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Brenac Roxanne 2CSP4 29 avril 2010
Sommaire
DEVELOPPEMENT DURABLE
Le développement durable, c’est quoi ?
Trois exigences
La dégradation de l’environnement et ses conséquences
Energies renouvelables
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Brenac Roxanne 2CSP4 29 avril 2010
Développement durable
Trois exigences :
1. la viabilité environnementale, c’est-à-dire la protection des écosystèmes et des
équilibres dont dépend le maintien de la biosphère, l’entretien des écosystèmes
productifs de ressources pour les activités humaines, et l’établissement d’un
environnement sain pour les habitants
2. la viabilité économique, visant une croissance économique soutenue et durable
3. l’équité sociale, qui inclut la reconnaissance de droits d’accès aux ressources et aux
services pour les plus démunis, ainsi que des droits à l’information et à la participation
à la vie publique.
Ces maux qui visent l’état physique de notre environnement ont bien
entendu des conséquences sur les aspects économiques et sociaux de
notre environnement. Ces différents aspects sont indissociables. Avec
le concept de développement durable est né le concept de
«stakeholder», traduit en français par l’expression «partie prenante».
Tous les acteurs jouant un rôle proche ou lointain dans les domaines
économiques, environnementaux ou sociaux, et bien évidemment
politiques sont des parties prenantes interdépendantes. Le concept de
développement durable impose donc désormais de comprendre le
monde comme un tout, comme une chaîne d’éléments
interdépendants (paradigme de la complexité d’Edgar Morin). A Figure 1
l’heure de la globalisation, il n’y a plus d’acteur isolé vivant en -http://www2.maxwell.syr.ed
autarcie sur des terres inexplorées, il n’existe que des parties u/plegal/ppae/pollution.jpg
prenantes.
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Brenac Roxanne 2CSP4 29 avril 2010
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Énergies renouvelables
Solaire thermique, photovoltaïque, éolien, géothermie, biogaz…, toutes les filières des
énergies renouvelables sont mises à contribution. Ainsi, selon l'Agence Internationale de
l'Energie:
Au niveau européen les objectifs depuis 2001 sont les mêmes. La part minimale de
consommation en provenance des énergies renouvelables pour
2010 devra atteindre :
Pourtant, aujourd’hui ces chiffres sont encore loin d’être une réalité. La part des énergies
renouvelables pour l’électricité était estimée à 14,2 % à fin 2004 et à 5,61% pour la
consommation d’énergie primaire. Quant aux biocarburants, s’ils sont difficilement
quantifiables, ils restent marginaux.