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Objectifs
Champ d’application
2.3. L’applicabilitlimatle prcabilitlimaticette Norme de performance est
dformancematiquesmentale llutidest dformand’évaluation sociale et environnementale, tandis que la
mise en eeuvreœuvre des mesures nvironnementpour répondre aux exigences de cette norme est
gérée par le système de gestion sociale et environnementale du client. Les obligations
imposonnementpoexigences du systncesde gestion et d’ée gestion et de gestion sont définies dans
le Crits p par la Norme de performance 1.
Dispositions
Dispositions générales
1
Dans le cadre de cette norme de performance, « pollution » désigne les polluants chimiques dangereux et non
dangereux dans leur phase solide, liquide ou gazeuse et englobe les autres formes de pollution tels que les
organismes nuisibles, les agents pathogènes, les rejets d’ eau chaude en surface, les émissions de gaz à effet de
serre, les odeurs nuisibles, le bruit, les vibrations, la radiation, l’énergie électromagnétique et la création d’impacts
visuels potentiels, notamment la lumière.
2
Dans le cadre de cette norme de performance le terme « prévention » de la pollution ne signifie pas absence
totale mais le fait de limiter la pollution à la source et de minimiser la pollution inévitable afin de remplir les
objectifis de la norme de performance.
3. Durant la conception, la construction, l’exploitation et le déclassement du projet (
Exigences
4. Au cours de la durrs de ncepdu projet),, le client tiendra compte des conditions ambiantes et
appliquera desles technologies et pratiques de prévention et de maîtrise de la pollution (les
techniques) les plus appropriratiques éviter ou, lorsque cela n’est pas possible, minimiser ou rr ou,
lorsque cela nise de la pollutiont du ppopulations et l’environnement tout en restant techniquement
3
et financisque cela nise de la étout en res2. Les techniques de prniquementet de maîtrise de la
pollution sps techniques de prn appliquées pendant la durée de vie du projet seront adaptées aux
dangers et risques liés aux émissions du projet et compatibles avec les bonnes pratiques
4
industrielles internationales3,internationales, telles que reprles que présentées dans diverses
sources reconnues au plan international, notamment dans les Directives sur l’environnement, la sant
reconnues au pladu Groupe de la SFIBanque mondiale (Directives EHS).
1
Pour les besoins de cette critère de performance, le terme « Pollution » est utilisé pour désigner les polluants
dangereux et non dangereux sous formes solide, liquide ou gazeuse et inclut d’autres formes telles qu’odeurs, bruit,
vibrations, radiations, énergie électromagnétique et création d’impacts visuels potentiels, lumière notamment.
2
Les termes « Faisabilité technique » et « Faisabilité financière » sont définis dans le Critère de performance 1.
Le caractère « Économique » est évalué en fonction de l’efficacité de la réduction des émissions par rapport au
surcoût nécessaire pour y parvenir.
3
Défini comme l’exercice de la compétence profession nelle, la diligence, la prudence et la capacité de prévision
qui serait raisonnablement attendue de professionnels compétents et expérimentés engagés dans le même type
d’entreprise et dans des circonstances similaires sur le plan international. Les circonstances que des
professionnels compétents et expérimentés peuvent rencontrer dans l’évaluation de l’ensemble des techniques
de prévention et de lutte contre la pollution disponibles pour un projet peuvent comprendre, notamment, des
niveaux divers de dégradation de l’environnement et de capacité d’assimilation de l’environnement ainsi que des
niveaux variable de faisabilité financière et technique.
1 sur 4
3
« La faisabilité technique » dépend de la possibilité d’application des mesures et actions envisagées avec les
compétences, équipements et matériels disponibles commercialement en tenant compte de facteurs locaux tels
que le climat, les conditions géographiques, la démographie, les infrastructures, la sécurité, la gouvernance, la
capacité et la fiabilité opérationnelle. « La faisabilité financière » se fonde sur la capacité à allouer des ressources
financières suffisantes pour adopter ces mesures et les maintenir en place à long terme.
4
Définies comme l’exercice de compétences professionnelles, de diligence, de prudence et de prévoyance qu’il est
raisonnable d’attendre de la part de professionnels compétents et expérimentés participant au même type
d’activités dans des circonstances pareilles ou globalement similaires. Les circonstances que des professionnels
compétents et expérimentés peuvent rencontrer dans l’ analyse de l’ensemble des techniques de prévention et de
lutte contre la pollution disponibles pour un projet peuvent comprendre, entre autre, les degrés divers de
dégradation et de capacité d’assimilation de l’environnement ainsi que les niveaux de faisabilité financière et
technique.
Critères de Performance 3
Prévention et Réduction de la Pollution
30 avril 2006
5. Le client se reportera à la version la plus récente des Directives EHS lorsqu’il évaluera et
choisira les techniques de prévention et de maîtrise de la pollution pour le projet. Ces Directives
EHS présentent des niveaux de performance et les mesures généralement acceptables et
applicables . Lorsque la réglementation du pays hôte diffère des niveaux et mesures préconisés par
les Directives EHS, les clients devront se conformer aux normes les plus strictes. Lorsque des
niveaux ou mesures moins strictes que ceux préconisés par les Directives EHS sont considérées
comme justifiées par les circonstances spécifiques du projet, le client fournira une justification
complète et détaillée des alternatives proposées et ce, au cours du processus d’identification des
risques et impacts sociaux et environnementaux. Cette justification doit démontrer que les niveaux
de performance inférieure préconisés sont conforme aux exigences générales de cette Norme de
performance.
Efficacité environnementale
6. Le client évaluera et mettra en œuvre des mesures techniquement et financièrement
5
faisables et rentables pour améliorer l’efficacité environnementale de sa consommation en énergie,
en eau ainsi que pour d’autres ressources et matériaux, notamment dans les domaines considérés
comme ses activités commerciales de base. De telles mesures intégreront les principes de
production propre dans la conception des produits et dans leur processus de production afin de
préserver les matériaux bruts, l’énergie et l’eau. Lorsque des références sont disponibles, le client
comparera ses propres données et son efficacité environnementale à ces références.
8. Pour les projets prévoyant de produire ou produisant déjà plus de 20 000 tonnes
6
d’équivalents CO2 par an, le client quantifiera les émissions provenant directement des
7
installations qu’il détient ou dont il est operateur, dans les limites physiques du projet , ainsi que les
8
émissions indirectes associées à la production d’énergie hors site mais utilisée par le projet. La
quantification des émissions de gaz à effet de serre sera effectuée annuellement selon les
9
méthodes reconnues au plan international et les pratiques de références. . De plus, le client
évaluera des options techniquement et financièrement faisables et rentables de réduction ou de
compensation des émissions de gaz à effet de serre liées au projet pendant la conception et
l’exécution du projet. Ces options peuvent comprendre, en autre, la finance carbone, l’amélioration
de l’efficacité énergétique, l’utilisation de sources d’énergie renouvelables, la modification de la
5
La rentabilité est déterminée en fonction du capital et des coûts opérationnels ainsi que des retombées financières
de la mesure sur l’ensemble du cycle de vie de la mesure.
6
La quantification d’émissions doit tenir compte de toutes les sources d’émissions de gaz à effet de serre,
notamment les sources non liées à l’énergie telles que méthane et dioxyde d ’azote
7
Les variations du contenu en carbone des sols ou de la biomasse de surface, attribuable au projet peuvent
contribuer aux sources d’émissions directes et doivent donc être inclues dans la quantification des émissions.
8
Fait référence à la production hors site,par de tierces parties , d’électricité et d’énergie de chauffage et de
refroidissement utilisée par le projet.
9
Des méthodes d’estimation sont fournies par le panel intergouvernemental sur le changement climatique (IPCC),
par diverses organisations internationales et par les agences compétentes du pays hôte.
conception du projet, la compensation des émissions et l’adoption d’autres mesures d’atténuation
telles que la réduction des émissions diffuses et le torchage des gaz.
Consommation d’eau
9. Lorsque le projet est potentiellement un gros utilisateur d’ eau, l’efficacité environnementale
prescrite par cette norme sera accompagnée de la mise en œuvre par le client de mesures de
réduction de consommation afin que le projet n’induise pas d’effet négatif sur les autres utilisateurs
de la ressource. . Ces mesures comprennent, notamment, l’utilisation de mesures additionnelles de
conservation d’eau techniquement faisables dans le cadre des activités du client, l’utilisation d’eau
de provenance alternative, de mesures de compensation de la consommation en eau pour réduire la
ponction totaled en eau au sein de la ressource disponible ainsi que l’évaluation d’autres
emplacements possibles pour le projet.
4.10. Le client tion des ressources et efficacitationctivités du’est pas faisable, limitera et/ou
contrfaisabl’intensitfaisable, limitera es et efficacit. Cette afin d ‘eviter des conséquences néfastes
sur la santé humaine et l’environnement. Cette disposition s’applique on s. Cette et l es et efficdue
ique dans l’air, l’eau et les terres due aux situations de routine, exceptionnelles ou accidentelles
10
présentant un potentiel d’impact local, régional et international .4 En outretransfrontalier. De plus, le
client devra examiner et inclure dans ses activites présmesures de conservation des ressources et
d’efficacitnt devra examiner et inclure dans ses activitde production plus propre. propre. Lorsqu’une
pollution historique existe telle que la contamination des terres ou de l’eau de surface, le client
tentera de déterminer s’il est responsable des actions de décontamination Si le client est jugé
juridiquement responsable, alors ces obligations seront résolues conformément au droit national, ou
si celui-ci ne se prononce pas sur la question, au moyen des bonnes pratiques industrielles
11
internationales.
12
11. Pour réduire les impacts négatifs des projets sur l’environnement ambiant existant, le client
prendra en considération un certain nombre de facteurs, dont i) la limite de la capacité
13
d’ assimilation de l’environnement ; ii) l’affectation actuelle et future prévisible des terrains ; iii)
l’état de l’environnement ambiant ; iv) la proximité du projet avec des zones écologiquement
sensibles ou protégées ; et v) le potentiel d’impacts cumulés aux conséquences incertaines et/ou
irréversibles. En plus des mesures d’efficacité environnementale et de maîtrise de la pollution, si le
projet peut potentiellement constituer une source d’émissions importante dans une zone déjà
dégradée, le client examinera les stratégies alternatives possibles et adoptera des mesures
destinées à éviter ou à minimiser les effets ambiants. Ces stratégies incluent, notamment,
l’évaluation d’alternatives à l’emplacement du projet et des compensations des émissions.
Dmplace
5.12. Le client t du projet et des compensations deble la production de déchets dangereux et non
dangereux. Lorsque la production de déchets ne peut pas être évitée mais a t t du proj, le client la
réduira et ra réduira et projet et des compensat; si cela est impossible, il d’une manière qui soit
sans danger pour la santé humaine et l’environnement. Si les déchets ne peuvent pas être recyclés
ou réutilisés, le client traitera, dnt. Si les déchets neces déchets de manière saine du point de
vueappropriée sur le plan environnemental., notamment au moyen de mesures adéquates pour le
traitement des émissions et des résidus découlant de la manipulation et du traitement des déchets.
10
Par référence aux polluants transfrontaliers, dont ceux couverts par la Convention sur la pollution atmosphérique
transfrontalière à longue distance.
11
Cela peut nécessiter une coordination avec les gouvernements locaux et nationaux, les communautés et d’autres
parties prenantes concernées par la contamination et cela implique que toute évaluation soit suivie d’une approche
fondée sur les risques conforme aux bonnes pratiques industrielles internationales telle que présentée dans les
Directives sur l’environnement, la santé et la sécurité du Groupe de la Banque mondiale (Directives EHS).
12
Tels que l’air, l’eau de surface et souterraine et les sols.
13
La capacité de l’environnement à absorber une charge accrue de polluants tout en restant en deçà d’un seuil de
risque inacceptable pour la santé humaine et l’environnement.
14
Si les ddécoulant de la manipulatiodangereux,5 , le client oulant dedesles alternatives
commercialement raisonnables àaisonpour une our une les saineou un traitement appropriée du
point de vue environnemental, compte tenu des limitations applicables le client et non
15
international.6transfrontalier. Lorsque l’élrsqueontaliere environnemental, compte tenu des
limitations applicables le client et non dangereux. Lores entreprises honorables et le
environnemental, com’un permis accord epar les organismes de règlementation compétents et en
mesure d effectuer une traçabilité sur ’ensemble de la chaine de traitement . Le client doit s’assurer
que seules des décharges répondant à des normes acceptables sont utilisées pour l’élimination de
ses déchets. Dans le cas contraire, les clients devront réduire la quantité de déchets envoyés vers
de tels sites et examiner d’autres options d’élimination des déchets, et en particculier la possibilité
de mettre en place leurs propres installations de recyclage et d’élimination sur le site du projet.
Matières
Gestion des matières dangereuses
6.13. Des matières dangereuses sont utilisées comme matières brutes ou produites par un projet.
Le client . es brutes ou produites par propres instalet/ou contrt . es autant que faire se peut
l’utilisation ou la dispersion des matie peudangereuses rs matie production de matières dangereuses
. Dans ce contexte, leur production, leur transport, leur manipulation, leur stockage et leur utilisation
dans le cadre des activités du projet devront être évalués. Le client étudiera la possibilité d’utiliser
des matières de substitution moins dangereuses. Le client étiliser des matières de commercialiser et
utiliserd’utiliser des produits chimiques et des matières dangereuses interdites au plan international
16
ou soumises à une procédure d’édes produitprogressive en raison de leur degr et des matières
dangereuses interdites au plan international ou souns l’environnement, leur potentiel de
17
bioaccumulation ou de destruction de la couche dnviron 7d’ozone, et envisagera l’utilisation de
substituts moins dangereux lation ou de destruction de la couche
Assistance technique
8. Lors de l'évaluation et de la sélection des techniques de contrôle et de prévention de la pollution
pour son projet, le client se reportera à la version courante des Directives sur l'environnement, la santé et la
sécurité. Ces Directives contiennent les niveaux et mesures de performance normalement acceptables et
applicables aux projets. Lorsque la réglementation du pays hôte diffère des niveaux et mesures présentés
dans les Directives sur l'environnement, la santé et la sécurité, les clients se conformeront aux dispositions
les plus rigoureuses. Si des niveaux et des mesures moins stricts sont appropriés dans l’optique des
circonstances propres au projet, le client fournira une justification complète et détaillée des alternatives
proposées. Cette justification devra démontrer que le choix des niveaux de performance de substitution
est compatible avec les exigences générales de le présent Critère de performance.
4
Par référence aux polluants transfrontaliers, dont ceux qui sont couverts par la Convention sur la pollution
atmosphérique transfrontalière à longue distance.
5
Tel que défini par la législation locale ou les conventions internationales.
6
Conformément aux objectifs de la Convention de Bâle sur les mouvements transfrontières de déchets dangereux.
7
Conformément aux objectifs de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants et du
Protocole de Montréal sur les substances qui appauvrissent la couche d’ozone. Des considérations analogues
s’appliqueront à certaines catégories de pesticides classées par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
14
Tel que défini par les conventions nationales ou la législation locale.
15
2 sur 4 doivent se conformer à la Convention de Bâle sur les
Les mouvements transfrontaliers de déchets dangereux
mouvements transfrontières de déchets dangereux et à la Convention de Londres sur le rejet de déchets dans
l’océan.
16
Comprises par exemple dans la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants et le Protocole
de Montréal sur les substances destructives de couche d’ozone.
17
Conformément aux objectifs de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants et du
Protocole de Montréal sur les substances destructrices de la couche d’ozone. Des considérations analogues
s’appliqueront à certaines catégories de pesticides classées par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Critères de Performance 3
Prévention et Réduction de la Pollution
30 avril 2006
11. Pendant le développement ou l’exploitation de projets dont il est prévu qu’ils génèrent des volumes
significatifs de GES,10 le client quantifiera les émissions directes provenant de sites qu'il possède ou
contrôle dans le périmètre physique du projet et les émissions indirectes associées à la production hors
périmètre du projet de l'électricité utilisée par le projet. La quantification et le suivi des émissions de
GES seront effectués chaque année conformément aux méthodes reconnues au plan international.11 En
outre, le client évaluera des options techniquement et financièrement faisables et économiques de
réduction ou de compensation des émissions de GES liées au projet pendant la conception et
l’exploitation du projet. Ces options peuvent comprendre, notamment, le financement du carbone,
l’amélioration de l’efficacité énergétique, l’utilisation de sources d’énergie renouvelables, la modification
de la conception du projet, la compensation des émissions et l’adoption d’autres mesures d’atténuation
telles que la réduction des émissions diffuses et du torchage des gaz.
Critères de Performance 3
Prévention et Réduction de la Pollution
30 avril 2006
15. client opte pour des pesticides, son choix donales et par les agences compt climatique nimes sur lesclarté
de l’élient opte pour des pe’utilisation sour des pesticides, son choix dorication par une entité actuellement agréée
par les organismes de réglementation compétents.
14.16. Le client concevra son rticides’application des pesticides de manion choix dorication par une entité
actuellement des parasites ciblés et parasites ciblés cidesment de la résistance des parasites. En outreDe plus,
les pesticides seront manipulés, stockés, appliqués et éliminés conformément au Code international de conduite
sur la distribution et l’utilisation des pesticides de l’Organisation des Nations Unies pour lrganisation dl’Alimentation
et let ntationn l’Agriculture ou d’autres bonnes pratiques industrielles internationales.
17. Le client n’utilisera pas, ne fabriquera pas ou ne commercialisera pas de produits qui entrent dans le cadre
de la Classification recommandée de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) par Catégories de danger Ia
(extrêmement dangereux) et Ib (hautement dangereux) ou Catégorie II (modérément dangereux), si le pays hôte
du projet n’impose aucune restriction sur la distribution et l’utilisation de ces produits chimiques ou s’ils sont
susceptibles d’être accessibles à un personnel sans formation, équipement et installations appropriés pour
manipuler, stocker, appliquer et éliminer correctement ces produits.
15.
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