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Table Preface (Michelle Per0 ee Introduction. La découverte de la « question sociale » 1, Du gouvernement économique 3 endian t vagabonds, 37.- Lorde naturel ds socks 1 = Liablion des paves, 36. 2. Du gouvernement représemtaif. 6 Les «pssants dela tere», 68.~Tousctoyens, 78 - Lat de separation, 86 économie politique et la mistre moderne 3. La misdre historique. 105 Laquestion &onemiqu dele mistre,106.- Mist t popula tio, H.-L panacee du tava 117 4 Lamisere modeme et la réforme impossible eswnnsne 133 Lamisie doa modemié 134, - Du bonheur harmon, 136. ‘inevitable scqiive, 145, Lééconomie sociale et la culture de la pauvrets S.L'€comomie social sn 161 iste d'un ene, 163. - Une 6eoomie «vulgare», 169. Un save compas, 73, 6. Limterprétation de la mise 201 Letablea de a mistre, 20. - Pause paupisme, 207, Tngglitou iference 2,214, 7. La moralsaion de la sociée. 227 assistance, 28. - Le waa, 233, - '6dveaton, 24. - Le savoir de Prd, 245, ‘Vers une politique sociale 8. La frmcture du doit. 2st ‘Le dota wail, 259, - La double matured dit, 275 9, Dépottser ta question sociale. 283 ‘droit st evo mor, 284 - Ua daa de soil, 293, 10, Lanowelle cayenne nse - 301 ‘Les devoirs du itoyen, 302. -Libéalisme et dma, 308, Conetusion 317 Remerciements. 327 Bibliographie. sens 329 Index des auteurs 353 Introduction 1. Dela pauvreté ‘Une fois n'est pas coutume, ce live qui pare de révolution n'est ps un livre sur la Revolution, Il rite de 'impact qu'a eu, dans Fétiicaion d'une société moderne, la nécessité politique de faire {ace & «la pauvreté des nations >. On connalt, grace économie politique, Fimpact de archesse, Maison imagine aisénent que la Imisére dela rande masse des populations a di poser Iourdement Sur les conditions politiques et sociales de la mise en place d'une conomie industrielle. En effet, e probleme de la misére prt ‘Femblée une grande place dans les agenda politiques dela soceté issue des décombres de I’ Ancien Régime. Lintention de ce live est d'évaler les enjeux de este «politique de la pausreté> qui a ‘caractérisé Mavenement dune socité libérale, au moins autant ‘qu une politique de la ichesse. ‘Le contrast saute aux yeux: le stat dela pauvreté change pro- fondément entre ancien et le nouvel ordre Socal. Deux figures . Cela suppose qu’ autre bout 4e a oaton iy ait Ia liberé du sujet, exprmée pa ’éventail de possibilités qui soffrent 8 son action, mais aussi que sa liberé (agi se ralise dans la relation de gouvernement. Le sujet est ‘done plus le vis--vis du pouvoir, mais «l'un de ses effets pre- riers», ‘Une tele itsovisation du sujet dans la relation de pouvoir était Jourde de conséquences quant la notion libérale Qindividu®, ‘mais, davantage encore, elle déplacait analyse des modes de Socalsation. La socigé liberal eat travail par une contradic= tion fondamentale entre d'un cSt I Homo economieus, m0 pa 8 nuts et socalisé par leur multiplication (comme dans le modele «du marché), et de autre le sujet de doit qu mente en association 4qu'en renongant aux atribus de sa souveraineté (comme dans le ‘modeled contrat). Le probleme politique Stit alors de erger un ‘espace social commun 2 ees deux sujets. Foucault suggére que le ‘concept de « sociéé cvile», né pour limiter action de FEtat, Pourait éire Iu aussi comme une technique de gouvernement ‘épondant cette nécesit De ce point de vue, la société civile ne s'oppose pas & "Ett, mais sert de référence & des techniques et des savoirs gouverne- ‘mentaux qui e font repose Ia socialisation ni sut les ites ni sur les droits. Ente les uns, renvoyant au marché, et les autres, ‘entre de la notion individu souverain, on wit ainsi 'insérer des ratigues sociales qui combinent les interés individels avec des sites désntéresss ». La notion de socité cvile rege des rela: tions sociales non juridiques et non économiques, fonds sar une base locals, se éférant une communauté plat qu’ hums nité comme dans le regis juridique. Jai vouly sure la forma tion de ce gouverement orients vers la socigé civil paste de ce qui a €té sans doute son premier champ application politique Fapprthension de la pauvreté comme une « question sociale » Pung sgt de cel, stant ede embieexpicies que ques implication, Da én de la mendes & analyse du paupe- ‘sme gui accompagne la mise en place Pune socieié moderne, teres ps seule a prepion des part gu change, ma Ir probleme lume, objet mine ex dove rela bien gue la rue rest on pe oat pls, chaqe ost envisage sus Som un phcnomése fret Cs He Pinto en some Sar ne ede pvt Tine sagt ps bien sr, opposer es es ax fits, views hat san inter; comme erage Keith Bakr, se peu bien {he hse niece soit sour afar do sens, ais aes {but ele sens est une dimension de toute acon soiale". Le wa. {de Reinhart Kewl srs rppots ete store Soi et histoire concept et su de Michel Fouraul sures patios Ciseres ont sez fal purpose entre quston Sous un jour urea Il nes agit pa nom pos de piene que la pave Ite « invent» prle aval de categorisation sminisraie sqrels us: Fag led consider que «un des ‘Sens imermedcies gest inerveon eae probleme ea so {inset acu une prt importante dans cet itv, a6 PencmBle {Tides que les gon de epog vant esas» Mon hiypotise est qe, sans inverter le prolsme, = que on déspne sus Te tenme de pave ext pourtnt significa fn Yayo dont une sockets se pense. L'avbnement d'un soit tmodsre ne peut ee deri seulement comme un changement fr Iidabl dane la fagon deter la cess, doo le depevplement Aescampognes anaton force ts pups des classes Poulan ne sersem gue ls rember dououruses. Cet ae Enungemet, dns le altement dela parte, n'a pas moins Important impose Palys ds one de a mis et es yoides comme un devo sovan moins de a pié gue Pane ue de stabiaton di corps scl. Genes done ps vent sie ur Ia pave ila dans ceive, avsens ob Gert Himmel les etend, come Icscontznu lato les amie pensces gon devinera dere tes tats Pas non pls des conten fonlerementintellectucls pportspar quelques analyses dea party a bien Sr ds » ‘gens derrire I'évolution de analyse de la pauvreté. Je ne fais pPourtant pas histoire des «intentions humanitaires» qui les ont ‘nus, nde leurs échecs*, interpret en fait mois es sues actif (ous le profil sociologique ou culturel) que le champ des inerac- ‘dons politiques, sociales et intellectulies qui limite le processus de transformation. La foi dans le tava, e dogme du libre marché fu la nécessté de sa réforme; les nouveaux privltges de la Fichesse tla politique socal; le droit nature, les droits poss et, Jes devoirs, le moral et le socal: autant de pies d'une tansfor- ‘mation des rapporspoltgues avec la pauvreté qu dépusse de loin Jes intentions et la volonts de chacun de ss acteurs. ‘On oublie souvent, ans Vinjontion & rendre explicte agency si courante dane les sciences sociales de nos jours, que, comme ‘Alber Hirschman nous I'aenseigné™, il n'y a as de coincidence parfaite enre tous les éléments de la transformation: les acteurs, les discourses effets soubalts, les effets réalisé. L'avanage de notion de gouvernement est précisément de ne pas postuler une tele eoineidence en tant qu’ aetion sur action aut la relation ‘de gouvernement se passe toujours dans une sore @indstermins- tion. Ecrts et indétermination qui seuls nous estituent les condi- tions de possibilté d'une nouvelle conception de la misée, dont les ides ont fait pari sans etre opposées ni aux fats, ni 'expi> ‘te dans la conscience, Je ne vais doe pas déployer les diféremes ides sur la pauvreté, mais rassembler les éléments dont on dspo- Sait 'époque pour penser la question dela pauvret, afin de di nirle cade de rtionalté politique dans lequel ele ait xe inter- pete et tale. On voit alors que des éléments de théorie, de ‘Soctrine et de pratique, sans pour autant colncider, concoureat 8 ‘efinir ce cadre. “Mais, pourraiton dire, ily avait plusieurs rationalités de ta pauvres' son analyse participait des idgoloies, des stratégies politiques et des affintés eigieuses propres bchacun. Ily a pour tant une sorte de noyau commun 8 fous, ou du moins pour tous inévitable on lereconnat dans la fagon dont sont igs misére et ‘wavail. Ce lien est une donnée commune ala Jcture libra dela ‘pauvreé comme a lecture socialite, quand bien méme les impli- ations politiques qui en découlent sont & chaque fois différentes a ‘analyse, quant & moi, les implications d'une tlle conception de la pauvreté dans la théore Hibérale qui margua le passage & la socité industrielle. Le point dint essetiel side, 4 mon sens, dans le fait que Panalse dela mise ft éclore les contradictions lnemes& ordre libéal, notamment par rapport la démocraie, et y créa les conditions d'un discours reformateur que la ‘ersion classique du libérlisme semblat exclue. Des lors, la ‘émoctate, loin d’Gtresimplement Ia site naturelle du modele Tiral, apparat comme une static de recherche des principes de socialisation qui li faisient defas ‘Sans vouloir ouvir un débat sur la définition du ibérlisme, jfessayeri de priser Iublisation que je fais de ce terme, dautant ‘moins précis quon emploie jour bu voloncrs de fagon assez fendue ~ cette extension du Seas traduisant en fait un expansion- nisme idéologique revigoré parla crise du continent socialise. A TFencontre de cette tendance,jemploie le erme « ibéealisme » de fagon assez tote le référant A ensemble de principes politiques cx économiques quien accompagnrent I avénement. ls agit done un libéralisme « classique», érgé en sysitme théorique avant ‘que politique, qui n'a d'aileurs jamais fonctoanépolitiquement 4 Ii seul, Dans cote accepton, in'y a jamais eu de soit ibe rae», Les prncipes fondamentavx du libéalisme classique ont ‘ependantfonctionné comme une rfrence oblige pour ses part- Sans autant que pour ses detractors: ia él atonal politique ‘dominante a début da XIX sitcle™. Bien des objections pourraient ‘re soulevées contre un te usage puisque,méme Ace niveau clas- Sq, les principesibéraux ont des noances différentes suivant les pays, voie suivant les auteurs. Mon but est cependant pas der Stuer 'évental de ces nuances, mais d'évaluer les tensions qui ‘pparaissent dans les prinipeslibéraux aussitot qu'il commen- ‘ent prendre une ralté insituionnelle et foactionneren struc {ures sociales, Ces tensions peuvent ofr des indices sur la nature ‘des principes libéraux eux-mémes, et sur les confits qui ont ‘accompa le développement des société q’ilsinspiraient eure et-on fa plus pr d'un concept de Tibralisme répandy sux Etats-Unis ob, comme le dit Louis Harz le libéralisme est ‘event une « tradition», un noyau dur de convictions, de principes 2 ct de valeurs acceptépatiquement pa tout le monde, jusque dans Jes rangs des «antibéraux »™. John Rawls, par exemple, uilise tune definition du libéralisme analogue, orsqu'il lui oppose une ‘cation démocraique» qui aurait ouvert en son sein le besoin ‘Cun welfare stae™. Une tele opposition toutefos semble s'estom- ‘per rapidement, dans la tentative de montrer que le welfare n'est as un besoin purement contingent pout la théore libra, Dans inde de Rawls, les efforts pour réduireI'éeart enue le ibéra- lisme ete welfare Se mutipliest, comme le souligne C. Welch”, et ‘ps seulement aux Etats-Unis, Il sagit de faire Ia preuve que le liberalism, protester des liberts, et également capable de four nr es bases morales d'une solidarté, dont ona eu top tendance 8 faire une prérogative du socialisme™. On en ative ans affrmer «une continutésubstatelle entre le ibécalisme clasique et les ondements morsux du welfare sate™>, (Or, que quelque chose de ordre de te chartén’at pas évé en contradiction avec les princes ibéraux est un trisme; i mest par contre pas asé de déduire la nécessité du moderne Bat socal de la ‘ ‘sont deux eamps opposés du doit, s'excluantréciproquement. Le Groit naturel implique Puniversaié de la ctoyennet, de laquelle ‘ne peut nalre aucun pouvoir constnué®, et 2 laquelle s'oppose Ia socité rele. Le droit post u contre, étoufe les droits des a {ndividus dans le droit social la dépendance, la suprématie du col- eet PPourtant, s'est vai que la théorie du droit naturel ne prévoit ‘pas de patcipation des individu au politique, puisgulle est des [jets et non pas ds eitoyens, es Déclarations revolutionnaires, fen revanche, parlent d'un homine politique dont la liberté repose ‘urs participation ala formation dela le, Les dois don i s'agit dans 1a Révolution ne sont done pas exclusivement naturel, la référence & la nature n'y est qu‘analogique™, done seconde par rapport ee fat premier qu'était homme en société. Dans les Declarations, les liber personnelles eles iberéspoltigues sont pensées ensemble”. La preave en est a prudence avec laquelle on ‘cnvisage 'eablissement de nouveaux dois et le souci qui se fait jour de limiter ces droits par des devoirs*. ‘La question sociale repésente un point observation privilégi, puisque 1’émancipation des individus ne peut aboutir que si Ta contrainte de la mistre est liminée, et que le doit n'y est pas séparable du devoir. Mais Pimportnce politique de cette tension chappe A Vistoriographie du Bieentenaire, puisque le veal pro- blame lui semble plist d'ariver a dissocir la souveraneté du corps politique de sa base sociale dans le peuple, sans quoi la epré- ‘sentation ne pourat apr sur des bases autonomes. De Vsutonomie ‘es citoyens on glist ans 'aronomie du politique. ‘De son ct, le doit posit a fait escort les enjeux juridiques 1s a notion de « convention», par opposition & cele de nature. Par lh méme, il impliqu inéviablement une référence &Tautorité focale qui etblt I convention, et consitue en cela une premiére réflexion sur les processus sociaux. La socités'y détache dela ‘nature pour prendre ses formes propres, etl raison juridique les ‘comprend puisq’elle est « pratique et imaine», Le droit positif fconfre 8 argument jurdigue une dimension sociale, brisant les Timites de la tori ibérale: vee Ii, « une problématigue de la Libération sbectde calle del ben» Droit naturel et drvit postf ne sont done pas séparsbes, i représentent un double fegisre interne au droit. Lun parle de PPhumanit qui est dans chaque individ, auze du politique od ‘chacun est pris. D'une part surgi 'idée de nature comme pin- 8 ipe «explication universe dos categories juridiques et sociales, ‘qui fonde une éyalitéunverselle sans doue indispensable au pol tique, mais qui escamote Ia question de 'autorite D'aute pat a Toi ne dévve pas seulement de la nate, mis encore des murs, de Ja volon humaine, de Ia «convention » son aulorit santionne les inggaités quien découlent. Dans Yespace politique eréé par ces teasions du det, la société est devenve naturelle et a natre, son ‘our, historique. Au méme moment, e socal ext constitu. Parle fat de fixer ces éents du politique révoluioaaire dans des opposition, au iew de faire resurpir leurs tensions, histori sraphie du Bicentenaire s'empéche de reconnaite Ia fois les Impasse du libéralisme etl caractere antiibéral des solutions. En pariculier, les solotions «sociales » finissen pr jouer unre pro- [rement « sociologique», c'est-A-re qu’elles estomipent le pro- Dldme politique dans Magencement technique d'une «fonction sociale. Le social perd som rapport étoit avec Ta ritique de individualism, et, partant, sa capacté @imposer ay libéalisme univers de obligation sociale. En tant que devoir, il propose ates principes de socialisation que le doit en tant que «fone tion sociale», en revanche, il désamorce T'antinomie politique ea en faisant un probleme d' organisation. Cela vaut pout la capaci ‘qui résoudrat, propos du sulrage, cart ene droit naturel et droit post dans un processus eogniti Cela vaut encore pout la , Amales hitorqus de la Revolton Fronoise, XXXUX, 187 Gavi mas 1967) p. 1 2 Le décret 30 mae juin 1790 abit ouverture atelier de hatte pour y enfermer tous les meadans de atonal fran: J:B: Duverger, Collection des os, déees, ordonances, rglement et ‘ved Conti Ea (1788-1830, Pati Gayotet Scribe, 183, 1 3: Code cv ive 3 aricles 268-283, 4 Css Le Roun, Le Vogabondage ela Meni Parl et dans le partment dela Seine, Pts 1907p 52. 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