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ELEMENTS DE RESEAUX:
ETHERNET et FAST ETHERNET
Cliquez sur le dessin ci-dessus pour obtenir la description d'un élément de réseau Ethernet
Ce schéma n'a pour but que de montrer un maximum d'interconnexions possibles sur un réseau Ethernet à 10 ou
100Mbits/s.
Transmission:
Câblage:
Thick Ethernet
Octobre1999
SWITCHS Ethernet
Caractéristiques d'un Switch:
Un Switch peut être considéré comme un matrice de connexion qui permet d'interconnecter simultanément
des segments ou des appareils à 10 Mbits/s ET/OU 100 Mbits/s.
A noter que certains modèles de switchs sont auto sensings, ce qui veut dire qu'ils adaptent la vitesse de
leurs ports (10/100 Mbits/s) à celle de l'appareil qui lui est connecté.
Chaque port d'un Switch fait partie d'un seul domaine de collision.
Chaque port du Switch apprend dynamiquement les adresses MAC (Ethernet) des équipements qui lui sont
connectés.
Le Switch possède un Buffer circulaire interne travaillant entre 1 ou 2 Gbits/s qui distribue les paquets
entrants aux ports de destination s'il y a concordance avec l'adresse apprise dynamiquement par celui-ci.
Exemple d'un Backbone en fibre optique connectant 3 switchs à 100Mbits Full Duplex, soit théoriquement
200Mbits/s (Trunk).
Il convoie également les information des adresses MAC collectées par chaque port, pour les répercuter sur
chaque Switch, selon un protocole propriétaire (LattisSpan chez BayNetworks).
Il existe une possibilité de connexion permanente virtuelle VLAN entre deux ou plusieurs Switchs, comme
le montre le dessin ci-dessus:
Ceci permet d'interconnecter plusieurs segments Ethernet ou Subnets sur un seul Trunk (Lien entre deux
Switchs à 100 Mbits/s Full Duplex).
NB: Certains constructeurs offrent des Switchs au niveau IP (3 du modèle ISO) pour réaliser des noeuds
de Backbone à la place de routeurs.
En résumé:
Documentation complémentaire:
Voir aussi la documentation de 3COM Switching Pocket Guide et Guide to 3COM Switches
Janvier 1999
ROUTEURS
Caractéristiques d'un Routeur:
Un Routeur est un appareil qui transfère des paquets en les analysant au niveau du protocole (Niveau 3 du
modèle ISO).
Un Routeur peut faire office de passerelle "Gateway" entre des réseaux de nature différentes (Ethernet à
FDDI, Token-Ring à Ethernet, ATM à FDDI)
Enfin, dans les cas de grands réseaux fortements maillés, il déterminera le meilleur chemin pour atteindre
une adresse considérée (Nombre de noeuds à franchir, qualité de la ligne, bande passante, etc)
Un Metric est un standard de mesure (Par exemple Path Lenght) qui est utilisé par les algorithmes de
routage pour déterminer le chemin optimal pour une destination.
Pour connaître les ports où faire passer les paquets, l'algorithme de routage crée et maintien des Tables de
routage qui contiennent une variété d'informations, comme le Destination/Next hop.
Lorsqu'un routeur reçoit un paquet, il cherche l'adresse du réseau de destination dans la table de routage et
l'envoie sur l'interface concerné ou vers la route par défaut si celle-ci ne s'y trouve pas.
Algorithmes de routage:
● Optimisation en sélectionnant la meilleure route dans tous les cas. Ceci dépend des Metrics. Par
exemple, un algorithme de routage peut utiliser le nombre de Hops et Delay mais peut mettre plus
de poids pour le calcul pour le Delay.
● Simplicité et Robustesse
● Rapidité de Convergence: La convergence est l'agrément entre tous les routeurs pour déterminer la
meilleure route . Lorsqu'un routeur rend ou détecte une route indisponible ou devenant disponible, il
informe ses partenaires en distribuant une mise à jour pour les tables de routage.
Sous-réseaux - Subnets:
On peut diviser un grand réseau appartenant à une classe d'adresse en sous-réseaux appelés Subnets. On
attribuera alors une partie du champs de l'adresse au numéro du Subnet.
Ceci limitera le trafic par zone géographique et limitera le taux de paquets Broadcast.
Subnet: Champ de n bits défini par le Subnet Mask (Ici 6 bits : 255.255.252.000) correspondant à un sous-
réseau particulier (Ex: Subnet Bastions xxx= 16 à 19)
Le Subnet Mask permet au routeur de déterminer la route des paquets destinés aux machines d'un même
sous-réseau. (Ipaddr AND Subnet Mask)
Il est possible de forcer une route dans les tables de routage en créant une route spécifique. On parle alors
de route statique, par opposition aux routes dynamiques qui sont "apprises" par les protocoles.
Tables ARP:
La table ARP Address Resolution Protocol contient les paires <Adresse du protocole - Adresse MAC >
nécessaires à l'acheminement des paquets sur les segments connectés aux interfaces du routeur. (Les
paquets issus d'un routeur contiennent l'adresse MAC de celui-ci!)
Les adresses contenues dans la table ARP n'ont pas une durée de vie illimitée. (240 min typiquement dans
les routeurs du réseau de l'UNIGE)
RIP et OSPF:
● RIP - Routing Information Protocol basé sur l'analyse des vecteurs de distance (Protocole utilisé à
l'Uni GE)
● OSPF - Open Shortest Path First orienté connexion (échange se "hello" avec les autres noeuds)
Filtrage et Briging:
Le routeur peut faire office de filtre pour certaines adresses: Adresses MAC ou Adresse du protocole.
On peut configurer le routeur de tele manière qu'il fasse office de Bridge pour certains protocoles et qu'il
route les autres (Exemple: IP, IPX routés et XNS "bridgé")
Protocole NTP:
Les routeurs peuvent faire office de serveur de temps en diffusant (Broadcast) dans les divers sous-réseaux
l'heure exacte obtenue par une horloge selon le protocole NTP - Network Time Protocol.
En résumé:
Documentation complémentaire:
Janvier 1999
BRIDGES
Caractéristiques d'un Bridge:
Un Bridge est un élément de filtrage qui permet d'isoler dynamiquement 2 segments d'un réseau ou de
coupler 2 segments distants en utilisant une ligne de vitesse plus faible que 10 Mbits/s. (Typiquement les
lignes modem).
Local Bridge:
Le dessin ci-dessus montre comment le Local Bridge 10/10 (10Mbits à 10 Mbits) isole dynamiquement les
segments Ethernet 1 et 2:
En fonction des paquets de Broadcast émis par les stations raccordées, le Bridge va "apprendre" les MAC
address est les inscrire dans 2 tables correspondant à chaque segment.
Chaque adresse de source émise par une station sera analysée par le Bridge pour savoir s'il doit répercuter
le paquet concerné (Forwarding) sur le segment opposé (A à D) ou pas (B à C).
On peut ainsi éviter de "polluer" tout un réseau avec le trafic concernant une salle de PC et un serveur
Novell, par exemple.
Certains Bridges offrent des possibilités de filtrage sur les MAC address.
Remote Bridge:
Un Remote Bridge est destiné à coupler 2 segments distants d'un même Subnet IP au moyen de modems
ou autres moyens de transmission à vitesse généralement inférieure aux 10 Mbits/s.
Un Remote Bridge offre les mêmes fonctionnalités qu'un Local Bridge, mais la connexion sur un média
(V35 ou RS422) de vitesse plus faible impose une mémoire plus grande pour satisfaire la contention /
décontention des données.
En résumé:
Janvier 1999
LaboWeb
TP No2: Bridges
But:
● Se familiariser avec les paramètres d'un Bridge HP 28673 A, en étant connecté à son port console
● Voir les tables d'adresses créées dynamiquement
NB: Pour pouvoir effectuer ce TP, il faut que votre Browser Web supporte Telnet (Options: Apps de
Netscape)
Travail pratique:
NB: Prière de ne pas mettre de mot de passe, de changer la vitesse de transmission du port console ou les
paramètre IP!
Janvier 1999
B
n BASE x : La jungle des dénominations
BRIDGES LaboWeb
C
CABLE en paires torsadées
CODAGE 4B5B
D
DWDM Dense Wavelenght Division Multiplexing
E
ELEMENTS DE RESEAUX Page d'accueil
F
FAST ETHERNET 100 Mbits/s
FTP LaboWeb
G
GESTION de réseaux
GIGABIT Ethernet
H
HISTORIQUE D'ETHERNET Version I
HUBS LaboWeb
I
IMAGES Images pour le Web
IMPRIMANTES LaboWeb
J
K
L
LABOWEB Laboratoire virtuel Liste des TP
M
MATOS Base de données du réseau
MODEMS LaboWeb
MULTIPLEXAGE DWDM
N
NETWORK MANAGEMENT des réseaux
O
OPTIVITY Logiciel de gestion de réseaux
P
PHOTO CD Images pour le Web
Q
QCM Questions à choix multiples
R
RADIO Liaisons par Radio
REPETEURS Ethernet
ROUTEURS théorie
ROUTEURS LaboWeb
S
SATELLITE Liaisons par satellite
SWITCHS LaboWeb
T
TRACEROUTE LaboWeb
U
V
VIDEO Vidéo pour le Web
W
WAV Format son
X
Y
Z
But:
En quelques mots et beaucoup d'images, une description de la gestion du réseau informatique de l'Université de Genève, ainsi
qu'une introduction au protocole SNMP - Simple Network Management Protocol et à la gestion par WWW.
La gestion des appareils de réseau est assurée essentiellement par trois ordinateurs (PC), installés à Uni-Dufour, qui
pilotent plus de 200 hubs, routeurs, bridges et autres switches, ainsi que l'accès par les modems pour lignes commutées
TRIBE et OCTOCOM.
Moyens:
Il existe plusieurs plateformes de gestion dont plusieurs sont basées sur le produit HP OpenView.
❍ OPTIVITY de Bay Networks, permet de gérer les hubs, switches de cette marque, ainsi que les routeurs CISCO.
❍ INTERCONNECT MANAGER de Hewlett-Packard gère les hubs HP
❍ WEBMANAGE de Tribelink assure la gestion des modems 28.8 (PPP) . Le même PC pilote les modems
OCTOCOM et, via WWW, l'accès à la base de donnée MATOS du câblage des sites et des équipements
raccordés au réseau.
Autres moyens:
❍ PING qui permet d'envoyer répétitivement des paquets à un noeud du réseau selon le protocole ICMP. Celui-ci
renvoie un paquet en écho. On mesure ainsi le taux de succès des échanges
❍ TRACEROUTE qui, par ICMP, donne une trace du chemin parcouru par le paquet, ainsi que les temps de transit
pour chaque noeuds du parcours
❍ D'autres plateformes de management Unix comme Sun Netmanager ou Netview d'IBM
❍ HUBwatch pour la gestion du matériel de réseau DIGITAL (GigaSwitch, hubs, etc..)
❍ RMON Remote Monitoring qui permet d'accéder aux mesures d'une sonde qui collecte les paquets pour en faire
des statistiques, comme le ferait un analyseur de réseau branché sur le segment distant. On a ainsi la possibilité de
voir la collection des mesures à la demande de la station de management.
Mesures de trafic:
❍ NNSTAT, programme installé sur une station UNIX permet de mesurer le trafic entrant (payant) et sortant du
réseau unige.ch.
■
On capturera ainsi les paires d'adresses source/destination au niveau IP, ce qui permet de quantifier le
trafic de chaque partenaire (Hôpital, Ville de Genève, etc.)
| Cours Network Management Toulouse | HP OpenView | LaboWeb Expériences en ligne | Bibliothèque virtuelle
| Page d'accueil des cours |
Janvier 1999
● Le protocole SNMP défini le dialogue entre une station de contrôle et un noeud du réseau
● Un agent est un logiciel qui fonctionne grâce au processeur de gestion d'un appareil ( Hub, switch,
routeur,etc..). On peut également installer un agent SNMP sur une station de travail ou un serveur
Le Protocole SNMP:
● get (var [,var,...]) requête de lecture de "var" qui déclenche une réponse de l'agent SNMP concerné
● get-next (var [,var,...]) retourne, le nom de la variable suivante, mais pas sa valeur. get-next permet de
traverser toute la hiérarchie d'une MIB
● set (var,val, [, var,val,..]) modifie la valeur de la variable, donc le comportement de la boîte pilotée (Ex.:
Partition d'un port à distance)
● La MIB est l'ensemble des variables permettant de définir l'état d'un noeud du réseau
● Elle est composée d'une partie standard, commune à tous les noeuds et d'une partie optionnelle permettant
d'exprimer la spécificité d'un noeud
Object Identifier - OI
Chaque objet de la MIB est identifié par une suite de nombre qui indique une arborescence qui va de ISO
(International Standards Organistion) à l'objet considéré en passant par ORG (Organisations), DOD
(Departement Of Defense), INTERNET et MGMT (Management).
Exemple:
Bibliographie:
The Simple Book par Marshall T.Rose - Prentice-Hall ISBN 0-13-812660-7 "LA" référence
SNMP, SNMP v2 and RMON par William Stallings - Addison Wesley ISBN 0-201-63479-1
J.-F. L'haire 99
OPTIVITY
Démonstation d'OPTIVITY, programme de gestion des appareils de BayNetworks. Optivity est construit
sur une plateforme SNMP HP OpenView.
Voir aussi, avant la démonstration, l'image d'accueil qui est le plan du réseau unige.ch.
Scenario:
Un utilisateur de la zone "Bastions" a débranché son PC du réseau (câble coaxial thin Ethernet) en
emportant le connecteur en "T", interrompant ainsi le segment de l'étage où se trouve son bureau.
Le hub Ethernet détecte la faute, isole le segment (Partionning) et envoie une alarme (Trap SNMP) à la
station OPTIVITY.
OPTIVITY permet, outre la gestion d'événements exceptionnels, d'effectuer des mesures de trafic et
d'erreurs du réseau:
● Par des graphes qui mesurent le trafic et traversant la totalité d'un hub ou d'un port en particulier.
De même, on peut procéder à des mesures d'erreur qui permettent d'identifier le noeud du réseau
qui est à l'origine des perturbations.
● Router Man qui permet de mesurer le trafic traversant un routeur par protocole (IP, IPX, Appletalk,
etc.), ainsi que les erreurs
Un autre aspect intéressant de ce produit est la possibilité d'action à distance sur un appareil:
● On peut établir une connexion Telnet pour configurer un bridge, un serveur de terminaux ou un
routeur, en sélectionnant l'icône de l'appareil considéré. De même, on peut effectuer un Ping sur
n'importe quel noeud du réseau qui répond au protocole ICMP.
● Il est possible de couper un port d'un hub depuis la station de management (Partition) pour isoler un
noeud.
● La fonction Set Threshold permet de définir des seuils de trafic ou d'erreurs qui auront pour effet,
s'ils sont atteints, d'envoyer un message à la station de management et, si on le désire, une fonction
automatique sera activée par le processeur du hub, comme la partition d'un port qui a dépassé le
niveau d'erreurs défini.
Chaque Network Management Module - NMM qui est le module qui répond aux requêtes SNMP, des
appareils du réseau, est capable d'aller chercher ses fichiers images et configuration par le protocole TFTP
ou BOOTP sur le disque de la station de management.
Les dernières versions de ces fichiers sont disponibles sur le serveur WWW de Bay Networks. On peut
ainsi, mettre à jour le firmware des hubs, switches etc. en installant un browser Web sur la station de
gestion du réseau.
● En installant le programme Carbon Copy sur la station OPTIVITY,ainsi qu'un modem sur une ligne
téléphonique, il est possible de prendre à distance, le contrôle de la station de gestion avec un
ordinateur portable connecté à un autre modem.
Ceci s'avère très utile pour le dépannage et la surveillance du réseau pendant les périodes de
vacances.
La version 7.1 d'OPTIVITY opérera sur une base WWW, comme les boîtes TRIBE et
WEBMANAGE.
J.-F. L'haire 99
WEBMANAGE
● 821, qui gère l'accès des modems OCTOCOM (modems à 14.4 kbits/s)
● La base de données MATOS qui contient toutes les informations concernant le réseau
J.-F. L'haire 99
TRIBE Link
Les Concentrateurs de terminaux et modems TRIBE permettent de connecter à un port Ethernet 8 modems ou
terminaux (PC, Mac ou Unix) qui utilisent le protocole PPP (Point to Point Protocol).
L'intérêt du point de vue Network Management de ces boîtes est qu'elles sont accessibles et pilotables par
WWW. Le contrôle d'accès (Username - Password) de tous les concentrateurs TRIBE est assuré par une seule
station Unix et le programme RADIUS.
Chaque concentrateur TRIBE "parle" HTML, et on l'accède par son adresse IP ou son nom:
Exemple: http://129.194.xxx.yyy
En guise de démonstration, vous pouvez parcourir une copie des pages HTML générées par un concentrateur
TRIBE.
NB: Il n'y a que quatre pages dans cette démonstration. Utilisez les flèches symboliques en bas de page pour les
parcourir.
TL8unige1 - Quickview
Name: TL8unige1
System: 2.5.1
Uptime: 22d, 20:41:07
IP addr: 129.194.16.18
Port Port Info Acct Account Info
Name: delaros7
Recv: 4826 packets, 339038 bytes
2 Xmit: 4410 packets, 1891583 bytes
Errs: 0 frame, 0 parity, 0 overrun
IP/PPP: 129.194.16.94
AT/PPP: disabled
Connected: 0d, 1:22:24
Name: frachebo
Recv: 1762 packets, 98837 bytes
3 Xmit: 1915 packets, 862835 bytes
Errs: 0 frame, 0 parity, 0 overrun
IP/PPP: 129.194.16.95
AT/PPP: disabled
Connected: 0d, 0:50:03
Name: moinat
Recv: 290 packets, 26506 bytes
5 Xmit: 279 packets, 26433 bytes
Errs: 0 frame, 0 parity, 0 overrun
IP/PPP: 129.194.16.97
AT/PPP: disabled
Connected: 0d, 0:15:44
Name: clerc4
Recv: 1070 packets, 56565 bytes
6 Xmit: 909 packets, 127229 bytes
Errs: 0 frame, 0 parity, 0 overrun
IP/PPP: 129.194.16.98
AT/PPP: disabled
Connected: 0d, 0:11:56
Name: ott
Recv: 763 packets, 53129 bytes
7 Xmit: 685 packets, 265106 bytes
Errs: 0 frame, 0 parity, 0 overrun
IP/PPP: 129.194.16.99
AT/PPP: disabled
Connected: 0d, 0:12:50
Name: weiss001
Recv: 225 packets, 15820 bytes
8 Xmit: 189 packets, 94582 bytes
Errs: 0 frame, 0 parity, 0 overrun
IP/PPP: 129.194.16.100
AT/PPP: disabled
Connected: 0d, 0:09:21
Port Status
Activity Log
Diagnostics
Mail Tribe support
TL8unige1 - Setup
● System information
● Protocols
❍ TCP/IP
❍ AppleTalk
● Accounts
❍ Users & routers (local database)
● Ports
❍ Modem init strings
❍ Serial 1
❍ Serial 2
❍ Serial 3
❍ Serial 4
❍ Serial 5
❍ Serial 6
❍ Serial 7
❍ Serial 8
● Restart
TL8unige1 - Status
● Port Status
● IP Routes
● Activity Log
● Diagnostics
TL8unige1 - Help
● Onboard manual
MATOS est une base de données qui contient toutes les informations techniques à la gestion du réseau.
Scénario:
Grâce à OPTIVITY, on a décelé des erreurs de transmission sur le port 1 slot #2 du hub 16.6.
● Un lien vers les bases de données des adresses IP du réseau (Oracle, listes de départements
autonomes, etc..)
● Un lien au programme "BigRouter" qui traque les duplifications d'adresses IP et les connexions
absentes ou erronées de la base de données
J.-F. L'haire 99
INTERCONNECT MANAGER
Scénario:
Comment on effectue une mesure du trafic et des collisions sur un hub de la zone des Bastions.
Ceci démontre la hiérarchie des images et des icônes, puisque l'on part d'une image de la Suisse pour
arriver mesurer les performances d'un hub situé au deuxième étage d'Uni-Dufour.
J.-F. L'haire 99
Le protocole SNMP utilise le réseau lui-même pour transmettre les mesures. En cas de "tempête" sur le
réseau, il s'avère difficile de transmettre des ordres aux composants du réseau, puisque celui-ci fonctionne
mal!
On peut donc dire qu'une station SNMP est un instrument "In band"de navigation par beau temps ou faible
houle...
Donc, il peut s'avérer nécessaire d'effectuer des mesures de la couche physique, c'est-à-dire de capturer les
paquets sur le câble.
Pour ce faire, on dispose d'analyseurs (Ethernet, ATM, etc ) que l'on peut aisément connecter sur le réseau
local. Par contre, si l'on veut mesurer un site à distance, il faut soit déplacer l'analyseur, ce qui peut être
fastidieux, ou si l'on dispose de circuits annexes, comme des fibre optiques supplémentaires, d'utiliser
celles-ci pour connecter l'analyseur "Out of band" au moyen d'un transceiver optique.
J.-F. L'haire 99
LaboWeb
Travail pratique:
Janvier 1999
| fibre optique | Gestion de réseau | Multimédia | Ethernet | Sans fil | Câblage | RNIS | Toulouse |
Voir aussi le cours "Système II" de David Billard
Bibliothèque Virtuelle
Toute reproduction même partielle de ces cours sans autorisation écrite de l'auteur est strictement
interdite.
Octobre 1999
Janvier 1999
Liaisons Satellite
Principe d'une liaison par satellite:
En plaçant un satellite en orbite géostationnaire, c'est-à-dire sur l'équateur, à une altitude de 36.000 km, on
peut réaliser des liaisons par faisceaux hertziens pour la téléphonie, la télévision et bien sur, les
transmissions de données.
L'image ci-dessus montre comment le bateau hôpital MV ANASTASIS télécharge le courrier électronique
via satellite à une station terrestre située à Lindale au Texas. Cette liaison travaille à 9600 Bits/s, donc à
faible vitesse.
Temps de propagation:
Comparaison du temps de propagation entre Genève et Washington entre une fibre paire de fibres optique
et une liaison par satellite.
Le temps moyen de 240 [mS] constitue une gène pour la téléphonie (écho) et pour la transmission de
données (Ralentissement au niveau du protocole - Acknowledge)
Transpondeur:
● La puissance d'émission du transpondeur dépend de la largeur du faiseau d'émission qui est lui-
même dépendant de l'antenne: Plus l'on veut une diffusion large, plus il faut de puissance.
● Pour la transmission des données, on peut généralement utiliser des canaux à 2 Mbits/s
● Les fréquences Uplink et Downlink sont différentes et espacées de 3 Mhz environ
● En polarisant les antennes (Polarisation orthogonale - X horizontal et Y vertical), on peut
augmenter le nombre de canaux par satellite
UPLINK DOWNLINK
14.458 [Ghz] 11.658 [Ghz]
14.375 [Ghz] 11.575 [Ghz]
14.291 [Ghz] 11.491 [Ghz]
14.208 [Ghz] 11.158 [Ghz]
En résumé:
● Bonne solution pour établir des liaisons là où il est difficile d'avoir des lignes de transmission
cuivre ou fibre optique (Pays en voie de développement)
● Bonne bande passante, mais délais de transmission importants
● Dépendance politique à l'égard du possesseur du satellite
● Stations terrestres plus chères que l'équipement de fin de ligne en fibre ou cuivre
Documentation complémentaire:
Voir aussi les sujets traitant des liaisons satellite à la conférence INET97
Janvier 1999
Liaisons Laser
Caractéristiques d'une liaison par Laser:
Lorsque que l'on a pas la possibilité d'établir une liaison par fibre optique ou ligne téléphonique dédiée, on
peut installer une liaison par laser, pour autant que les deux sites à relier soient distants de moins d'un
kilomètre et qu'il n'y ait pas d'obstacle au faisceau.
Ce sont deux appareils à infrarouge (1300 nM) travaillant à 2 Mbits/s. Ils sont couplés à une paire de
Remote Bridges.
On trouve des lasers qui se comportent comme une paire de Répéteurs à 10 Mbits/s et même des lasers à
155 Mbits/s pour ATM!
Voir aussi les photos d'une liaison laser qui traverse une rue et une fenêtre.
Dans ce cas, il faut respecter un angle du faisceau par rapport à la vitre de 30 degrés si l'on ne veut pas que
celle-ci se comporte comme un miroir!
En résumé:
● Bonne solution pour les cas difficiles entre bâtiments éloignés de quelques centaines de mètres au
maximum
● Relativement fiable, mais moins sur qu'une liaison cuivre ou fibre
● Bonne bande passante
Janvier 1999
REPETEURS
La version 1.0 d'Ethernet définissait un répéteur comme un élément actif permettant de coupler
directement deux segments de câble jaune. Deux segments distants de moins d'un Km pouvaient êtres
reliés par deux répéteurs pour fibre optique.
● Permet d'étendre la longueur du réseau au-delà des 500m d'un tronçon (4 répéteurs max entre deux
noeuds)
● Amplifie et régénère le signal
● Isole un tronçon défaillant - Partitionning - (Câble ouvert, par exemple)
● Adapte deux médias Ethernet différents (Fibre à coax, Thick Ethernet à Thin Ethernet)
Répéteur Multiport:
NB: De nos jours, les répéteurs ne sont plus utilisés que pour la conversion des médias:
En résumé:
Janvier 1999
Liaisons Radio
Caractéristiques d'une liaison Radio:
Ne seront évoqués que les moyens de connexion radio homologués en Europe qui travaillent dans la bande
de fréquence de 2.4 à 2.4835 Ghz et dont la puissance d'émission n'excède pas 100 mW.
Cette puissance limite considérablement la portée de ces liaisons: Entre 80 et 150m en milieu fermé et
300m en milieu ouvert.
Permet de relier deux segments dont le distance à vue ne dépasse pas 80 à 100m. La station principale fait
également office de Bridge, afin de limter le trafic sur la liaison hertzienne.
Ce système est utilisé pour toutes liaisons provisoires: Chantiers, conférences ou expositions.
Les ordinateurs portables sont équipés de cartes PCMCIA avec antenne qui communiquent avec une
station émetteur - récepteur assurant le couplage au réseau.
Si l'on doit assurer une grande mobilité des utilisateurs, il faut installer plusieurs stations relais qui
communiquent entre-elles par le réseau câblé.
Ainsi, un ordinateur identifié sur une première station le sera également sur les autres qui le prendront en
charge en fonction de la puissance reçue à l'antenne.
Il existe des cartes PCMCIA modem qui peuvent se coupler à un téléphone GSM. On peut ainsi
communiquer avec son portable sur tout le réseau des mobiles à 9600 bits/s.
Modes de transmission:
La modulation est du type FSK - Frequency Shift Keying à 2 ou 4 niveaux ( BFSK ou GFSK).
Direct Sequence - DSSS: Envoi des données sur une relative large bande qui permet un débit élevé, mais
qui rend le système peu résistants aux perturbations.
Frequency Hopping - FHSS: Technique plus sophistiquée qui consiste à faire changer de fréquence
l'émetteur après quelques ms, ce qui accroit l'immunité au bruit, l'atténuation n'étant pas constante en
fonction de la fréquence.
Les fours à micro-ondes sont une des source principale de perturbation des systèmes radio!
En résumé:
Janvier 1999
MODEMS
Caractéristiques d'un Modem:
● Les Modems pour ligne commutées (lignes domestiques) utilisant les mêmes circuits que le
téléphone classique - Mode Asynchrone, en général
● Les Modems pour lignes permanentes dédiées aux transmissions de données point à point entre
deux sites reliés par des circuits loués aux opérateurs des télécoms - Mode Synchrone
Ci-dessus, le schéma le plus simple de connexion entre un terminal (ou un PC utilisé comme tel) et un
ordinateur hôte.
Le Modem appelé DCE - Data Communication Equipment connecté au PC appelé DTE - Data Terminal
Equipment est configuré en mode appelant et celui raccordé à l'hôte en mode appelé.
Mode appelant:
Mode appelé:
La bande passante garantie par les opérateurs du téléphone se situe entre 800 et 3800 Hz, mais bien
souvent, la limite supérieure n'est pas atteinte. C'est pourquoi il a été défini deux canaux (1080 et 1750 Hz)
définis par des filtres passe bande.
On pourra ainsi utiliser simultanément les deux canaux pour pouvoir travailler en mode Full Duplex.
Les deux canaux utilisés en Full Duplex et les fréquences d'excursion de la modulation
un certain nombre d'états (16 dans l'exemple ci-dessus qui est celui d'un modem à 14.4 Kbits/s) auxquels
on associe 4 bits. Ainsi, en deux excursions de modulation et/ou d'amplitude, on a transmis la
représentation d'un octet.
En étudiant le schéma d'un Modem moderne, on retrouve la structure en bus classique d'un ordinateur, plus
quelques fonctions analogiques:
● Un processeur rapide capable d'analyser les fenêtres de la modulation QAM (32 Mips pour un
modem 28.8 Kbits/s..!)
● De la mémoire vive pour établir des tampons en émission et réception
● De la mémoire non volatile pour conserver les configurations
Les séquences de programmation AT pour Attention Code inventées par le constructeur de modems Hayes
est devenu un standard de facto.
Il défini un certain nombre de commandes qui permettent de dialoguer avec le modem, qui commencent
toutes par les deux lettres AT.
A chaque requête acceptée, le modem répond par OK et par ERROR en cas de fonction erronnée.
Considérons un ordinateur (DTE) qui à son port série connecté au modem (DCE), et qui est configuré à
57600Bits/s, 8 bits, no parity. Les deux lettres AT sont envoyées dans ce format.
A réception, le modem qui lui est configuré (par exemple) à 9600Bits/s, 7 bits, even parity, comparera
dans une table les deux caractères erronés reçus, ce qui lui permet d'ajuster ses propres paramètres à celui
de l'ordinateur (DTE).
Il répondra par OK pour faire savoir qu'il travaille selon les mêmes paramètres.
Hayes a défini un certain nombre de codes résultants de base aux commandes AT:
Il va sans dire que les codes résultants de base du tableau ci-dessus ont évolué avec les modems.
Il faut se référer au manuel du modem pour obtenir les séquences AT et les codes résultants de cet
appareil.
Les constructeurs proposent généralement une séquence d'initialisation standards appelée Factory Default
qui est stockée dans une ROM.
Pour écrire sa propre configuration par défaut dans la NVRAM, on entrera une chaîne de commandes
terminée par &W. (write)
Exemple: AT\N3\J0\Q3&W
\N3: Mode "autoreliable" - \J0: Pas de "Fallback" - \Q3: Flow control bidirectionnel
Les registres S: Permettent de paramétrer tous les timings entre signaux et la durée de ceux-ci. Se référer
au manuel pour en connaître les valeurs.
Mode de transmission:
Le mode de transmission est asynchrone (RS232) entre le Modem et le PC. La vitesse de transmission et
le contrôle de flux (XON/XOFF ou RTS/CTS) est ainsi que la taille des caractères et la parité sont définie
par la première séquence AT.
Le mode de transmission est synchrone entre les deux Modems, puisque celui qui émet crée une trame
issue d'une série de caractères asynchrone auxquels on a enlevé les start et stop bits.
Contrôle de flux:
● In Band au moyen de caractères de contrôle (XON et XOFF ou ACK et NACK). Ces caractères
peuvent traverser, si on l'a demandé avec une séquence AT, la liaison modem de bout en bout, afin
NB: Le contrôle de flux XON / XOFF ne peut être utilisé que pour les basses vitesses (< 9600 bits/s)
Correction d'erreurs:
Les modems sont capables de demander la retransmission du paquet entre-eux deux en cas de problème,
ceci de manière transparente au niveau de l'utilisateur.
Compression:
On peut optimiser un transfert en faisant appel aux techniques de compression sur la ligne téléphonique:
● MNP5 Run-Lenght Encoding qui est le codage des répétitions (Ex: AAAABBCCC= 4A2B3C) -
Compression 2 à 1
● MNP7 idem - Compression 3 à 1
● V42bis du CCITT LAPM Link Access Procedure (V42 + BTLZ British Telecom Lempel-Ziv) -
Compression 4 à 1
De plus, la méthode dite d'échange des dictionnaires, qui a lieu au début de la connexion (phase de
négociation), permet d'optimiser la transmission, puisque chaque modem va échanger une table contenant
à son début les caractères qu'il a le plus souvent transmis.
Modems ISDN:
Modems pour lignes ISDN (Ou RNIS pour Réseau Numérique à Intégration de Système) qui permettent
une vitesse de transmission de 64 Kbits/s, ce qui permet de fonctionner au niveau de la connexion
DTE/DCE à 128 voire 256 Kbits/s.
Pour relier deux réseaux distants, on peut utiliser les mêmes lacets téléphoniques des PTT, mais qui ne
passent par aucun organe de commutation. Si la ligne est très longue, il se peut qu'elle passe par des
amplificateurs logés dans les centraux PTT.
Les Modems à basse vitesse (Jusqu'à 64k) utilisent la transmission dite en "Bande de base", ce qui veut
dire l'image analogique du signal digital.
Actuellement, les Modems rapides utilisent les techniques de modulation en quadrature QAM, mais à plus
haute fréquence et avec plus de niveaux de modulation que les Modems pour ligne commutée.
L'interface avec le routeur ou le bridge sera de type V35, en paire différentielles par signal.
G 703.6
Pour réaliser une liaison rapide à 2Mbits/s, on peut louer une "tranche" de 2 Mbits/s dans un canal PTT à
34 Mbits/s réalisé en fibre optique.
Dans ce cas, Les PTT fourniront le convertisseur optique / cuivre (paire torsadée ou coaxial). Ce système
est moins onéreux pour des liaisons à moyenne et longue distance.
Pour de courtes distances, il est préférable d'utiliser des lignes téléphoniques cuivre.
En résumé:
● Un Modem MOdulateur - DEModulateur est un appareil permettant de transmettre des données sur
Septembre 1999
La norme fait état des vitesses de transmission 110 Bits/s (Teletype), puis pour les Modems: 150, 300,
600, 1200 Bits/s, etc.
De même, le signal électrique défini le "1" logique comme étant compris entre -3V et -15V et le "0" entre
+3V et +15V.
En mode asynchrone, la première transition de "1" à "0" est apelée Start Bit, qui sera suivit, par 5, 6, 7 ou
8 bits de données.
On peut définir le huitième bit comme étant le bit de parité. Dans ce cas, on transférera le caractère en 7
bits.
A la fin de la transmission du caractère, le signal doit obligatoirement revenir à "0", ce qu'on appelle le
Stop Bit, pour attendre le prochain Start Bit. On peut définir 1, 1.5 ou 2 Stop bits. On utilisait autrefois les
Stop Bits pour générer un délai avant le caractère suivant, pour laisser le temps aux composants
mécaniques de se remettre en place!
Aujourd'hui, on configure presque toujours les équipements en 8 Bits de données, pas de parité et 1 Stop
Bit.
Synchronisation du signal:
Lorsque l'on transmet un signal en mode asynchrone sur une ligne, le récepteur doit reconstituer celui-ci.
Pour celà, on utilise une horloge dont la fréquence est un multiple de la fréquence d'émission (16 ou 64
fois plus élevée).
Ainsi, on teste la polarité du signal entrant à chaque top d'horloge. Plus la fréquence des tops est élevée,
plus le signal sera reproduit fidèlement.
Un UART est un contrôleur connecté au bus d'un ordinateur (sur la carte mère d'un PC, par exemple), pour
faire office de convertisseur bidirectionnel Série / Parallèle et Parallèle / Série.
Il peut également effectuer le test de parité, tester l'Overrun (Un 2e caractère est arrivé avant que le
premier ne soit lu) et piloter les signaux modems:
Signaux Modems:
Lorsqu'il s'agit d'un modem pour ligne louée fonctionnant en mode synchrone, l'horloge est transmise par
la ligne, puis envoyée au DTE, après mise en forme par les deux canaux Transmit Clock et Receive Clock.
Les chiffres dans le rectangle DTE ci-dessus mentionnent les pins du connecteur normalisé V24.
Janvier 1999
LaboWeb
TP No1: Modems
But:
NB: Pour pouvoir effectuer ce TP, il faut que votre Browser Web supporte Telnet (Options: Apps de
Netscape)
Janvier 1999
LaboWeb
TP No6: Switchs
But:
● Se familiariser avec les paramètres d'un Switch HP J2980 A, en étant connecté à son port console
● Effectuer des mesures de trafic et d'erreurs
NB: Pour pouvoir effectuer ce TP, il faut que votre Browser Web supporte Telnet (Options: Apps de
Netscape)
Travail pratique:
Janvier 1999
Concentrateurs de Terminaux
Caractéristiques d'un Concentrateur de terminaux ASCII:
Un concentrateur de terminaux ou Terminal Server a pour but de raccorder au réseau Ethernet des
appareils à liaison série RS232 ou RS422 tels que les terminaux ASCII, les imprimantes à interface série
ou des modems.
Les concentrateurs de terminaux possèdent un certain nombre de ports série RS-232 ou RS-422 qui
peuvent êtres configurés de manière différente:
Protocoles supportés:
Petite histoire:
Avant l'installation des réseaux , les terminaux ASCII étaient connectés directement sur les ports série des
machines hôtes (Exemple: VAX de Digital).
Dès que les premiers segments de réseaux ont été disponibles, on a voulu y connecter les terminaux, pour
pouvoir atteindre plusieurs machines. Comme il n'y avait pas d'interface Ethernet disponible, on a utilisé
des concentrateurs de terminaux en mode Host reliés aux ports RS232 de la machine.
Cette configuration appelée par analogie du câblage Milk Machine, puisque les connexions série rappellent
les tuyaux de pompage du lait, a été utilisée de nombreuses années pour connecter les anciennes machines
au réseau.
En résumé:
● Les concentrateurs permettent de raccorder des équipements à interface série comme les terminaux
ASCII, les imprimantes et les modems
● Ils supportent au moins Telnet comme protocole IP et souvent Ping pour les tests, PPP et SLIP
● Ils sont capables de gérer les signaux des modems et le contrôle de flux
● On peut télécharger leur configuration à partir d'un serveur par TFTP ou BOOTP
Janvier 1999
LaboWeb
● Parcourir les paramètres de configuration d'un port RS232 d'un serveur de terminaux CS/100
NB: Pour pouvoir effectuer ce TP, il faut que votre Browser Web supporte Telnet (Options: Apps de
Netscape)
Votre PC ou station de travail se comporte comme un terminal ASCII connecté au port #11 d'un CS/100.
1. Taper C <Adresse IP> pour se connecter à une machine ( 129.194.12.35 pour UNI2A)
2. Taper <CTRL><SHIFT><6> pour se déconnecter
Janvier 1999
HUBS Ethernet
Un Hub peut être considéré comme un "prisme" électrique: Tous les paquets émis sur un segment ou
appareil connecté à l'un des ports sera repercuté sur tous les autres ports qui font partie du même domaine
de collision.
Un Hub est destiné à connecter des équipements 10 Mbits/s OU 100 Mbits/s. (Excepté les nouveaux hubs
10/100, voir ci-après)
Certains Hub peut être équipé d'un module de Management. Dans ce cas, on peut piloter celui-ci à distance
et effectuer des mesures de trafic et d'erreurs.
Image (capture d'écran de la station de Network Management) d'un Hub modulaire 10 Mbits/s comportant
trois types de média et un tiroir de Management équipé d'une prise AUI.
Image d'un Hub Stackable. On peut ainsi empiler en les connectants au moyen d'un câble parallèle des
modules de 12 ou 24 ports Twisted Pairs.
Seul le premier Hub est équipé d'un module fibre optique pour la connexion au Backbone et d'un module
de Management.
Une nouvelle génération de hubs est apparue sur le marché: Le Hub auto-commutable 10/100. Chacun des
ports du hub peut accueillir un appareil fonctionnant à 10Mbits/s ou 100Mbits/s.
Les deux hubs internes sont connectés par un switch interne pour assurer la conversion des vitesses.
En résumé:
Documentation complémentaire:
Janvier 1999
Pour franchir la limite des 10 Mbits/s et pouvoir travailler en duplex intégral, on utilise de la fibre optique
ou du câble à 4 paires torsadées Twisted Pairs.
Ainsi, les appareils du réseau ne sont plus connectés en bus, comme le câblage 10Base5 ou 10Base2
(Coax), mais raccordés en étoile sur des hubs ou des switchs distribués dans les bâtiments.
Avantages:
Inconvénients:
NB: Aujourd'hui, on n'installe que du câble catégorie 5 non blindé (UTP - Unshielded Twisted Pairs) ou
blindé (STP - Shielded Twisted Pairs) munis de connecteurs RJ45:
Catégorie 5:
STP - Blindé:
NB: Il y a une "guerre" entre les partisans d'UTP et de STP. Les gens favorables au câble blindé invoquent
le rayonnement (confidentialité) et les perturbations extérieures.
Les "Non blindés" prétendent que le mode de transfert en différentiel dans une paire élimine les risques de
perturbations et qu'un blindage défectueux constitue une merveilleuse antenne...
Il existe des appareils qui testent un certain nombre de critères de qualité d'un câble Cat 5 qui sont:
● La résistance ohmique
● L'atténuation
● La capacitance des paires
● La paradiaphonie et la capacitance entre les paires
Pour diminuer le risque de diaphonie, il faut réduire le couplage capacitif parasite entre les paires.
Ceci est réalisé (Cat 5) en réalisant un câble à 4 paires ayant des pas de torsade différents, ce qui empêche
les paires de s'imbriquer les unes dans les autres.
4-
Téléphone --- --- --- Illimité
5
1- 3-
10BaseT --- --- 100m
2 6
100VG- 1- 4- 3- 7-
100m
Anylan 2 5 6 8
1- 3-
100BaseTX --- --- 100m
2 6
1- 4- 3- 7-
100BaseT4 100m
2 5 6 8
1- 4- 3- 7-
ATM 51M 90m
2 5 6 8
ATM 1- 4- 3- 7-
90m
155M 2 5 6 8
1- 7-
CDDI --- --- 100m
2 8
Mode de transmission:
On envoie un signal différentiel de 2V sur une paire torsadée. Le récepteur mesurera la différence entre les
deux signaux.
Un parasite externe induira une perturbation de même signe sur les deux conducteurs de la paire, ce qui
sera annulé par le récepteur:
Documentation complémentaire:
Janvier 1999
L'Ethernet à 100Mbits utilise le même principe du CSMA/CD qu'Ethernet 10Mbits, mais 10 fois plus vite,
comme le montre la trame ci-après.
Il est possible de transmettre sur de la paire torsadée de catégorie 2 et 4, mais sur quatre paires, 100BASE T4.
Codage du signal:
Pour assurer une bonne transmission, on a intérêt à diminuer la fréquence de transmission sur la fibre ou la paire
torsadée.
Pour ce faire, on utilise la technique du codage 4B/5B, qui est la représentation d'une série de 4 bits en 5 bits.
Cette représentation garanti un maximum de 2 bits à zéro pour chaque symbole.
En faisant suivre cette représentation par un codage NRZI (Non Return to Zero), qui produit une transition
chaque fois qu'un "1" est transmis et pas de transition losqu'un "0" est transmis, on obtiendra une fréquence de
signal transmis sur le média diminuée d'un facteur 2.
Ceci permet de transmettre sur de plus longues distances, puisque l'atténuation et la déformation du signal sont
en partie fonction de la longueur.
Pour la transmission sur fibre optique (100BASE FX), on injecte le signal codé NRZI.
Pour la paire torsadée (100BASE TX), on transforme le signal NRZI en MLT3 à 3 niveaux, afin de diminuer le
rayonnement parasite.
L'adaptateur au media (Fibre ou paire torsadée), équivalent du transceiver s'appelle un PHY - Physical Layer
Device.
Il est connecté à un device au moyen d'un câble MII (correspondant à l'AUI) ou installé sur la carte mère d'un
ordinateur (ou carte PC).
C'est lui qui code et décode en 4B/5B (PCS), qui code en NRZI (TX et FX) et qui adapte le signal en MLT3
(TX).
Il existe des transceivers PHY pour 100BASE TX, 100Base T4 et 100BASE FX.
Auto-négociation:
Certains interfaces Ethernet, tels les adaptateurs pour PC ou station de travail, ou les Switches sont capables
d'adapter leurs vitesses (10/100) et le type de transmission (Half ou Full Duplex).
Ceci est réalisé lors de l'échange, à l'enclenchement, du Fast Link Pulse - FLP qui est l'équivalent du Normal
Link Pulse - NLP utilisé par le 10BASE T pour le test d'intégrité.
Ainsi, si les deux partenaires supportent l'auto-négociation, ils resoudront la manière de travailler ensemble selon
l'ordre du tableau ci-après:
Contrôle de flux:
Le contrôle de flux permet d'éviter, lors d'une transmission Full Duplex, la perte d'information par congestion.
Supposons un serveur connecté à un Switch en 100BASE TX Full Duplex, qui transmet à un PC connecté au
même Switch en 10BASE T.
Le buffer de réception du Switch sera rapidement plein.
Pour résoudre ce problème, il faut activer la fonction Flow Control du Switch et du serveur.
Ainsi, lorsque le récepteur aura son buffer proche d'être plein, il enverra à l'émetteur un signal XOFF, ce qui fera
"taire" immédiatement ce dernier.
Lorsque le récepteur aura vidé son buffer, il enverra un signal XON pour continuer la transmission.
Janvier 1999
Codage 4B/5B
Groupe de 4 bits Symbole 5 bits
0000 11110
0001 01001
0010 10100
0011 10101
0100 01010
0101 01011
0110 01110
0111 01111
1000 10010
1001 10011
1010 10110
1011 10111
1100 11010
1101 11011
1110 11100
1111 11101
Août 1997
LaboWeb
TP No3: Hubs
But:
● Se familiariser avec les paramètres d'un Hub HP 28688 B, en étant connecté à son port console
● Activer et désactiver un port
● Trouver l'adresse Ethernet du PC Alptech
NB: Pour pouvoir effectuer ce TP, il faut que votre Browser Web supporte Telnet (Options: Apps de
Netscape)
Travail pratique:
NB: Prière de ne pas mettre de mot de passe, de changer la vitesse de transmission du port console ou les
paramètre IP!
Le Hub est un don Hewlett-Packard Laboratories à Bristol - UK
Janvier 1999
Le câble "Thin Ethernet" appelé aussi 10 Base 2 est utilisé pour la distribution d'Ethernet dans les bureaux ou groupes de
travail, en reliant en chaîne des ordinateurs connectés à un Hub ou un répéteur.
Toute interruption de cette chaîne ( Terminaison enlevée, câble interrompu) entraîne la mise hors service du segment
connecté à un port du Hub ou du Répéteur.
Janvier 1999
MESURES DE REFLECTOMETRIE
Le réflectomètre est un instrument qui permet de localiser les défauts d'un câble ou d'une fibre optique,
suivant le genre d'appareil.
Le principe est d'envoyer une impulsion calibrée dans le câble ou la fibre et de mesurer le signal réfléchi.
Si le câble est correctement terminé par une résistance égale son impédance, le signal émis sera
entièrement absorbé et on ne mesurera aucune réflection.
Dans le cas contraire, on obtiendra un signal réfléchi négatif en cas de court-circuit ou de trop grande
absorbtion et un signal positif, si le câble est ouvert ou mal adapté par une résistance de trop grande valeur.
Le temps de propagation dans le câble ou la fibre donne la mesure en [m] de l'endroit du défaut par rapport
au réflectomètre ou des pertes par atténuation, dans le cas de la fibre optique.
● z1 = impédance du câble
● z2 = impédance de la terminaison
● Aréf = Signal réfléchi
● Aém = Signal émis
Câble en court-circuit
Câble ouvert
Janvier 1999
MESURES DE QUALITE
Après avoir installé une liaison en fibre optique, il convient de mesurer la perte induite par la fibre elle-
même et par les connexions effectuées.
Le Power meter constitué d'une paire étalonnée d'émetteur-récepteur de lumière, permet de mesurer la
totalité de la perte de la ligne en [dB].
Le Réflectomètre est un appareil qui envoie une impulsion optique dans la fibre.
Un écran permet de visualiser l'allure du signal rétrodiffusé ou réfléchi dans le verre. On peut ainsi
mesurer avec précision la longueur de la liaison et les pertes engendrées à chaque connexion.
En outre, cet appareil est très utile pour localiser les coupures éventuelles de la fibre et pour identifier la
connexion qui est la cause d'une trop grande perte optique.
Le Power meter ne donne que la perte globale de la liaison; le Réflectomètre indique où se trouve la
connexion défectueuse.
NB: Ces instruments peuvent être étalonnés au Laboratoire d'optique fibrée de l'office fédéral de la
métrologie
Cette page a été corrigée par M. Francis Regamey de l'OFMET. Qu'il en soit remercié!
UN PEU DE THEORIE
Le transceiver optique a pour fonction de convertir des impulsions électriques en signaux optiques
véhiculés au coeur de la fibre. A l'intérieur des deux transceivers partenaires, les signaux électriques seront
traduits en impulsions optiques par une LED et lus par un phototransistor ou une photodiode.
- Les LED Light Emitting Diode qui fonctionnent dans l'infrarouge (850nm). C'est ce qui est utilisé pour
le standard Ethernet FOIRL.
- Les lasers, utilisés pour la fibre monomode, dont la longueur d'onde est 1310 nm ou 1550nm
- La fibre à saut d'indice 200/380 constituée d'un coeur et d'une gaine optique en verre de différents
indices de réfraction. Cette fibre provoque de par l'importante section du coeur, une grande dispersion des
signaux la traversant, ce qui génère une déformation du signal reçu.
- La fibre à gradient d'indice dont le coeur est constitué de couches de verre successives ayant un indice
de réfraction proche. On s'approche ainsi d'une égalisation des temps de propagation, ce qui veut dire que
l'on a réduit la dispersion modale. Bande passante typique 200-1500Mhz par km. C'est ce type de fibre qui
est utilisé à l'intérieur des bâtiments de l'Université (62.5/125) et entre certains sites desservis par les PTT
(50/125).
- La fibre monomode dont le coeur est si fin que le chemin de propagation des différents mode est
pratiquement direct. La dispersion modale devient quasiment nulle. La bande passante transmise est
preque infinie (> 10 Ghz/km). Cette fibre est utilisée essentiellement pour les sites à distance.
Le petit diamètre du coeur (10um) nécessite une grande puissance d'émission, donc des diodes laser qui
sont relativement onéreuses.
Le dessin ci-dessus indique comment se produit la réflexion des signaux lumineux en fonction de leur
angle d'émission. Ce qui démontre que le chemin parcouru n'a pas la même longueur pour tous les rayons.
C'est ce que l'on appelle la dispersion nodale.
L'affaiblissement de la lumière dans la fibre est fonction de la longueur d'onde de la source. Elle est
constante pour toutes les fréquences du signal utile transmis. Le dessin ci-dessus montre que
l'affaiblissement est plus important vers (850nm) que dans l'infrarouge (1300-1550nm).
La première étape consiste en l'assemblage d'un tube et d'une barre de verre cylindrique montés
concentriquement. On chauffe le tout pour assurer l'homogenéité du barreau de verre.
Un barreau de verre d'une longueur de 1 m et d'un diamètre de 10 cm permet d'obtenir par étirement une
fibre monomode d'une longueur de 150 km environ!
Le barreau ainsi obtenu sera installé verticalement dans une tour située au premier étage et chauffé par des
rampes à gaz. Le verre va s'étirer et "couler" en direction du rez pour être enroulé sur une bobine.
On mesure l'épaisseur de la fibre (~10um) pour asservir la vitesse du moteur de l'enrouleur, afin d'assurer
un diamètre constant.
Chaque bobine de fibre fait l'objet d'un contrôle de qualité effectué au microscope.
Puis on va enrober le verre d'un revêtement de protection (~230 um) et assembler les fibres pour obtenir le
câble final à un ou plusieurs brins.
Les trois séquences video qui suivent montrent comment l'on monte un connecteur ST au moyen d'une
simple pince àsertir.
C'est cette technique que nous utilisons largement pour raccorder les appareils du réseau. Cette méthode
tend à remplacer l'ancienne méthode qui nécessitait un collage de la fibre à l'intérieur du connecteur au
moyen d'epoxy.
Il existe nombre de connecteurs pour la fibre optique. Les plus répandus sont les connecteurs ST et SC .
Pour les réseaux FDDI, on utilise les connecteurs doubles MIC .
Il faut encore citer les connecteurs SMA (à visser) et les connecteurs FCPC utilisés pour la fibre
monomode.
Connecteur ST
Connecteur SC
- Le couplage mécanique de deux connecteurs mis bout à bout au moyen d'une pièce de précision. Le
dessin ci-dessous montre l'union de deux connecteurs ST, mais il existe des coupleurs ST/SC ou ST/MIC.
- Le raccordement par Splice mécanique qui est utilisé pour les réparations à la suite de rupture ou pour
raccorder une fibre et un connecteur déja équipé de quelques centimètres de fibre que l'on peut acquérir
dans le commerce(Pig tail).
Boîte de connexion oùl'on peut installer des coupleurs ou des connecteurs Pig tail.
EXEMPLES DE REALISATIONS
Installé en 1985-86, le panneau de distribution des fibres dans le local des PTT situé au sous-sol d'Uni-
Dufour est le noeud de communication central du réseau de l'Université.
C'est d'ici que partent les liaisons informatiques Ethernet ou ATM vers les sites les plus importants, mais
ce sont ces mêmes liaisons qui ont permis de relier les centraux téléphoniques.
Une partie de ces fibres vont directement au central PTT logé sous la Plaine de Plainpalais.
Transceivers fibre optique multimode et monomode des sites à distance connectés aux routeurs
correspondants.
Transceivers optiques pour les liaisons Ethernet via les fibres PTT
Les fibres arrivent jusqu'au postes de travail du personnel des SEINF ou des membres du CUI. Ainsi, on
peut connecter les stations à Ethernet, FDDI ou ATM.
Le GigaSwitch commute les trames FDDI du Backbone ou sont raccordés les principaux serveurs et les
routeurs du réseau.
VIDEO MPEG 5,4 Meg Installation de la fibre optique en aérien dans le campus de l'Université
d'Hô Chi Minh Ville
Pour rentabiliser cet investissement, il a été prolongé jusqu'à Genève (Vengeron) pour pouvoir desservir d'autres
partenaires:
Etat de Genève, Swiss Control, CFF et Gaznat.
Depuis le Vengeron, ce câble suivra l'autoroute jusqu'à l'aéroport, (CFF et Swiss Control) puis, en empruntant les galeries
des SIG,
arrivera jusqu'au CETI (Rue du Stand).
Depuis ce point, on pourra relier l'Université et L'Hôpital Cantonal.
Les liaisons Uni Genève-Uni Lausanne, Etat de Genève-Etat de Vaud et HCUG-CHUV seront alors possibles à haute
vitesse,
pour les données et la téléphonie.
VIDEO MPEG 4.6 Meg Soufflage de la fibre dans le tunnel des SIG
Janvier 98
De nos jours, la fibre optique est un media qui est utilisépour transmettre toutes le données numériques,
telles que les paquets Ethernet, FDDI et ATM du réseau informatique, la video et le son, puisque les
centraux téléphoniques de l'Universitésont couplés entre-eux par des fibres.
L'Université de Genève a, depuis 1985, installé nombre de kilomètres de fibre pour ses besoins en
transmission de données. Tant entre les bâtiments, avec l'aide des PTT et du DTP, qu'à l'intérieur de ceux-
ci, jusqu'au poste de travail.
Les pages qui suivent, démontrent comment l'on fabrique la fibre, comment on la connecte et comment on
la mesure.
Merci aux Câbles de Cortaillod - ALCATEL SA qui ont fourni une excellente documentation technique,
ATTENTION !!
Ce document est illustré par de nombreuses séquences VIDEO MPEG qui nécessite l'installation d'un
"Viewer MPEG" sur votre poste de travail.
Un peu de théorie
La connectique
Quelques réalisations
Janvier 1999
● Une imprimante à interface série peut se connecter au réseau par l'intermédiaire d'un serveur de
terminaux, par un PVC - Permanent Virtual Connection
● Une imprimante parallèle peut être raccordée au moyen d'un Print Server, qui supporte les
protocoles IP, IPX et AppleTalk
● Une imprimante plus évoluée possède un interface Ethernet.
NB: Un Print Server peut piloter également toutes sortes d'interfaces séries ou parallèles, comme des
commandes d'éclairage, de sonorisation. Voir l'exemple ci-après:
Démonstration Online:
Documentation complémentaire:
Juillet 1997
LaboWeb
● Se familiariser avec les paramètres d'un Serveur d'imprimantes EPS, en étant connecté à son port
console
NB: Pour pouvoir effectuer ce TP, il faut que votre Browser Web supporte Telnet (Options: Apps de
Netscape)
Travail pratique:
Janvier 1999
● Chaque trame Ethernet débute par un Préambule qui a pour but de synchroniser les récepteurs des
appareils connectés et d'effectuer le test de collision
● La fin du préambule est identifiée par deux bits à "1" appelé Start
● Suivent les adresses de Destination et de Source codées sur 48 bits et attribuées par licence de
Xerox. On obtient ainsi une adresse unique au monde (48 bits = plus de 140 trillion d'adresses!).
L'adresse contient le code du constructeur de l'adaptateur Ethernet, qui est écrit dans une ROM
● Après la Source, le Type qui donne sur 8 bits le protocole utilisé dans les données (802.3)
● Les Données contiennent en plus l'adresse propre au protocole choisis (Ex: Adresse IP)
● Le CRC Circle Redundant Check qui est le OU exclusif des tranches de 32 bits calculé de l'adresse
de destination à la fin des données. Ce même calcul sera effectué par la carte réseau du récepteur
pour valider le paquet
● Le temps entre deux paquets Interframe Spacing ne doit pas être inférieur à 9.6 uS
Codage du signal:
Dans la version 1.0 d'Ethernet, la détection de collision s'effectuait par chaque noeud, en "écoutant" en
permanence le câble: Ce que je reçois doit être équivalent à ce que j'émets, si c'est différent, c'est qu'il y a
collision.
Si, par hasard il y a un autre noeud qui a suivi le même processus, il aura collision dans le préambule, ce
qui ne constitue pas une erreur!
Par contre, si la collision a lieu après le Start, c'est une erreur - Late collision
NB: Les versions suivantes d'Ethernet ont défini que le mécanisme de détection de collision a lieu dans le
Transceiver, en détectant un changement d'amplitude du signal:
● Impédance 50 Ohms
● Diamètre 12 mm
NB: Selon la nouvelle terminologie, ce type de câble est aussi appelé 10 Base 5
Les Transceivers:
Les transceivers ont pour but de coupler un noeud du réseau au câble. Ils assurent l'adaptation d'impédance
et la séparation des signaux de réception et d'émission dans un câble à paires torsadées appelé Drop Cable.
● Le modèle pour câble jaune, équipé d'une tête AMP Bee Sting qui permet de raccorder un élément,
sans interruption du service en perçant le câble pour faire contact avec l'âme du coax au moyen d'un
"Dard", la connexion du blindage s'effectuant avec deux griffes qui percent l'isolation
● Le même modèle pour câble jaune, mais équipé d'une tête à connecteurs type N
● Les transceivers pour fibre optique (Une fibre pour chaque sens (Rx et Tx) pour fibre multimode ou
monomode
NB: Les transceivers externes sont alimentés par l'appareil qu'ils raccordent, c'est pourquoi une paire du
Drop Cable est utilisée pour véhiculer du 12V.
Les Transceivers sont équipés pour connecter le Drop Cable d'un connecteur à 15 pôles appelé AUI -
Attachment Unit Interface.
Il existe un appareil actif appelé Fan-out qui permet de connecter un certain nombre d'équipements AUI sur
un seul transceiver. Il constitue ainsi une sorte de fiche multiple de connexions AUI.
Ainsi, un Fan-out peut constituer à lui seul un segment de réseau, puisque tous les paquets de tous les
appareils sont répercutés sur tous les autres. Un Fan-out peut être considéré comme une sorte de "prisme"
électronique.
Janvier 1999
GigaBit Ethernet
Après le Fast Ethernet à 100 Mbits/s, un groupe de constructeurs a fondé la Gigabit Ethernet Alliance dans le but de promouvoir
l'Ethernet à 1000 Mbits/s.
But: Conserver la simplicité d'Ethernet et augmenter la vitesse des backbones. Il est proposé comme standard sous l'appellation
IEEE 802.3z.
Couche MAC:
Actuellement, les fournisseurs proposent des interfaces pour fibre optique Multimode -1000BaseSX.
Toutefois, le standard propose des connexions par UTP Catégorie 5 sur 4 paires torsadées. On devrait donc trouver des équipements
qui supportent ce média en l'an 2000...
On voit très bien la combinaison GigaBit Ethernet - Fast Ethernet, avec cascade de Switchs.
Pour permettre la diffusion de films encodés en MPEG II, simultanément sur 24 postes de travail et en temps réel, on doit pouvoir
assurer un flux de trames Ethernet suffisant.
Ceci est réalisé en installant un réseau commuté. Le serveur Mediabase qui est composé de 2 machines Silicon Graphics ORIGIN
200, comporte deux interfaces Gigabit 1000BaseSX (Multimode) pour dessevir 2 subnets du réseau de l'Uni.
Chaque poste de travail est relié au Swich par une liaison Fast Ethernet.
Le PC d'encodage numérise directement les séquences vidéo en MPEG II et les stockes sur le serveur en envoyant des paquets
UDP.
Documentation complémentaire:
Octobre 1999
GigaBit Ethernet:
Août 1997
Multiplexer 8 canaux en utilisant des filtres électroniques pour isoler chaque canal.
Ainsi, on peut transmettre 8 liaisons à 2.5 Gbit/s sur une seule fibre, d'où économie de 7 fibres et autant de paires de répéteurs.
---------------------
Octobre 1999
Diapositive PPT
Diapositive 1 sur 7
Diapositive 2 sur 7
Diapositive 3 sur 7
Diapositive 4 sur 7
Diapositive 5 sur 7
Diapositive 6 sur 7
Diapositive 7 sur 7
100Mbits/s FDX
Switch central
Serveurs
Diapositive PPT
Hubs 10 Mbits/s
Panneau de brassage
fibre optique
vers sous-sol
Panneau de brassage
Connecteur RJ45
Fibre optique
Gaine technique
Gaine technique
Gaine technique
Gaine technique
Fibre optique
vers Uni-Dufour
Eléments actifs:
Hubs 10/100
Switchs
Câble UTP
Catégorie 5
Gaine technique
Canal d’allège
Canal d’allège
100m
136m
136m
2 Km
Uni-Mail, cas le plus défavorable au 6ème étage: 180m de fibre + 35m de câble UTP
Inventaire non exhaustif des possibilités multimédia pour illustrer des pages Web à l'Université
Toute reproduction même partielle de ces cours sans autorisation écrite de l'auteur est
strictement interdite.
Sélectionnez une des images de droite (GIF ou JPEG) pour juger de la qualité en fonction du facteur
de compression
L'image originale a été prise dans les rues d'Hô Chi Minh Ville avec un appareil de photo traditionnel 24x36.
Le négatif à été envoyé aux laboratoires KODAK qui ont créé un CD ROM. Sur un tel CD , on peut stocker 100
photos issues de Dias ou de négatifs.
Pour pouvoir utiliser cette image sur une page web, il faut la compresser pour limiter le temps de transfert sur le
réseau:
● GIF non entrelacé, format réduit de 3,7M à 286K en réduisant le nombre de couleurs
● GIF entrelacé qui permet d'afficher l'image en 4 fois
Caméras:
● Appareils photo digitaux (Sony, Cannon, etc) qui produisent directement des images
JPEG ou GIF. Voir exemple pris avec un appareil Canon.
● Les "Snap shot" obtenu de sources vidéo par l'intermédiaire de cartes de capture ou
de boîtes branchées sur le port parallèle du PC. Voir exemple pris par une caméra vidéo.
● Au moyen d'une caméra web connectée au réseau et qui délivre une photo
chaque fois que l'on fait appel à son URL. Voir exemple d'une caméra installée dans le hall d'Uni-Mail
pendant le dépouillement des élections au Conseil d'Etat 1997.
Idée: Installer une caméra Web dans votre laboratoire pour montrer une expérience pendant le cours?
Créer des animations est facile grâce aux fichiers "GIF animés".
Pour le monde PC, il existe un programme Shareware appelé Gif Construction Set qui permet réaliser des
animations à partir de
fichiers images .GIF type 89a.
Pour les autre systèmes d'exploitation, il existe nombre de programmes pour créer des GIF animés.
<= Cliquez pour télécharger Gif Construction Set d'Alchemy (N'oubliez pas de le
payer..)
VRML
VRML Virtual Reality Modeling Language est un langage de programmation qui permet de créer des
animations 3D développé par Silicon Graphics.
Ces animations peuvent êtres visualisées sur le Web pour autant que l'on dispose d'une station puissante:
Voir la page de démonstrations préparée par J.-F. Rossignol et en particulier, la démo la moins
gourmande en ressouces, les Flying folders.
Son
Il y a deux manières de reproduire du son dans des pages web:
Fichiers son:
Tous ces fichiers son aux formats différents seront interprétés par le NAPLAYER de Netscape
Real Audio:
Pour reproduire des documents sonores plus longs (Emissions de radio, cours de 45 min), on aura recours
à un serveur tel que celui de Real Audio, qui charge en continu l'information sonore, alors qu'elle est
interprétée au fur et à mesure par le "Plugin" correspondant.
Si ce n'est fait, vous devez installer le Plugin de Real Audio le plus récent en cliquant ici =>
Puis, vous pourrez écouter les dernières nouvelles de la Radio Suisse Romande en cliquant ici =>
Idée: Diffuser des cours enregistrés ou des archives sonores sur le Web!
Les documents .mid ou .wav, bien que de très bonne qualité audio, ne sont utilisables que pour des
morceaux de musique courts, tant la
taille des fichiers générés est grande.
Avec la compression MP3 (MPEG2 Audio Layer 3) , il est possible de comprimer des fichiers audio
(.wav) en conservant une
qualité de reproduction de type CD audio.
Voyez comment l'on a compressé d'un facteur 11,02 une pièce musicale du groupe Fish4Lunch en
Voici où et comment acquérir les programmes nécessaires pour digitaliser et reproduire en MP3:
● Cooledit 96 permet de digitaliser (audio => .wav) et d'éditer le fichier obtenu (PC)
● Mpeg Encoder converti en compressant (.wav => .mp3) (PC)
● Win Amp reproduit les fichiers .mp3 pour les PC (Mime type: audio/mpeg)
Lorsque vous aurez installé Win Amp ou Mac Amp, vous pourrez charger le morceau de musique du
groupe Fish4Lunch.
Compatibilité: Win95 WinNT Mac SUN SGI ( Pour Unix, il existe plusieurs Players
domaine public Solaris, Linux, ..)
Idée: Collaborer avec le groupe de calcul parallèle du CUI pour développer un encodeur rapide
MPEG et MJPEG
03.01.98
MPEG 1 et 2 « Frames » I
MPEG 1 et 2 « Frames » P
MPEG 1 et 2 « Frames » B
Diapositive 1 sur 5
Diapositive 2 sur 5
Diapositive 3 sur 5
Diapositive 4 sur 5
Diapositive 5 sur 5
MPEG 1 et 2 « Frames » B
1 I frame
2 B frame
3 B frame
4 P frame
5 B frame
6 B frame
8 B frame
9 B frame
11 B frame
12 B frame
13 I frame
7 P frame
10 P frame
suivantes
MPEG 1 et 2 « Frames » P
1 I frame
2 B frame
3 B frame
4 P frame
5 B frame
6 B frame
8 B frame
9 B frame
11 B frame
12 B frame
13 I frame
7 P frame
10 P frame
MPEG 1 et 2 « Frames » I
1 I frame
2 B frame
3 B frame
4 P frame
5 B frame
6 B frame
8 B frame
9 B frame
11 B frame
12 B frame
13 I frame
7 P frame
10 P frame
2 B frame
3 B frame
4 P frame
5 B frame
6 B frame
8 B frame
9 B frame
11 B frame
12 B frame
13 I frame
7 P frame
10 P frame
MPEG et MJPEG
MPEG 1,2,3 et 4 est un standard de
compression pour l ’image et le son édicté par
le
Vidéo
Il y a plusieurs types de fichiers vidéo qui sont utilisables dans des pages Web. Voici les plus répandus:
● Les fichiers Video for Windows .AVI fichiers non compressés. Exemple: Lancement de la navette spatiale
● Les fichiers Quicktime de Apple .MOV ou .QT fichiers non compressés.
<= Cliquez pour télécharger Quicktime for Windows si vous êtes un utilisateur de PC
Mpeg:
Pour obtenir des fichiers vidéo d'une taille raisonnable pour être transmis sur un réseau, il faut compresser les
données.
Le standard de compression le plus répandu est le MPEG (Moving Picture Expert Group) - Mpeg 1,2 et 4 pour les
images animées.
Les séquences filmées en format Mpeg1 ou 2 sont les plus adaptées pour illustrer des cours ou pages Web destinés
à être projetés dans
une salle de cours.
Vous pouvez voir un cours sur la Fibre optique - Théorie et fabrication - "La fibre en images" pour vous rendre
compte de la qualité des images et de la valeur ajoutée à un cours.
Si vous souhaitez vous aussi illustrer vos pages web par des séquences filmées, nous pouvons vous aider:
● Si vous possédez une cassette vidéo avec des séquences, nous vous en ferons une copie VHS avec le Time
Code
● Sinon, nous pouvons filmer dans vos locaux et nous vous fournirons une cassette VHS avec Time Code
● Vous visionnez la copie chez vous et vous nous faites parvenir une liste des séquences (Min et Sec du Time
Code) que vous souhaitez digitaliser
● Nous digitalisons votre film et nous mettons le fichier Mpeg (sans Time Code) sur votre serveur favori
Exemples
de
séquences
avec le
Time
Code. On
a ajouté
sur
l'image le
temps
précis au
centième
de
seconde.
Ceci
permet de
choisir
avec
précision
les
séquences
à
digitaliser.
Pour que le temps de chargement reste acceptable, il convient que les fichiers Mpeg ne soient pas de taille trop
élevée. Mieux vaut plusieurs séquences de taille moyenne qu'une seule trop grande, qui fera attendre votre
audience pendant la présentation.
Le diagramme ci-dessous vous donne les tailles de fichiers générés en fonction du temps de diffusion de la
séquence filmée:
NB:
Ces valeurs sont indicatives et dépendent de plusieurs facteurs tels que la taille des images, la qualité
souhaitée, etc.. Rappelez-vous qu'un spot publicitaire dure de 5 à 20 secondes au maximum! Le point le
plus crucial est donc le choix des séquences sur la cassette Time Code.
définitions officielles
Real Video:
Les nouvelles versions du Player Real Audio permettent de diffuser également la vidéo en continu, en affichant les
images pendant le chargement par le réseau.
La taille de l'image ne convient pas à la projection dans une salle de classe. Pour vous en rendre compte, voyez
l'exemple ci-après.
Si ce n'est fait, vous devez installer le Plugin de Real Audio le plus récent en cliquant ici =>
Voir des exemples d'enregistrements d'UniVidéo logés sur le serveur de l'uni en cliquant ici =>
En effet, cette version du fameux logiciel de présentation permet de sauver vos diapositives PPT en
format HTML, en y incluant éventuellement des liens Web.
La présentation sera alors sauvée sous forme de fichiers .htm (1 fichier par diapositive) et vous pourrez
parcourir celles-ci au moyen de
boutons de navigation générés automatiquement.
Toutes les éventuelles animations des pages (transitions, effets spéciaux) sont inopérantes.
Pour pouvoir profiter pleinement des animations générées dans un fichier Power Point, il suffit de
charger le programme
NB: Pour cette application, il est nécessaire d'installer un Plugin sur le serveur (pour format .PPZ). Le
serveur www.unige.ch en est
déjà équipé.
Si vos fichiers sont sur un autre serveur, demandez à son administrateur d'installer le bon Plugin qui se
trouve ici.
Les "links Web" (URL) ne sont pas possibles dans cette version du logiciel
Diapositive 1 sur 6
Diapositive 2 sur 6
Diapositive 3 sur 6
Diapositive 4 sur 6
Diapositive 5 sur 6
Diapositive 6 sur 6
● Prof. B.Levrat
●
● 0 Candidat...
Jean-Francois.Lhaire@adm.unige.ch
INFRASTRUCTURE TECHNIQUE DE
L'AUDITORIUM ARDITI - WILSDORF
03.12.97
Fin de la démonstration
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INFRASTRUCTURE TECHNIQUE DE
L'AUDITORIUM ARDITI - WILSDORF
Jean-François L'HAIRE
Jean-Francois.Lhaire@seinf.unige.ch
Uni-Dufour
Uni-Mail
Gd-Théâtre
Auditorium
Arditi-Wilsdorf
de
commande
Serveur
Uni-Dufour
Eclairage
Audio-
Visuel
Fin de la démonstration
● Il n ’est possible d’inclure des liens Web dans
une diapositive si l ’on choisit l ’option
animation
●
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Il est possible d'adjoindre à une notice obtenue lors de la consultation du serveur des bibliothèques
(VTLS Virtua) une image ou une courte séquence vidéo qui complètent celle-ci.
PHOTOGRAPHIES
Robert Hofer, Joueur de cor des Alpes 1988
Robert Hofer, François Mitterand à Martigny 1988
Kern, Blatten/Brig vers 1920
Kern, Martigny vers 1930
DOCUMENTS FILMES
Bibliothèque Online
Pour des raisons de droits d'auteurs, l'accès à la documentation ci-après est limitée au domaine
UNIGE.CH (Sauf les Video)
Antennes:
ATM:
FDDI:
Fibre optique:
Gigabit Ethernet:
Hubs:
Imprimantes:
Satellites:
Switchs:
RNIS:
Routeurs:
Terminal Servers:
Twisted pairs:
Janvier 1999
Récapitulation des travaux pratiques associés aux pages Web "Elements de réseaux"
Travaux pratiques
No01:Modems et commandes "AT"
No02:Fonctionnalités d'un Bridge
No03:Fonctionnalités d'un Hub
No04:Trace Route
No05:Concentrateur de terminaux ASCII
No06:Fonctionnalités d'un Switch Ethernet
No07:Fonctionnalités d'un Print Server EPS1
No08:Fonctionnalités d'un routeur CISCO
No09:HP JetAdmin Gestion des imprimantes
No10:Transfert de fichiers par FTP
Démonstrations
Avril 1999
LaboWeb
TP No9: HP JetAdmin
But:
● Se familiariser avec le logiciel HP JetAdmin qui permet de connaître l'état d'une imprimante
connectée au réseau
Travail pratique:
Janvier 1999
Diapositive 1 sur 8
Diapositive 2 sur 8
Diapositive 3 sur 8
Diapositive 4 sur 8
Diapositive 5 sur 8
Diapositive 6 sur 8
Diapositive 7 sur 8
Diapositive 8 sur 8
3.-Ethernet à FDDI
Diapositive PPT
Diapositive PPT
Diapositive PPT
Diapositive PPT
mailto:jean-francois.lhaire@seinf.unige.ch
Question au prof?
7.-Switchs et VLAN’s
l’utilise-t-on ?
07a.rm
Trunk 200Mbit/s
Switch 1
Switch 2
SWITCHS Ethernet
Caractéristiques d'un Switch:
Un Switch peut être considéré comme un matrice de connexion qui permet d'interconnecter simultanément
des segments ou des appareils à 10 Mbits/s ET/OU 100 Mbits/s.
A noter que certains modèles de switchs sont auto sensings, ce qui veut dire qu'ils adaptent la vitesse de
leurs ports (10/100 Mbits/s) à celle de l'appareil qui lui est connecté.
Chaque port d'un Switch fait partie d'un seul domaine de collision.
Chaque port du Switch apprend dynamiquement les adresses MAC (Ethernet) des équipements qui lui sont
connectés.
Le Switch possède un Buffer circulaire interne travaillant entre 1 ou 2 Gbits/s qui distribue les paquets
entrants aux ports de destination s'il y a concordance avec l'adresse apprise dynamiquement par celui-ci.
Exemple d'un Backbone en fibre optique connectant 3 switchs à 100Mbits Full Duplex, soit théoriquement
200Mbits/s (Trunk).
Il convoie également les information des adresses MAC collectées par chaque port, pour les répercuter sur
chaque Switch, selon un protocole propriétaire (LattisSpan chez BayNetworks).
Il existe une possibilité de connexion permanente virtuelle VLAN entre deux ou plusieurs Switchs, comme
le montre le dessin ci-dessus:
Ceci permet d'interconnecter plusieurs segments Ethernet ou Subnets sur un seul Trunk (Lien entre deux
Switchs à 100 Mbits/s Full Duplex).
NB: Certains constructeurs offrent des Switchs au niveau IP (3 du modèle ISO) pour réaliser des noeuds
de Backbone à la place de routeurs.
En résumé:
Documentation complémentaire:
Voir aussi la documentation de 3COM Switching Pocket Guide et Guide to 3COM Switches
Janvier 1999
Diapositive PPT
mailto:jean-francois.lhaire@seinf.unige.ch
Question au prof?
6.-Switchs Ethernet
file://06a.rm
Trunk 200Mbit/s
Switch 1
Switch 2
Diapositive PPT
mailto:jean-francois.lhaire@seinf.unige.ch
Question au prof?
5.-Hubs Ethernet
file://05b.rm
file://05a.rm
file://05d.rm
file://05c.rm
Vrai
Vrai
Faux
Faux
Question au prof?
Ligne téléphonique
Modem
V2 [Kbits/s]
V1 [Kbits/s]
file://04a.rm
file://04b.rm
3.-Ethernet à FDDI
mailto:jean-francois.lhaire@seinf.unige.ch
Ethernet 10 Mbits/s
Anneau FDDI
file://03a.rm
????
Question au prof?
Question au prof?
La longueur maximale d’un câble en paires torsadées entre une station de travail et un hub, est de:
file://02a.rm
136m
file://02b.rm
100m
«Full Duplex».
file://02c.rm
file://02d.rm
Vrai
Faux
1.-Ethernet CSMA/CD
mailto:jean-francois.lhaire@seinf.unige.ch
Question au prof?
Une collision qui a lieu dans le préambule du paquet Ethernet est considérée
file://01a.rm
Vrai
file://01b.rm
Faux
La structure des paquets «Fast Ethernet» à 100 Mbit/s est la même que
file://01c.rm
file://01d.rm
Vrai
Faux
Voici une série de questions destinées à tester vos connaissances en matière de réseaux
informatiques.
Les réponses sont données sous forme sonore, en format «Real Audio».
Il faut que votre ordinateur ait le «Plugin» Real Audio installé. Vous pouvez charger gratuitement
la dernière version de Real Player depuis le serveur WWW.
file://test00.rm
http://www.real.com/
HUBS Ethernet
Un Hub peut être considéré comme un "prisme" électrique: Tous les paquets émis sur un segment ou
appareil connecté à l'un des ports sera repercuté sur tous les autres ports qui font partie du même domaine
de collision.
Un Hub est destiné à connecter des équipements 10 Mbits/s OU 100 Mbits/s. (Excepté les nouveaux hubs
10/100, voir ci-après)
Certains Hub peut être équipé d'un module de Management. Dans ce cas, on peut piloter celui-ci à distance
et effectuer des mesures de trafic et d'erreurs.
Image (capture d'écran de la station de Network Management) d'un Hub modulaire 10 Mbits/s comportant
trois types de média et un tiroir de Management équipé d'une prise AUI.
Image d'un Hub Stackable. On peut ainsi empiler en les connectants au moyen d'un câble parallèle des
modules de 12 ou 24 ports Twisted Pairs.
Seul le premier Hub est équipé d'un module fibre optique pour la connexion au Backbone et d'un module
de Management.
Une nouvelle génération de hubs est apparue sur le marché: Le Hub auto-commutable 10/100. Chacun des
ports du hub peut accueillir un appareil fonctionnant à 10Mbits/s ou 100Mbits/s.
Les deux hubs internes sont connectés par un switch interne pour assurer la conversion des vitesses.
En résumé:
Documentation complémentaire:
Janvier 1999
MODEMS
Caractéristiques d'un Modem:
● Les Modems pour ligne commutées (lignes domestiques) utilisant les mêmes circuits que le
téléphone classique - Mode Asynchrone, en général
● Les Modems pour lignes permanentes dédiées aux transmissions de données point à point entre
deux sites reliés par des circuits loués aux opérateurs des télécoms - Mode Synchrone
Ci-dessus, le schéma le plus simple de connexion entre un terminal (ou un PC utilisé comme tel) et un
ordinateur hôte.
Le Modem appelé DCE - Data Communication Equipment connecté au PC appelé DTE - Data Terminal
Equipment est configuré en mode appelant et celui raccordé à l'hôte en mode appelé.
Mode appelant:
Mode appelé:
La bande passante garantie par les opérateurs du téléphone se situe entre 800 et 3800 Hz, mais bien
souvent, la limite supérieure n'est pas atteinte. C'est pourquoi il a été défini deux canaux (1080 et 1750 Hz)
définis par des filtres passe bande.
On pourra ainsi utiliser simultanément les deux canaux pour pouvoir travailler en mode Full Duplex.
Les deux canaux utilisés en Full Duplex et les fréquences d'excursion de la modulation
un certain nombre d'états (16 dans l'exemple ci-dessus qui est celui d'un modem à 14.4 Kbits/s) auxquels
on associe 4 bits. Ainsi, en deux excursions de modulation et/ou d'amplitude, on a transmis la
représentation d'un octet.
En étudiant le schéma d'un Modem moderne, on retrouve la structure en bus classique d'un ordinateur, plus
quelques fonctions analogiques:
● Un processeur rapide capable d'analyser les fenêtres de la modulation QAM (32 Mips pour un
modem 28.8 Kbits/s..!)
● De la mémoire vive pour établir des tampons en émission et réception
● De la mémoire non volatile pour conserver les configurations
Les séquences de programmation AT pour Attention Code inventées par le constructeur de modems Hayes
est devenu un standard de facto.
Il défini un certain nombre de commandes qui permettent de dialoguer avec le modem, qui commencent
toutes par les deux lettres AT.
A chaque requête acceptée, le modem répond par OK et par ERROR en cas de fonction erronnée.
Considérons un ordinateur (DTE) qui à son port série connecté au modem (DCE), et qui est configuré à
57600Bits/s, 8 bits, no parity. Les deux lettres AT sont envoyées dans ce format.
A réception, le modem qui lui est configuré (par exemple) à 9600Bits/s, 7 bits, even parity, comparera
dans une table les deux caractères erronés reçus, ce qui lui permet d'ajuster ses propres paramètres à celui
de l'ordinateur (DTE).
Il répondra par OK pour faire savoir qu'il travaille selon les mêmes paramètres.
Hayes a défini un certain nombre de codes résultants de base aux commandes AT:
Il va sans dire que les codes résultants de base du tableau ci-dessus ont évolué avec les modems.
Il faut se référer au manuel du modem pour obtenir les séquences AT et les codes résultants de cet
appareil.
Les constructeurs proposent généralement une séquence d'initialisation standards appelée Factory Default
qui est stockée dans une ROM.
Pour écrire sa propre configuration par défaut dans la NVRAM, on entrera une chaîne de commandes
terminée par &W. (write)
Exemple: AT\N3\J0\Q3&W
\N3: Mode "autoreliable" - \J0: Pas de "Fallback" - \Q3: Flow control bidirectionnel
Les registres S: Permettent de paramétrer tous les timings entre signaux et la durée de ceux-ci. Se référer
au manuel pour en connaître les valeurs.
Mode de transmission:
Le mode de transmission est asynchrone (RS232) entre le Modem et le PC. La vitesse de transmission et
le contrôle de flux (XON/XOFF ou RTS/CTS) est ainsi que la taille des caractères et la parité sont définie
par la première séquence AT.
Le mode de transmission est synchrone entre les deux Modems, puisque celui qui émet crée une trame
issue d'une série de caractères asynchrone auxquels on a enlevé les start et stop bits.
Contrôle de flux:
● In Band au moyen de caractères de contrôle (XON et XOFF ou ACK et NACK). Ces caractères
peuvent traverser, si on l'a demandé avec une séquence AT, la liaison modem de bout en bout, afin
NB: Le contrôle de flux XON / XOFF ne peut être utilisé que pour les basses vitesses (< 9600 bits/s)
Correction d'erreurs:
Les modems sont capables de demander la retransmission du paquet entre-eux deux en cas de problème,
ceci de manière transparente au niveau de l'utilisateur.
Compression:
On peut optimiser un transfert en faisant appel aux techniques de compression sur la ligne téléphonique:
● MNP5 Run-Lenght Encoding qui est le codage des répétitions (Ex: AAAABBCCC= 4A2B3C) -
Compression 2 à 1
● MNP7 idem - Compression 3 à 1
● V42bis du CCITT LAPM Link Access Procedure (V42 + BTLZ British Telecom Lempel-Ziv) -
Compression 4 à 1
De plus, la méthode dite d'échange des dictionnaires, qui a lieu au début de la connexion (phase de
négociation), permet d'optimiser la transmission, puisque chaque modem va échanger une table contenant
à son début les caractères qu'il a le plus souvent transmis.
Modems ISDN:
Modems pour lignes ISDN (Ou RNIS pour Réseau Numérique à Intégration de Système) qui permettent
une vitesse de transmission de 64 Kbits/s, ce qui permet de fonctionner au niveau de la connexion
DTE/DCE à 128 voire 256 Kbits/s.
Pour relier deux réseaux distants, on peut utiliser les mêmes lacets téléphoniques des PTT, mais qui ne
passent par aucun organe de commutation. Si la ligne est très longue, il se peut qu'elle passe par des
amplificateurs logés dans les centraux PTT.
Les Modems à basse vitesse (Jusqu'à 64k) utilisent la transmission dite en "Bande de base", ce qui veut
dire l'image analogique du signal digital.
Actuellement, les Modems rapides utilisent les techniques de modulation en quadrature QAM, mais à plus
haute fréquence et avec plus de niveaux de modulation que les Modems pour ligne commutée.
L'interface avec le routeur ou le bridge sera de type V35, en paire différentielles par signal.
G 703.6
Pour réaliser une liaison rapide à 2Mbits/s, on peut louer une "tranche" de 2 Mbits/s dans un canal PTT à
34 Mbits/s réalisé en fibre optique.
Dans ce cas, Les PTT fourniront le convertisseur optique / cuivre (paire torsadée ou coaxial). Ce système
est moins onéreux pour des liaisons à moyenne et longue distance.
Pour de courtes distances, il est préférable d'utiliser des lignes téléphoniques cuivre.
En résumé:
● Un Modem MOdulateur - DEModulateur est un appareil permettant de transmettre des données sur
Septembre 1999
L'Ethernet à 100Mbits utilise le même principe du CSMA/CD qu'Ethernet 10Mbits, mais 10 fois plus vite,
comme le montre la trame ci-après.
Il est possible de transmettre sur de la paire torsadée de catégorie 2 et 4, mais sur quatre paires, 100BASE T4.
Codage du signal:
Pour assurer une bonne transmission, on a intérêt à diminuer la fréquence de transmission sur la fibre ou la paire
torsadée.
Pour ce faire, on utilise la technique du codage 4B/5B, qui est la représentation d'une série de 4 bits en 5 bits.
Cette représentation garanti un maximum de 2 bits à zéro pour chaque symbole.
En faisant suivre cette représentation par un codage NRZI (Non Return to Zero), qui produit une transition
chaque fois qu'un "1" est transmis et pas de transition losqu'un "0" est transmis, on obtiendra une fréquence de
signal transmis sur le média diminuée d'un facteur 2.
Ceci permet de transmettre sur de plus longues distances, puisque l'atténuation et la déformation du signal sont
en partie fonction de la longueur.
Pour la transmission sur fibre optique (100BASE FX), on injecte le signal codé NRZI.
Pour la paire torsadée (100BASE TX), on transforme le signal NRZI en MLT3 à 3 niveaux, afin de diminuer le
rayonnement parasite.
L'adaptateur au media (Fibre ou paire torsadée), équivalent du transceiver s'appelle un PHY - Physical Layer
Device.
Il est connecté à un device au moyen d'un câble MII (correspondant à l'AUI) ou installé sur la carte mère d'un
ordinateur (ou carte PC).
C'est lui qui code et décode en 4B/5B (PCS), qui code en NRZI (TX et FX) et qui adapte le signal en MLT3
(TX).
Il existe des transceivers PHY pour 100BASE TX, 100Base T4 et 100BASE FX.
Auto-négociation:
Certains interfaces Ethernet, tels les adaptateurs pour PC ou station de travail, ou les Switches sont capables
d'adapter leurs vitesses (10/100) et le type de transmission (Half ou Full Duplex).
Ceci est réalisé lors de l'échange, à l'enclenchement, du Fast Link Pulse - FLP qui est l'équivalent du Normal
Link Pulse - NLP utilisé par le 10BASE T pour le test d'intégrité.
Ainsi, si les deux partenaires supportent l'auto-négociation, ils resoudront la manière de travailler ensemble selon
l'ordre du tableau ci-après:
Contrôle de flux:
Le contrôle de flux permet d'éviter, lors d'une transmission Full Duplex, la perte d'information par congestion.
Supposons un serveur connecté à un Switch en 100BASE TX Full Duplex, qui transmet à un PC connecté au
même Switch en 10BASE T.
Le buffer de réception du Switch sera rapidement plein.
Pour résoudre ce problème, il faut activer la fonction Flow Control du Switch et du serveur.
Ainsi, lorsque le récepteur aura son buffer proche d'être plein, il enverra à l'émetteur un signal XOFF, ce qui fera
"taire" immédiatement ce dernier.
Lorsque le récepteur aura vidé son buffer, il enverra un signal XON pour continuer la transmission.
Janvier 1999
● Chaque trame Ethernet débute par un Préambule qui a pour but de synchroniser les récepteurs des
appareils connectés et d'effectuer le test de collision
● La fin du préambule est identifiée par deux bits à "1" appelé Start
● Suivent les adresses de Destination et de Source codées sur 48 bits et attribuées par licence de
Xerox. On obtient ainsi une adresse unique au monde (48 bits = plus de 140 trillion d'adresses!).
L'adresse contient le code du constructeur de l'adaptateur Ethernet, qui est écrit dans une ROM
● Après la Source, le Type qui donne sur 8 bits le protocole utilisé dans les données (802.3)
● Les Données contiennent en plus l'adresse propre au protocole choisis (Ex: Adresse IP)
● Le CRC Circle Redundant Check qui est le OU exclusif des tranches de 32 bits calculé de l'adresse
de destination à la fin des données. Ce même calcul sera effectué par la carte réseau du récepteur
pour valider le paquet
● Le temps entre deux paquets Interframe Spacing ne doit pas être inférieur à 9.6 uS
Codage du signal:
Dans la version 1.0 d'Ethernet, la détection de collision s'effectuait par chaque noeud, en "écoutant" en
permanence le câble: Ce que je reçois doit être équivalent à ce que j'émets, si c'est différent, c'est qu'il y a
collision.
Si, par hasard il y a un autre noeud qui a suivi le même processus, il aura collision dans le préambule, ce
qui ne constitue pas une erreur!
Par contre, si la collision a lieu après le Start, c'est une erreur - Late collision
NB: Les versions suivantes d'Ethernet ont défini que le mécanisme de détection de collision a lieu dans le
Transceiver, en détectant un changement d'amplitude du signal:
● Impédance 50 Ohms
● Diamètre 12 mm
NB: Selon la nouvelle terminologie, ce type de câble est aussi appelé 10 Base 5
Les Transceivers:
Les transceivers ont pour but de coupler un noeud du réseau au câble. Ils assurent l'adaptation d'impédance
et la séparation des signaux de réception et d'émission dans un câble à paires torsadées appelé Drop Cable.
● Le modèle pour câble jaune, équipé d'une tête AMP Bee Sting qui permet de raccorder un élément,
sans interruption du service en perçant le câble pour faire contact avec l'âme du coax au moyen d'un
"Dard", la connexion du blindage s'effectuant avec deux griffes qui percent l'isolation
● Le même modèle pour câble jaune, mais équipé d'une tête à connecteurs type N
● Les transceivers pour fibre optique (Une fibre pour chaque sens (Rx et Tx) pour fibre multimode ou
monomode
NB: Les transceivers externes sont alimentés par l'appareil qu'ils raccordent, c'est pourquoi une paire du
Drop Cable est utilisée pour véhiculer du 12V.
Les Transceivers sont équipés pour connecter le Drop Cable d'un connecteur à 15 pôles appelé AUI -
Attachment Unit Interface.
Il existe un appareil actif appelé Fan-out qui permet de connecter un certain nombre d'équipements AUI sur
un seul transceiver. Il constitue ainsi une sorte de fiche multiple de connexions AUI.
Ainsi, un Fan-out peut constituer à lui seul un segment de réseau, puisque tous les paquets de tous les
appareils sont répercutés sur tous les autres. Un Fan-out peut être considéré comme une sorte de "prisme"
électronique.
Janvier 1999
LaboWeb
LaboWeb vous permet, via le réseau, de vous connecter à un certain nombre d'appareils (Hub, Switch,
etc..) en mode console c'est-à-dire comme si vous aviez un terminal ASCII connecté au port série de
configuration de l'appareil.
En cliquant sur le symbole de l'imprimante laser, vous obtenez une page Web contenant le logiciel HP
JetAdmin, qui permet de gérer le imprimantes à distance.
Pour tester la connectivité des PC et stations de travail, on peut utiliser Ping ou Traceroute