets compliqués à partir d’éléments
simples correctement disposés.

I.3.b - Les rotations et les symétries.

Vous disposez d’outils permettant d’appliquer :

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Powerpoint DGF / DETG

• Des rotations de 90° à droite ou à gauche ,

• Des rotations libres donc vous choisissez vous même l’angle


. Après avoir cliqué sur la commande, les carrés blancs
placés autour de l’objet sélectionné se sont transformés en
ronds verts. Placez la souris dessus, cliquez et glissez la
souris, l’objet pivote.

• Des symétries horizontales ou verticales (effets miroirs)

Si les outils ne sont pas présents dans la barre d’outils


dessin, allez voir dans ( en bas à gauche) puis
.

Comme toujours la commande ne s’applique qu’aux objets


sélectionnés.

I.3.c - Grouper – dissocier.

Lorsque plusieurs formes sont dessinées et qu’on souhaite


les manipuler simultanément, changer la couler ou les déplacer
sans changer leurs positions les unes par rapport aux autres,
il faut d’abord toutes les sélectionner (voir Les bases. page
13)

Problème : la moindre erreur de manipulation vous


obligera à refaire la sélection multiple.

Remède : après avoir sélectionné les objets, exécutez la


commande “Grouper” que vous pourrez trouver dans le menu
contextuel ou les outils.

 cette commande n’est disponible que si plusieurs


formes sont sélectionnées.

Si vous désirez à nouveau manipuler les objets


individuellement ou démantibuler un clipart, utilisez la
commande “Dissocier” autant de fois que nécessaire. Une
multitude de carrés blancs apparaît indiquant que tous les
objets sont sélectionnés. Appuyez sur “Echap” pour annuler les
sélections.

I.3.d - Aligner les formes.

Lorsque plusieurs formes sont sélectionnées, vous pouvez


les aligner grâce à la commande que vous trouverez dans
:

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Powerpoint DGF / DETG

Autre possibilité pour aligner des formes ou les espacer


d’une valeur bien précise : les repères. Ce sont deux droites
orthogonales en pointillés que vous pouvez afficher ou effacer
via le menu “Affichage” puis “Repères”.

Initialement localisés au milieu de la diapositive, vous


pouvez les déplacer comme vous déplaceriez n’importe quel
objet.

Placez la souris sur le repère à déplacer. Cliquez, un


chiffre apparaît indiquant la position du repère, maintenez
appuyé et faîtes glisser la souris.

Ces repères exercent une sorte d’attraction sur les


objets, si vous déplacez une forme et si elle s’approche du
repère, elle va venir s’y coller. En agissant ainsi avec
plusieurs objets vous pouvez les aligner.

Pour mettre une certaine distance entre les objets,


déplacez les repères en calculant les différentes positions
relatives grâce au chiffre qui apparaît, alignez les
différentes formes sur les différentes positions des repères.
C’est sûr, il faut calculer un petit peu….
Remarque : vous trouverez également la commande suivante :

Une sorte de grille invisible est présente dans Powerpoint. Si « sur la grille » est enfoncé, les objets
se déplacent uniquement sur la grille. Ceci entraîne des petits à-coups dans les déplacements. Cette
commande peut également entraîner des difficultés pour les alignements.
Lorsque « Sur la forme » est enfoncé, les objets se collent les uns aux autres dès qu’ils sont
proches.

-- 4Texte et dessin.
Vous pouvez écrire du texte dans quasiment n’importe
quelle forme. Pour cela, sélectionnez la forme, menu
contextuel : .

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2001
Powerpoint DGF / DETG
La modification du texte se fait de la même manière que
dans Word. Si vous voulez obtenir des options
supplémentaires : menu contextuel, “Format de la forme” onglet
“Zone de texte”.

Vous pouvez également utiliser l’outil “zone de texte”


ou l’outil “WordArt” pour vous faire le plaisir de
textes plus artistiques.
Remarque : lorsque vous soumettez une zone de texte à une rotation, le texte pivote également.

-- IILa gestion des images.

Vous serez certainement amené à intégrer des images dans


des présentations. Leur insertion se fait via la commande :

INSERTION / IMAGE / A PARTIR DU FICHIER

L’image apparaît parfois en même temps que la barre


d’outils Image. Dans le cas contraire, placez la souris sur
l’image, menu contextuel : .

permettent d’augmenter ou diminuer contraste


et luminosité.

: essayez, il faut parfois se lancer,

: outil “Rogner”. Permet de cacher certaines parties


de l’image. Placez la souris sur un des carrés blancs.
Cliquez, glissez : un des côtés de l’image disparaît. Il n’est
pas supprimé, si vous refaites le déplacement en sens inverse,
l’image revient.

: outil “Recolorier l’image”. Dans le cas unique des


cliparts, vous pouvez décider de changer une ou plusieurs
couleurs par d’autres. Utilisation relativement intuitive.

: outil “Couleur transparente”. Après avoir choisi


cet outil, si vous cliquez sur une couleur de votre image,
celle-ci devient transparente. Vous pouvez donc voir ce qui se
trouve derrière. On ne peut rendre transparente qu’une seule
couleur au sein d’une photo.

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Powerpoint DGF / DETG

Le Logiciel.

-- IIntroduction.

Powerpoint est un logiciel de PréAO (PREsentation


Assistée par Ordinateur). Son arrivée (ainsi que celle de ses
pairs) a grandement simplifié la réalisation de l’antique
transparent.

La deuxième évolution majeure a été celle des moyens de


projection. L’apparition des tablettes LCD noir et blanc ou
couleur, des rétroprojecteurs de haute puissance et
dernièrement des vidéoprojecteurs octroie un confort et une
souplesse d’utilisation sans égaux.

Powerpoint permet donc de réaliser des présentations très


étoffées. Cependant, une précaution importante est à prendre :
il est impératif de connaître le support de projection à
disposition avant de passer à la conception de la
présentation.

• le couple transparent-rétroprojecteur est le système le plus


répandu mais le résultat visuel est d’autant plus limité que
la présentation est remplie de couleurs,

• les tablettes étant directement connectées sur le PC, il est


possible de réaliser des diaporamas et donc d’éviter
l’impression de transparents fort encombrants. Les tablettes
posent tout de même un problème : elles nécessitent
l’utilisation de rétroprojecteurs de puissance qui peuvent
malgré tout s’avérer insuffisants si l’obscurité est
imparfaite et les diapositives trop « chargées »,

• le vidéoprojecteur constitue le matériel idéal. Il est autonome


et fonctionne en lumière ambiante. Seul son coût limite sa
présence.

Le moyen disponible conditionne donc le contenu des


diapositives. Il faut toujours se renseigner sur le matériel
qui sera mis à votre disposition. Une mauvaise adéquation
entraînera immanquablement une perception négative de la
présentation et de l’intervenant.

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Powerpoint DGF / DETG

-- IIL’écran Powerpoint.

On retrouve les différents éléments propres aux fenêtres


Microsoft :

• la barre de titre,

• la barre de menu,

• les cases système, réduction et agrandissement,

• les barres d’outils,

• les barres de défilement,

• la barre d’état,

• les modes d’affichage.

Les premiers éléments sont supposés connus et sont


semblables dans leur fonctionnement à ceux de Word ou d’Excel.

Le dernier mérite toutefois un peu d’attention


supplémentaire.

-- 1Modes d’affichage
L’affichage d’une présentation peut se présenter de
différentes manières choisies grâce à l’un des boutons en bas
à gauche de l’écran :

Le mode diapositive permet l’élaboration des


diapositives. On ne peut travailler que sur une diapositive à
la fois.

Le mode plan permet d’éditer ou de saisir les titres


et le texte principal des diapositives. C’est un moyen facile
de réorganiser la présentation.

Le titre apparaît sur le côté gauche, avec l’icône et le


numéro de diapo. Le texte principal est en retrait sous le
titre. Les objets graphiques (images, diagrammes) ne sont pas
visibles mais une petite annotation sur l’icône en signale la
présence. Le mode plan permet également l’importation de plans
directement issus de Word, la présentation est alors
automatiquement créée.

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2001
Powerpoint DGF / DETG

Le mode trieuse de diapositive affiche chaque diapo


en miniature avec le texte et les graphiques. On peut ainsi
examiner l’ensemble de la présentation, réorganiser les
diapositives, ajouter des transitions et définir le minutage
des diaporamas.

Le mode pages de commentaires . Il peut être


intéressant de distribuer un « petit souvenir » à l’auditoire
sous la forme d’un compte rendu de l’intervention. Les pages
de commentaires remplissent ce rôle. Chaque page comporte un
espace contenant l’image en réduction de la diapositive et un
espace réservé aux commentaires correspondants (voir Les
autres masques. Page 30).

Le mode diaporama fait défiler les diapositives sur


l’écran. Chaque diapo est affichée plein écran. On peut
visualiser l’effet des transitions et du minutage.

-- IIILe démarrage.

Un peu de vocabulaire...

Powerpoint permet de réaliser des Présentations. Une


présentation est un ensemble de diapositives (une diapositive
imprimée sur transparent est un... transparent, et uniquement
dans ce cas). La diffusion séquentielle automatique ou non sur
écran de cette présentation s’appelle un diaporama.

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2001
Powerpoint DGF / DETG

Création, ouverture d’une


présentation.

L’ouverture d’une présentation pré-existante ne pose pas


de problème particulier, elle est analogue à l’ouverture d’un
document dans Word ou d’une feuille de calcul dans Excel.

L’élaboration d’une nouvelle présentation peut se faire


de plusieurs manières distinctes indiquées dans la boîte de
dialogue ci-dessous :

• Assistant sommaire automatique,

• Modèle,

• Présentation vierge.

La premières méthode ne présente qu’un intérêt


relativement limité que nous n’aborderons pas (la maîtrise des
deux autres méthodes permet de se sortir de tous les pétrins).

L’option « Modèle » permet de tirer profit de


présentations existantes dont on peut exploiter les mises en
formes et les arrières-plans.

La réalisation d’une « Présentation vierge » permet de


concevoir une présentation de A à Z sans tenir compte de
paramètres pré-déterminés. C’est cette option que nous
utiliserons afin de démêler les ficelles de Powerpoint.

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2001
Powerpoint DGF / DETG

-- ICréation d’une présentation vierge.


La création d’une présentation ou d’une nouvelle
diapositive nous conduit à choisir la mise en page de la
diapositive : comporte t’elle un ou deux titres, un titre et
du texte, des graphiques, etc...

Cette mise en page peut être modifiée à tout moment.

S’agissant de la première diapositive de votre


présentation, choisissez-la vierge (diapo blanche) et ce pour
une raison : toute allocution débute par une introduction.
Deux possibilités s’offrent à vous :

• Vous ne projetez rien à l’écran. Problème : votre


introduction finie, vous devrez faire certaines
manipulations qui vous feront perdre le contact déjà établi
avec votre auditoire,

• Vous affichez la première diapositive. Problème : entre vous


écouter et regarder ce qui se passe à l’écran, votre
auditoire aura vite fait son choix.

Solution : afficher une première diapositive vierge qui


vous dispensera des manipulations et ne sollicitera pas
l’attention de l’assemblée.

Le choix fait, l’écran prend l’allure suivante. Il s’agit


de la première diapositive de la présentation comme la barre
de tâche l’indique en bas à gauche de la fenêtre.

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Powerpoint DGF / DETG

Arrivé à ce stade, il est important d’aborder une notion


capitale pour l’utilisation de Powerpoint : le MASQUE.

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Powerpoint DGF / DETG

Le Masque.

Deux solutions s’offrent à vous pour la réalisation de


votre présentation : la mauvaise, que beaucoup utilisent, et
la bonne que nous allons aborder.

-- IPréambule.

Les présentations ne sont pas gratuites, elles doivent


faire passer un message, avoir un impact. La conception d’une
présentation pourrait être assimilée à l’élaboration d’une
publicité : les informations doivent être assimilées le plus
efficacement possible, c’est à dire rapidement et le plus
durablement possible. Les recettes éprouvées sont donc celles
de la réclame : rythme, couleur, phrases chocs...

Les diapositives d’une présentation comportent toujours


des points communs : titre de l’intervention, auteur, logo,
couleur du fond et mise en forme.

Il est important de ne pas bouleverser tous ces


paramètres d’une diapositive à l’autre. Chaque bouleversement
crée en effet une rupture, si celle-ci est trop répétitive
elle génère une tension source de fatigue et de perte
d’attention.

De plus, pour attirer l’attention de l’auditoire sur une


diapositive plus importante que les autres, il est très facile
de créer une rupture (des changements importants dans les
couleurs utilisées par exemple). Si les ruptures sont trop
fréquentes, elles n’ont plus d’intérêt.

Réaliser des diapositives toutes identiques de la manière la


plus efficace possible passe impérativement par l’élaboration
de la diapositive de masque.

Elle sert de modèle à toutes les autres diapos. :Chaque fois


qu’une nouvelle diapo sera créée, elle sera par défaut
identique au masque.

Le masque contient les espaces réservés pour la mise en forme


du titre, du texte et des éléments d’arrière-plan devant
apparaître sur les diapositives.

Toute modification apportée au masque affecte l’ensemble des


diapositives.

L’utilisation du masque représente un gain de temps et


une souplesse indéniables qu’il convient de mettre à profit.
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Powerpoint DGF / DETG

-- 1Création du masque.
2
AFFICHAGE / MASQUE / MASQUE DES DIAPOSITIVES

Visuellement rien ne distingue le masque d’une


diapositive normale, la seule indication figure en bas à
gauche de l’écran avec l’information “masque des
diapositives”. On trouve cependant de nouveaux éléments :

2
Vous pouvez aussi cliquer sur le bouton « mode diapositive » en maintenant la touche
« shift » appuyée.
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Powerpoint DGF / DETG
• Zone de titre pour mises en page automatiques : cet espace
réservé sert à la mise en forme des titres des
diapositives. Sélectionnez-la puis appliquez lui les
différentes mises en formes souhaitées avec les commandes
et du menu contextuel

• Zone d’objet pour mises en page automatiques : sert à la mise


en forme du texte principal. En plus des deux commandes
précédentes, utilisez également la commande pour
chacun des niveaux de texte (vous pouvez les sélectionner
individuellement).

• Zones de date, de nombre (pour le numéro de diapo) et zone de


pied de page. Date et numéro de diapositive sont mis en
place grâce à la commande (attention à la petite
surprise….) :

INSERTION / NUMERO DE DIAPO ou DATE ET HEURE

Ces espaces sont strictement réservés à la mise en forme du


style d’un texte (police, couleur, taille, disposition), le
texte tapé dans ces zones n’apparaît pas sur les diapositives
de la présentation, seule la mise en forme est retenue

• Tous les autres éléments qui n’appartiennent à aucune des


zones précédentes font partie de l’arrière-plan. Une fois
ajoutés au masque, les éléments d’arrière-plan
apparaissent sur toutes les diapositives. Parmi ces
éléments d’arrière-plan devraient figurer un logo et
l’intitulé général de votre intervention (zone de texte
ou Wordart) qui sont des points de repères utiles.

La réalisation du masque peut prendre du temps. Il faut


en effet penser au contenu de la plupart des diapositives pour
trouver un modèle valable pour l’ensemble de la présentation.
Ne cherchez cependant pas à obtenir un masque définitif, vous
pourrez y revenir à tout moment afin de le fignoler.

-- 2Les autres masques.


Outre le masque des diapositives, il existe 3 autres
masques qui fonctionnent sur le même principe :

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2001
Powerpoint DGF / DETG
• masque des pages de commentaires,

• masque du document,

• masque du plan.

Les pages de commentaires accompagnent chaque


diapositive et présentent une reproduction miniature de la
diapositive et un espace réservé aux commentaires. Elles
servent à taper les notes qui serviront de support à l’orateur
pendant la conférence.

Pour fournir des copies des diapositives à l’assistance,


il est possible d’imprimer des documents. Chaque page peut
contenir deux, trois ou six diapositives. Grâce à elles,
l’auditoire emporte un « souvenir » de la présentation une
fois qu’elle est terminée. Du texte peut même être ajouté à
ces documents.

Les pages de commentaires et les documents de séance sont


tous basés sur des masques semblables au masque des
diapositives. Le masque du plan permet, quant à lui de créer
les en-têtes, les pieds de pages et les autres éléments devant
apparaître à l’impression.

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Powerpoint DGF / DETG

Création des diapositives.

On ne crée pas de diapositive avant d’avoir


réalisé un masque !!!

La première diapositive de votre présentation est déjà


présente, il s’agit de la diapositive vierge créée au
démarrage de Powerpoint. Pour passer à la deuxième diapositive
et créer les suivantes, passez en mode diapositive puis :

INSERTION / NOUVELLE DIAPOSITIVE

S’affiche alors la boîte de dialogue vous donnant le


choix des éléments présents dans votre diapositive. Choisissez
le modèle adapté à votre diapositive. Vous constaterez que la
diapositive qui apparaît est en tout point conforme au masque.

A ce stade vous pouvez saisir les différents éléments de


votre diapositive : le titre dans la zone de titre réservée à
cet effet, le texte dans la zone d’objet.

Les premières diapositives comporteront forcément des


défauts : taille de texte, couleurs, taille et positionnement
des zones inadaptés.

Ne touchez à rien !!!

Attendez d’avoir réalisé quelques diapos pour avoir une idée


des principaux défauts et rectifiez le masque en conséquence.

Ne modifiez rien dans les diapos en elles-mêmes !!!

Vous perdriez en effet le lien avec le masque pour les


paramètres modifiés et ne profiteriez plus de ses avantages.
Si vous avez des ajustements à faire retournez dans le masque
pour les réaliser même si cela peut paraître fastidieux.

Par contre, si vous souhaitez faire ressortir une


diapositive par rapport à l’ensemble de la présentation, vous
pouvez modifier les éléments comme la couleur de l’arrière-
plan, la disposition ou toute autre chose (utilisez le menu
contextuel). Ils ne seront évidemment plus liés au masque mais
c’est un choix.

Si vous souhaitez recréer le lien avec le masque, placez


la souris sur la diapo, menu contextuel,
puis .

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2001
Powerpoint DGF / DETG

-- ILes animations.

Le texte principal d’une diapositive est fréquemment


constitué d’une liste dont on souhaite faire apparaître les
différents éléments non pas en une seule fois mais étape par
étape, au gré des explications. Cet effet est réalisable
aisément grâce aux animations.

Ce qui est possible de faire avec le texte est


parfaitement réalisable avec tout objet présent sur la
diapositive.

Placez vous dans le mode diapositive :

DIAPORAMA /

La boîte de dialogue suivante apparaît :

Si aucun objet n’était sélectionné l’onglet “minutage”


est actif. Vous pouvez alors visualiser la liste de tous les
objets présents sur la diapositive. Choisissez-en un puis
cliquez sur l’onglet “Effets”.

La rubrique “Animation et son d’entrée” va vous permettre


de choisir l’effet désiré.

La rubrique “Après l’animation” définit ce qui se passera


après l’effet :

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2001
Powerpoint DGF / DETG
• Non estompé : il ne se passe rien,

• Masqué après l’animation : l’objet disparaîtra immédiatement


à la fin de l’effet,

• Masqué au prochain clic : l’objet disparaîtra au prochain


clic de souris,

• Couleur : si vous choisissez une couleur, le texte changera


de couleur quand un nouvel objet viendra à l’écran.

Pour cadencer les différents effets, retournez dans


“minutage” : vous verrez une commande définissant des durées
de temporisation.

-- IILes actions

-- 1Changement de la couleur des liens.

-- IIIUtilisation du mode plan.

Une présentation est généralement la synthèse d’un


travail de fond sur un sujet particulier. De ce travail sont
souvent issus des documents Word assez conséquents.

A condition d’avoir travaillé dans les régles de l’art,


il est possible d’utiliser le document Word pour créer une
présentation. Le plus intéressant est de pouvoir récupérer le
plan du document afin d’en tirer l’ossature de votre
présentation : rien de plus simple à condition d’avoir rédigé
le document Word à l’aide des styles.

Allez dans le mode plan de Powerpoint puis :

INSERTION / .

Localisez votre document word et validez. Après quelques


secondes de traitement, le plan est créé. Il reprend les
points principaux du plan du document. Attention quelques
manipulations rapides sont indispensables pour en faire une
présentation qui tienne la route.

symbolise une diapositive. Son titre se situe en face


du symbôle, son contenu se trouve en-dessous sur plusieurs
lignes éventuellement.

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Powerpoint DGF / DETG
Utilisez pour transformer un titre en texte ou
inversement et pour déplacer certains éléments vers le haut ou
vers le bas.

Vous pouvez également supprimer certains morceaux ou


rajouter certaines informations en cliquant et insérant le
texte au clavier. Vous pouvez même revenir au mode diapositive
si vous vous y sentez plus à l’aide pour finaliser vos
diapositives.

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2001
Powerpoint DGF / DETG

Création et execution
d’un diaporama.

Dans le cas d’un diaporama, chaque diapositive occupe la


totalité de l’écran. Les outils, les menus et les autres
éléments sont invisibles de manière à ne pas distraire.

La réalisation d’un diaporama permet :

• l’utilisation des effets spéciaux telles les transitions et


les compilations,

• l’annotation des diapositives au fur et à mesure de la


projection,

• le minutage des diapositives en fonction de l’intervention,

• la projection de films ou d’effets sonores,

• le masquage de certaines diapositives.

Il est préférable de procéder à la mise au point finale


de la présentation dans le mode trieuse de diapositive. En
effet, il affiche des diapositives miniatures et permet
d’établir facilement les transitions, le minutage et le
masquage.

-- ITransitions et minutage.

Le passage d’une diapositive à une autre peut se faire de


manière simple ou en utilisant un effet visuel particulier :
la transition.

DIAPORAMA / TRANSITION

ou dans la barre d’outils « Trieuse de diapositive ».

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Powerpoint DGF / DETG

Le paramètre vitesse permet de choisir la vitesse de


l’effet. Vous pouvez ensuite choisir comment passer d’une
diapositive à l’autre : automatiquement ou manuellement.

Dans le mode trieuse, le minutage déterminé est affiché


sous la diapositive.

-- IIExécution du diaporama.

-- 1Exécution.
L’exécution du diaporama à partir de la diapositive en
cours est possible grâce au bouton dans la barre d’outils
en bas de la fenêtre.

Si le diaporama ne s’enchaîne pas ou si vous souhaitez


disposer de toutes les options de la commande :

DIAPORAMA /

Si vous avez un problème allez jeter un coup d’œil à :

DIAPORAMA /

L’option « Défilement manuel » permet de s’abstraire du


minutage prévu et d’enchaîner les diapositives manuellement.
Si le diaporama est bloqué ou si vous voulez un défilement
automatique, cliquer sur « Utiliser le minutage existant ».

L’option « En continu jusqu’à ECHAP » permet


l’enchaînement du diaporama au rythme déterminé mais en boucle
continue, sans arrêt.

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Powerpoint DGF / DETG
Pour faire une pause dans le diaporama, appuyez sur la
touche A du clavier. Appuyez à nouveau sur A ou “Espace” pour
reprendre le cours du visionnage.
La commande DIAPORAMA / MASQUER DIAPOSITIVE permet de ne pas afficher une diapositive lors de
la présentation. Dans ce cas, dans la trieuse, le numéro de la diapositive est barré.

-- 2Annotation du diaporama.
Des annotations temporaires peuvent être réalisées à la
main sur les diapositives pendant le diaporama. Elles
permettent de mettre un point important en valeur pendant le
discours (genre séance météo).

Pendant l’exécution du diaporama, déplacer la souris sur


l’écran, menu contextuel . En cliquant sur cette commande,
le déroulement du diaporama est stoppé.

Maintenir le bouton de la souris enfoncé pour écrire ou


dessiner sur l’écran.

Pour reprendre le cours du diaporama, appuyez sur la


barre espace du clavier.

-- IIILa visionneuse.

La visionneuse est une application qui permet de


visionner une présentation sans lancer PowerPoint, par exemple
sur des PC ne disposant pas du logiciel. Il suffit pour cela
d’importer la visionneuse sur ces ordinateurs.

Dans le menu fichier vous trouverez la commande


. Cliquez dessus et laissez vous guider.

Attention, il est fort possible que Powerpoint vous


demande le CD du pack Office pour compléter l’opération.

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