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« Monsieur Sch. était membre d'un groupe d'extrémistes chrétiens dont le leader se réclamait
tant de JAKOB LORBER que aussi de ce que Dieu lui-même lui aurait dit
(au leader, C. D.). Dans le groupe, on est sur la voie de perfection,
le groupe se sent sur un "chemin extraordinaire" vers le salut.
Monsieur Sch. a fait la connaissance d’une femme dans ce groupe, ils
eurent un enfant ; sur les insistances du leader il fut proposé à
l’adoption, car les enfants gênent les parents sur le chemin de la
perfection. Heureusement le service pour la jeunesse a amené avec
succès les parents à reprendre l'enfant. Ils se sont mariés, mais les
problèmes n'ont pas cessé, finalement Mr Sch en a eu assez toujours de
se faire mettre sous pression pendant les dites « heures de
célébration » (réunions du groupe, C. D.) par le leader et il quitta le
groupe. Le couple divorça, la mère et l’enfant restèrent dans le
groupe. Après de longues batailles et discussions, les parents ont
maintenant la garde commune, et l'enfant vit chez le père. Monsieur
Sch. vint pendant trois ans me voir en consultation, pour se
mettre au clair avec lui-même. Dans une certaine mesure il y est
arrivé dans le cadre fixé. Il avait eu à supporter des coups et des
agressions dans la maison parentale et avait résolu tous les problèmes
par "refoulement". Il se prépare des stratégies de façon à pouvoir saper les plans des autres. C'est
dispendieux en temps et exténuant, mais c’est toutefois sa
manière de se débrouiller avec la vie. Il craint trop les
discussions personnelles. À l'aide de sa stratégie,
Monsieur Sch. a réussi à sortir du groupe, il fait à nouveau partie de
l'église nationale. »
Remarque : Comment se fait-il qu’il y ai toujours des problèmes avec les groupes de Lorberianer ?
N’est-il pas dit qu’il fait juger l’arbre à son fruit ?
….
Herr Sch. war Mitglied einer christlichen Extremgruppe, deren Leiter sich
jedoch
auch auf Jakob Lorber und auf das berief, was Gott ihm, dem Leiter, selber
gesagt hätte. In der Gruppe ist man auf dem Weg zur Vollkommenheit, die
Gruppe empfindet sich auf einem „außerordentlichen Weg“ zum Heil. Herr
Sch.
lernte in der Gruppe eine Frau kennen, sie bekamen ein Kind, es wurde auf
Drängen des Leiters zur Adoption freigegeben, denn Kinder hindern die
Eltern
am Weg zur Vollkommenheit. Glücklicherweise hatte das Jugendamt die
Eltern
erfolgreich bewogen, das Kind zurückzunehmen. Man heiratete, aber die
Probleme hörten nicht auf, schließlich hatte Herr Sch. es satt, sich stets in
den
sog. Lichtstunden vom Leiter unter Druck setzen zu lassen und verließ die
Gruppe. Die Ehe wurde geschieden, Mutter und Kind blieben in der
Gruppe.
Nach langen Kämpfen und Auseinandersetzungen haben die Eltern nun
das
gemeinsame Sorgerecht, und das Kind lebt beim Vater.
Herr Sch. kam drei Jahre lang zu mir zur Beratung, um sich einigermaßen
über
sich klar zu werden. Das ist im vorgegebenen Rahmen gelungen. Er hatte
Schläge
und Aggressionen im Elternhaus ertragen und hatte alle Probleme durch
„Abtauchen“ gelöst. Er legt sich Strategien zurecht, wie er Pläne anderer
unterlaufen kann. Das ist zeitaufwendig und aufreibend, aber seine Art mit
dem
Leben zurechtzukommen. Persönliche Auseinandersetzungen fürchtet er
zu sehr.
Mit Hilfe seiner Strategie ist Herrn Sch. der Ausstieg aus der Gruppe
gelungen, er
hat sich der Landeskirche wieder angeschlossen.
….