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Sommaire
Le mot du Président……………………………………………………… 4
Poya………………………………………………………………………………………………... 11
Ouaco………………………………………………………………………………………………. 13
Nakéty……………………………………………………………………………………………… 15
Kouaoua……………………………………………………………………………………………. 17
1 – Situation
2 – Historique
3 - Activité minière
4 - Environnement
5 – Chargement
6 - Moyens humains
7 – Infrastructures
8 - Contacts
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Introduction générale
Sous l’impulsion de son Président Directeur Général, André DANG VAN NHA, la
SMSP qui n'
avait ni titre minier ni domaine en 1990 et qui travaillait donc comme
contracteur de la SLN, est devenue le premier exportateur de minerai du territoire
calédonien. C’est par ses participations majoritaires dans des actifs miniers et
métallurgiques, que le tâcheron calédonien, devenu 1er exportateur mondial de
minerais en 1995, est entré, dix huit ans plus tard, en octobre 2008, dans le domaine
réservé de la métallurgie.
Officialisé en 1998, le partenariat avec Falconbridge, puis avec Xstrata, œuvre pour
la réalisation d’exploitations rentables, pérennes et respectueuses de
l’environnement dans l’intérêt de toutes les parties prenantes : actionnaires,
employés et communautés concernées. A l’issue de la phase de faisabilité KNS
(Koniambo Nickel SAS) devient la co-entreprise basée en Nouvelle-Calédonie en
charge du projet de l'
usine du Nord. Elle est détenue à 49% par Xstrata Nickel et à
51% par la SMSP.
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Le mot du Président
Il nous aura fallu procéder étape par étape, de la sous-traitance à la mine, de la mine
à la métallurgie. En 1990, la SMSP était un sous-traitant de la mine sans domaine ni
titre miner. Dix neuf ans plus tard, elle devient métallurgiste et en 2014, la société
devrait disposer d’une participation majoritaire dans deux unités de production avec
une capacité de 90 000 tonnes de nickel métal contenu dans des ferronickels.
C’est avec fierté que la SMSP est entrée dans le monde de la métallurgie, lors de
l’allumage du four de l’usine de Gwangyang le 25 août et la première production de
métal le 20 octobre 2008. Née d’un partenariat original et novateur entre une société
minière et un aciériste, cette usine pyrométallurgique d’une capacité annuelle de
30 000 tonnes de nickel métal contenu dans des ferronickels s’est construite sur un
complexe industriel qui possédait déjà toutes les infrastructures nécessaires : un port
international, une centrale, des routes, des convoyeurs terrestres, ce qui a permis de
réduire significativement les coûts d’investissement. L’usine a atteint la pleine
capacité de production en octobre 2009. Ce partenariat unique au monde dans le
secteur du nickel permet de baisser la teneur du minerai exporté à 2.27%, ce qui
sécurise les exportations du groupe SMSP sur le long terme et permet à POSCO de
consolider une partie non négligeable de ses importations.
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NMC qui est la co-entreprise créée entre POSCO et SMSP est en charge de la
branche minière, constituée par les centres miniers de Ouaco et de Poya sur la côte
ouest, de Kouaoua et de Nakety sur la côte est.
Ce guide vous propose donc de découvrir ces 4 centres dont la production sera
essentiellement destinée à alimenter l’usine de Gwangyang en Corée du Sud dans
laquelle SMSP détient 51% ; il permet aussi de prendre connaissance des
principales règles à observer en matière de sécurité, d’hygiène et d’environnement.
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La Nouvelle-Calédonie dispose de 25% des ressources mondiales de minerai de
nickel qui occupe depuis 128 ans une place emblématique dans le développement
du territoire car le produit de la mine représente de loin la première source
d’exportation. Le nickel a aussi une valeur hautement symbolique pour les
calédoniens et l’usine du Nord nous permet de franchir une étape décisive dans
l’émancipation économique du territoire.
Situés sur la partie superficielle des massifs montagneux, les minerais de nickel de
Nouvelle-Calédonie sont exploités en carrières à ciel ouvert. Le groupe SMSP
dispose aujourd’hui de 6 centres miniers dont 5 entièrement dédiés à l’exportation de
minerai : Ouaco, Poya, Nakety, Kouaoua et Boakaine, actuellement fermé.
Entre 1994 et 2007 la SMSP a exporté une moyenne annuelle de 31 000 tonnes de
nickel métal, soit 2,1 millions de tonnes de minerais humides par an, ce qui la place
dans le peloton de tête des exportateurs mondiaux de minerai.
Au cours de l’exercice 2006-2007, les clients de la société minière ont été, par ordre
d’importance en volume, les chinois Ningbo – Baosteel – Dalian Continental – Carter
Company, l’australien Queensland Nickel Incorporation (QNI), les japonais Marubeni
et Mitsui. Depuis 2008, la quasi-totalité des exportations de sa filiale NMC à qui elle a
transféré son activité minière, est destinée à alimenter l’usine SNNC en Corée du
Sud.
L'
activité minière de NMC est menée dans les centres répartis sur la côte Est et la
côte Ouest. Deux gros centres (Ouaco et Kouaoua) emploient chacun de 153 à 60
personnes. Les centres plus petits (Poya et Nakety), font travailler en moyenne 71 à
51 personnes. A ces effectifs fixes de NMC, s’ajoutent les intermittents et
contracteurs, notamment pour le chargement et l’évacuation du minerai.
Chaque centre est géré par un Chef de centre, responsable du respect des objectifs
en termes de production et de coût, dans le respect des politiques du groupe en
matière d’hygiène, de sécurité et d’environnement.
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octobre 2009, sera généralisé à l’ensemble des centres NMC au cours de cette
année.
Un réseau radio équipe chaque centre et permet une bonne communication sur toute
la zone couverte par les différentes opérations du centre. Cette installation est
également un moyen défini et mis en place dans le cadre de la politique hygiène et
sécurité du Groupe.
Chacun des centres est aussi doté pour ses correspondances d’une adresse mail et
de l’accès à Internet.
2. La pré exploitation qui comporte des sondages à maille serrée (de l’ordre de 10 m)
ainsi que la préparation des verses à stérile et la gestion des eaux de ruissellement.
• Le triage des minerais pour les débarrasser d’une partie des blocs stériles et
réduire la granulométrie. Il est réalisé par des grilles, des cribles ou des ensembles
wobbler concasseur.
• L’évacuation vers le bord de mer par les routes de mines, assurée par des camions
privés de roulage de 25 tonnes en moyenne pourvus de 10 ou 12 roues.
Cette activité représente en moyenne 2,1 millions de tonnes de minerai par an.
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CENTRE DE POYA : A CHEVAL SUR DEUX PROVINCES
1 - Situation :
Le centre de Poya a la particularité d’être à cheval sur les Provinces nord et sud. Il
exploite la mine Pinpin qui culmine à 800m et qui est située à 27 kilomètres du bord
de mer – ce qui en fait une source d’approvisionnement plus éloignée – et plus
coûteuse en terme de roulage – que les centres de Nakéty et Kouaoua sur la côte
Est qui sont à flanc de colline ou que le massif de Ouazanghou Gomen distant de 20
kilomètres du port de Téoudié.
2 - Historique :
La mine Pinpin a été exploitée à partir des années 60 par la SLN. Au terme d’un
protocole d’accord signé en 2000, la SMSP et la SLN ont procédé à un échange
entre les massifs de Pinpin et de Konboye N’Goye à Thio. Les réserves de métal
contenu sur les deux sites n’étant pas équivalentes, NMC s’est engagée à livrer à la
SLN une soulte de 584 000 tonnes à 2,40% en compensation. A ce jour 162 000
tonnes ont été livrées à la SLN. Il reste encore à fournir 422 000 tonnes à 2,40% (ou
300 000 tonnes à 2,60%).
3 - Activité minière :
La production annuelle du centre pour 2008 était de 150 000 tonnes de minerai
garniéritique d’une bonne teneur en nickel avec un ratio fer/nickel et un taux
d’humidité au dessous de la moyenne des autres centres. Cette production, qui a
augmenté depuis 2002 avec une importance significative depuis 2006, devrait tripler
dans les années à venir. Pour 2009, l’objectif de production est fixé à 250 000 tonnes
de minerai garniéritique, destiné essentiellement à alimenter l’usine SNNC en Corée
du Sud. La principale difficulté pour le développement de l’exploitation de la mine
Pinpin reste néanmoins l’étroitesse de la piste d’accès qui n’est plus adaptée à la
taille des engins modernes.
Les 9 rouleurs effectuent en moyenne 6 voyages par jour, soit 108 rotations
auxquelles il faut rajouter 30 rotations journalières pour le personnel d’exploitation,
soit 138 au total.
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4 - Moyens humains :
5 - Chargement :
Le site de chargement du minerai en bord de mer est situé sur le domaine maritime
en baie de Porwi. Le minerai est maintenant évacué par de petits minéraliers de 45
000 tonnes pouvant transporter 33 000 tonnes de minerai. Les cinq chalands et les
deux remorqueurs nécessaires au chargement proviennent de Téoudié et de Numbo.
Le laboratoire équipé d’un potentiomètre contrôle les teneurs pour ajuster la qualité
du minerai chargé.
Il est fait appel à des sous-traitants pour l’évacuation du minerai, les opérations de
chargement, une partie de l’échantillonnage, les manœuvres d’amarrage, l’arrosage
du site et son nettoyage. Des matelots intermittents interviennent en complément.
6 - Environnement :
Suite au projet Caladenia, les travaux relatifs à la gestion des eaux de la piste de
roulage entre le pied de mine et Doline ont été réalisés en vue de sécuriser le
roulage et pérenniser l’utilisation de la piste même par temps de fortes pluies. Les
travaux effectués concernent : le re-profilage de 7KM de piste, la réalisation
d’exutoires et d’ouvrages permettant la continuité hydraulique (cassis et buses), le
curage, l’agrandissement et l’enrochement des exutoires et des barrages en
cascade. En pieds de mine, les travaux réalisés portent sur le curage,
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l’aménagement et l’enrochement des barrages Val, Monica, AC1 Ouest, AC1 Est et
AC2.
7 - Infrastructures disponibles :
Le centre de Poya dispose de six villas louées dans le lotissement FSH, toutes
propriétés de la SOGENOR. Ces villas servent au bureau administratif (qui sert
également de réfectoire), au logement (chef de centre, équipes volantes ou de
passages) et aux réunions ou formations.
8 - Contacts :
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CENTRE DE OUACO : LE CŒUR HISTORIQUE DE NMC
1 - Situation :
Le centre de Ouaco est situé dans les plaines de la côte nord-ouest de la Nouvelle-
Calédonie, sur le territoire de la commune de Kaala-Gomen. Le centre recouvre :
- Le village, où sont regroupés les bureaux de direction et le secrétariat, les
ateliers de maintenance, le magasin industriel, le laboratoire et le dock de l’équipe de
sondage et de chaudronnerie.
- Les massifs miniers de Ouazanghou, distant de 20 kilomètres, et de Taom,
distant de 30 kilomètres.
2 - Historique :
La SMSP a été rachetée, ainsi que l’ensemble du village, par la SOFINOR (holding
de la Province nord) en 1990 à la famille Lafleur, après la signature des Accords de
Matignon-Oudinot, et a poursuivi l’activité d’extraction au profit de la SLN et de
clients étrangers à l’exportation.
Les membres d’une association qui vient de s’établir en 2009, sous l’appellation
« l’Association du Patrimoine historique de Ouaco et de Kaala-Gomen » se
mobilisent, au travers des journées du patrimoine ou des visites organisées, pour
préserver et faire connaître au public, l’histoire de Ouaco (ses bâtiments, sa mine, sa
boîte de conserve, et le premier relais par câble téléphonique avec l’Australie… ) et
son rôle dans le patrimoine historique de la Nouvelle-Calédonie
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3 - Activité minière :
Une dizaine de carrière sont exploitées sur le massif de Ouazanghou. Sur le massif
de Taom, fermé en 2001 en raison de la chute des cours du nickel, l’extraction a
repris depuis 2004 sur deux gisements.
4 - Environnement :
De 2006 à 2008 près de 11500 plants ont été mis en terre avec différentes espèces
(incluant notamment 4800 Dodonéa viscosa, 1800 acacia spirorbis et 1100
carpolépis). Les contreforts du massif ont été équipés d’ouvrages anti-pollution. Les
barrages Marliez et Roussette situés au pied du massif Ouazanghou ont fait l’objet
d’une reprise et d’un reconditionnement. En décembre 2008, le chantier de curage
du bassin de sédimentation de Tinip a été confié à un sous-traitant. A noter qu’une
extension du département HSE est basée à Ouaco. Il est chargé de la conception,
de la réalisation et de l’entretien des ouvrages.
5 - Chargement :
Le site de chargement du minerai en bord de mer est situé à Téoudié, sur une
propriété de NMC et en partie sur le domaine maritime. Le site de Téoudié dispose
d’une flotte de 5 remorqueurs et de 18 chalands pour assurer les chargements de
Ouaco et de Poya. La flotte est entretenue par la Cotransmine basée en baie de
Numbo à Nouméa. Lors des opérations de chargement d’un navire, il est fait appel à
7 sociétés pour le roulage du minerai et le remplissage des chalands. Pour chaque
livraison, des salariés intermittents sont recrutés. Le laboratoire est équipé d’un
spectromètre (absorption atomique) et d’un potentiomètre ce qui assure un meilleur
contrôle des teneurs lors des chargements. Les associations de femmes et les
associations sportives assurent la restauration des ouvriers.
6 - Moyens humains :
Le centre de Ouaco emploie 152 salariés dont une partie affectée aux opérations
d’extraction qui sont également confiées en partie à une entreprise sous-traitante.
Une entreprise de la région de Koumac intervient continuellement sur les sites en
exploitation pour les besoins de dynamitage nécessaire pour améliorer et faciliter
l’avancement des chantiers.
7 - Infrastructures disponibles :
La quasi totalité du bâti du village de Ouaco appartient à la NMC. Les maisons sont
louées aux salariés qui proviennent de communes éloignées et aux retraités qui ont
choisi de demeurer sur place. Plusieurs maisons servent aux bureaux de direction,
accueil-secrétariat, laboratoire... Il n’y a pas de réfectoire commun mais chaque
service dispose d’une salle « cafeteria ». Il en est de même pour les sanitaires et les
douches. Une salle de réunion syndicale est à la disposition du personnel
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En 2009 les travaux d’amélioration des installations fixes de Ouaco incluent en
amont, l’amélioration des grilles de triage (exemple : celle de Taom : cloisons,
barreaux ronds avec un espacement variant en fonction de la minéralisation), et en
aval, la remise en état du concasseur JK en vue de la réduction à la bonne
granulométrie des passants des grilles et l’intégration de deux sauterelles au
dispositif pour améliorer la gestion des flux et des stocks.
8 - Contacts
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CENTRE DE NAKETY : UN CENTRE CONCENTRE
1 - Situation :
Le centre de Nakéty occupe la côte sud de la baie du même nom, sur la commune
de Canala, à 18 kilomètres du bourg principal. Il exploite les mines Edouard, Euréka
et la mine Circée qui a été ré-ouverte en septembre 2008 pour alimentation de
l’usine SNNC en Corée du Sud.
2 - Historique :
Les mines de Nakéty sont les premières à avoir été rachetées par la SMSP à la
société Nouméa Nickel, en 1991, après le démarrage historique de l’entreprise dans
la région de Ouaco.
3 - Activité minière :
Jusqu’en 2008 la production annuelle était de l’ordre de 350 à 400 000 tonnes de
minerai en garniérites pour les fondeurs japonais et le marché chinois et en
latérites pour le fondeur australien QNI et pour le marché chinois.
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Depuis la fin 2008 la production de garniérites a été essentiellement destinée à
l’alimentation de l’usine SNNC en Corée du Sud et la production de minerai
latéritique de faible teneur au marché australien.
4 - Environnement :
Plus de 6500 plants ont été mis en terre comprenant différentes espèces
(particulièrement 3800 Dodonéa viscosa, 1500 acacia spirorbis et 1000 Bauméa)
avec réutilisation du top soil pour du merlonage protégé et servant de coupe-vent
pour les endroits les plus exposés au vent. Les dispositifs anti pollution sont en cours
d’achèvement. Les travaux environnementaux ont porté principalement sur la
réalisation de dispositifs de sécurisation du périmètre 2 autour de la zone dite
Eureka. Le barrage Victor est le premier ouvrage de Circée à subir des correctifs.
5 - Chargement :
6 - Moyens humains :
7 - Infrastructures :
Le centre de Nakéty dispose de locaux regroupés en bord de mer pour héberger les
services administratifs. Pas de raccordement au réseau Enercal : alimentation par
groupes électrogènes. De même, l’eau est fournie par bouteille.
Le centre compte une salle cafétéria et un restaurant d’entreprise qui est confié à
une gérante qui s’occupe également de la tenue des bungalows mis à disposition
des collaborateurs de passage.
8 - Contacts :
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CENTRE DE KOUAOUA : PETIT MINEUR DEVENU GRAND
1 - Situation :
Les bureaux du centre sont à une douzaine de kilomètres du village de Kouaoua, sur la
route menant à Poro. Les mines du site sont SMMO 36 (Kadjitra ainsi que d’Alice 18),
SMMO 37 et Claire Red (en sommeil)
2 - Historique :
La société Nickel Mining Corporation qui détenait les mines de Kouaoua et qui était en
difficultés financières a été rachetée par la SMSP, en 1998, pour le franc symbolique.
3 - Activité minière :
4 - Environnement :
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autour de la zone SMMO 37 Intermédiaire et la zone Basse. La verse SMD1 a fait
l’objet de reconditionnement.
5 - Chargement :
6 - Moyens Humains :
7 - Infrastructures :
8 - Contacts :
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1 - Accès des personnes et des véhicules sur site
Interdiction de pénétrer ou de
demeurer sur les centres miniers en
état d’ivresse ou sous l’emprise d’une
drogue ou de toute autre substance
prohibée. Le responsable du centre
pourra interdire l’entrée sur le site à
toute personne dont l’état
d’imprégnation alcoolique constituerait
une menace pour elle-même ou pour
leur entourage.
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2 - Normes de Sécurité et Tenue réglementaire sur site
Tout manquement aux différentes mesures de sécurité énumérées ci-dessous, sera sanctionné par
les mesures disciplinaires réglementaires :
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Il est interdit de manipuler les
matériels de secours (extincteurs,
lances à incendie, portes de secours)
en dehors de leur utilisation normale et
d’en rendre l’accès difficile.
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3 - Règles de conduite sur routes et sur site
La circulation sur mine est particulière. Elle ne répond pas aux mêmes exigences que le code
de la route. Des règles précises doivent être observées pour tous véhicules roulants qui empruntent la
piste principale.
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4 - Règles comportementales à l’intérieur des centres
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5 - Respect de l’environnement
Tous les centres disposent d’un cahier de Les autres familles de déchets moins
route ainsi qu’un planning de travail de nocifs sont également récoltées sur
remise aux normes. Sur les niveaux centres et doivent être aujourd’hui
d’exploitation des carrières comme sur les acheminée vers les dépotoirs des
pistes d’accès, des caniveaux sont à communes minières.
aménager pour canaliser les eaux de
ruissellement. Les acides et produits chimiques anciens
des laboratoires sont regroupés au
laboratoire central de Nouméa et sont
envoyés pour traitement vers l’Australie
ou la Nouvelle-Zélande.
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6 - Charte Informatique
Ce système englobe principalement les Cet accès Internet est ouvert mais pour des
ordinateurs, le réseau informatique, les raisons de sécurité, l’accès à certains sites
photocopieurs, les téléphones, les peut être limité ou prohibé par le service
logiciels, les fichiers, les bases de informatique ; celui-ci est habilité à imposer
données, intranet, extranet. des configurations du navigateur et à
restreindre le téléchargement de certains
La direction informatique est responsable fichiers.
du contrôle et du bon fonctionnement de
l’ensemble du système ; des contrôles - Messagerie électronique : Selon leurs
automatisés et manuels sont mis en place. missions, les salariés peuvent disposer d’une
Les utilisateurs sont informés que de adresse de messagerie électronique à
multiples traitements sont réalisés afin de caractère interne et/ou externe.
surveiller l’activité du système
d’information et de communication. - Limites techniques : La taille, le nombre et
le type des pièces jointes sont limités pour
Dés lors, un certain nombre de règles éviter l’engorgement du système de
communes et une vigilance globale messagerie.
doivent être appliquées et respectées par
l’ensemble des utilisateurs salariés : Il est demandé une vigilance particulière sur
les envois volumineux et recommandé de
- Confidentialité des paramètres prendre contact avec le service informatique
d’accès : l’accès à certains éléments du pour valider de tels envois.
système d’information est protégé par des
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