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Le Bulletin

Chers adhérents,
n°23, octobre 2012
Sur place, c’est ensuite le Partage. D’abord parce que
la vie matérielle en mission est une vie partagée : par-
Apres une belle saison qui a vu partir 21 missions ces
tage de la bourse commune, partage des repas qui se
deux derniers mois, je souhaiterais revenir sur un des
prennent ensemble, parfois partage des dortoirs –
fondamentaux de Coup de pouce humanitaire,
hommes et femmes séparés. Certains volontaires sont
l’équipe. Pourquoi est-ce si important ? Parce que si
habitués à ce genre de vie, d’autres le sont moins, cela
chacun de nous part sur sa décision et sa motivation
fait partie de l’expérience de Coup de pouce. C’est aus-
personnelle, Coup de pouce apparait dans chacune de
si le partage du travail, la répartition des tâches pour
ses missions comme un seul groupe, vis-à-vis des po-
mener à bien le chantier. C’est surtout le partage des
pulations locales et de nos partenaires. Coup de pouce
expériences vécues. Un partage quotidien de ce que
a toujours choisi de fonctionner en équipe. Environ
l’on a pu observer, comprendre, ou même de ce qui
une douzaine de personnes : suffisamment nombreux
nous pose question. On ressort toujours grandi de ces
pour être efficace, pas trop nombreux pour conserver
échanges, qui permettent d’enrichir considérablement
un esprit d’équipe.
l’expérience de la mission.
Equipe variée, composée d’hommes et de femmes,
C’est enfin la Solidarité. Il peut y avoir des moments
d’horizons divers. C’est le premier intérêt de partir en
difficiles en mission. Difficultés physiques dues à la
équipe : la Rencontre. Si chaque volontaire a sa propre
chaleur, à la pénibilité des tâches ou encore au som-
histoire et est venu à Coup de pouce par son propre
meil limité ou à la nourriture simple. Difficultés psycho-
chemin, tous ont une motivation en commun, celle de
logiques dues à un environnement pauvre, voire de
vouloir partir aider les plus pauvres. C’est un point
souffrance, on peut naturellement être choqué. Dans
d’appui formidable pour aller à la rencontre de ses
tous les cas, les volontaires ont le devoir d’être atten-
coéquipiers. Aussi, face à la grande pauvreté que nous
tifs aux autres membres de l’équipe, de veiller à leurs
rencontrons dans nos missions, il n’y a pas de place
compagnons d’aventure, et de les soutenir si besoin.
pour les faux-semblants ou les jeux de rôle. On est soi-
même, et cela permet de rencontrer l’autre en vérité Coup de pouce a connu des grands moments de soli-
et en profondeur, même si la mission ne dure que darité et de partage, ainsi que de belles rencontres qui
deux semaines. restent gravés dans notre histoire et dont nous
sommes fiers. Gonzague de Pirey —Président de l'association
Coup de Pouce se souvient de Pierre Rivoire
C'est Pierre, mon ami d'enfance, qui m'a fait découvrir Coup de Pouce il y a 5 ans alors qu'il se
préparait à partir en mission en RDC. Il n'a pas mis très longtemps à me convaincre à partir
moi aussi avec cette belle association. L'année suivante nous décidions de monter ensemble la
double mission du Kenya, et l'année dernière il avait réussi, a obtenir une mission au dernier
moment à Madagascar avec la plupart de ses chers amis dont je faisais partie et avec Lucie "
sa petite soeur" qu'il aimait tant. Tous ceux qui sont partis avec Pierre ou qui l’ont connu sont
unanimes pour dire qu'il était généreux, attentif, disponible, altruiste, jovial ... Pierre était
aussi quelqu'un de déterminé et qui s'investissait partout, il m'avait une fois de plus convaincu
de nous investir davantage dans l’association notamment dans la réalisation des réunions bi
annuelles. Aujourd'hui nous poursuivons ce qu'il avait commencé pour que cette association à
laquelle il tenait tant, continue d'avancer dans la direction et avec l'impulsion qu'il avait don-
née, pour cela nous lui disons encore merci aujourd'hui. Adrien du Chené
L’actu Coup de pouce en 15 secondes :
 Les bons comptes de Coup de pouce :  Coup de pouce est fier de présenter ses anciens et
169 missions réalisées, 30 nouveaux soutiens : Fenwick, Cambridge
Silicon Radio, F-Iniciativas, Ile-de-
pays, 41 partenaires, 92 chefs
France Plâtrerie, Sofrastyl, T2C SARL,
de mission, 2.040 départs, Eiffage Travaux Publics Ouest, Louis
1.276 volontaires Dreyfus Commodities, Gepema, Asso-
 Trois nouveaux partenaires pour cet hiver : Esteli ciation Enfance Arc en Ciel et FIMM
Solidarité, Relmu Witral et Inde deux  Et toujours le soutien de la Fondation
trois Orange, la Fondation PPR, Talents et
Partage, Galderma R&D et Total

Bohicon - À l’heure du Bénin Ils nous ont remerciés d’avoir partagé leur mi-
sère, nous n’avions pas les mots pour leur té-
moigner notre reconnaissance de nous avoir
« Vous avez l’heure, nous avons le temps » - premiers offert leur richesse : le partage, l’humilité, la simplicité,
échanges à notre arrivée à Bohicon dans la maison de la bonté.
Mathieu, notre partenaire sur place. Pendant deux se- Au cœur de la maison familiale, presque un village en
maines, nous avons pris le temps de vivre à l’heure bé- soi, couleur de terre rouge, nous avons passé deux se-
ninoise : tant qu’il n’est pas 9h, il est encore 8h, tant maines au milieu des sourires, des cris des enfants, des
que la voiture ne démarre pas, il faut attendre qu’elle « bonne arrivée », des odeurs de bananes frites, du
démarre, tant que l’on est fatigué, il faut se re-
poser…
A défaut de suivre rigoureusement ce dernier
précepte pourtant répété quotidiennement par
notre hôte, nous nous sommes laissés guider par
notre motivation sans limite, renforcée chaque
jour par les encouragements et les sourires des
Béninois « bon travail, bon travail ». Avec eux,
nous avons déplacé des briques, creusé, ferrail-
lé, creusé, ferraillé, attendu le gravier, déplacé le
gravier, déplacé du sable, déplacé du ciment,
puisé de l’eau, re-déplacé le gravier, déplacé
l’eau, mélangé le béton, coulé le béton, re-  Bohicon
préparé du béton, re-coulé du béton, déplacé cocorico, du son des
des briques, fait du mortier, posé des briques, posé djembés, des chants des femmes
d’autres briques, re-déplacé du gravier, ferraillé, fait du qui se mettent à danser pendant le dîner le tout sous le
béton, déplacé des briques, coulé du béton, levé des regard bienveillant de Mathieu, « son excellence »,
briques, fait du mortier, levé d’autres briques toujours chef de l’arrondissement et de toute la maisonnée.
plus haut, etc. Tout à la main, chaque tâche l’une après C’est dans ce petit pays, tout en long, que les gens ne
l’autre, avec des gestes nouveaux pour beaucoup et savent pas mettre sur la carte, que nous avons pris une
enseignés avec patience par les ouvriers locaux au bonne leçon de vie et d’optimisme tranquille, un grand
grand cœur, qui travaillent pourtant avec une force à bol d’humanité ! Merci Coup de pouce et merci les Bé-
faire pâlir nos bétonnières. ninois ! 
Kenya - Construire Nous
contre le handicap pourrions
vous ra-
conter la
rencontre entre Elisabeth et Bahati, aujourd’hui
âgée de 16 ans qui naquit d’une mère de 12 ans,
mais ce serait relater l’histoire de la naissance de
l’orphelinat kenyan qui nous accueillait et non pas
celle de notre mission.
L’hospitalité au
Nous étions 14 volontaires à arriver à Malanga, Cambodge
petit village de brousse proche de Malindi pour
aider à élever les murs d’un dispensaire. Ce dernier a Notre mission s'est déroulée dans un village cambod-
pour but d’apporter un suivi médical aux jeunes en- gien perdu dans la campagne. Un coin où Coup de
fants handicapés de l’orphelinat mais aussi d’offrir ses pouce n'était jamais allé, loin des villes, du goudron
services à un maximum de personnes. et des touristes. Nous étions là-bas pour aider le Père
Dès notre premier jour, nous avons été accueillis par Ivan à construire une maison culturelle pour les
quelques gamins très souriants qui nous ont invités à jeunes du village. Il prévoit un premier étage destiné
découvrir leur lieu de vie. Chacun a pénétré dans ce aux livres et aux ordinateurs, et un rez-de-chaussée
lieu inconnu pour y découvrir de jeunes enfants hilares destiné aux danses traditionnelles dont les origines
ou endormis, couchés à terre sur une simple natte, remontent à l'empire Khmer qui régnait sur toute la
couverts pour la plupart de poussière et de mouches. péninsule indochinoise au Xème siècle.
Certains volontaires dépassant rapidement leur appré- A l'aéroport, nous avons été accueillis par le Père Ivan
hension et les odeurs nauséabondes sont entrés en et un petit homme silencieux et souriant nommé
contact avec eux. Une peur, une pudeur, une retenue, Bonthaï. La première semaine, nous n'avons pas eu
une appréhension, formaient une barrière invisible de pluie, notre travail a pris de l'avance. Puis une nuit,
mais palpable. Nous ne savions pas vraiment comment le vent s'est levé, les volets ont commencé à battre.
nous y prendre. Jusqu’où était-il possible de cons- Je dormais sur la terrasse, ma moustiquaire a été ar-
truire, de s’investir, de s’engager ? Chacun avec son rachée. La pluie est arrivée, de grosses gouttes en mi-
vécu, sa connaissance du handicap, son rapport à l’en- traille. Ce fut la tempête. A 4h du matin, toute la mai-
fant était plus ou moins gauche. Regina et Jean-Louis, sonnée était debout. Ce fut notre première pluie.
un couple de volontaires qui retrouvaient les enfants Mais pas la dernière...
nous ont rassurés, en nous expliquant que ce sont les Nous prenions nos repas dans la maison de la famille
enfants eux-mêmes qui viendraient nous chercher, de Bonthaï située de l'autre côté de la mission du
nous choisir. Père Ivan. Bonthaï parle un peu anglais, les autres pas
En effet, alors que les murs se dressaient, les briques du tout. Ils ont été aux petits soins pour nous, ser-
cuisaient, le bois s’entassait, des liens très forts se sont viables et agréables. Ils prenaient leur repas une fois
construits. Ceux-ci donnaient davantage de sens au que nous avions fini. Il faut dire que nous étions chez
travail effectué. Les volontaires qui avaient partagé eux et que nous prenions presque toute la place dis-
leurs craintes envers des enfants abîmés physique- ponible. La mère nous emmenait le matin en moto
ment ou intellectuellement, se sont retrouvés peu à faire les courses, les femmes nous faisaient participer
peu à porter l’un qui ne pouvait marcher, à danser et à à la préparation de la cuisine, ce qui était plutôt gentil
chanter pour l’autre qui riait, à jouer au ballon, au fris- de leur part, nous les encombrions plus qu'autre
bee avec ceux qui le pouvaient, à prendre la main de chose ! Ils nous ont servis des repas sains et savou-
celui qui avait l’air isolé et à danser pour faire concur- reux avec sourire et gentillesse pendant 2 semaines.
rence au déhanché légendaire des Africains ! Une fois notre chantier terminé, nous avons voulu
Notre complexité occidentale a laissé place au langage remercier la famille de Bonthaï. Nous les avons em-
du cœur, du partage et de la simplicité que la mission menés visiter Angkor avec nous, à l'autre bout du
nous a permis de vivre. « Together forever » n’a pas pays. Seuls Bonthaï et sa femme connaissaient. Ils ont
été qu’un slogan pendant 15 jours mais une réalité vé- été ravis, nous aussi. 
cue entre volontaires avec Bahati, Asha, Scola, Elena…
et tous les enfants de la mission! Hakuna Matata  Tous les autres récits sur www.cdepouce.com
Jeux et joies au Vietnam
Le soleil s’es-
tompe lente-
ment der-
rière la cime
des arbres.
La chaleur
retombe
doucement.
Épuisés par
des heures
d’efforts sur
les échafau-
dages de nos
quatre chan-
tiers, nous nous rassemblons sur la petite place du village. Les uns arrivent de la « maison des poussins », d’autres
de la « maison du Fanta », les derniers enfin de la « maison des fruits » et de la « maison de la montagne ». Per-
dus dans une province encore interdite aux étrangers il y a peu, nous avons appris quelques rudiments de viêt
tout en perfectionnant nos talents de maçons. « Dêh Banh ? Dêh Banh ? » Immédiatement, le ballon est sorti, des
sandales délimitent les buts, deux équipes sont constituées et une partie de football endiablée s’engage. Le vil-
lage se rassemble autour de nous, les enfants chantent et rient, on commence une marelle, une chorégraphie,
une tomate, tandis que des adolescents juchés sur des scooters nous regardent en coin, un peu envieux. On vou-
drait que ces moments de grâce durent toujours. Et que dire des femmes qui se relayent toute la journée à nos
côtés, armées de pelles et de bidons, pour que leur future maison sorte plus vite de terre ? Et des enfants, fa-
rouches et timides les premiers jours qui, désormais, poursuivent notre minibus en criant et en agitant les
mains ? Des sourires, sans cesse, sur tous les visages, même les plus émaciés. Des fruits offerts quotidiennement.
Et malgré la pauvreté, de la joie et de l’espoir, toujours ! 

Côte d’Ivoire - Abidjan


Missions 5, 6, 7 pour le Centre de santé Mère et Enfant

« Il s’agira de réhabiliter et agrandir l’ancienne mater- aura pour construire l’édifice mais la mission dépasse
nité de l’ONG Cri du Coeur. Nous serons la 2ème parmi cette simple perspective. En même temps que le chan-
3 équipes et interviendrons entre les fondations et les tier progresse, les relations se nouent. On se découvre
travaux de finition. Par contre, deux choses très im- au quotidien toujours un peu plus. On se confronte à
portantes seront à organiser : le match de foot et la l’autre, Nous nous débrouillons avec de simples outils
kermesse de fin de chantier » résume ainsi le chef de que nous n’imaginions guère utiles auparavant. Dans
mission rencontrant sa future trésorière. Du foot ?! la surabondance de nos équipements au quotidien,
Quatre responsables kermesse ?! Mais pourquoi le nous en oublions des valeurs essentielles. La maternité
dernier jour de chantier serait plus important que les de Gonzagueville et ses habitants nous ramènent à ces
jours précédents ? richesses : la simplicité, la solidarité, la liberté…
Bien des gens n’auront pas compris le sens d’un pareil Chaque jour est l’occasion de croiser de nouveaux vis-
périple. Les premiers sentiments partagés entre une ages, des villageois toujours plus nombreux à nous re-
soif d’aventure et la peur de l’inconnu vont progres- connaître, et ces enfants sortant de je ne sais où, ne
sivement s’effacer devant la découverte d’un pays cessant de nous suivre, et nous sauter dans les bras à
bien réel celui là… Des parpaings et des clous il y en la moindre occasion. La suite au verso
Et ces festivités de fin de mission me direz vous. Eh
bien, il faut le vivre… Le scepticisme initial a fait vite
place à la reconnaissance.
Car en effet, toute l’intensité de la mission se révèle
dans ces derniers moments de partage/de convivialité :
les volontaires, les ouvriers, les enfants, les locaux, le
partenaire qui, tous, se sont côtoyés, découverts, en-
traidés durant ces 15 jours sont à présent réunis.
Le match ? imaginez vous face à la mer, sous les palmi-
ers, l’occassion est belle… se retrouver, nous les vo-
lontaires et les ouvriers au sein d’une même équipe
sous les encouragements des filles, des enfants et de
locaux curieux de voir ces « toubabous » (blancs) jouer
au foot avec des adolescents en pleine force de l’âge
que nous ne connaissions pas mais que la seule per- d’adoption et son en-
spective de se confronter à nous semble transcender. gagement auprès de l’ONG et de sa fondation,
Ah oui il va en falloir des encouragements…. Il ne faut  nous savourons les rires des ouvriers, ravis de voir
pas oublier que nous sommes au pays de Drogba ! « leurs » petits français animer les stands de course
Mais que en sacs ou de chamboule-tout, après avoir eu la
l’on se patience de guider/rectifier nos gestes malhabiles,
passe la  nous imaginons Milaigam et ses filles, en train de
truelle cuisiner une dernière spécialité pour le dîner,
ou le bal-  et nous jetons un dernier coup d’œil au bâtiment,
lon, l’ob- dont certaines pièces ont été rénovées et d’autres
jectif est sorties de terre. Nous nous souvenons des brou-
le même, ettes de sables et des seaux d’eau qu’il a fallu trans-
partager porter, du ciment posé ou jeté selon les techniques
des mo- de chacun, du talochage, des raccords de portes et
ments de fenêtres, mais aussi de cette dalle de béton qu’il a
complic- fallu casser sous le soleil… Et nous nous remémor-
ité qui ons les discussions que l’on a eu avec chacun, les
constitueront les pensées de demain… et malgré la dé- énigmes lancées et les éclats de rire.
faite nous sommes sûrs d’une chose. Nous vivons des Un seul constat, les règles sont biaisées : il n’y a que
instants privilégiés. des gagnants à cette belle aventure humaine ! L’im-
Et que dire de la kermesse, c’est là que rejaillissent les portant étant d’y participer. 
souvenirs de ces jours passés… et pourtant le défi est
de taille : parviendrons nous à occuper de tous ces en-
fants ? La réalité est belle. Tout ce que nous avons à
faire est de nous laisser porter :
 nous retrouvons bien sûr les enfants croisés dans le
village, ceux qui nous ont souvent accompagnés
dans nos déplacements à pied,
 nous repensons à ce nouveau-né de heures
seulement que l’on nous a présenté en arrivant le
1er jour et qui a, en quelque sorte, symbolisé ce
pourquoi nous étions réunis à Gonzagueville,
 nous retrouvons l’équipe soignante qui après avoir
pansé nos petites égratignures nous aide à suivre la
petite centaine d’enfants présents,
 nous voyons le sourire de Marie-Do qui nous a ac-
cueillis, chouchoutés, fait découvrir son pays
Hiver 2012-2013 / 6 pays / 12 missions

Chili ▪ Port de Tirua ▪ Au pays des Ma- le bâtiment derrière le dispensaire qui servira de
puches  Avec Relmu Witral et notre partenaire cuisine pour le service de nutrition et le personnel
entreprise PPR  Construction de 6 à 7 ateliers du centre  2 missions ▪ Du 5 au 19 janvier ▪
pour les tisserandes de la coopérative où près de Du 19 janvier au 2 février 
150 femmes mapuches tissent la laine dans les Inde ▪ Au Kerala  Avec Inde, deux, trois
secteurs ruraux de la petite ville côtière de Tirua  Agrandir l’école Saint Vincent qui accueille 450
 3 missions ▪ Du 5 au 19 janvier ▪ Du 19 jan- élèves de la seconde à la terminale ▪ Construction
vier au 2 février ▪ Du 2 au 16 février  d’une salle informatique de 90m²  3 missions ▪
Brésil ▪ À Salvador de Bahia ▪ À la Fazenda Du 12 au 26 janvier ▪ Du 26 janvier au 9 février
do Natal  Avec Point Cœur  Agrandir une mai- ▪ Du 9 au 23 février 
son d’accueil pour les personnes handicapées et
les plus démunies ▪ Et aménager un sentier pour
faciliter le passage de chaises roulantes 
1 mission ▪ Du 16 février au 2
x2
mars 
Nicaragua ▪À
Esteli  Avec Esteli x3
Solidarité et
notre parte-
naire
en- x1 x2
Cambodge ▪ Dans la province de
Kompong Cham ▪ À Phum Thmey  Avec les MEP
 Construction de la première salle de classe
(4ème - 3ème - Première) dans une école qui sera
x3 x1 treprise composée à terme de trois salles de classe  2
Talents et missions ▪ Du 12 au 26 janvier et du 26 janvier
Partage  au 9 février 
Construction de
deux logements
sociaux pour familles
très pauvres ▪ Deux maisons de 25 m² environ 1
mission ▪ Du 29 décembre au 12 janvier  Pour tout renseignement, n’hésitez pas à consulter le
Côte d’Ivoire ▪ À Gonzagueville  Pour- site www.cdepouce.com
Pour nous soutenir, devenez membre de l’association :
suite d’un projet global santé  Avec Cri du Cœur la cotisation de membre s’élève à 15 € par an, celle de
 Construction de l’accueil caisse et d’un bureau bienfaiteur à 76 €.
de comptabilité ▪ Rénovation du service pesées et Vos cotisations sont à envoyer par chèque à l’ordre de
« Coup de pouce humanitaire », à l’adresse suivante:
vaccinations (faux plafond et carrelage) ▪ Achever
Association Coup de pouce humanitaire
Arnaud Schwebel, Trésorier
4, rue Léon Cosnard - 75017 Paris
Merci à BNP Paribas pour l’impression de ce bulletin
Rédaction : Hélène Setton - Maximilien Perrollaz

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