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Description :
Dès les années 1960, se pose la question du lien entre l’université et la ville. Les campus qui émergent à cette époque suivent la tendance du « campus américain », vert et spacieux. A la Doua, le site retenu est une zone marécageuse en bordure du Rhône, entre Villeurbanne et Lyon. Ce campus à l’américaine, construit en 1957, se dresse hors du tissu urbain dense. L’architecte Perrin-Fayolle imagine un complexe universitaire avec ses propres lois urbaines, une sorte de citadelle autonome dans la ville.
Dès les années 1960, se pose la question du lien entre l’université et la ville. Les campus qui émergent à cette époque suivent la tendance du « campus américain », vert et spacieux. A la Doua, le site retenu est une zone marécageuse en bordure du Rhône, entre Villeurbanne et Lyon. Ce campus à l’américaine, construit en 1957, se dresse hors du tissu urbain dense. L’architecte Perrin-Fayolle imagine un complexe universitaire avec ses propres lois urbaines, une sorte de citadelle autonome dans la ville.
Dès les années 1960, se pose la question du lien entre l’université et la ville. Les campus qui émergent à cette époque suivent la tendance du « campus américain », vert et spacieux. A la Doua, le site retenu est une zone marécageuse en bordure du Rhône, entre Villeurbanne et Lyon. Ce campus à l’américaine, construit en 1957, se dresse hors du tissu urbain dense. L’architecte Perrin-Fayolle imagine un complexe universitaire avec ses propres lois urbaines, une sorte de citadelle autonome dans la ville.