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BOB LAZAR DIXIT...
LE PHYSICIEN BOB LAZAR AFFIRME AVOIR FAIT
PARTIE D’/UNE EQUIPE SCIENTIFIQUE CHARGEE
D’ETUDIER LA TECHNOLOGIE EXTRATERRESTRE DANS DES 4 Yor de Zon 51 desert
HANGARS SOUTERRAINS DE LA ZONE 51. VRAI OU
FAUX? LES UFOLOGUES ONT LONGTEMPS éTE DIVISES.
MAIS AUJOURD’HUI LES DOUTES NE SONT PLUS PERMIS. ee
des recherches eur
le systime de propulsion
roche de la quarantaine, dégingandé et —_gique. e le clament de vaisseaux exroteresres,
Pee Dhctnancicin Bob eins Cer uc nu curry
ar a pris fait et cause pour les ovnis B a S la fin de Pannée cote équipe utra-secrite
depuis plus de quinze ans. Avocat bien a vement dune Si ses descriptions de la
peu crédible de la cause ext yen a de a s Itra- technologie extraterrestre
pas moins déclenché une contr cont trouvé gre auprée
ui fait maintenant partie du folklo ‘, . do quelques vfologues,
invraisemblable s Ja plupartd'entre eux
Zone 51 a fait tembler la petite planéte ufolo- estentscoptiques.‘Toujours selon Bob Lazar,
consistait & étudier neuf vaisseaux en
forme de disques qui se trouvaient
sous bonne garde dans une section
souterraine de la base S4. L’équipe
scientifique devait voir sil était pos-
sible de reproduire les éléments de ces
soucoupes volantes @ partir de maté-
riaux terrestres connus (Cest ce qu’on
appelle du ereverse engineering® ou
ingénierie inverse), et de découvrir le =¥2,
moyen de propulsion de ces machines
antastiques.
Voila pour le témoignage, Mais Lazar fait figu-
re de personnage bizarre & plus d’un titre. Enfant
deja, son tempérament excentrique Visolait des
autres. Et son destin, plein de mésavencures au
nombre desquelles une flit et plusieurs compa-
rutions devant les tribunaux comme copropriétai-
red’une maison de passe & Las Vegas, achéve de le
discréditer, N’aurait-on pas affaire & un simple
mythomene? De ait, depuis la premigre transmis-
sion de son histoire étonnante au cours d’une
interview télvisée en 1989, on a découvert tele
ment de lacunes que méme ses plus fervents thu
riféraires ont dit admettre que son récit était loin
ere ivéfutable,
DES PREUVES TRES MINCES
Comme preuve de son activité dans la Zone 51
Lazar ne peut fournir qu'une fiche de paie, pré-
tendument établie par le Département des ser-
wices secrets de la marine américaine (US De-
partment of Naval Intelligence). Quant aux
fonctionnaires de la base, ils nient de fagon caté
gorique qu’un dénommé Robert Lazar ait jamais
franchi leurs grilles. Mais malgré de tells incohé-
Sr
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4 Voi unique preuve que Lazer puisse fourir
{ Voppui de ses assertions: une fiche de poie
‘émanant de Farmée emér
du Department of Naval Intelligence.
papier démontrerait quil a bien travailé dans
la Zone 51. Le probléme, c'est que les autorits
nientfarouchement Vavoir embauché.
ences, es rumeurs selon lesquelles Lazar aurait
passé cing mois dans des hangars secrets de la
Zone 51 continuent A circuler
Lune des raisons en est peut-dtre la liste
mpressionnante de ses compétences techniques.
Car contrairement A la plupart des témoins d’ap-
parition d'ovnis, Lazar a un pedigree de scienti-
fique. Au début des années quatre-vingt par
exemple, il a participé 4 certains projets du
Los Alamos National Laboratory (Nouveau
Mexique), laboratoire oii a été mise au point Ia
premiére bombe atomique. II travaillait li-bas sur
les accélérateurs de particule et faisait des essais
sur la dispersion des protons. C’était aussi un
membre éminent de la communauté scientifique
de la ville; il eut méme droit la une du Los Ala-
‘mos Monitor pour avoir monté un.
moteur d’avion a réaction sur une
Honda CRX
L'EPREUVE TECHNIQUE
Sion met de cété les rumeurs qui
entourent Lazar et qu’on examine les
‘Au cours des nombreuses interviews
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le physicion a fourni des explications
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vitesses supérieures & celle de la
lumiére. La différonce principale
‘entre les systémes de propulsion
conventionnels des moteurs-fusées
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ceux utilisés sur les vaisseaux
ferrestre et
‘extraterrestres ~qu'll dt avoir
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le pince entre ses doigts et on le tre
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|i. Quand on éteint le générateur
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descriptions détaillées de la technologie
cextraterrestre sur laquelle il prétend
avoir travallé, son histoire sujtte &caue
tion apparait sous un jour nouveau. Ces
descriptions ne sont absolument pas
issues des méandres dun esprit tordu,
Son interprétation de ce qui s'est passé
dans la Zone 51 est & la fois cide et
concise, Ses observations ont une base
scientifique solide et il semble maitriser
parfaitement son sujet, Tous ces fac-
teurs lassent a penser que Lazar pour
ruit bien dir la verte
A la base 51, Lazar aurat travaillé sur
le systéme de propulsion d’un petitquill sumommera plus tard le smodéle Les quelifations
IL aurait eu accés au systéme de propul- scientifiques de Bob
sion, non seulement en laboratoire, mais aussi sur Lazar en imposent.
le disque lui-méme. L’engin se trouvait dans I'un Au début des années 80,
des hangars $4, creusés dans la montagne, ‘I menait au sein du
Liimtéricur de la soucoupe était divisé en trois Les Alamos National
niveaux. Au niveau inférieur se trouvaient les Laboratory des
»générateurs de gravité» et leurs «conduits & recherches sur la
londes» (voir croquis en page 1203). Un réacteura mécanique quantique,
antimatitre était situé juste au-dessus deux, au ayant recours & des
niveau central du disque, qui abritait aussi les technologias de pointe,
consoles de contréle et des sieges. Ces si comme cot acélérateur
Gtaient trop petits et trop prés du sol pour étre de partcules.
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FROIDE DANS LA ZONE 51 Sake
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travaillaient de concert avec les Américain dans la Zone 51, mis
CT eee ee ee eet et
grand pas en avant dans la compréhension du foncionnement
des disques et de la propulsion gravitationnelle ». II affirme au:
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extraterrestres entreposés la base; cantonnés aux «coulsses»,
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SECC
‘agents sovitiques. imagination de Lazar nest jamais en restem