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Note d'information procédurale du 12 mars 2010

Pour tout magistrat compétent dans le cadre de l’affaire instruite auprès de la Justice suisse :
Date des derniers faits harcelatoires (nouveau fait survenu): le vendredi 12 mars 2010, entre 10h30 et 11 h 45
Prétexte : une notification (irrégulière)
Lieu des faits : En Suisse, au domicile de l'ancien mandataire de l’affiliée pour ce dossier traité et en cours de
résolution
Problème : Harcèlement d'individus malveillants se faisant passer pour la Police
Autorités et Administrations associées en procédures suisses irrégulières concernant cette affiliée :

- La Caisse cantonale Genevoise de compensation (CCGC)


- Commission de surveillance de l'office des poursuites, à Genève (CSODPF)
- Le Conservatoire de Musique et Ecole des arts dramatiques, à Genève
- Le Conseil communal de la COmmune de Lancy, à Genève
- Les Foyers Handicap à Grand - Lancy (à Genève)
- Le Registre de COmmerce de Genève pour le département des finances de l'État

Causalité d’infraction portée par ces individus à l’encontre de leur cible (l’affiliée) :

- Vol de la Retraite d'une affiliée (Procédure CCGC, TCAS, OFAS)


- détournement de la rente AI (Procédure CCGC)
- Quatre cambriolages administratifs avec voie de faits (Procureurs)
- Outrage au Tribunal Fédéral suisse (refus d'application d'un jugement fédéral (+ diverses Ordonnances)

Les Infractions majeures en causalité des faits, par les auteurs de ce harcèlement concernent (CP): - 303, - 312, -
140, - 311, - 146, - 260 bis, - 261 bis, - 251, - 179 (échange de données)
Vrai mobile du harcèlement présumé : la nationalité suisse (pour ses enfants), la retraite de l’affiliée
Constat : Ces (faux) représentants de l’ordre, au comportement douteux, induisent en erreur les anciens
mandataires de ce dossier pour les pousser à la faute, eux et toutes les personnes compétentes de bonne volonté,
telles que les avocats, les juges, les autres mandataires qui essayent de comprendre objectivement la situation qui
lui arrive. Cependant, une autorité bloque la bonne résolution de cette affaire afin de permettre aux coupables
d’échapper aux sanctions.
D’autre part, induire en erreur sciemment une tiers personne demeure une infraction au sens du code pénal
suisse, que tout juge compétent est apte à sanctionner par décision officielle. Toutefois, les intervenants, sans
légalité, prennent pour cible, tous les magistrats qui exécutent leur fonction et charges, ce, avec diligence et
responsabilité pour la Confédération. Ce qui a pour conséquence un disfonctionnement du système judiciaire à
long terme. Ils menacent les mandataires, magistrats, officiers qui essayent d’intervenir.

Remarque :

Ces individus, présents ce matin au domicile du mandataire, en l’absence de leur Commandant de Police qui
semble être par hasard en vacance jusqu’au Lundi suivant, refusent d’obtempérer devant les ordres du central
des commandants de police. Et harcèlent les civils afin de les brigander sous couvert de procédures officieuses et
injustifiées (art.251 CP). Le mandataire pense que ces individus réfractaires et menaçants pour l’affiliée par
exemple, ne représentent pas une vraie sécurité dans le cadre du pouvoir judiciaire compétent (voir le dossier
transmis au service de la population du Canton du Jura). Au contraire, ils portent atteinte à la bonne image de la
Police auprès de l’affiliée. Ce matin, le mandataire qui ne leur a pas ouvert sa porte, les trouve plutôt dangereux.
Vu que les actes de poursuites et leurs procédures sont fausses et inexistantes, à défaut, irrégulières et
tendancieuses, et visent un code 303 (fausses accusations contre le mandataire, chantages et menaces)

Les autorités compétentes, ont néanmoins pu être averties consécutivement.


Pour information à qui de droit auprès de l’autorité officielle suisse compétente

Fait le 12 mars 2010-03-12


- Fin de l’information procédurale -

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