La R.D.C VERS L’ALTERNATIVE DE LA DIPLOMATIE DYNAMIQUE
Le diagnostic des chercheurs et analystes politiques nationaux et internationaux ne se trompent nullement que la République Démocratique du Congo a besoin des grandes reformes dans les services l’Etat, et auxquelles tous les secteurs doivent contribuer pour relever ces défis majeurs. Ainsi, la diplomatie a une bonne part de contribution dans la reconstruction nationale. A en croire les premières réactions des quelques diplomates et Ambassadeurs en Conférence diplomatique de ce Février 2008 à Kinshasa, et jointes à l’appréhension de l’opinion publique congolaise, la diplomatie Congolaise est « Malade ». Et par conséquent, il est plus que temps qu’elle subisse une alternative substantielle dans son corps constitué et structuré.
En République Démocratique du Congo la diplomatie est-elle réellement « malade » ? Et Quels peuvent être les moyens thérapeutiques ? La nécessité d’adapter la diplomatie aux besoins de la République Démocratique du Congo aux transformations en profondeur dans l’Etat, et sur la scène internationale s’impose-t-il ? Comment donner une dynamique a la diplomatie Congolaise ? Que de questions et débats autour de la conférence diplomatique à Kinshasa.
L’alternative vers diplomatie dynamique vise à accroître la capacité de corps diplomatique congolais, et à améliorer leurs outils de travail. Cette dynamique en perspective doit aider désormais à raisonner par programme d’idéologie de la diplomatie «de paix et du développement » telle que définie par le Gouvernement Congolais. Une alternative qui tend à valoriser le pragmatisme de l’action diplomatique et ses résultats matériels, plutôt que la cohérence des positions politiques qui en résultent souvent du fait des alliances. Devant l’option strategique, la politique extérieure de la République Démocratique du Congo doit répondre aux grands choix de ses objectifs par la diplomatie qu’elle veut bien dynamiser. Bon nombre d’éléments concourent à la dynamique d’une diplomatie: Sa politique, son personnel, son instrument de travail, et ses partenaires.
Primo, la conception politique n’est plus a développée, car la grande ambition de la diplomatie de paix et du développement est largement définie dans l’agenda diplomatique du Gouvernement congolais. Alors, il y a lieu d’ajouter l’ouverture. C’est-à-dire élargir la matière diplomatique sur la scène internationale, et accroitre le nombre des missions diplomatiques dans les pays amis et partenaires stratégiques. Il faut noter que la République Démocratique du Congo n’a pas plus de la moitié des Ambassades au nombre des Etats au monde. Contrairement à une politique de réduction des missions diplomatiques, qui parait une mauvaise approche au seuil de la reconstruction nationale, avec conséquence d’éloigner, de plus en plus, le Congo du cercle des affaires internationales, voire de ses amis, le passage de la représentation diplomatique traditionnelle à la diplomatie du développement, qui exige la coopération, deviendra sans doute un long chemin et peu réalisable. La République Démocratique du Congo peut tourner de façon plus systématique vers les autres, et cela sans se perdre dans les autres. L’Américain Karl W. Deutsch, souligne « il n’y a pas de problème combien grand ou petit, voire même le notre (Les Etats-Unis), tout Etat au monde doit prendre en compte, ce que les autres sont entrain de faire, et s’il ne peut mieux le faire avec ses propres moyens aussi très limités, il doit gagner la coopération des autres » . Bien qu’agissant sur les différents axes, la diplomatie Congolaise doit néanmoins être plus active, partout et présente, plus opérationnelle pour gagner des amis sur la scène internationale. Guidée par un seul objectif, celui d’adapter ses actions de coopération aux besoins dont le Congo ne cesse de convoiter, et à l’attente du peuple : la sécurité, la paix et le développement. Pour ce dernier, au régard des missions traditionnelles des diplomate
La R.D.C VERS L’ALTERNATIVE DE LA DIPLOMATIE DYNAMIQUE
Le diagnostic des chercheurs et analystes politiques nationaux et internationaux ne se trompent nullement que la République Démocratique du Congo a besoin des grandes reformes dans les services l’Etat, et auxquelles tous les secteurs doivent contribuer pour relever ces défis majeurs. Ainsi, la diplomatie a une bonne part de contribution dans la reconstruction nationale. A en croire les premières réactions des quelques diplomates et Ambassadeurs en Conférence diplomatique de ce Février 2008 à Kinshasa, et jointes à l’appréhension de l’opinion publique congolaise, la diplomatie Congolaise est « Malade ». Et par conséquent, il est plus que temps qu’elle subisse une alternative substantielle dans son corps constitué et structuré.
En République Démocratique du Congo la diplomatie est-elle réellement « malade » ? Et Quels peuvent être les moyens thérapeutiques ? La nécessité d’adapter la diplomatie aux besoins de la République Démocratique du Congo aux transformations en profondeur dans l’Etat, et sur la scène internationale s’impose-t-il ? Comment donner une dynamique a la diplomatie Congolaise ? Que de questions et débats autour de la conférence diplomatique à Kinshasa.
L’alternative vers diplomatie dynamique vise à accroître la capacité de corps diplomatique congolais, et à améliorer leurs outils de travail. Cette dynamique en perspective doit aider désormais à raisonner par programme d’idéologie de la diplomatie «de paix et du développement » telle que définie par le Gouvernement Congolais. Une alternative qui tend à valoriser le pragmatisme de l’action diplomatique et ses résultats matériels, plutôt que la cohérence des positions politiques qui en résultent souvent du fait des alliances. Devant l’option strategique, la politique extérieure de la République Démocratique du Congo doit répondre aux grands choix de ses objectifs par la diplomatie qu’elle veut bien dynamiser. Bon nombre d’éléments concourent à la dynamique d’une diplomatie: Sa politique, son personnel, son instrument de travail, et ses partenaires.
Primo, la conception politique n’est plus a développée, car la grande ambition de la diplomatie de paix et du développement est largement définie dans l’agenda diplomatique du Gouvernement congolais. Alors, il y a lieu d’ajouter l’ouverture. C’est-à-dire élargir la matière diplomatique sur la scène internationale, et accroitre le nombre des missions diplomatiques dans les pays amis et partenaires stratégiques. Il faut noter que la République Démocratique du Congo n’a pas plus de la moitié des Ambassades au nombre des Etats au monde. Contrairement à une politique de réduction des missions diplomatiques, qui parait une mauvaise approche au seuil de la reconstruction nationale, avec conséquence d’éloigner, de plus en plus, le Congo du cercle des affaires internationales, voire de ses amis, le passage de la représentation diplomatique traditionnelle à la diplomatie du développement, qui exige la coopération, deviendra sans doute un long chemin et peu réalisable. La République Démocratique du Congo peut tourner de façon plus systématique vers les autres, et cela sans se perdre dans les autres. L’Américain Karl W. Deutsch, souligne « il n’y a pas de problème combien grand ou petit, voire même le notre (Les Etats-Unis), tout Etat au monde doit prendre en compte, ce que les autres sont entrain de faire, et s’il ne peut mieux le faire avec ses propres moyens aussi très limités, il doit gagner la coopération des autres » . Bien qu’agissant sur les différents axes, la diplomatie Congolaise doit néanmoins être plus active, partout et présente, plus opérationnelle pour gagner des amis sur la scène internationale. Guidée par un seul objectif, celui d’adapter ses actions de coopération aux besoins dont le Congo ne cesse de convoiter, et à l’attente du peuple : la sécurité, la paix et le développement. Pour ce dernier, au régard des missions traditionnelles des diplomate
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La R.D.C VERS L’ALTERNATIVE DE LA DIPLOMATIE DYNAMIQUE
Le diagnostic des chercheurs et analystes politiques nationaux et internationaux ne se trompent nullement que la République Démocratique du Congo a besoin des grandes reformes dans les services l’Etat, et auxquelles tous les secteurs doivent contribuer pour relever ces défis majeurs. Ainsi, la diplomatie a une bonne part de contribution dans la reconstruction nationale. A en croire les premières réactions des quelques diplomates et Ambassadeurs en Conférence diplomatique de ce Février 2008 à Kinshasa, et jointes à l’appréhension de l’opinion publique congolaise, la diplomatie Congolaise est « Malade ». Et par conséquent, il est plus que temps qu’elle subisse une alternative substantielle dans son corps constitué et structuré.
En République Démocratique du Congo la diplomatie est-elle réellement « malade » ? Et Quels peuvent être les moyens thérapeutiques ? La nécessité d’adapter la diplomatie aux besoins de la République Démocratique du Congo aux transformations en profondeur dans l’Etat, et sur la scène internationale s’impose-t-il ? Comment donner une dynamique a la diplomatie Congolaise ? Que de questions et débats autour de la conférence diplomatique à Kinshasa.
L’alternative vers diplomatie dynamique vise à accroître la capacité de corps diplomatique congolais, et à améliorer leurs outils de travail. Cette dynamique en perspective doit aider désormais à raisonner par programme d’idéologie de la diplomatie «de paix et du développement » telle que définie par le Gouvernement Congolais. Une alternative qui tend à valoriser le pragmatisme de l’action diplomatique et ses résultats matériels, plutôt que la cohérence des positions politiques qui en résultent souvent du fait des alliances. Devant l’option strategique, la politique extérieure de la République Démocratique du Congo doit répondre aux grands choix de ses objectifs par la diplomatie qu’elle veut bien dynamiser. Bon nombre d’éléments concourent à la dynamique d’une diplomatie: Sa politique, son personnel, son instrument de travail, et ses partenaires.
Primo, la conception politique n’est plus a développée, car la grande ambition de la diplomatie de paix et du développement est largement définie dans l’agenda diplomatique du Gouvernement congolais. Alors, il y a lieu d’ajouter l’ouverture. C’est-à-dire élargir la matière diplomatique sur la scène internationale, et accroitre le nombre des missions diplomatiques dans les pays amis et partenaires stratégiques. Il faut noter que la République Démocratique du Congo n’a pas plus de la moitié des Ambassades au nombre des Etats au monde. Contrairement à une politique de réduction des missions diplomatiques, qui parait une mauvaise approche au seuil de la reconstruction nationale, avec conséquence d’éloigner, de plus en plus, le Congo du cercle des affaires internationales, voire de ses amis, le passage de la représentation diplomatique traditionnelle à la diplomatie du développement, qui exige la coopération, deviendra sans doute un long chemin et peu réalisable. La République Démocratique du Congo peut tourner de façon plus systématique vers les autres, et cela sans se perdre dans les autres. L’Américain Karl W. Deutsch, souligne « il n’y a pas de problème combien grand ou petit, voire même le notre (Les Etats-Unis), tout Etat au monde doit prendre en compte, ce que les autres sont entrain de faire, et s’il ne peut mieux le faire avec ses propres moyens aussi très limités, il doit gagner la coopération des autres » . Bien qu’agissant sur les différents axes, la diplomatie Congolaise doit néanmoins être plus active, partout et présente, plus opérationnelle pour gagner des amis sur la scène internationale. Guidée par un seul objectif, celui d’adapter ses actions de coopération aux besoins dont le Congo ne cesse de convoiter, et à l’attente du peuple : la sécurité, la paix et le développement. Pour ce dernier, au régard des missions traditionnelles des diplomate
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Secundo, le paramètre personnel inclut la combinaison de deux natures des
diplomates d’une part, fonctionnel et d’autre part, scientifique ; De telle sorte que les deux puissent contribuer à la dynamique de la diplomatie qu’entendent les autorités qui ont l’impulsion de la politique extérieure dans l’Etat. Les personnels qui sont devenus diplomates au fil du temps de leur fonction dans la bureaucratie, et les spécialistes et experts en la matière, par leurs formations académiques pour une vision beaucoup plus scientifique dans la pratique de la diplomatie. Politicien de formation, car la diplomatie relève de la politique, et non de la bureaucratie, et selon Kissinger pour qu’une diplomatie soit efficace, il ne faut pas y mêler la bureaucratie, l’administration (une grande foule) car antonyme l’une à l’autre. Le diplomate est un homme de terrain, au four et au moulin, d’une maturité politique fondée sur la connaissance du monde politique national et international, talentueux et stratège, sportif et joueur politique, souple et discret, d’un degré considérable du coefficient de la persuasion, est appelé à apporter la dynamique dans la pratique de la diplomatie. Tertio, la conception instrumentale vise les finances, car la plupart du temps, la question de l’outil diplomatique est souvent traitée sous le seul angle financier, c’est bien très important. Néanmoins les diplomates devront non seulement dépenser utile pour l’intérêt de l’Etat, mais aussi permettre à l’Etat de gagner. Bien plus, Il y a un autre aspect, très utile et dans une logique de complémentarité des atouts dans la réussite de la mission d’un diplomate, une véritable valeur : La langue. Il faut mesurer les contraintes internationales. En effet, l’habilité en langues internationales, même le français, et surtout l’anglais serait un instrument fort pour un diplomate dans ses travaux et contacts. On note souvent une déficience linguistique dans les chefs des diplomates, et cela constitue un obstacle à la communication, à la négociation et à la participation aux assises et réceptions dans les milieux diplomatiques, ou dans des liens étroits de coopération avec les organisations régionales, les organisations non gouvernementales, d’ou le silence, ou le sourire et sans doute les applaudissements, et la République Démocratique du Congo demeure sans voix. Les diplomates congolais doivent être plus présents dans le débat d’idées international, et ceci a un avantage diplomatique : l’intégration profonde de la République Démocratique du Congo sur l’échiquier international. Les appareils diplomatiques sont en compétition permanente entre eux. Les performances des Missions diplomatiques sont des facteurs de compétitivité majeure pour un Etat qui désire promouvoir ses intérêts sur la scène internationale. Quarto, quant aux partenaires, le monde des Etats demeure celui qui existe déjà. Mais il faut choisir ses amis. Devant l’option gouvernementale du Congo de la « diplomatie de paix et du développement », qui n’est possible qu’avec les partenaires économiques stratégiques, il y a lieu de tenir compte, de la notion de « Trust perception », vue sous l’angle économique et non-militaire, c’est-à-dire, bien mesurer le degré de la confiance diplomatique dans les accords économiques, ou mieux la volonté politico-économique dans les chefs des pays amis, qui exécutent et répondent favorablement aux accords. Il se pose aussi une question d’établir les axes des actions diplomatiques dans la dynamique de la politique extérieure de la République Démocratique du Congo. Ainsi donc, les autorités dans l’Etat Congolais qui, animées du souci d’une alternance vers la diplomatie « guérie » et efficace, ont des paramètres à analyser pour relever ce défi de la dynamique. Partout, les réformes visent à accroître la capacité et l’efficacité des services. En République Démocratique du Congo, la grande ambition de la dynamique étant affichée, il faut réunir les moyens et les méthodes appropriés pour y parvenir. (Par, Me Thierry Kianga,) Master, International Relations and Public Affairs : Diplomacy and International Politics, Center for American studies, Shanghai/China, Février 2008, E-mail :dekianga@hotmail.com