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x
a) x 7→ x |x| b) x 7→ Exercice 8 [ 00249 ] [correction]
|x| + 1 Calculer les dérivées des fonctions suivantes
x
f1 (x) = arctan (ex ) , f2 (x) = arctan (shx) et f3 (x) = arctan th
2
Exercice 3 [ 00247 ] [correction] Qu’en déduire ?
Sur quelles parties de R, les fonctions suivantes sont-elles continues, dérivables ?
xf (a) − af (x) f (n) (x) = (n − 1)! cosn (f (x)) sin(nf (x) + nπ/2)
lim
x→a x−a b) En déduire les racines de f (n) pour n > 1.
∀x ∈ R+ , f (x) = g(x2 )
Exercice 48 [ 01402 ] [correction]
Soit p ∈ ]0, 1].
a) Etablir que pour tout t > 0, on a
(1 + t)p 6 1 + tp
(x + y)p 6 xp + y p
Corrections Quand h → 0,
f (h) − f (0) 1
= →1
Exercice √1 : [énoncé] h |h| + 1
a) f (x) = x2 − x3 est définie et continue sur ]−∞, 1]. donc f est dérivable en 0 et f 0 (0) = 1.
Par opérations, f est dérivable sur ]−∞, 0[ ∪ ]0, 1[.
Quand h → 0+ ,
f (h) − f (0) √
= 1−h→1 Exercice 3 : [énoncé]
h
a) f est définie et continue sur R.
et quand h → 0− ,
Par opérations, f est dérivable sur R? .
f (h) − f (0)
→ −1 Quand h → 0,
h f (h) − f (0) 1
f n’est pas dérivable en 0 mais y admet un nombre dérivée à droite et à gauche. = sin
h h
Quand h → 0− ,
n’a pas de limite donc f n’est pas dérivable en 0.
√
f (1 + h) − f (1) −h − 2h2 − h3 b) g est définie et continue sur R.
= → −∞ Par opérations, g est dérivable sur R? .
h h
Quand h → 0,
f n’est pas dérivable en 1, il y a une tangente verticale à son graphe en cet g(h) − g(0) 1
abscisse. = h sin → 0
h h
b) f (x) = (x2 − 1) arccos x2 est définie et continue sur [−1, 1].
Par opération f est dérivable sur ]−1, 1[. donc g est dérivable en 0 et g(0) = 0.
Quand h → 0− ,
f (1 + h) − f (1) Exercice 4 : [énoncé]
= (2 + h) arccos((1 + h)2 ) → 0
h g est dérivable sur [0, 1/2[ et ]1/2, 1].
f est dérivable en 1 et f 0 (1) = 0. g est continue en 1/2 si, et seulement si, f (1) = f (0).
Par parité, f est aussi dérivable en −1 et f 0 (−1) = 0. Si tel est le cas,
gg0 (1/2) = 2f 0 (1) et gd0 (1/2) = 2f 0 (0)
Finalement g est dérivable si, et seulement si,
Exercice 2 : [énoncé]
a) f (x) = x |x| est définie et continue sur R. f (0) = f (1) et f 0 (0) = f 0 (1)
Par opérations, f est dérivable sur R? .
Quand h → 0+ ,
f (h) − f (0)
=h→0 Exercice
h q5 : [énoncé]
et quand h → 0− , |f (t)| = f (t)f (t) est dérivable par opérations en tout t ∈ I tel que f (t) 6= 0.
f (h) − f (0)
= −h → 0
h 0 (f (t)f (t))0 f 0 (t)f (t) + f (t)f 0 (t) Re(f 0 (t)f (t))
|f (t)| = q = =
f est dérivable en 0 et f 0 (0) = 0. 2 |f (t)| |f (t)|
x
2 f (t)f (t)
b)f (x) = |x|+1 est définie et continue sur R.
Par opérations f est dérivable sur R? .
et donc
kπ π
f (n) (x) = 0 ⇔ f (x) = − avec k ∈ {1, . . . , n − 1} Exercice 26 : [énoncé]
n 2 f admet un maximum sur [a, b] qui ne peut être ni en a, ni en b : la dérivée de f
Au final, les racines de f (n) sont les s’y annule.
kπ
cot avec k ∈ {1, . . . , n − 1}
n Exercice 27 : [énoncé]
a) Notons a0 < a1 < . . . < an les n + 1 points où nous savons que f s’annule.
Pour tout i ∈ {1, . . . , n}, on peut appliquer le théorème de Rolle à f sur [ai−1 , ai ].
Exercice 23 : [énoncé] En effet f est continue sur [ai−1 , ai ], dérivable sur ]ai−1 , ai [ et f (ai−1 ) = 0 = f (ai ).
D’une part Par le théorème de Rolle, il existe bi ∈ ]ai−1 , ai [ tel que f 0 (bi ) = 0.
(n) (2n)! n Puisque b1 < a1 < b2 < · · · < an−1 < bn , les b1 , . . . , bn sont deux à deux distincts.
x2n = x Ainsi f 0 s’annule au moins n fois.
n!
De même, f 00 s’annule au moins n − 1 fois et ainsi de suite jusqu’à f (n) s’annule
D’autre part
au moins une fois.
n
! b) Considérons g(x) = f (x)eαx . g s’annule n + 1 fois donc g 0 s’annule au moins n
2n (n) n n (n)
X n
(xn )(k) (xn )(n−k)
x = (x × x ) = fois.
k=0
k Or g 0 (x) = (f 0 (x) + αf (x)) eαx donc les annulations de g 0 sont les annulations de
f 0 + αf .
et donc Puisque f 0 + αf s’annule n fois, la dérivée (n − 1)-ième de f 0 + αf s’annule au
n
! n
!2
2n (n)
X n n! n! n X n moins une fois.
xn
x = x = n!
k (n − k)! k! k
k=0 k=0
Exercice 33 : [énoncé]
Exercice 29 : [énoncé] Quitte à considérer −f , on peut supposer f (a) > 0 et f 0 (a) < 0.
Considérons Puisque f 0 (a) < 0, il existe b ∈ ]0, a[ tel que f (b) > f (a).
1 En appliquant le théorème de valeurs intermédiaires entre 0 et b, il existe α ∈ ]0, b[
g : x 7→ (x − b)f (a) + (a − x)f (b) + (b − a)f (x) − (a − b)(b − x)(x − a)K tel que f (α) = f (a).
2
En appliquant le théorème de Rolle entre α et a, on obtient c ∈ ]α, a[ ⊂ ]0, a[ tel
où la constante K est choisie de sorte que g(c) = 0 (ce qui est possible). que f 0 (c) = 0.
La fonction g s’annule en a, en b et en c donc par le théorème de Rolle, il existe
d ∈ I tel que g 00 (d) = 0 ce qui résout le problème posé.
Exercice 34 : [énoncé]
a) La fonction g : x 7→ f (x)/x est définie, continue et dérivable sur ]0, a].
Exercice 30 : [énoncé] Quand x → 0,
En appliquant le théorème de Rolle à f entre a et b : il existe c1 ∈ ]a, b[ tel que g(x) → f 0 (0) = 0
f 0 (c1 ) = 0.
Prolongeons g par continuité en 0 en posant g(0) = 0.
En appliquant le théorème de Rolle à f 0 entre a et c1 : il existe c2 ∈ ]a, c1 [ tel que
Puisque g est continue sur [0, a], dérivable sur ]0, a[ et puisque g(0) = g(a), le
f 00 (c2 ) = 0.
théorème de Rolle assure l’annulation de la dérivée de g en un point c ∈ ]0, a[.
...
b)
En appliquant le théorème de Rolle à f (n−1) entre a et cn−1 : il existe
xf 0 (x) − f (x)
cn ∈ ]a, cn−1 [ tel que f (n) (cn ) = 0. g 0 (x) =
x2
c = cn résout le problème. 0 0
donc g (c) = 0 donne cf (c) = f (c).
La tangente à f en c a pour équation :
Exercice 31 : [énoncé] y = f 0 (c)(x − c) + f (c) = f 0 (c)x
Puisque lim f = +∞ et lim f = +∞, il existe a < 0 et b > 0 tels que
−∞ +∞
Elle passe par l’origine.
f (a) > f (0) + 1 et f (b) > f (0) + 1
En appliquant le théorème des valeurs intermédiaires entre a et 0, d’une part, et 0 Exercice 35 : [énoncé]
et b d’autre part, il existe α ∈ ]a, 0[ et β ∈ ]0, b[ tels que f (α) = f (0) + 1 = f (β). a) Si g(a) = g(b) alors on peut appliquer le théorème de Rolle et contredire
En appliquant le théorème de Rolle entre α et β, il existe c ∈ ]α, β[ ⊂ R tel que l’hypothèse
f 0 (c) = 0. ∀x ∈ [a, b] , g 0 (x) 6= 0
Exercice 36 : [énoncé]
Puisque f (a) = 0 et f 0 (a) > 0, il existe x1 ∈ ]a, b[ tel que f (x1 ) > 0. Exercice 40 : [énoncé]
En effet, si pour tout x1 ∈ ]a, b[, f (x1 ) 6 0 alors quand h → 0+ , f (a+h)−f (a)
60 La fonctionϕ proposée est définie et de classe C 2 sur [a, a + h].
h
et donc f 0 (a) 6 0.
f (a + 2h) − 2f (a + h) + f (a) = ϕ(a + h) − ϕ(a)
De même, puisque f (b) = 0 et f 0 (b) > 0, il existe x2 ∈ ]a, b[ tel que f (x2 ) < 0.
Puisque f prend une valeur positive et une valeur négative dans ]a, b[, par le Par le théorème des accroissements finis appliqué à ϕ entre a et a + h, il
théorème des valeurs intermédiaires, f s’y annule. existeb ∈ ]a, a + h[ tel que
Ainsi il existe c2 ∈ ]a, b[ tel que f (c2 ) = 0.
En appliquant le théorème de Rolle sur [a, c2 ] et [c2 , b], on obtient c1 et c3 . ϕ(a + h) − ϕ(a) = hϕ0 (b) = h(f 0 (b + h) − f 0 (b))
Exercice 42 : [énoncé] Pour x et 2x dans ce voisinage, on peut écrire en vertu du théorème des
En appliquant le théorème des accroissements finis à x 7→ x1/x entre n et n + 1, on accroissements finis
obtient f (2x) − f (x) = xf 0 (c)
√
n+1
√ 1 − ln c 1/c
n+1− nn= c avec c compris entre x et 2x.
c2
avec c ∈ ]n, n + 1[. Puisque cf 0 (c) > α, on obtient
Puisque c ∼ n → +∞, ln c ∼ ln n et puisque c1/c → 1 α α
f (2x) − f (x) > x >
√ √ ln n c 2
n+1
n+1− n
n∼−
n2 Or quand x → 0+
f (2x) − f (x) → ` − ` = 0
Exercice 43 : [énoncé] C’est absurde.
On applique le théorème des accroissements finis à x 7→ ln x entre x et x + 1. De même, supposer `0 < 0 est absurde.
Il existe c ∈ ]x, x + 1[ tel que
1
ln(1 + x) − ln x = Exercice 45 : [énoncé]
c
a) Posons M ∈ R+? tel que |f 00 (x)| 6 M pour tout x ∈ R+ .
Or x < c < x + 1 donne Soit ε > 0. La suite (xn ) de terme général
1 1 1
< <
x+1 c x ε
xn = n
puis l’encadrement voulu. M
et, puisque ceci vaut pour tout n ∈ N, on a en posant A = xN , Or, on sait ln(1 + u) 6 u pour tout u > 0 donc
M = sup |f 0 (t)| Cette fonction est continue sur ]0, 1] et se prolonge par continuité en 0 par la
t∈[a,b] valeur 0 car 1 − α > 0. Cette fonction est donc bornée et l’on peut introduire
M ∈ R+ vérifiant
l’inégalité des accroissements finis donne
∀y ∈ ]0, 1] , y 1−α (1 + |ln y|) 6 M
∀x, y ∈ I, |f (y) − f (x)| 6 M |y − x| On obtient alors
α
∀x, y ∈ ]0, 1] , |f (y) − f (x)| 6 M |y − x|
b) Soit f : I → R höldérienne d’exposant α > 1. Pour x ∈ I
1
(f (x + h) − f (x)) 6 M |h|α−1 −−−→ 0
h Exercice 47 : [énoncé]
h→0
a) Soit f : x 7→ x − ln(1 + x) définie et de classe C ∞ sur ]−1, +∞[.
La fonction f est donc dérivable et sa dérivée est nulle. C’est donc une fonction x
constante. f 0 (x) =
1+x
c) Par l’absurde, supposons f höldérienne d’exposant 1. Il existe alors M ∈ R+
vérifiant Le tableau des variations de f est alors
∀x, y ∈ ]0, 1] , |f (y) − f (x)| 6 M |y − x|
x −1 0 +∞
Pour y = 2x, on obtient f (x) +∞ & 0 % +∞
Exercice 50 : [énoncé]
La dérivée de f est continue et périodique donc bornée par son max sur un
période (qui existe par continuité sur un segment). Par l’inégalité des
accroissements finis, il en découle que f est lipschitzienne.
Exercice 51 : [énoncé]
f est continue sur R+ et de classe C 1 sur ]0, +∞[.
Pour x > 0, f 0 (x) = 2x ln x + x.
Quand x → 0+ , f 0 (x) → 0 donc f est dérivable en 0 et f 0 (0) = 0.
De plus, f 0 est continue en 0 et finalement f est de classe C 1 sur R+ .