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1 On peut effectuer un suivi cinétique par différentes techniques non destructives (qui

n'affectent pas le milieu réactionnel) : mesure de pression ; mesure de conductance G ou 1 2


conductivité σ ; mesure de volume gazeux
2 -1
2 A est proportionnelle à c, donc A = k.c soit k = = = 3,4.10 L.mol 1 2 U
3 Le mélange réactionnel absorbe de la lumière à cause de la présence du diiode.
L'absorbance est proportionnelle à la concentration en diiode 1 2 3
notée c. On a donc c = or n(I2) = c (V1 + V2) donc nI2 (t) = (V1 + V2)
4 Pour t = 90 min, on lit dans le tableau A = 0,79 1 2 3 CHS U
n(I2)à t = 90 min = (10 + 10)× 10-3 ; n(I2)à t = 90 min = 4,6×10–5 mol
5 v = × . Le terme est égal au coefficient directeur de la tangente à la courbe
représentative de la fonction x = f(t) à la date t. Donc la vitesse est proportionnelle à ce
coefficient directeur. 1 2 3
On constate que ce coefficient diminue au cours du temps, donc v diminue. Pour
t > 80 min, la tangente est horizontale, donc v = 0. La transformation est terminée.
6 Au fur et à mesure, les réactifs sont consommés et donc leurs concentrations diminuent.
Ceci explique la baisse de la vitesse de réaction au cours du temps. Pour t > 80 min, le 1 2
réactif limitant est totalement consommé, la transformation n'évolue plus.
7 Il faudrait augmenter la température pour obtenir plus rapidement l'état final. 1 2
8 voir feuille annexe 1 2 3 4 5 6
9 Pour V < V'E , les ions thiosulfate sont en défaut et le diiode est en excès.
A l'équivalence les réactifs sont totalement consommés, ils ont été introduits dans les
proportions stœchiométriques. 1 2
Pour V > V 'E , les ions thiosulfate sont en excès, tandis que le diiode ayant disparu est le
réactif limitant. A l'équivalence, il y a changement de réactif limitant.
10 sans tableau d'avancement
A l'équivalence les réactifs ont été introduits dans les proportions stœchiométriques donc
n(I2)pour 5 mL = versé soit n(I2)pour 5 mL =
1 2 3 4 5
Le mélange réactionnel a un volume V1+V2 = 20,0 mL,
donc n(I2)pour 20 mL = 4× n(I2)pour 5 mL soit n(I2)pour 20 mL = 2c'.V'E quantité de matière de diiode
formé au bout de 90 minutes dans le mélange réactionnel.
–3 –3 –5
11 n(I2)pour 20 mL = 2×2,5×10 ×9,2×10 soit n(I2)pour 20 mL = 4,6×10 mol 1 2 CHS U
12 Oui la valeur calculée est compatible avec celle du A.4) puisque les deux méthodes
1 2 CHS U
conduisent effectivement au même résultat. /34
1 La zone grisée dans le diagramme (Z, N) est la « vallée de stabilité ». Elle correspond à la zone
1 2
dans laquelle les noyaux sont stables : ils ne se désintègrent pas.
2 En appliquant les lois de conservations sur le nombre de nucléons (A) et le numéro atomique (Z) lors d'une
réaction nucléaire, on a : Sm → : Nd + X
1 2 3 4
avec conservation du nombre de nucléons A : 148 = 144 + A ⇔ A = 4 ; conservation du nombre de charge Z :
62 = 60 + Z ⇔ Z = 2 ; La particule émise est un noyau d'hélium : He
3 Il s'agit donc d'une radioactivité de type alpha α. 1
4 L'azote 14 et le carbone 14 ne sont pas isotopes car ils n'ont pas le même numéro atomique 1 2
Z, (Z(C) = 6 tandis que Z(N) = 7).
5 Lois de conservation pour la réaction nucléaire: N + n → X + p
Conservation du nombre de nucléons A : 14 + 1 = A + 1 ⇔ A = 14
1 2
Conservation du nombre de charge Z : 7 + 0 = Z + 1 ⇔ Z = 6
La particule X est bien du carbone 14 : C.
6 λ est la constante radioactive caractéristique de chaque nucléide. 1
7 La demi-vie ou période t1/2 du carbone 14 est la durée au bout de laquelle la moitié d'une 1 2
population initiale de noyaux de carbone 14 est divisée par 2.

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8 Définition de t1/2 : N(t1/2) = N0/2 ;
Loi de décroissance : N(t1/2) = N0 × e   .t1/ 2
1 2 3 4 5 6
Par identification : = e   .t1/ 2 ⇔ 2 = e  .t1/ 2 ⇔ ln(2) = λ.t1/2
Finalement λ =
9 analyse dimensionnelle: [λ] = = donc λ est homogène à l'inverse d'un temps, λ s'exprime 1 2
en s-1.
10 L'activité A d'un échantillon radioactif est le nombre de désintégrations par seconde
N
L’énoncé indique que ∆N = –λ.N.∆t soit = – λ.N
t 1 2 3 4
En prenant ∆t = 1s, alors ∆N = – A. (exemple : 1 noyau désintégré en 1 seconde, alors Nfinal – Ninitial =
–1 = ∆N tandis que A = 1 ; Finalement A = λ.N
11 A = 13,5 désintégrations par minute donc A = en Bq.
D’après 10) on a N = et d’après 8) on a λ = , donc N = A
1 2 3 4 CHS U
A.N. : t1/2 = 5730 ans = 5730 × ( 60 x 5,26×105 ) s ; N = × N = 5,88 × 1010 atomes de carbone
14 dans 1 g de carbone. /32
1 λ = v/f = 10/50 = 0,20 m 1 2 3 CHS U
2 La fente est horizontale, les taches de diffraction seront donc disposées verticalement, la 1 2
figure observée correspond au schéma C.
3 a) VRAIE: La fréquence de l'onde est constante et indépendante de l'indice du milieu.
b) FAUSSE: λ = v/f , or la célérité v de l'onde dépend de l'indice du milieu n = c/v, soit v =
1 2
c/n où c est la célérité de la lumière dans le vide. si n augmente, alors v diminue et donc
λ diminue.
4 a) Non, quand la température T augmente alors la célérité augmente.
b) Non, la célérité du son reste constante quelque soit la fréquence du son émis. L'air n'est
pas un milieu dispersif pour le son. 1 2 3
c) Non, la célérité du son dans l’air est de 340 m.s-1 à 25 °C, elle n’est pas de l’ordre de
1000 km.s-1
5 Non, une perturbation à la surface de l’eau correspond à une onde transversale, la
perturbation va donc affecter le flotteur verticalement, il ne va donc pas se déplacer à la
célérité v de l’onde, qui elle se propage dans une direction horizontale. Le flotteur oscille 1 2
verticalement, puis après passage de l'onde il retrouve sa position initiale. La propagation
d'une onde s'effectue sans transport de matière.
6 Quand deux ondes se croisent en un point, la perturbation qui en résulte est la somme
géométrique des deux perturbations. Ensuite les ondes continuent à se propager sans avoir
été affectées par leur rencontre. Le cas C est la somme géométrique des deux
1 2
perturbations, mais pas au point de rencontre.
Le cas A est incohérent par rapport au sens de propagation initial.
C’est donc le cas B qui convient. /14
TOTAL : /80

NOTE : /20

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burette graduée contenant
une solution étalon de
thiosulfate de sodium (2Na+(aq)
+ S2O32–(aq)) de concentration
molaire en soluté apporté c’ =
2,5×10–3 mol.L-1

erlenmeyer contenant:
- de l’eau glacée
- le mélange réactionnel S de volume V = 5,0 mL.
agitateur magnétique - quelques gouttes d'indicateur de fin de réaction

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