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En avril 1984, l'hebdomadaire corse Kyrn publiait une tribune, signée par un certain Pascal Lota. Le président de Lota Maritime, le holding « intermédiaire » de Corsica Ferries France, expliquait sa vision du développement économique de l'île : Pourquoi ne pas prélever 10% sur l’enveloppe de la continuité territoriale « afin de financer à fonds perdu, la construction de structures hôtelières ? »... Investir l’argent public à fonds perdu dans les hôtels : voilà la recette !
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En avril 1984, l'hebdomadaire corse Kyrn publiait une tribune, signée par un certain Pascal Lota. Le président de Lota Maritime, le holding « intermédiaire » de Corsica Ferries France, expliquait sa vision du développement économique de l'île : Pourquoi ne pas prélever 10% sur l’enveloppe de la continuité territoriale « afin de financer à fonds perdu, la construction de structures hôtelières ? »... Investir l’argent public à fonds perdu dans les hôtels : voilà la recette !