Vous êtes sur la page 1sur 6

Gymnase de Morges 2009,2010

Sévane Bercher

Test final en
traitement de
texte
Sévane Bercher-1m07 26 janvier 2010

Sommaire
Le développement durable, c’est quoi?.......................................................................................3
Trois exigences :..................................................................................................................... 3
La dégradation de l’environnement et ses conséquences............................................................ 3
Les énergies : comment préparer l’après-pétrole ?..................................................................... 4
Énergies renouvelables............................................................................................................... 5
Sévane Bercher-1m07 26 janvier 2010

Développement durable
Le développement durable, c’est quoi?
Le développement durable a été popularisé, en 1987, par le rapport de la Commission
mondiale sur l’environnement et le développement, dit rapport Brundtland (ancienne première
ministre norvégienne).

Trois exigences :
la viabilité environnementale, c’est-à-dire la protection des écosystèmes et des équilibres dont
dépend le maintien de la biosphère, l’entretien des écosystèmes productifs de ressources pour
les activités humaines, et l’établissement d’un environnement sain pour les habitants
la viabilité économique, visant une croissance économique soutenue et durable
l’équité sociale, qui inclut la reconnaissance de droits d’accès aux ressources et aux services
pour les plus démunis, ainsi que des droits à l’information et à la participation à la vie
publique.

La dégradation de l’environnement et ses conséquences


Principalement, les maux qui guettent notre environnement recoupent les domaines suivants:
la pollution, le changement climatique, l’urbanisation, la désertification, la pénurie en eau et
en ressources énergétiques, les déficits sanitaires.
Ces maux qui visent
l’état physique de
notre environnement
ont bien entendu des
conséquences sur les
aspects économiques
et sociaux de notre
environnement. Ces
différents aspects
sont indissociables.
Avec le concept de
développement
durable est né le
concept de
«stakeholder», traduit
en français par
l’expression «partie
prenante». Tous les
Figure 1un bel exemple de pollution de l'air dû à des usines
acteurs jouant un rôle
proche ou lointain
dans les domaines économiques, environnementaux ou sociaux, et bien évidemment
politiques sont des parties prenantes interdépendantes. Le concept de développement durable
impose donc désormais de comprendre le monde comme un tout, comme une chaîne
d’éléments interdépendants (paradigme de la complexité d’Edgar Morin). A l’heure de la
globalisation, il n’y a plus d’acteur isolé vivant en autarcie sur des terres inexplorées, il
n’existe que des parties prenantes.
Sévane Bercher-1m07 26 janvier 2010

Les énergies : comment préparer l’après-pétrole ?


La demande mondiale d’énergie augmente à un rythme de près de 2 % en moyenne par an
depuis le début de l’ère industrielle. Mais ce rythme peu descendre jusqu’à 1 % ou approcher
5 % selon les années.
Production énergétique suisse :
60 % de notre électricié est fournie parl’hydraulique
40 % par les 5 centrales nucléaires
Sévane Bercher-1m07 26 janvier 2010

Source : Martin, C. (2004). “Développement durable”, www.jeco.ch, juin 2004, p. 2-3.

Énergies renouvelables
Solaire thermique, photovoltaïque, éolien, géothermie, biogaz…, toutes les filières des
énergies renouvelables sont mises à contribution. Ainsi, selon l'Agence Internationale de
l'Energie1:
80%à partir de combustibles fossiles, pétrole, charbon ou gaz,
14 %de l'énergie consommée dans le monde serait produite à partir d'énergies
renouvelables,
6 %proviendraient du nucléaire. Beaucoup d'efforts sont donc encore à fournir.

Au niveau européen les objectifs depuis 2001 sont les mêmes. La part
minimale de consommation en provenance des énergies
renouvelables pour 2010 devra atteindre :
21,00 % pour l'électricité
12,00 % pour la consommation énergétique primaire
5,75 % pour les biocarburants

Pourtant aujourd’hui ces chiffres sont encore loin d’être une réalité. La part des énergies
renouvelables pour l’électricité était estimée à 14.2% à fin 2004 et à 5.61% pour la
consommation d’énergie primaire. Quant aux biocarburants, s’ils sont difficilement
quantifiables, ils restent marginaux.

Sources textes Martin,C.(2004) « Développement


Durable »,www.jeco.ch juin 2004-p.2-3
Actu-environnement (3 juillet 2006)Les
énergies renouvelables gagnent du terrain.
http://actu-environnement.com (site consulté
le 6 février 2007)
images …

1
AIE (Agence Internationale de l’Energie
Sévane Bercher-1m07 26 janvier 2010

Vous aimerez peut-être aussi