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le nouvel ; ctimath? Théorie du nouvel Actimath 1 A. Diviseurs d’un nombre 4) Notation ensemble des diviseurs d'un nombre n se note div n. Exemples : div24=(1,2,3,4,6,8,12,24) AY gv16=(1,2@.8.18) miei Ee Sf 2) Propriétés a) Le nombre 1 civise tout nombre naturel. Exomple: 1 divise 8, car8 b) Tout nombre naturel non nul est son plus grand diviseur. Exemple : 9 est le plus grand diviseur de 9 car 9=9.1 B. Nombres particuliers Parmi les nombres entiers positits (naturels) que tu as rencontrés a 'école primaire, il y a des nombres particuliers. 1) Nombres carrés Définition: Un nombre carré est un nombre naturel qui posséde un nombre impair de diviseurs. Propriété: Un nombre carré peut s'écrire sous la forme d'un produit de deux facteurs égaux. Exemple ; 16 est un nombre carré car il posséde 5 diviseurs. (On peut écrire que 16 = 4.4.= 4? 2) Nombres rectangles Définition ; Un nombre rectangle est un nombre naturel qui posséde un nombre pair de diviseurs. Exemple: 24 est un nombre rectangle car 24 posside 8 diviseurs, Multiples (eee 3) Nombres premiers Définition : Un nombre premier est un nombre naturel qui n'admet que deux diviseurs distinets (1 et lu-méthe) Exemple: § est un nombre premier car 5 ne posséde que deux diviseurs distincts : 1 et 5 Contre-exemples : 1 n'est pas premier, car 1 n'admet qu'un seul diviseur. 8 n'est pas premier, car 8 est divisible par 1, 2, 4 et 6. C. Multiples — Diviseurs Notation: Sia, b et c sont des nombres naturels non nuls, alors a= .¢ signifie que 5 bet divisent a; bet c sont des diviseurs de a; i. 5 a est divisible par b et c; a.est un multiple de b et de c Exemple: 18= 3.6 signifie que 6 et 6 divisent 1 3 et 6 sont des diviseurs de 18; 18 ost divisible par 3 et 6; a) 18: 18 est un multiple de 3 et de 6. D. Propriétés de la divisibilité 1) Propriétés liant la divisibilité et les opérations 2) Si.un nombre en divise deux autres, alors il divise leur somme. Exemple: Puisque 6 divise 600 et 12, alors 6 divise 612. Formulation mathématique : a, b, ¢ étant des nombres naturels si adivise b et c, alors a divise b + c. b) Si un nombre en divise deux autres, alors il divise leur différence. Exemple: Puisque 6 divise 600 et 12, alors 6 divise 588, Formulation mathématique : a,b, ¢ étant des nombres naturels si a divise b et c, alors a divise b-¢ (avec b plus grand que ¢ ou b > ¢). Grice eee Peon. 3) (einen inten ©) Si un nombre en divise un autre, alors il divise tous les multiples de cet autre Exemple: Puisque 18 divise 52, alors 13 divise tous les multiples de 52 (104, 620, ...). Formulation methématique : a, b, n étant des nombres naturels : si adivise b, alors a divise b.n Caractéres de divisibilité a) Un nombre est divisible par 2 si son dernier chiffre est un nombre pair. b) Un nombre est divisible par 5 si son dernier chitfre est 5 ou 0. ©) Un nombre est divisible par 4 si ses deux derniers chifires forment un nombre divisible par 4. ) Un nombre est divisible par 25 si ses deux derniers chiffres forment un nombre: divisible par 25. ) Un nombre est divisible par 8 si ses trois demiers chiffres forment un nombre divisible par 8. 1) Un nombre est divisible par 125 si ses trois derniers chiffres forment un nombre: divisible par 125. 9) Un nombre est divisible par 3 si la somme de ses chiffres est un nombre divisible par 3. h) Un nombre est divisible par 9 si la somme de ses chiffres est un nombre divisible pars. Choix de la propriété Pour justiier qu'un nombre est divisible par un autre, plusieurs méthodes peuvent partois étro utilisées. Exemples : 812 est divisible par 3 car 312 = 300 + 12 et que 300 et 12 sont divisibles par 3.En effet, 300=3. 100et12=3.4 312 est divisible par 3 car la somme de ses chitfres (6) est un nombre divisible par 3. En effet, 6=2.3 92. est divisible par 4 car 92 = 80 + 12 et que 80 et 12 sont divisibles par 4. En effet, 80=4.20et12=4.3 796 est divisible par 4 car ses deux derniers chitfres forment un nombre (96) divisible par 4. En effet, 96 = 100 — 4 et 100 et 4 sont divisibles par 4. 796 est divisible par 4 car 796 = 800 — 4 et que 800 et 4 sont divisibles par 4. En effet, 800 = 4. 200 et 4=4.1 E. Puissances 1) Notation Lorsque les facteurs d'un produit sont égaux, on convient d’écrire ce produit, sous une forme abrégée : une puissance. 2) Exemples 5.5.5.5 =5¢ 5.5.5=59 t 3) Vocabulaire ‘exposant base puissance 4) Lecture 5*se lit «5 exposant 4 » «4° puissance de 5» . «<5 8 la 4® puissance » . 58se lit «5 exposant 3» ou «5 au cube » See lit «5 exposant2» ou « 5 au carré » 5) Puissances utiles a connaitre Bad #=9 #=16 5%=25 10 = 100 a8 =27 48-64 7=49 108 = 1000 aa16 3t=81 a= 64 410* = 10 000 2=32 98=243 = 81 408 = 100 000 28 = 64 408 = 1 000 000, 27 = 128 112 28 = 256 122 = 512 15%=225 — 10®= 1.000 000 000 2! = 1024 25? = 625 F. Recherche du plus grand commun diviseur 1) Méthode de recherche Apres avoir décomposé les nombres en facteurs premiers, le plus grand commun diviseur de deux nombres s'obtient en multipliant tous les facteurs communs. Exemples 18=2.3.3 12=2.2.3 le PGCD de 18 et 12est 2. 72=2.2.2.3.3 60=2.2.3.5 lePGCD de 72 et 60est 2.2.3=12 Cine) ri aise 2) Nombres premiers entre eux Définition : Deux nombres premiers entre eux sont deux nombres qui n’admettent que le nombre 1 comme diviseur commun. Remarque : 1 est done leur PCD. Exemple: 25 et 12 sont premiers entre eux car ils n'ont que 1 comme diviseur ‘commun, 3) Propriété Les quotients de deux nombres par leur PGCD sont des nombres premiers entre eux. Exemple: Le PGCD de 48 et 60 est 12. En effet, 48:12 = 4 et 60:12=5 et les nombres 4 et 5 sont premiers entre eux. G. Simplification d’une fraction 1) Méthodes ‘a) Pour simplifier une fraction, il suffit de diviser le numérateur et le dénominateur par un diviseur commun non nul :3 10 0 _90:3_10 Eremole: 33" aaa 8 oe Nea b) Pour rendre une fraction irréductibl, il suffit de diviser le numérateur et le dénominateur parleur plus grand commun diviseur. 26 5 90 _ 90:6 5 30 ao a0:8 ae, D 24. exemple: = Segta ba 6 est le PGCD de 30 et LP 2) Remarque Le numérateur et le dénominateur d'une fraction irréductible sont premiers entre eux. 05 is : eo sxemple: F< La traction © estiéductble car 5 ot 4 sont premier entre eux (eRe A. Symétrie orthogonale Définition dyna Une symétrie orthogonale est une transformation du plan qui envoie tout point de Fautre c0té de axe, sur la droite perpendiculaire axe passant par ce point, A une méme distance de axe. Corry I élément caractéristique d'une symétrie orthogonale est une droite appelée axe. B. Symétrie centrale Defi Une symétrie centrale est une transformation du plan qui envoie tout point de Fautre cdté du centre, sur la droite passant par le point et le centre, .une méme distance du centre. ition dynamigile élément caractéristique d'une symétrie centrale est un point appelé centre, C. Translation Définition dynamique Une translation est une transformation du plan qui déplace tout point dans une méme direction, dans un méme sens et f'une méme distance. A. Introduction 1) De nouveaux nombres a) ensemble des nombres entiers positifs (nombres nature's) se note N. b) Dans certaines activités, ces nombres naturels ne sont pas suffisants pour faire apparaitre deux catégories d'informations numériques. Il est alors indispensable dlutiliser des nombres entiers négatits. Exemples : 5° en dessous de 0° (-5) 15° au-dessus de 0° (+ 15) le 3° étage dun immeuble (+3) le 4° sous-sol d'un immeuble (-4) La réponse du calcul 5 ~ 8 nest pas un nombre naturel; mais nous pouvons écrire que 5 8 =~ 3, °c) Lensemble des nombres entiers positits et négatifs se note Z. 0 p4154 25435445455.) Le symbole + ou qui précdde le nombre s'appelle le signe de lentior. Sile signe est +, on dit que lentier est positit. Sie signe est -, on dit que Fentier est négatit Dans certains cas, on peut négliger le signe + du nombre posit d) Les nombres entiers permettent de graduer une droite. A B d eye 41 42 53 +8 +5 Chaque nombre entier est 'abscisse d'un point de la droite. Exemples : abs A abs B= +3 ‘Ad aemeteeene Peirce Cimie ) On peut représenter les ensembles N et Z par deux diagrammes différents. = a Nezt Ce diagramme montre que Ce diagramme montre que ensemble N est une partie le nombre 0 est le seul nombre de ensemble Z. qui est & la fois positi et négatit. 2) Valeur absolue Définition ; La valeur absolue d'un nombre entier est le nombre naturel utilisé pour écrire ce nombre. Exemples : La valeur absolue de—Sest 3. La valeur absolue de + 5 ost 5. 3 ; [+5] Notation : I-3) Remarque : La valeur absolue d'un nombre représente sa distance au point dabscisse 0 sur une droite graduée. 3) Nombres opposés Définition : Deuxnombres opposés sont deux nombres de méme valeur absolue mais de signes contraires. Exemples: +3 et-3 25 et-25 Notation: Sia est un nombre entier, alors son opposé est noté — a Exemples : Lopposé de + 5 se note~ 5. Lopposé de - 7 se note —(-7), est-a-dire + 7. Le nombre ~ a n’est pas nécessairement un nombre négatit, Exemple : si a =~ 7, alors —a= Remarque : Sur une droite graduée, deux nombres opposés sont symétriques par | rapport au point c’abscisse 0. é -3 0 3 3 3 fou im jon et soustraction avec des entiers Le nouvel 4) Comparaison de deux nombres entiers a) De deux nombres positifs, le plus petit est celui qui a la plus petite valeur absolve. Exemple: 4<9 b) De deux nombres négattts, le plus petit est celui qui a la plus ‘grande valeur absolve. Exemple: -3<-2 ©) De deux nombres de signes contraires, le plus petit est le nombre négatif Exemple: -3<4 B. Addition — Soustraction 1) Somme de deux nombres entiers Regles a) Pour additionner deux nombres entiers de méme signe, on conserve le signe et on additionne les valeurs absolues. Sl ol Exemples (2)+(49)=45 (2)+C5)=— LH LH 243 225 b) Pour additionner deux nombres entiers de signes différents, ‘on donne a la somme le signe du terme ayant la plus grande valeur absolue et on soustrait les valeurs absolues (la plus grande moins la plus petite). ry Exemples sigs 6) +(42)=- (2445) 249 5-2 Minne es (eitmieecan Chapitre 2) Différence de deux nombres entiers Régie Soustraire un nombre entier revient & ajouter son opposé. Exemples : (+3)-(-2)=(+3)+(+2) (#5)- (#7) = (48) +7) 3) Ragle des signes successifs Il est fréquent, dans une somme, de rencontrer des signes qui se suivent. Avant d'effectuer un calcul, il faut simplifer lécriture en utilisant la ragle des signes successits. Ragle Exemples + (42) 942 +8) 9-5 =A o-4 -¢9) 343 4) Propriétés de l'addition a) « addition est une opération commutative » signifie que, dans une somme, ordre des termes n’influence pas le résultat. Sia et sont deux nombres entiors, alorsa+b=b+a Siaetbe Z,alorsa+b=b+a Exemples : (+3) + (-2)=(-2) + (+3) ou 3-2=-243 (£3) + (65) + (+ 10) = (+3) + (+ 10) +5) ou 3-5+10=3+10-5 b) « Laddition est une opération associative » signifie que, dans une somme de plus de deux termes, la maniére de les grouper n‘influence pas le résultat. Sia, b etc sont trois nombres entiers, alors a+b +c=(a+b)+o=a+(b+e) Sia, betce Z,alorsa+b+c=(atb)+c=a+(b+0) Exemple: 3+ (-§) +10 (8+(-5)) +10=-2410= 94 (-5)+10=3+((-5) +10) =3+5=8 ‘Addition et soustraction avec des entiers Pierce ‘Chapitre: ©) « Ladsition est une opération qui admet 0 comme élément neutre » signifie {qUajouter 0 & un nombre donne une somme égale & ce nombre. Sia est un nombre entiar, alors a+O=a=0+8 Siac Z,alorsa+O=a=0+a Exomplos: $40=3=043 — (-§)+0=-5=0+(-5) 4d) « Laddition est une opération symétrisable » signifie que la samme de deux nombres opposés est null. Sia est un nombre entier, alors a + (~a) ajea Siac Z,alorsa+(-a) ara Exemple: 74 (-7)=0=(-7)+7 5) Régle pratique pour effectuer une somme de plusieurs termes Apres simplification (regle des signes successifs), on peut calculer la somme = de gauche & droite ou — en groupant les nombres positifs et les nombres négatifs entre eux. Exemples : 7S+5-8-746> -3+5-8-7+6= 2-8-7+6= (-3-8-7)+(5+6)= -13+6= -7 Remarque : certains groupements facilitent parfois le calcul Exomples : -5+8-8=-540 440+8=-4+8=4 -445-3-248=-445-5+8= eM Gri Gee nee es A. Triangles 1) Définitions Nous pouvons classer les triangles de deux maniéres : c'aprés amplitude des angles ou d'aprés la longueur des cdtés. Un triangle acutangle est un triangle qui a ses angles agus (1, 4, 7). Un triangle rectangle est un triangle qui a un angle droit (2, 5). Un triangle obtusangle est un triangle qui a un angle obtus (3, 6). Un triangle scaléne est un triangle qui a ses cétés de longueurs différentes (1, 2, 3). Un triangle isocdle est un triangle qui a deux cétés de méme longueur (4, 5, 6). Un triangle équilatéral est un triangle qui a ses cétés de méme longueur (7). 3) ») Constructions de triangles a) Le triangle équilatéral += Avec le compas Crmicknnr meen b) Le triangle isocale + Sur feville quadrillée * Avec 'équerre Aristo > nec '* Avec le compas (un arc de cercle) c ¢ c c 8 8 a a A x ©) Le triangle rectangle isocéle + Sur feuille quadrillée ‘* Avec léquerre Ari imice d) Le triangle scaléne acutangle x 3 acl > 1A! @) Le triangle scaléne obtusangle e g i 8 x 3 x 5 TAC! >1ABI ) Le triangle scalane rectangle Sur feuille quadrilée ene 3) Droites remarquables dans un triangle a) Définitions Une hauteur d'un triangle est une droite qui passe par un sommet et qui est perpendiculaire au cote opposé ou a son prolongement. A 8 c h hest la hauteur issue de A Une médiatrice d'un triangle est ne droite qui est perpendiculaire au milieu d'un cété. A mest la médiatrice de [BC] b) Films de constructions Une médiane d'un triangle est une droite {qui passe par un sommet et le milieu du cOt6 opposé. mest la médiane issue de A Une bissectrice d'un triangle est une droite qui partage un angle en deux angles de méme amplitude. a) B c b best la bissectrice de A Film de la construction de la bissectrice d'un angle Cimce jures planés \Z Film de la construction de la médiatrice d'un segment de droite B. Quadrilateres 1) Définitions 2) Organigramme Un trapdze est un quadrilatére qui a deux cétés parallales. Un parallélogramme est un quadrilatére quia ses cotés opposés paralléles. Un rectangle est un quadilatere quia 0s angles droits. Un losange est un quachiatére quia ses cbiés de méme longueur ecarae Un carré est un quadriatére qui a ses ie angles droits et ses cétés de méme cans longueur. eREMeecr a 3) Caractéristiques des quadrilatéres ® 2 E g 2 g|2| 3) 2 a/El EL Els ere@e |S] e, 3s ‘AU moins 2 c6tés paraliéles vivivivle Cétés opposés paraliéles £- v i v Cétés opposés de méme longueur v v v Vv 4 cbtés de méme longueur v v Angles opposés de méme amplitude v v v v 4 angles de méme amplitude (90°) v v C. Cercle et disque Définitions Le cercle est 'ensemble des points du plan équidistants o'un point donné appelé centre, Le disque est la portion du plan délimitée par le cercle. corcle \_-» rayon —> disque diametre D. Angles particuliers Définitions Deux angles adjacents sont deux angles qui ont le méme sommet, un c6té commun et qui cont situés de part ot d’autre de ce cdté commun. Deux angles complémentaires sont deux angles dont la somme des amplitudes vaut 90°. Deux angles supplémentaires sont deux angles dont la somme des amplitudes vvaut 180°. Chapitre PenEMcnc E. Formulaire Dans les formules ci-dessous, P désigne le périmatre et A aire de la figure. Rectangle Carré 1 c L: Pade Azc.cae Cercle Parallélogramme er 4 > > Peatbee P=2a+2b P=2.(a+b) beh Azboh 2 Trapeze b a=B Peasbeced an @tb).h 2 (eee ries F. Notations et symboles un point Exemple :e point A une droite Exomple : la droite passant par les points A et 8 une demi-droite [ Exemple : la demi-droite d'origine A passant par le point B un segment Teall Exemple : le segment de droite dont les extrémités sont les points A et B une longueur ! Exemple :la mesure de [AB] ou la longueur de [AB] ou a distance entre les points ActB un angle Exemple : rangle de sommet O ou l'angle dont les cotés sont [OA et [OB une amplitude I Exemple : 'amplitude de langle OB ou lamplitude de angle de sommet 0. est parallale a .. Hass .. est sécant(a) & .. est perpendiculaire & 1. on. L meetin A B AB A B [AB A B [AB] 1ABI = 3 om A B |ABI A a 6=A0B B A [O|=[A08| ° B |nOB|= 40" REeccae A. Sommet, face, aréte Notations 1) Un sommet d'un'solide est un point. 5 2) Une aréite d'un solide est un segment de droite. (48) 8) Une face d'un solide est un polygone qui se note par ABFE ses sommets. 4) Le point M appartiont au segment [EF] Mien 5) Le segment (EB] est inclus dans la face ABFE. (EB) CABFE. 6) Si on prolonge une aréte dans les deux sens, on Fa obtient une droite, Gelle-ci peut se noter par deux d de ses points ou par une lettre minuscule choisie atbitrarement. « 7) Sion prolonge une face dans tous les sens, on obtient un plan, Celui-ci se note souvent par une lettre grecque. B. Positions relatives de deux droites 4) Droites situées dans un méme plan (coplanaires) a) Deux droites parallales (distinctes) sont deux droites qui sont situées dans un méme plan et qui n’ont pas de point c'intersection. Exemple : AD//BE 2) 3) b) Deux droites sécantes sont deux droites qui ont un point dintersection Exemple : AB# BC Cas particulier Deux droites perpendiculaires sont deux droites sécantes qui forment des angles droits Exemple : ADL DE Droites non coplanaires Deux droites gauches sont deux droites qui ne sont pas situées dans un méme plan. Exemple : AD ot BC sont gauches n'y a pas de symbole particulier pour noter des droites gauches. Propriétés des droites paralléles et perpendiculaires a) Si deux droites sont perpendiculaires & une méme troisiéme, alors elles sont paralléles entre elles, SibLaetcta,alors bic bia bic cla b) Si deux droites sont paralldles a une méme troisiéme, alors elles sont paralléles entre elles. a ae Sib//acte//a,alors b/c bila ‘i }- bie ey cla (Emon C. Solides usuels 1) Classification a) Définitions Un polyédre est un solide limité par des faces planes (polygones). Un prisme droit est un polyedre limité par deux polygones paralléles (les bases) et des rectangles (les faces latérales) perpendiculaires aux bases. Une pyramide est un polyadre limité par un polygone (la base) et des triangles qui ont un sommet commun (les faces latérales). b) Exemples de solides prisme a prisme & ase triangulalre base hexagonale cube parallélépipade rectangle 2 pyramide & pyramide a pyramide & base triangulaire base carrée base pentagonal ae S oylindre cone sphere ae, ark Grmtceeeniccs OO O> 2) Propriétés du prisme droit a) Les bases d'un prisme droit sont deux polygones superposables. b) Les arétes qui relient les bases sont paralléles et de méme longueur; cette longueur ‘est appelée hauteur du prisme. Base Hauteur Face latérale Hauteur Face latérale Base ) Un prisme droit dont la base posséde n cétés a: 1.2 sommets n. 3 arétes n+ 2 faces Exemple: Les bases de ce prisme ont 6 cétés, le solide possdde 6 . 2 = 12 sommets, 6.3 = 18 arétes et 6+2=8 faces. D. Formulaire 1) Formules de volumes V= Aire base. h Vem. rh Cimaeeenics 2) Formules d'aires Aire latérale = périmétre de la base . hauteur Aire totale = aire latérale + aires des deux bases Développement du prisme Développement du eylindre base triangulaire | h Aire latérale: A.=(2+D +0). Aire latérale : A,=2.7-6-h Aire totale: Ar=A.+2+Ag Aitetotale: Ap=AL+ 2.7.8 ou ou Ap=(a+b+c).h+2.Ag Apa2.Mer h+2.n.r? ene Griese A. Réduction d’un produit algébrique 4) Regle Pour réduire un produit algébrique, il faut multiplier les facteurs numériques entre eux tt écrire (de préférence) les facteurs littéraux dans ordre alphabétique. 2) Remarque Le symbole de la multiplication (.) n’est pas obligatoire entre — deux facteurs littéraux, ~ un facteur numérique et un facteur littéral. 3) Exemple a Aire totale de la figure : Sa. 2b = (3.2). (ab) b [ab | ab | ab VA bss abs [hab =6.ab = 6ab B. Réduction d’une somme algébrique ition de termes semblables 1) Dé Des termes semblables sont des termes qui ont la méme partie litéral. 2) Ragle Pour réduire une somme algébrique de termes semblables, Il faut conserver la partie lttérale et additionner les parties numériques (coefficients). 3) Exemples $a+2a=(3+2) \ b+b=1b+1b=(1+1).b=2.b=2b 5.a=5a 4ab + 2ab = (4 +2).ab=6. ab=Gab Grieceeencan Pierce Périmatre du rectangle a a atatatb+b+atratarb+b = 5 =3a+2b+3a+2b “AK 1 =6a+4b a a Lorsqu’une somme contient un nombre important de termes, il est intéressant de souligner, de maniéres différentes, les termes sembiables. Ba+2b+5+da+8+7b=7a+9b+13 4) Remarque Les sommes 3a + 2b et Sa + 1 ne sont pas réductibles car elles ne renferment pas de termes semblables. c. tributivité simple 1) Regie Pour mutiplier une somme par un nombre, il faut multiplier chaque terme de la somme par ce nombre et additionner les résultats obtenus. 2) Exemple Aire totale de la figure a.(b+e)=a.b+a.c a beac ab ac D. Distributivité double 1) Ragle Pour multiplier une somme par une somme, il faut multiplier chaque terme de la premisre somme par chaque terme de la seconde et additionner les résultats obtenus. (eRe Chapitre 6 « Calcul litteral 2) Exemple Aire totale de la figure {a+b).(6+0) =a.cta.d+b.c+b.d AP =ac+ad+bo+bd E. Mise en évidence 1) Principe a b ac be ad bd Lorsque tous les termes d'une somme possédent un (des) facteur(s) commun(s), on peut transformer cette somme en un produit de facteurs en mettant ce(s) facteur(s) commun(s) en évidence, 2) Exemples ab+ac=a.b+a.c a.(b+c) 5+5a=5.145.a =5.(1+a) Sab + Sbe = 3b. + 3b.¢ =3b.(a+c) 8a412)=4.2a44.3b (2a + 3b) 3) Remarque Le produit des facteurs communs mis en évidence est le PGCD des termes dela somme, Exemple : 12ab + 18ac = 6a . (2b + Se) 6a est le PGCD de 12ab et de 18ac. oe PeiPmece as F, Régles de priorité 1) Ragles Ragle 1 : on effectue en priorté les calculs entre parentheses, Ragle 2 : on effectue dans rordre les puissances, les produits puis les sommes. 2) Exemples 243.28 (On offectue les puissances. =254+3.8 (On effectue le produit. = 25424 On effectue la somme. 49 44+2.(74+3P On effectue le calcul entre parenthéses. 2442.10 On effectue la puissance =4+2.100 On effectue le produit. =4+200 On effectue la somme. =204 G. Equations 41) Définitions Une équation est une égalité qui contient une lettre appelée inconnue (celle-ci peut apparaitre plusieurs fois) Résoudre une équation, c'est déterminer la valeur de linconnue qui véritie régalit. 2) Exemples 3x =45 x+15 =90 2x+10 =110 x=45:3 x=90-15 2x = 110-10 x=15 x=75 2x = 100 x =100:2 x=50 Mime! Cirieneltl al A. Coordonnées d’un point 1) Construction du repere Pour repérer un point dans le plan, il faut = tracer deux droites sécantes (souvent perpendiculaires) et = les graduer & partir de leur point dintersection Les deux droites ainsi graduées forment un repere cartésien du plan. 2) Coordonnées d'un point La position d'un point est connue grace & un couple de nombres. Ces nombres sont appelés les coordonnées du point. La premiere coordonnée est appelée abscisse du point; elle se repre sur axe horizontal (x). La seconde coordonnée est appelée l'ordonnée du point; elle se repare sur 'axe vertical (y).. 3) Exemples Les coordonnées du point A sont (;4) Les coordonnées du point B sont (-2 ;-3) 3 est labscisse du point A. ~2 est abscisse du point B. 4 est fordonnée du point A. — 3 est l'ordonnée du point B. EES | esti TET | y::laxe des ordonnées | Les coos oe | 1 4 torre 4 TT ebecsse dea |_| | ee | | 4 T 7 4 | Behn intel 1 L blll a Ces EEE 4) Remarques Les coordonnées de l'origine du repére sont (0 ; 0). Les points de I'axe x ont une ordonnée null. Les coordonnées du point E sont (5; 0). Les points de I'axe y ont une abscisse nulle, Les coordonnées du point F sont (0 372). B. Droites et coordonnées Les coordonnées des points d'une méme droite ont toujours une caractéristique: ‘commune. Exemples Les points de la droite a paralléle &axe y ont la méme abscisse (7). x=7 Les points de la droite b paralléle a I'axe x ont la méme ordonnée (- 5). y=—5 Les points de la droite c ont leur abscisse égale a leur ordonnée. x=y Les points de la droite d ont leur abscisse qui vaut le double de leur 2y ordonnée. Y c 4 4 | See eel EE | re | | | | Le i = js L |_| | Giiiicmanccees C. Transformations du plan et coordonnées Par la symétrie centrale de centre ©, un | Par la symétrie orthogonale d'axe x, un point et son image ont des abscisses et | point et son image ont méme abscisse des ordonnées opposées. et des ordonnées opposées. Triangle 1 —» Triangle 2 Triangle 1 —> Triangle 3 (154) devient (-1 ;-4) (154) devient (1 ; 4) Wet e Ne Par la symétrie orthogonale d’axe y, un | Une translation ajoute un méme nombre point et son image ont des abscisses l'abscisse et un méme nombre @ ‘opposées et méme ordonnée. Vordonnée de tout point. Triangle 1 —» Triangle 4 Triangle 1 —» Triangle 5 (134) devient (1 ; 4) (1; 4) devient (4 ; 6) Neat ie uae et | 4 i8) pope aie 3 : ‘ Ei en] a9 | i -4| rT eras Cl D. Milieu d’un segment 1) Régle Les coordonnées du milicu d'un segment s‘obtiennent en calculant la moyenne arithmétique des abscisses et la moyenne arithmétique des ordonnées des extrémités ‘du segment SIA (Xp 3p) eB (X%q ; Yq) et M milieu du segment [AB], ata Yat obrom (Se Yate Crenancnerss 2) 1) Exemple SIA (1; 6) ot B (552) et Momnillieu du segment [AB], (:)-0:4 alors M (2:22) 2°28 Diagonales d’un parallélogramme Propriété Les diagonales d'un paraliélogramme ont le méme milieu. ou Les diagonales d'un paraliélogramme se coupent en leur milieu. Exemple Los points A, B, C et D forment un parallélogramme. Les points M et N sont les milieux respectifs des diagonales [AC] et {BD}. Recherche des coordonnées de M y FF Tea] SIA(3;9)etC (51), 2H =(4;5) Recherche des coordonnées de N SiB(7;9) 1D (151), alorsN (21, 941 Bee Les diagonales [AC] et [BD] ont le méme milieu; elles se coupent en leur milieu, ea A. Grandeurs directement proportionnelles 1) Définition Deux grandeurs directement proportionnelles sont deux grandeurs telles que si 'une est multipliée (divisée) par un nombre, alors lautre est multipliée (divisée) par le méme nombre. 2) Propriété Les points du graphique représentant deux grandeurs directement proportionnelles sont alignés avec lorigine du repére cartésien. Exemples : y ‘re grandeur | x | 2e grandeur | y wore |> [2 11°11 *]2 ae | alesten fae role | 2egrandeur | y | 75 teaage B. Coefficient de proportionnalité 1) Définition Le coefficient de proportionnalité (k) entre deux grandeurs directement proportionnelles (x et y) est le quotient de deux quantités correspondantes de y et de x, Exemples Pence 2) Remarques Une valeur de la grandeur y peut étre trouvée en multipliant la valeur de x correspondanto par le coefficient de proportionnalité. Une valour de la grandeur x peut atre trouvée en divisant la valeur de y correspondante par le coefficient de proportionnalté. Exemple C. Régle de trois et grandeurs directement proportionnelles La régle de trois permet de résoudre les problémes faisant intervenir deux grandeurs directement proportionnelles. Pour résoudre ce type de problémes, on peut adopter deux présentations différentes. Exemple : Quatre kilos de pommes codttent 6 €. Que cotttent 7 kilos ? Présentation classique Présentation par tableau de proportionnalité ; 7 4kg —+ 6€ 18 aC “ sf Me ano te & tag + 15€ asso (ka) fe Prix (€) 6 | 15 | 105 ? Ro Pie Tkg + 105 eT Remarque Le passage & lunité n'est pas toujours indispensable. Exemple: Quatre kilos de pommes coditent 6 €. Que cotttent 8 Kilos ? E16 kilos ? Présentation par tableau Préséntation par tableau 2 be) Masse (Kg) 418 Masse (Ki 4 [2/6 Prix (€) 6 | 12 Prix (€) ela3alo (rman Grice D. Léchelle 1) Exemple Tracer un plan a échelle 1/50 signifie que les dimensions sur le plan sont 50 fois plus petites que les dimensions réelles. Done, + em sur le plan représente 50 om en réalit6. Longueur réele (cr) x | 50 | 850] 650 Longueur sur plan (om) | y | 1 | 11 | 18 2) Définition échelle est le rapport entre la longueur sur le plan et la longueur réelle, exprimées toutes deux dans les mémes unités. longueur sur le plan Tongueur réelle Echelle échelle est donc le coefficient de proportionnalité entre les deux grandeurs. 3) Applications a) Déterr échelle jer une longueur réelle connaissant la longueur sur le plan et Exemple: A quelle longueur réelle correspond une longueur de 7 om mesurée sur une carte au 1/200 000 ? Solution Longueur réelle (em) | 200 000 |1 400.000 = 200 000 Longueur sur plan (crn) 1 7 Une longueur de 7 cm mesurée sur une carte au 1/200 000 correspond une distance réelle de 1 400 000 cm ou 14 km. b) Déterminer une longueur sur le plan connaissant la longueur réelle et échelle Exemple: Sur une carte au 1/25 000, quelle est la longueur du segment représentant une distance de 800 m ? Solution Lengueurréele(om) | 25000 | 80000 Dyes ‘Longuour sur plan (crn) 1 32 Sur une carte au 1/25 000, une distance de 800 m est représentée par un ‘segment de 3,2 om. me Grice Le nouvel A. Multiplication 1) Produit de deux nombres entiers Regie: Pour multiplier deux nombres entiers, (on détermine le signe du produ, = si les facteurs ont le méme signe, alors le produit est positf; —siles facteurs ont des signes différents, alors le produit est négatit, ‘et on calcule le produit des valeurs absolues. Exemples facteurs de signes attérents facteurs de meme signe LO (+3).€2)=-6 ? 9). 2)=+6 [eset Cs 3.2 342 2) Propriétés de la multiplication a) « La multiplication est une opération commutative » signifie que, dans un produit, Forde des facteurs ninfluence pas le résultat Sia et sont deux nombres entiers, alors a - b.a Siaetbe Z,alorsa. Exemples : (+3).(-2)=(-2)-(#3) 25.3. 2)=25.(-2).3 b) « La multiplication est une opération associative » signifie que, dans un produit de plus de deux facteurs, la maniére de les grouper n’influence pas le résultat. Sia, bet c sont trois nombres entiers, alors a.b.c=(a.b).c=a.(b.c) fa.b).c=a.(b.¢) Sia, betce Z,aloisa.b.c ©) «La multiplication est une opération qui admet 1 comme élément neutre » signifie que muttiplier un nombre par 1 donne un produit égal & ce nombre. Sia est un nombre entler, alors a. 1 = Siac Z,alorsa.1= Exemples: 4.1 (-7).1=-7=1.67) en Cito (enrice 4d) « La multiplication est une opération qui admet 0 comme élément absorbant » signifie que muttiplier un nombre par 0 donne un produit égal & 0. Si a est un nombre entier, alors a.0=0=0.8 Siae Z,alorsa.0=0=0.a 0.(-9) Exemples : 5.0=0=0.5 9). 3) Régle pratique pour déterminer le signe d’un produit de plusieurs facteurs Dans un produit de plusieurs facteurs, —sile nombre de facteurs négetits est pair, alors le produit est posit, ~ sile nombre de facteurs négatits est impair, alors le produit est négatit. Exemples : (2).5.3).(64)=-120 Le produit est négatit car il comprend trois facteurs négatifs. 6. (-2).3(-5) = 180 Lo produit est positif car il comprend deux facteurs négatifs, B. Puissances 1) Regle des signes ‘Toute puissance d'un nombre positif est un nombre posit. Exemples: 22=2.2=4 28=2.2.2=8 ‘Toute puissance paire d'un nombre négatif est un nombre posit. 4 (2#=2).-2).2)-2)=16 Exemples : (- 2)? = (-2).(-2)= ‘Toute puissance impaire d'un nombre négatif est un nombre négatit, 2)=-8 (2). (-2).(-2)=— 32 Exemples : (-2)°= cap 2) En résumé Une puissance est un nombre négatif dans le seul cas ol la base est négative et Vexposant impair. Exemples : (~2)° Crore eceaenaens C. Régles de priorité Les ragles de priorité utilisées pour les nombres naturels restent valables pour les nombres enters, = On effectue en priorité les calculs entre parenthéses. On effectue dans l'ordre les puissances, les produits puis les sommes. -3-2.(6-8 On effectue le calcul entre parentheses. =-3-2.(-38 On etfectue la puissance -822.¢27) On etfectue le produit =-3454 On effectue la somme. =51 D, Réduction d’expressions algébriques 1) Produit algébrique Pour réduire un produit algébrique, il faut multiplier les facteurs numériques entre eux ct écrire (de préférence) les facteurs littéraux dans Vordre alphabétique. Exemple 2) Somme algébrique Pour réduire une somme algébrique de termes sembiables, il faut conserver la partie littérale et additionner les parties numériques (coefficients). Exemples —Ba+15a=(-8+15).a=7.a=7a (-8a) + (2b) - (7a) - 8 Penne! Cree Ba — 2b + 7a ~ 8b = 4a-100 E. Suppression de parentheses Regles 1) Dans une somme algébrique, on peut supprimer des parenthéses et le signe "+" qui les précéde sans changer le signe des termes compris dans ces parentheses. Exemple: 4a + (~2b + 3c) = 4a~ 2b + 3c 2) Dans une somme algébrique, on peut supprimer des parenthéses et e signe “—" qui les précéde a condition de changer le signe des termes compris dans ces parenthéses. Exemple: 5x~(~4y +2z) = 5x4 dy 22 Remarque ‘Avant de supprimer des parentheses, il est prudent de verifier si chaque terme se trouvant dans les parenthases est affecté de son signe Exemple: 8x~(2x—7y) = 3K~ (+ 2x~7y) = 3x= 2x4 7y F. Equations et graphes LLutlisation dun graphe permet de trouver la solution d'une équation. +8 ea} Es 8 oxs2 Ai6-2 -18 xe 19):3 Crick nce A. Pourcentage Notation Un pourcentage peut se noter de différentes maniéres. 21 Exemple : 21% =! =0,21 ph F007 B. Problémes liés aux pourcentages 1) Pour calculer le pourcentage d'un nombre, on peut utiliser plusieurs techniques. 21% de 1500 = (1500 : 100). 21 = 315 21% de 1500 = 1500. 0,21 = 315 2t 21% de 1500 = 21. 1500= 315 * 100 2) Pour augmenter ou diminuer un nombre d'un certain pourcentage, on peut utiliser deux méthodes différentes. Exemple 1 : Calculer le prix TVA (21 %) comprise sachant que le prix hors TVA. est de 3200 €. a) Montant de la TVA : 21 % de 3200 € = 672 € Prix TVA comprise : 3200 € + 672 € = $872 € b) Prix TVA comprise : 121 % de 3200 € = 8200 € . 1,21 = 9872 € Exemple 2 : Combien cottera un livre affiché 24 € si on bénéficie d'une ristourne de 15% ? a) Montant de la ristourne : 15 % de 24 € = 3,60 € Prix du livre : 24 € ~ 3,60 € = 20,40 € b) Prix du livre : 85 % de 24 € = 24 € . 0,85 = 20,40 € 3) Pour caleuler le pourcentage que représente une quantité (a) par rapport & une utre uantité (bi sufft de calculer le quotient +. Exemple : Dans une classe, 4 éléves sur 22 portent des lunettes. Déterminer le pourcentage d'éléves de la classe qui portent des lunettes. 4 23 18 Pourcentage : = 55 =0,1818.. =i = 18% (enemeenon Cricenecncaeo C. Le graphique évolu' Utilisation Le graphique évolutif est utilisé pour montrer |'évolution d'une grandeur en fonction rune autre. Exemple: Températures relevées toutes les deux heures pendant une journée du mois de février Heures dujour |o] 2] 4 | 6 | 8 | 10| 12| 14| 16| 18 | 20 | 22 10/13] 14] 12] 8 | 6 © rm Températures °C Tempétures (0) 5 D.Le gramme en batons (histogramme) Utilisation Le diagramme en batons est souvent utilisé pour comparer des données & un moment précis, La hauteur de chaque barre est proportionnelle au nombre associé élément quill représente. Exemple: Répartition des résultats d'une dictée (cotes sur 20) obtenus par les 24 élaves d'une classe Cote 5] 6] 718] 9 [10] 11] 12] 19) 14[ 15] 16 [17] 18 Nombre véieves | 1 |2|1[0[21412|4|s]o[ol2|2|1 Résultats une dletée po ee ee Nombre e'éieves § 6 7 68 9 10 1 12 13 14 15 16 17 18 Cote Mien eaes (em ercn E. Le diagramme circulaire Utilisation Le diagramme circulaire est utilisé pour représenter des données dont on connait la. répartition par rapport & un tout. Le cercle est donc partagé en secteurs dont les amplitudes sont proportionnelles aux données a représenter. Exemple : Les 24 heures de la vie d'un homme belge mes | Percentages | Doors |Poucoriages] Degree Déoicemens [h48] woomin | 7t62..% | eave | 7% | ae Iavauxdomes. |2n17| 1a7min | asia..r | a4zs | 10% | ae fepas soins |2na5| 155min | 10763...%6 | 957s | 11% | aoe Lempstoe [na] z0amin| 10200..%6 | osze | tom | oo Travan pay, dudes snot] 201 min | 20 902...%6 | 7525+ | arm | 7s Somme anor] ser min | 390402..% | 12025¢| sam | aoe Tou 2th [AO min 10% | 260° 24 ndolave dun homme bloe ii F Dépscements enor shot een Cr re 1 Travaux rrastiques Fepas, sins Temps ttre Travail pays, dues Semmat A. Symétrie orthogonale 1) Définition s - a Llaa] =IMA' « Le point A’ est image du point A par la lav t symétie orhogonale daxe d » signifi que é dest la médiatrice du segment [AA'] ® 2) Ecriture et lecture 84(A) = A’ peut se lire de deux maniéres différentes. 2) Par la symétrie orthogonale d'axe d, image du point A est le point A b) Le point A’ est limage du point A par la symétrie orthogonale d'axe 4. 3) Film de la construction “PEF B. Symétrie centrale 1) Définition «Le point A’ est image du point A par la symétrie centrale de centre C » signifie que C est le milieu du segment [AA'] 2) Ecriture et lecture SclA) = A’ peut se lire de deux maniéres différentes. a) Par la symétrie centrale de centre C, fimage du point A est le point A’. b) Le point A’ est limage du point A par la symétrie centrale de centre C. ECan ace ca 3) Film de la construction C. Translation 1) Définition « Le point A’ est image du point A par la translation de vecteur XY » signifie que [XY et [AA’ ont méme direction et méme sens et que : Dev A DXY] et [AA\] ont la méme longueur. POP aLIAN ds inéri oans IXY =1AaI 2) Ecriture et lecture tzy(A)= A’ peut se lire de deux maniéres différentes. a) Par la translation de vecteur XY , image du point A est le point A’ b) Le point A’ est image du point A par la translation de vecteur XY 3) Film de la construction Parison eee Penman ren: A. Notion Une fraction décrit un partage. 2 5 signifi quil faut partager unité en 9 et en prendre 2 parties Une fraction décrit un quotient. Une fraction est un opératour. 2 60=40 2 5e 3 Une fraction est un nombre représentant I'abscisse d'un point d'une droite. o 1 st Une fraction exprime le rapport entre deux grandeurs. x | 15 | 45 [315] 9 |105|> 2 y | 10] 30] 21] 6 | 7 3 Les grandeur x et y sont proportionnelles. Le coefficient de proportonnalté est © B. Vocabulaire Danslatacion 2, 2 ste nnteuret ste drome ntsc de mumerare(cometer) > génominatout de denominare (dénommer) Meine C. Fractions égales Régie Pour trouver une fraction égale & une fraction donnée, il suffit de multiplier (ou de diviser) le numérateur et le dénominateur de la fraction par un méme nombre (non nul). 40 _ 40:10 D. Simplification d’une fraction Regie Pour simpifier une fraction, il suffit de diviser le numérateur et le dénominateur de la fraction par un diviseur commun non nil Remarque : une fraction qui ne peut pas (plus) étre simpifiée est dite irréductible. Exemples : Lestactons 228 Le sont sels slo 42 21 7 i les $ fractions égales =, = et , fraction est irréductbl Parmi les 3 fractions égales £5 . 5 seule la fraction = est irréductibl. E. Comparaison de fractions 1) Si deux fractions ont le méme dénominateur, la plus petite est celle qui a le plus petit numérateur Exemple (itarcnnuel ieee 2) Si deux fractions ont le méme numérateur, la plus petite est celle qui a le plus grand dénominateur. Exemple : 8) Sideux fractions ont des dénominateurs et des numérateurs différents, Il faut chercher des fractions égales ayant le méme dénominateur (ou le méme numérateur), puis les comparer. Exemple : Remarque : la comparaison des fractions peut toujours se faire apras la conversion de celles-ci en nombres décimaux, F. Réduction des fractions au méme dénominateur 1) Recherche du dénominateur commun (PPCM des dénominateurs) Ragle générale Pour déterminer le Plus Petit Commun Multiple (PPCM) de deux nombres, il suffit de comparer leur table de multiplication. Exemple: le PPCM de 6 et 9 est 18. 6 12 18 24 30 36 42 48 54 60 9 18 27 96 45 54 63 72 61 90 Cas particuliers a) Sil'un des deux nombres est multiple de l'autre, alors leur PPCM est le plus grand des deux nombres, Exomples : le PPCM de 3 et 12 ost 12. le PPCM do 15 et 5 est 15. b) Siles deux nombres sont premiers entre eux, alors leur PPCM est le produit des deux nombres. Exemples : le PPCM de § et 7 est 35; en effet, 35= 5.7 le PPCM do 8 ot 9 est 72; en effet, 72= 8.9 ieee (einen 2) Réduction de deux fractions au méme dénominateur Regie Réduire deux fractions au méme dénominateur, c'est déterminer deux fractions égales ‘aux premigres ayant le méme dénominateur, 5 ance 54 15 9 4 Exemy : pet at =—et= sats pies: eis 30° 30 a%g 72° 72 GW WJ = 5 Z 2 G. Opérations avec les fractions 1) Ragle d’addition de fractions Pour additionner deux fractions, il suffit = de les simplifer, si possible, = de les réduire au méme dénominateur, = d'additionner les nouveaux numérateuts en conservant le dénominateur et = de simplifier, si possible, la fraction ainsi obtenve. Exemples: elo 4 ola ol (emma Giitcneeeseeiens 2) Régle de multiplication de fractions Pour multiplier deux fractions, il suffit ~ de mutipior les numérateurs et les dénominateurs entre eux et — de simpliir, si possible, avant d'effectuer les produits Exemples H. Opérations avec les nombres décimaux 1) Ragle d’addition de deux nombres décimaux Pour additionner deux nombres décimaux, il sutfit d'additionner les chiffres de méme rang en tenant compte des reports éventuels. Exemples 2,35 +7,2 = 2,95 + 7,20 ale To, 414 +041 = 0,70+ Dy aan 0,7 + 0,41 = 0,70 + 0.41 = 505+ 355 = top 5700 , 2007 5,7 + 2,027 = 27 = S200 , 2027 700 + 2,087 = 0+ Toa Chapitre 12 * Les tract einen 2) Régle de multiplication de deux nombres décimaux uff ~ deffectuer le produit des nombres sans tenir compte des virgules et = dattribuer au résultat autant de décimales que la somme du nombre de décimales des deux facteurs. Pour multiplier deux nombres décimaux, 725 43 43-78 8, Exemples : 7,25 .4,9= 530 «957 ; 2d + 1d 3d 429 972 4,29.3,72= = . ae 400 "100° 10000 - 2d + 2g ——————_> 44 3) Regle de division de deux nombres décimaux Pour diviser par un nombre décimal, il sutfit — de rendre le diviseur entier en multipiant le dividende et le diviseur par une méme puissance de 10 et ~ deffectuer le quotient ainsi obtenu. 210 100 Gray PTEEY, Exomples 8,5 :0,7 = 35:7=5 0,006 : 0,02 = 0,6: 2 UH Sd 100 Crmcereeaeens

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