w G WwuUuUubUuUueNuuTy Fe 5 AiO = See Gp BOES 5 eu oe ae “ i ComPoSrTErR RS,. dl nud be tion the taint alls Lines» Vieywle hes bernrurte, Austell ho trnne —-~ PA A! 2a Up paat, a Cgc SO “Tag Gig, Mosier (Gir ©. : US Larte. Priv -0 b DU La 8° Vartiectant plasparticuliirementa Lr SI LIBIS, ches LET TEM ot C8 fe ie Vpn Drpuitte de Clotow Vipsce ile Dinstonwi Wu 2 DEUXIEME PARTIE ARTICLE PREMIE EXERCIGES Sur des dessins généranx de traits,dans les mesures a deux temps, a Lrois Lemps et a six-huit. (+) —_—_—_—_—_—_—_— peuvent se présenter, méme pour un ce genre, ce serait souloir Fimpossible, les traits 4 eudre de dom seul instrument tel que le Cor, assez bor © des chants aux endent de Vinspiration du moment, du ea Voriginalité du talent de celui qui compose les uns et les (que ces trails quels ils sont joints, et nes dans ces exe uoique fort éendue, est loin série des traits renf Ainsi, dle présenter toutes les combinaisons par lesquelles on peut Tes maltip presqu’a sient sousent a cause de leur effet; rails de Cor o sasie, Tanditeur. il que cet elfet se peed, sans oublier toutefois le nature Te rapport et les traits qui vy rattachent, celui de la nature de Finstew~ ution avec Veltet 2, sont toujours plus naturels, plus ori~ enter les Lies traits rassemblés dans cette seconde partic, nes quien ans La nature du Cor quelles Aucune articula trait pouvant en recevoir nombre plus ou moins grand, il eut fallu multiplier les exemples autant de fois Hours, comme nous Vayons déja dit, il y aurait ew darticulations d end de tout assemblage de notes (1). On sait que te mot Traétdans son a réelles ot de notes de de, Cest aussi ce qu tates Diffieule ie, 08 Faken on les Solo de Concerto, » exempl G2. nderticulation est déter c plus souve le esaractine par la nature de instrument, aly trait, par La mesure, le mouvement,et surtout par les facultés de Tevéeutant.Ains es, on ne prétend pas que chacun deux doive, par unt ndve familiéres toistes les diffiet obsting, se ferment: nous ne son tous douds, des mémes moyens: te beaucoup de p de sueeds. i souvent 4 en produire plusie: en Te faisan Pour exercer les uns et les autres, on commencera tor ations, (le Jétachs ee Pe pornts), celles. ci avec le Conlé, comme on Va fait gammes de la premiere Partie. observera seul sent, que te anon dy pavillon ne poivant jamais 4 Ia volubilité des doigts, ihn rd de ins. passa ou pour suivre la marche ace on est obl jement sur des notes nat ples mouyemens I, po in quiaus notes p 2 dans Les exemples Js. qie ces tg eg es que trois fil n'y en a jamais plus s sacrifice a Ls dine qui soit & pew p omptitude di mouvement , EXEMPLES de traits précipités, et des articulations qui leur sont propres. Exemple 1. bw ede wb | a 14 Observations . Tout ce quia été dit au sujet du N25. regarde parcillement le N! 4. qui ollve Arilleurs, une, particularité sur laquelle il est bon de fixe st celle des notes plusieurs fois répétées au méme dég ns les mesures 6 et 14. ces notes équivalent -presque toujours A un son soutenu, quant & Ta nuance qui leur consient surtout’ dans les mouvemens Lents et_mod cest pourquoi Ton a place, audessons, la nuance affectée aux sons filés. Ces notes ne doivent pas éire Hées com un complément de la mesure, attendu que celui- cin’ Hiew qu’aux demi - cadences, co aux mesures 4 et 12, et non aux quarts de cadences tout & ta fois div point et de Ty Hiaison On sait que les notes qui sont-marqu soutenues: celle articulation est diautant plus essentielle veulent étre frappées, m aux mesures dans lesquelles elle se trouve ici, yurelle doit contraster aver Te style dexécution de la premigre note de chaque temps des mesures 4,5,¢t 15, 4 laquelle on ne donne pas toute sa valeur, afin de ne pas rendre ee début tvainant ct peu gracient. I] faut done séparer, sans trop de sécheresse, cette premiére crvehe, de la double eroche Enfin, les fréquentes répétitions des mémes passages, dans les exemples 5 et 4, surtout quand ils sont exécutés avec leurs reprises, Aigeraient quelques vari¢tés. pou en sauver a monotonie; mais pour ne pas auticiper trop sur Varticle (de Thine earié nous ajouterons simplement quelques notes de goit 4 la mélodie du 5% exemple, et les deux sortes Waltérations dont ila été parlé paze 8, Tame dans Ia durée, dans Télévation ou Fabaissement des notes de Ia mélodie. Exemple 5. 4 Reprise. Le chant simple, tel que Fanteur Va conga oe 2 Reprite. Variéw avec mode de valeur (32.2)215.) tf ae 5° Heprite. Le chant simple de Vauteus, jusqu’’ ec Sy a - plus variee. alters dans Te Ton. ease _—S SSS alters de valeurs allerede valeur. fautres notes immédiatement et qui sont de veritables sppogiature as déxception pour la petite note en dessous, qui peut étre souvent a la distance din t surtout quand elle est ecrite en note ordinaire. Exemple 6. Les quienes: super es inddiquent les notes principales, variées par une Appogia - tura en des ‘et en dessous. (52.2) 9wu be a 16 ARTICLE 4 DE LACCOMPAGNEMENT. ditfer gales a celles du chant, et_ma Laccompagnement dime mélodie peut avoir des_aspec quill peut ave composé, 12 de notes de sal tation. 22 De sons soute ‘oil en méme t avec In ips, soit p quely fois varies par L'dppoyiatura ns frdquemments 52 de notes jlusieurs fois es. oi plus “eountes nent est le cords br que celles da chant; 42 D ccompagn ws, on soit ces dillérentes plus usité, comme étant Le plus riche pour le Duo. D3 ces explications, on dans espéces Waccompagnement dans les ceux qui les précédent. ral, En gen igales, on de note culation; il ne se contre note, celui qui le fai permet aucune nuance, si elle west indiquée, ni altération dans la valeur ou te dia~ pason des notes. La farce de ses sons est toujours proportionnée a celle des sons ispensable dentendre disti jp est, pour ainsi dire, Le datteur de la mélodi car pour bien accompagne ne doit don le chanteur, ent celui qui chante, Lacon: ais il doit pourtant sen » puisqu’ 2 mesure de celui qui chante. 1 seules, 3 Taecompagnement, sont phis nt un accent de plus que les autres notes, p ipalement lorsque Ia partie supérieure, celle qui chantait, devient 4 son tour par © daccompagn dlans ces rentrées. Ainsi, dans les qui toutes es du 5 exemp les notes de ta seconde partic sont pointées, cest-a-dire frappées mollement. Dans la5& mesure, ott les notes valeur 1 double, puisque | diminue de moitié, on peut changer Varticulation en raison du mouvement; mais 7 apport & ces ¥ e celui-ci est encore modéré, par rs de notes, et qu'elles ne _marchent pas diatoniquem: » mais par sauts, Pere Hone peut éprouver aucune géne, ni faire sentir aucun retard en appant chaque note: seulement, et toujours a cause du mourement, les coups de langue seront plus dows, et les sons lié: entre- ux, au lieu détve frappés séehement et separcs, comme dans le cas o& le mouvement serait plus vif 1 (©) Quon ity a tis parison pln, ot den dein diene 4 chacune dll, on join Te particulier qui convient 3 ces dessins, au style Te caraeti ‘coau. Larticulise principal du tion se conforme, parcille (32.2wer encore la vale On pourrait + ir des croches (en faisant, par o Te il a de Thabitude et de Ia souplesse; autrement sans exemple, des trois pour deux ou triolets,) et les frupper tout uirtout, cen soit, plus géné si ticulera. de la maniére indiquée ici, la variéié suivante, sur Vaccompagnement en croches des 5° 65 et esures de exemple Exemple. SS # . iit les reprises de ce moreeau, on augmentait encore le des doubles croches, au liew des triolets précédents, il le Conlé et Le Pointé, mis non Te Pigué ou Détaché qui He mélodie, et ne serait pas de son stale, SF 4 Texemple 5, regarde pareillement Vexemple 4, sure soit dilléren at est Te meme, quoique la c puisqie’ les dom le mouven des croches de exemple précédent, et ainsi de si te. Hest essentiel de considérer que, dans Faecomp: nement comme dans le chant, lowsqutil ya doit y avoir unité darticulations. Cest-a-dire que, si ces dessins demandes et ré. ut, dans une méme partie, ow p: 's d'une pa ou enfin en marchant ensemble a la 3! ou a la 6! et po te intervalles, Ia premigve articulation p doit se répiter, 6 ow indique mime se répétent Tes mémes dessins, et autant de fois. Laccompagnatenr surtout, wa le voit de chang s le Hiculation et Taccent outa nuance de ces dessins, que da as oft celui qui fait le chant yiende ta Les changer; mais Ton suppose alors, que il celui-ci_commencer tla ps proposition; car si c’était Taceompagnates le droit, A son tour, de donner au dessin de la melodie ou du trait, lac- quill lui croivail propre. (52. %.) 2 tant, 7ae |, Unite de dessins et articulations, temps, aux 2 parties 2 a) F Dubernoy. (2) Rosetti faitation * Tmomentanée : (5) Alleg!? * a Kein oh dea deuy yremitres tates dab x —_ Les passages que Ton place quelquefois 4 lunisson ow a Foctave, soit. comme introduction, soit pour reposer un instant de lation du Poiné ou du Piqué, p eo recoivent, le plus souv ncipalement dans les mouy Mouv! vif 25 Fee ais An FS a Oe 2 And'? ove le " Fred.2 49 Les variétés daccompagnement des exemples suivans, sont ceux dont on a parle > Ala page 16, et qui n’ont pu trouver place dans les’ frogmens'ei-deisus. " AN a () Notes répétées aus mémes . * AUS: ee _ (40) 4 Mem Haydn. . plus longues . a (a) Andante 4 yf Crs rn differ ’ (42). ane = Men] ; les observations suisantes, font rapport qu‘any articulations et & leur objet. Hl faut h iader que I i, pour la melodie, un orne- % ment, un embellissement; qu'elle lui donne de Ia vie, de lac le la grice; que , dans les traits, elle procure le choix qu'on en fait, toute la volubilité desi ‘able, ; il devie F Jonne plus de force & ce qui poi , > urs, quelquthabiles quils soie sauraient placer toujours bien ons Ter na faite pour un instrament quiils mont point pr > ta les observer, si elles sont honnes; & suppléer celles . qui sont omises, on a re les articulations écrites, lorsqu’elles sont inexécutables, is:elfet, ps pport Ala nature de Tinstrument et & ses moyens dex (G8.4.)0principal mouvemens moder Le Coulé, quelquefois, est lourd dans le: Taccoipagneinent, qn ke Cor-Basse se rome dant les notes m eniploie cette articulation, dé iri rence, hans les m Woyer +) nt au_caractére ces’ articulations, it et choisit. 1a elle com’ parec wile ie dans les dilférens eas, est cricore Jer Autres. Exemples * Andantino. F 7 | Duvernoy. Iem- 1 ele quantte ci, fa ritournelle (8) veut le Po‘até: 42 parceque limitation w dent toujours et non dé d cause des notes Fa’ et AE. qui 5° par tradition déexécution, ¢ lorsqurellés sont fi elle * vucine ile ‘une imitation G24) 2* > Quel il vetarde. Hen est de méme du Pointé a et du Pigué: cas, des passages sur lesquels on place ces articulations, - eb day mouw Ainsi, dans Fexemple suivant, de Tarhmidt, le Pigué 4 relarderai jamais assez de souplesse pour suivre, avec * Tes he oches du chant. I u Coulé, si - dive, de la premidve & la seconde double cro- insi dire, Te So? sur le son a tres grande vélociteDans le passage suiva M® Hereha, le Coils est bien placé, parceque les notes marchent diatoiiqueien que Ten vement est lent et que, par cette raison, on a le temps, pour ainsi dire, de i, daillew vient’ an -cataglére de Ge morceau dans Exemple. articulation du trait, au cor alto varierait selon Ia vitesse.(Voyer = On a toujours remarqué que Te Coué en montant, sur des notes un pew et dans Te mouvement vil, ilitait, Vexée ct quien descendant, ane contraive, cette articulation augmentait la difficulté. ce dont on ponrra se convaincre, en ess ant les traits qui suivent Mouremens. vils. ~ 3 alt ee meEpétera pourtant, que sur ces traits, comme sur tous les autres, les die verses. a culations doivent etree puisque toutes peuvent ser utilem at par [a faculté qu’elles donneront & Veveutant, de retenir ow de precipi a son gre, et selon Tes cay Les notes sensibles, naturelles ou a s. s¢ lient ordinairement avec leurs foniques,demoins quielles ne forment an dessin particulier dans la mélodie, alors, elles prennent ation du Pointe ou du Pigue: raison, quand le mame passa Exemple. ete A plus for revient_ au Cor Basse, & cause de ce quia éé dit H sujet des notes graves Iactices, que le Poiaté rend tou. Le paswbbe wwe a Dans le trait quis tant ‘Ses articiilations; Reicha. , te Cor Basse, répondiait yuieus au C Féxécution en’ soufTrirait Cor Alto. Alto, en emprun- 7 SH ae panes Larticalation est changée, Ia cathégorie des notes graves de les faire di les suivent. On a dé lovsquielles Gtaient du genre diatonique. Cette clement, en Tes i a Ia lettre (€), & cause factices au Cor B vu plusieurs fois le Could ¢ Sok 4 qui rentre dans — se, pour Ta edent on ave Tes notes qui les pr r Hovis et quatre note en a Thabitude, et Reicha, Tyios. SS ==: Articulation de VAuteur, pew praticable pour Feséentant Asticulation du Praticien: Le Pe SS ee ee ee tris do ¢ et sans séparer leg nutes. daee . Al west pas toujours prudent dattaquer un La ou un Si écrit aulessus de la - portée, et, dans ce cas, celte note se lie arce celle qui précéde et celle qui suit, lors. ” quielles ne sont pas trop éloignées lime de Vautee. ’ Exemple. - Beiwha. * 4 ’ ’ ppellerons encore que toutes ces régles ne sont que géncrales, et 4 4 Texpérience, au jugament, au goit surtout, de les appliquer 3 - selon les circonstances > le ainsi que sur Te style, le goit, la grace et + Vepression en musique, ont été developpres dans nos conseils aun Eléves, page 447 = eU suivante’ de cette partie. = ARTICLE 5. 2 EXEKCICES DU COR-4LTO > Sur des dessins généraux de traits appliqués aux différentes mesures. Observation jie Tes traits embrassent tonte Tétendiue du gen le mode majeur de transposition que celle du mode mineur de traits ne p me octave environ nsposition p avoir lier fe, c€ qui wempéche pas. celle On peut encore ronquer Ies traits de I’éte lquelois & la sons~Don modes: mine en les bornant les transposit mples. Entin Ton peut donner I entigre du genre, aux traits dans celle doctave ou de di ne;ce qui fait que le nombre de ces exercioes, des transpositions, dre porté prés de 1000 agrandissant ainsi la ede 350, peut, au moyen {léve siudieux comprendra, par © de ses travauy,. il augmentera ses facullés et inultipliera ses ressources.26 : COR ALTO.COR ALTO. aiacow ALTO.a. COR ALTO 2550. i COR ALTO. :COR ALTO. St> 32 COW ALTO. 2 GR.h) aa ie co ALTO.> 34 COR ALTO. : “G5. @ieeeere cease tine lief tes fi Efletleietittetiers, > Lette z ‘on, SGapeaiegett teh tt ttelets tees teetersCOR ALTO. 7 86. (32.0) 236 COR ALTO, o0e & 2 fe teen es. —_-— 24s, He ih * ny tfCOR ALTO.RALTO, A he oowu wow a con ALTO. 39coma Lo.———$ $$ COR ALTO, At waa a wu > = (59. %)4a vw COR ALTO. Observation transpositions. sp louner ame idée fave subir aux traits qui Jes exercices précedens, tr arquera que, la note principale de chacu est:umson naturel dang dle ces gammes, joutes Les transpositions”ned COR ALTO. wed Pw www bbb baa aaa aa9 i, COR ALTO, 45wu w 46 Conk ALTO. ww ow w a errr "eats bed ’ = =. = +. x 7 ATS. = = 7 e 2/475. 7 Petts VGees “sees eee wa =e a 4176.COB ALTO. “47 CASSIS Sbdd dds Sa seddd sdesdde odddd, #: roe efpo pte settee Rosetanett trate? #etttys eet eet etter ——o!Py“a 30, COR. ALTO. ella P tee t 2 Cag FFa, ptheptetett ee tele CELat ttle tpystole tage tet, = SS = =w a co ALTO. a w 200. = wy a awow COR ALTO. 2, » woo w> F COR ALTO, 53 ‘wv eooddonone w = = > 220.we ALTO. weobaoa ao 2. = DIS SOs ae OS (G2. 4.) 2COR ALTO, r, #:3 56 cok ALTO. = # aoe eee te a a wo 2 oon = =x. SSS tye See = = £ if = : = ze * . : 257. *we w COR ALTO 57> Pe phate s2etattee te: fetes fate stetee aerte eo 2 . = sesesteter 3 246. = : * > * * : airee =ooo ooo » » a a 249, 58 f con ALTO. ri age #Pepetttate etpthetets —SS=—_— 7Hw COR ALTO. , sores . Reaeatrenttereetegettioas i toatt oes aaas eet arr ote ge foxes, —S pet tote eS tee 263 aa ne # 2. 4owe ao COR ALTO. ‘ . ° oven wv v * oe w 2 J ” > 2 ) = oepst ete tt et Peg t Ph tet 2: PRrTTTHAArreaneuw | con AL . ppnow o 288. —pttettete solo tape fifa t Pet ee tere PE ETTEETITE 299eaagnbangangng paa a 206. CE a sth ty, eee 2s rs 2 vor. eaters = ee ea — sista zag ferraee £, otto ve, 298. 2 te reseceretaes 299. Fee, et egtes2; (32. 2.)0a COR ALTO. cs RE re ce SSE a a w a tee i gt ae a. a = wo a ? tn thee ttle o'yhe 9,0, é ert fet sieaies Lepper 2 by foo ot, 2, 2-4 G2. ni)< a as e's 3 "sf Bee RSESRB ae eeseseeeeesew VUuuUUDWUUWNWbewebbdbb bw ww w w wv vo Oo WwW ARTICLE 6. EXERCICES. DU COR- BASSE Sur des dessins géndraux de traits appliqués aux différentes mesures. : Observation. les traits embrassent toute Iéten suvent recevoir de transposifi mais lorsque’ ces trails ne parcourent qu’ du genre, dans le mode’majeur de que celle du mode mineur de 1e octave environ 3 Toctave inférieure ou supérieure, in peut avoir Li nrempéche pas celle Uétendue, alors leur transpo: inte, et quelquefois 4 la sous - Dominante; ce q jeurs modes mincurs. wer les traits de Vétendue entiére, en les hornant & celle octave ou dle di ¢ 4 ce quiils puissent subir les transpositions sus s et dont les pages 89 et 90 de ces exercices ollvent des exemples. Enfin, Von s dans celle doctave ow ni west ici que de 560, peu cA prés de 1000. ation ses facultés et mu par cette obs sphive de ses ipliera ses ressou 67B. cOn- dt "Onnnnmnnnnnmnomnnnnmnonnnn”9 ; COR- BASSE, 69 Poot Pfr eee searewww wv we oe ow 70 7 COK-BASSE. a “(58.23 2COR- BASS!9 13 i: COK-BASSE. . ~+ + Ce Vw Ge FE ee ee eS ww + a(520) 4COR-BASSE. Toe ite ws ste z me z 5 FES GES FES SSS SHE BSE FEF —_— — SSS S SSS SHE F FGA FHS FFF FSH SHCOR-BASSE. eee ee we lw uw80 (Bis.) CON- BASSE . ae Gena6. 102 COR. Biss is (SY nya 7? (52.2.9w GU Ve ee es eS we ue COR-BASS MMHvue ee ee ww “uv Ge ese we w& a con ¥ BASSE.F 3 3 & 3a COR-BASSE. o5 COK- BASSE. BS 4 - FFF 2 a at F BESS GFS tt ae = = Ea ootCOR- BA 3h a 166. 467. ww 4 4 sui 4 Say sill * wy sit e 174ww COR BASSE. 87 = wo Ww88 CORK BASSE. 181.COR-BAS: 8, Observation Pour donner 1 idée des transpositions quien peut faire subie a wont we dtendie, nous présentons ie On dles exeveiens preven mes dillérente note principale a que ces gam la tonique, est un som naturel das toute nspositions,99 COR BASSE.wi. COR- BA J FF id,@ 3 COR BASSE. 202.COR-BASSE. 95ws 2 & COR: BASSE.COR- BASSE. (B2in.) 236 COR-BASSE. 1228 besos,COR BASSE. ” =COR - BASS) (32 .8.)2w COR- BASSE. a w,w 244. 245,400 COR-BASSE. 3 957: 258.BASSE, 404 459. === =F 5 aes sere Fore ate sere steepextttts stp nets f, + = = aoe se"s + GFZ 2 260:COR-BASSE.COR: BASS SPOT STS YS OVS S9S 87S Sa ere «4 wt s 4 s x 4 BFF Fee SEG FeE°~«~S ae oe ose jo" oat One dye Ses ee SS SSS _ aaa A th x we “i a ut SL 4 su st ‘ = $i u oH 4H 4 4 (B2.n daCOR- BASSE. 7 ie Ie 5 SSS Sa SS i oD tte dat 096 Jf4 “eae dF 4 at +e 3 wCOR- BASSE. 405, re Bree 23s? Berar Orew w wCOR- BASSE. 407, oe eS appt ereretreries tance (a 298. 299.3 300.408 COR - BASSECOR-BASSE 109aw w wwwweweswst & w& COR- BAS!COR-BASSE. Ait simile oe eer G Site 52.02.) 8COR-BAS < simile9 COM - BASSE.ww ww ww w COR- BASSE. (38.4) 2a COR- BASSE. 4s4G COR- BASSE, 369 SS ejers eae5 oe G! “7 AKTICLE 7. CONSEILS AUX ELEFES Sur les Etudes Musicales. Ie desseinde donner’ letiide du C sa nature, sex moyens d'exceution,a toat ce quil \¢ nouvelle direction composant celte Méthode sique; ainsi que pour mettre IEléve a méme de faire rapides, plus certains;nous n'avons pas eu la prétention deffacer les me- ntes a Tusage du méme instrument.ct moins que toute autre, celle de ous avons donné un nouvel aspect & notre ourrage, par suite du :Simous avons offert une foule d’erercices et ¢ nous nous sommes form ons sur tant de choses omises jusqu’a present, et qui nods paraisseat essen ficlles: nous avouons avee plaisir,quant aux conseils queM. Domai donne aus ¢ quil cr littcralement pour dire aussi bien que lui. Tels sont ceux de Ia page 91, sur le maniire Dvtudicr, par lesquels cc Professcur preserit 42 d'exécuter tour- tour des morceaus de mouvemens différens; attendu que si l'4agco donne Ia qua - ‘all -yro fait acquerie la légerete et le brillant; un penchant ex- tae d’erereer hous les Tons du Cor, reset de connaitre le dégré de force lite de son ot Ia tenuessi afin de se familiariser avec les uns ct les au ou d'énergie que chacun dear reclame dans Veréeution, 3°de comparer sur tous ces ccs, afin de mettre entr'eur, toute Ia justesse ct Ie je article,M. Domnich condamne avec raison la manic des préludes ct ue ct la fermeté d'embouchure donner des phrases détachées, qui ne peut ja consenables aux marceaur de longue haleine: le par lequelen prolon- faeulté dele recommencer que les moyens croissent ¢ Vhabitade de Vexercive. Travailler pow ot souvent est le precepte de tout bon professcur; il doit done étre la e des étudi ims de suite sur mais, par la raison qu'on ne peet stexercer Lo notre instrument il faut remplic les intervalles par d'autres études. Parmi celles qui sont les différentes net l'étude Aun instrament & cordes,coaformement encore aux conseils deM.Domnich, ct > ont un rapport immédiat avec Vobjet que se propose te musicie ches de Tart musi telles que Th onic, Ia mélodie, la composit aux raisons quill en donne page 9 Yolomeells, comme wows Vor Ait, étant Tinstrameat le plas propre 8 accompagner le Cor tedes nous seule devair re ps uptehe pas d'y joindre te Piano,siatile aa ‘prndammeat des ressnnvers qu’ offre dsillenrs. (R220= ats Ml ne suffit pas dexceller dans le mécanisme di new les plus grandes difTicultés,il faut encore acquérir le talent dese faire une musique que Vou exccutera toujours micux que celle des autres, parce qu'on en connaitra bien ct le vrai caractére, ct les intentions, et "harmonic qui permet de varier ses idées, d'y ajouter ou d’y retrancher & propos. Or,si l'étude du solfége a di précéder celle de instrument Tow qu’on adopte, Vétude de ln composition doit,ou sunira celle de Vinstrument prin ivre immediatement I est bon de ployer, quand on c tre aussi les autres instrumens par la théoric, afin de savoir les em- mpose ses mnrceaus de concerts.On peut done regretter que les Mc thades & Tasage des différens instrumens,ne donnent pas des instructions sulfisantes sue Icur emploi. Cest pour ne pas meriter de reproches a eet égard, que nous avons consa~ ere toute la troisiéme partie de cette méthode A ce genre instruction ot que dressons aux jeunes compositeurs, ride bonie heure les meilleurs livres re ~ On peut joindre ici le conseil de se pr Latifs a Vart que Von exerce ct que Von pes A professer. Un homme qui veut éerire dans sa propre langue, sait bien que les études de college les plus completes sont insulTisantes, et qu'il dait nourrir et erner son esprit par I Jement de ture des meilleurs pottes et prosatcurs, non sc on pays, autres nations; il en est de méme du musicien: Aux ouvrages didactiques dont ila pi f sympho} lige, il doit joindre les meillcures partitions d’Opera , de re une étude pa sans cesse sous les your. Ce n'est pas. em ies, de quatuors cte,ct es ave assez, si n’entend souvent, et jusqu'a parfaite connaissance, lee pages qu'il aura lus, rinera ou rectifiers tes ide uple lect puisque cette an que pa lui laisser: car malgre Ie sent personnes qui se Flatter nt de quel ger dune musique queleonque et de son effect par les your seulement, nous cons au jeune musicien dentendre,plus encore qu'il ne pourra lire. Enfin, de méme que celui qui se destine 4 Ia dcelamation doit frequenter les thé et profiter des exemples que lui dounent les meilleurs acteurs; de meme aus musicien doit, autant que possible, écouter sousent les instrumentistes les plus eéléhres et les chanteurs les plus en renom, afin de former sur eux son got ct son style. Mais il ya ici une erreur a évite: iste & confondre ct cette erreur est celle qui souvent Ia vogue avec Ia reputation: celle-ci s’augmente sans cesse , parce que les vrais connaisseurs sur le suffrage desquels elle s’établit, sont aussi dans leurs critiques que mesurés dans leurs éloges, et que l'artisto sait profiterdes ire, s'affaiblit ct tombebientat,par unes, et apprécier les autres, La vague, au co cequiellen'est basce le plus sourent,que surune circonstance fortuite,un engouement3 > ww Ww vy i us ir un modele du publie,la mode, Ie goiit du jour. Sidone,un jeune artiste veut se ch chanteurs ou les instrumentistes renommeés, qu'il se gardede faire son choix au parm hasard yet avant que son goat soit forme; qu'il ne se laisse pas seiluire par le plaisir mime quil peut ressentir, et qu'il wit partageraus autres:les applaudissemens inconsi- une fois gate les artistes les plus dignes, nt déres de la flatteric ou deTignorance ont plus iors de certai ds, ont encheri ailleurs, de servir de modéles, et qui, se és de quely sur Les cearts qui les eur avaient procur seurs sinceres, valent sousent mieut pour Vartiste, que les milliers de braves qui font plus va On wvequ in la méritant par un talent vevizet ce talent ne peut t dans Ta bonne atee que le fr des et de ref lévions qui nous fixent tlle voie, que rien ne puisse nous en faire drvier ARTICLE DE LA TIMIDITE,OU DE LA WEELANCE DESOFMEME, Dans PExéeution en public. trumens a vent loin de santé,paraissait Now! avons deja dit que Tusa of nent que lee paumons doin + en etait nodere, Kin effet: on concesrs naturel - lai 4 I tinuel de dilatation ct de ress erable Luesque Vever par Verercien pre: querir plue de ent auquel d'xilleurs is Shabituent sans peine, hes de Vhomine: celui qui est areou- me de toutes Les Hen est de ces les bras plas nervous: le dansenret te soldat ont ta a pens licnatioa. snais coque Ie travail et Pexer- dle plusieurs m jswit par ede quelques artistes, sentiment sur Leyuel ne Vont pas Lado elle se laisse pie ct récite.ne connait pas Tacrainte; we sentant que par autrui, eile du mai laisse rien entreprendre qui ne Is -dessus de ses ignore le danger, ot © augmente ses lorsque les travaux solitaires, et quelques .que nous voulons sourent cessé pont nows,ct ques sans songer alors que toute indulgence «dese aux jugemens séveres des vrais connaisseu sommes exp, (G22)tédes ignorans, aux critiques améres de quelques cnsicu 4! paraitre devant ces différens juges, et surtout, lorsqu'enfin nous s au wu w yeux, lavive émotion don. stempare de nous, paralyse nos moyens au point de aer Vapparence de la meédiocrité. Cette épreuve, plusieurs fois ren sulfit pour ster si, tant quion ne se sent pas 1s ow Ia tran = w quillité nécessuire pour se rendre maitre de soi ef deses sensations, on nedoit jouer que des morceau dont on o’ait rien & redouter,quant a Ia dilficulte: comme le. ws quinfaillible, les encourugemens qu'on recoit augmentent la confiance, ct Pon se sent w nce qui ne sait que singer, Les petits prodiges meme: ‘s tels, nous semblent devoir causer ms s dont Ia ns de surprise que de tristes turite est forece, ont per saveun, 1) ARTICLE 9. _ DEL ACCOMPAGNEMENT SIMPLE ET OBLIG! 4 Les Musiviens qui n'ont pas an vif’ amour de Va) tent que faiblement les sensations qu'il fait éprow is un talent distin: emble 4 4 comme dans les plus simples détails: Vrais instrume ssort, sans : en avoir la régularité ils en ont toutela froideur et la monotonic; mais cou quisentent ? vivement, qui ¢prouvent pour tout cr qui est beau,ee transportyect enthousiasine qui - caflamme les srais artistes, mettent du soingde lavie,de ln chaleur dans Irs moind res 3 ails; surtout Loreqy vraiment utile & Veffet général, ou A des intentions particuli¢res.On est touje 4 pable de se negtiger dans les accompagnemens, quelle que soit leur simplie Vest bien plus de les changer, de les transformer en charge, par une expression exa ~ 3 gérée, on pardes agrémens dun goat suranné: e’est manquer au public et 3 so VExécutant ert A lorchestre pour remplir un devoir Vaccomplissement dur! ) doit trouver sa propre satisfaction,ainsi que par iéredoat il sen acy s (0) Foes exceptions soot trop rares poor qudies prisent Actraine natre ob > tone les tems a prowve gar Artiste ne parvient 3 Vapose de son taleot 1 reste stationnaice plas on maine longtems, elon Ix farer physique dont il est done 5 expression, en sentiment, er qu'il perd en moyeus descent 2) On ae manyae pas sins a1 prblic, en Faint 5 Cention de préledes'yai le Fatigue, Fahe : stdeat, et sTamnsent qne cons doat let arriline peaveat supporter ae parville eacaphonie.Ces pre " Indes otent & Ia masiqne ane partic de ton effet, et Vuaiitenr le plaisir de le sarprise, pai 4 (BAZ 4ww ww w Ww w a2 « nous est donnée, par le public, que sur ce qui le Frappe: 2 La eps sibien que sur celles nos confréres nous jugent sur les choses les plus cachées, a ant Ie plus en évidence. Mont nous citent a aos contemporains ou 3 nos successeurs, soit di ous done jaloux de mériter leurs sulfrages surtous les pointsafin quits 3 un rapprocheie ut he in reprache indirect pour les autres. norable pour les uns, soit comme D: quils romplissent le dans son aime Le sentiment dont eur, ] oli Pon est; quils frappent, ctonnent,entraincnt Vauditeur, v PP’ gic des sons se fa ‘auteur a voulu qu'elle fit pén ct Fasse pa Dans Vaccompagnement des voir ou des instrumens,ou contraire, quiils s'ad assex pour soutenir les uncs ct les autres,pas assez pour qu'on paraisse les abandonner. tee quils se marient aux autres soia, et quils soient san due, us js plus qu’elles. Ce mélange est quelque trie, desiennent Une ex iv se sacrifier tin une rearremuine ih crait, sans contredit lention ow pour se rendee a sontour n des Quintetti de M, Redhe pour Fli née schols Veu Nous erayons que la derniére serait utiloment remplie par Vétude de ces ousrase ient Vhabitude de cette m pour les Cors qui comm + les modulations, tout en comptant an nombre de pauses: plus uelles ils rentrent,3 leur doivent rapporter lee notes par out elles font partic, Ce n'est pas assez A'#tre bon al de tous les memens june ution soutenue jan ea ude du dégec de pression convenshl nde tel ou tel sonsur un ton queleoni La natured Conet lan vue de Texceutant devient pone Ty are dont sa musique est cerite, note qui est ton. Hann son different sur chaqueton, nt qu eutenda les premicres notes de lOnvertaee onde la Symphonic. Zaceord 0 Indes soli pos rev qae les ¢saltats.Quelynes pi ssenrer Vaccord ave inet Aonnerde la sonplesseans 1+ devant le public, si vias sone essiyer de noneean, soit par auese- ont ne poner que Vennayer ot Toi paraitee ridicales + partivde cette musigne ar peat étre exéentée que par en Cor-baste, (32.2084 ARTICLE 10, DU CONCEKTO. ‘Tous les genres de composition.et tous les caractéres de musique trailés sur lesins- tle Con. eillement sur te Cor, Ai trumens & cordes ou i vent. Font ste p certo,le duo et In concertante, le trio, Le quatuor, le quintetteetecant re + Cons: les di rens styles lui sont également propres, pas dela nature de instrumentye'estirdire que le mouvement le du Maestose, wt notes sa) ceution. aor la gravil a Allegro, le ‘brillant canes légireté du tes, pone la solennité du C: an Cor son chant ren aver les tans san Solo, s prop] Quelques personnes critiquent Le Concerto sur le Cor, dont I sdisenteelles, est uniquement dechanter,ct non de faire des traits. Le peu de ressources de Vins - trument est mis en avant.comme raison convaincants, par ces juges un peu exclusifs, nt pas Foutes Les res t jamais pratiqué le Cor,non seulement nen co ‘font le parti que Vexéeutant habile pei Hirer smais cacore ne pensent p: des plus faibles moyens, Sion les en croyait, le Cor serait réduit aux morceaus puse ment chantans: i emens du Cantabile avec grice pour exccuter les simples les diff ‘gbreté,le fini qu'il exige, il précision, nettete, il fiut avoir ultés attachdes a des passages plusy pour jouer le Rondeau avce le brillant la ut 88 re longtems cxereé sur des études dun mouvement plus rapide encore, Ainsiil fautr de toute ndcessité, s'exereer sur des traits qui passent nous conduire aux résull crigés dans les chants dedivers caractéres ct mouvemens, ct s'interdire ensuite,en pul Cest-A-dire, supprimer presque tous les genres de musique sur le Carzse borer, Vexceution des morceaur oit les traits sont dun usage habituel et permis: enfin, la simple période, dans le mouvement lent ou modéré, An lien de snisre de tels avis.on demandera In permission de faire observer que le Concerta est, pour Vinstrumentiste,ce que lariette de bravoure est pour le chanteur Et quiest-ce que Variette de bravoure,si non une espiee de Concerto pour la voix sont-ils pas dobligation Les traits les plus difficiles que la voix puisse faire, dans ces’ morceaux ; et leur effet, quand ils sont exéeutés convenablement ne font ils BUZI2we BS GF we w& we Ww & 425 u ne sont-ils pas,pour lui,un plaisir de plusy (y ipejon peut se croire antorisé a adapterquelques trais aux ant d’effet,feront autant de plaisir sur le Cor,quc sur tout autre inst re admis, lorsqu'an Liew de Te hérisser de teen port avee In melodic; lorsque ces traits, conf -eécution, nerigerant point trop deffarts de apart de Verto Ja possibilit Torsqu'enfin les twa’ de ces morceaur, s’enchainant naturellement aux solo, ou les a mesurce, fal ant avce art, ils n'auront plus cette lon: trument pour lequel i se,quian Tear donne depuis si longtems,quelque s composes: cost celui qui se présente, qui se sépare deses confieres pour se met ~ est celui 3 surtout qui onie d Haydn, c concertant de evs prnprrs tutti stil Les reut entendre, tre en évidenee, comme partic princip: ct non un orchest re entier qui vient dexéenter ane symy une ouvestu- it ensuite eer: re de Mozart ef qu prolonge auedeli dun terme raisonnabl IL sem| que Vorchestre devrait étre encore, Végard de Vinstrumentistece qu'il Aedire,ne faire que des ritournelle ed du chantew est a soit pour annem cor le morceau, soit pour reposer un instant celai qui lexccute Dans le Ci blic des dons qu'il a regus dela nature, de crto,comme dans Vair de bravoure,le virtuose se promet de faire jouir le pes par les résultats d'un travail longet pénible. Le Concerto est enfin le morecan le plus varié que ce virtuose ‘s bien distine puisse offrie au public, parce quill presente tro n mouvement modéré, grave ou majestuene, Pexéeutant premicr, ordinairement fait voir Métendue de son instrument, la beauté de ses sons,ta f1évibilité de ses mayens dane le Cantabile, 1 es chants; duns le Rondean,eafin,il fait Tcherche a é wwoir par In douccur de ses sons, Pexpression q le sentiment quil répand da otion tendre ow religicuse, quill a fait naitrewune joie vive et pure, par des aceens brillans, legers et gracieus. les traits de diffieultéa ao conviewneat point aa Cor, ils ae couviensent pas plus aes voix seepradaat gue Von sapprime V’Air de bravoare et Tart da chant potrray: perdsehensoonp. Quelgues chantenrs abaseat do lear fcilité poor entasser Tes difficalté; ils ont tort sans donte: mai cons qni se Irs interdiseat totalement, meme dans les morceans de concert , ae poarraieat went en danner dante raison que lear paressovon lenrs Fxcnltés borates. a (32.IL est difficile sans doute, de réw poster 98 grave aw douse, du plactant au a La nature accorde rarement toutes ses f assidu, par-une grande perscicrance, beaucoup de_ré t surtout se juger scrérement aoi-méme, ou recevoir avec soumission Is de experience, on carrige bien des défauts,on supplce, pour biendes eho. ses Ta nature L’Ariette de braveure as: went In varicté du Concerto, quoig: Ie a, de-plus, le recitatif, a La musique s succes. On ne sait pout signifier di atif’ sans parole copendant, ily a tant et mesure, accompagné le plus souvent diun éremol».qui peut trouser place s le courant dun morceau, mais non comme introductio Dn pea! deren le re atif' de ce genre, comme une espe de prosnpapée m st celui dont se servent les compositeurs pour exprimer eclte. figure parce quil of nt tout dire, nedit en une coupe hermaphrodite, bisarer, si Tet rien de bon.Les dewy premiers caract ant nidéveloppement ni termi ne voulu lui dire, ou pourquoi Von s'est arrété a Vinstant of Fon conmen- Vinténesser: copes aractore, Vauditear est encore insporte dans une sphere toute noure jen son commencement son deen me trompe déja c une ombre de degoit sur tont Ie reste: on eraintencore les surprises, Von se mefie.et cela nuit a Verceatant et A ia compasition. On a voulu Vereuser sur ce que trois marceaus séparcs claient trap longs pour les instrumens & vent,qui ant moins de cesson caries. Ne peut- on pas donner moins de développement co rave cissement, sans dter lunité a La composition, ao diminucrait-il pas en meme temps. 5 P o P P Ia fatigue de Pexceutant? Le public francais, qui ne veut pas que l'on fire troplongtems son attention sur tne méme chose, trouyera toujours moins longs trois morceaux spares, que trois enchainés.On aime & re ses réflézions,ses observations sur ce quien entend; et (32.79w www ww ww wo w 3 wa Ww Ww > 125 ent Les faire apres le troisitme caractére des Concerto 3 Ia mode? on ne se souvient plus que du dernier: st sur celui-li seulement quinn raisonne. Nous arons yet nous en faisons, solontiers, amende honorable. blicavecuaConcerta de trais morceauy s¢- avec cour de trois caracteres ench Cordes sole dans bao ape des grands airs de chants nos ‘s chacun de trois. s. présentent des morceane de ce coupe diferente. I etiste d utres coupe: ct leurs ritonrnelles, arrangées avre act pour Morchestre, pour~ ient leur faire tenir Liew de Concerto, Le Concerto et Vain vari¢ dont il sera parle dansun articles par Fevccutant, par celui qui cennait Ly pratize dmn instrament,autant que est important pour le compasiteur darquérir ane certaine eon jisme des inst ns quill emploie, il ae Fest pas m nspour Var qui veut comp lui donaers er san sique de concert dctudier une science qu Vinevprimable avant ge de jouer see pro m0) ARTICLE 1, DU POINT OK ! DE LE IMPROFISATION, Autretois Ls fin da premier mo se ne pou passer du Pointdiorguesles ins! ise perd de plus en plus parmi les instru pour p nent,que Ton s'oceups tres; Ton el te de Punto. Le ren trop pew dese ide point do que V’Artiste,que Von suppose inspi Ce que Yon peut £ ns Ta rer, musique g) dans er moment, soit le maitre de se Li- ns, ot dimproviser ses pensées Ces inspirati improvisations, sont souvent de longue date, ont n vélléchies, bien élabo mais ecla importe pew au public, pourvu qu'on lai Rete done aussi longtems quill sous pla 4 votre paint d'orgue;eopier le turellemen| morcean,s%il wen fait pa nalgré Vespece de désordre apparent quion peut y pandres si en evilest habilement exéenté, et quian y trouve, tour-a-tour, Pexpression, In chaleur, a ligdroteé, sous Stes assuré du succes, (32.2)woe ow eee ww ww Ww ) Ww 3 * ag) 426 lus ’Artiste habile doit savoir en profiter, sans cependant Adpasser une certaine durée de ter Plus Vinstrament offre de ressources pour ce genre d'exerei La mesure et le rythme étant bannis de cette improvisation. nent plus de Iatitu 4 Veadeutant, qui peat a son gré, changer Ia valeur des notes, s'arréter un momen ne phrase de chant tire du morceau. précipiter ensuite donnant plus de large traits qui, s'ils y 2 goiltes nt quelque rapport. n'en seront que m un court Un point dorgue ment pour étre une espace de variante du mo: résumé, nen est que plus agréable. On voit que cest du point dorgue final quill est question ici; mais quant & celui qui coupe un morerau Te point darret ou de suspensi regu quelques développem tendee sur des i ct qui vont en receroir de nouveaur apres 16 point -durgue. se fait sur Vaveord parfait tonique.dans son dernier re Le point-d'orgue fi Te non nce. I] se ter: versement: aussi oa par Ietrille sur Ir second dela gamme, ct la note qui precede ce trille peut étre la tonique, lam: la domina Exemple et Indication. ‘autre des sons de ces aes it sur la de t peut part Le point d'areét ou de suspension,se nate du ch: cords, Le point de repos qui se fait aussi sur la demirante, se ninante portant 3 ou septiome dominante quetinis 3 Ia it fort wurt.On simple mise de son, ou au trille sur cette Vindique ainsi qu'il suit: Gawme Majeare on Miseare “ln quateitme et Ton pose le sonavant de commencer le trille. On peut moduler a plaisir dan les deux premitres espdees Ae paint dorgues ris les it faut que ces inndulations, pureinent_méladiques ,suient lies entevell loix harmoniques les plus pures: ces deux termes n'impliquent point contradiction, puisque cest,comme on sait, par le mayen des accords brisés que Von peal moduler surles instrumens a vent. L cule condition expresse du point dlorgne des chantewrs,est dele Faire d's respiration ce qui empéche quils ne soient trop longs; mais sur les instram 62.7)w, Ww |w Ww wW = 2 eae (37, de toutes les ressources de son babi. et & cordes surtout, ou l'on peut user a le lete et de son ion Von sent bien qu'une seule respiration serait aussi in - magi suffisante dans les uns,qu'un seul déployement d’archet dans les autres, Le Cor. Alto peut imiter Ie chanteur,ou se guider daprés lui pour te genre du point Aorgue qui lui convient, Le Cor-basse ayant une plus grande ctendue & parcourir, si plus de ressources, et 6’ Ie cay de les employer. I est difficile d'éerire ces sortes d'improsisations, attendu que Vespece de désordre quiony,met Ste tout inouvement régulier a ensemble aussi bien qu’aus détails. Les différentes valeurs des notes, ainsi que Vindication des nuances et des articulations, uu mouvement ct a la mesure. peuvent seules suppléer Voici quelques traits propres aus différens points-d ous les dennons comme idée de ce que le Cor peut faire en ce genre, et non pour quin les emploie, a vaut an s ne puissent se rapporter au caractére.a Vesprit,au style du morceau; mais il sedans tous les eas.donner du sien que de s'exposer & rendre mal Les pensées d'autrui. A MPLE De Points -finals,d'Arrét et de Suspension, POINTS Donel Sur des Demi - cadences, et sur des Cadences - finales Sur des Demi-Cadences, CoeeAlto vee Mi bon Fa. ines pone gm WO 2cerrvecia ts i tin, (53.7)wwe wiw was Pour Corcalto et Cor-basse — es Mitardente = Feseenraeareaaeas a SS ere eee rimignesl” ecaedil Ereerl Canto. Been Say EE Lente. = Indication, | Za. Elodivationde ce pint derdt,°% x sevoit 4 VAdagio dn 2° Quattor Favoride Puato opi 14 aera Tae Tadioalion de point Ora poar Cor-allos et dr eels « (32.4 Car basse.w ye 4129 Le Peceddent pour Curb ww wu w vw & Ww we Se [as tee > SSS SS SS SL’> aeueewewe Ww ww av we es ee Ww Ww 5 "450 ARTICLE DU THEME VAKIE. Cor, le moins usité est le théme Te tous les caractéres qu'on a traités sur le tant 4 cause du peu de ressources que présente Vinstrument , pour des ¥ par Fignorance oit sont beaucoup d'exécutans qui composent eux m © mettent & Lei dispo miclodie et Pharm des mayens que 1 tantes; et Pon s: ff aur seule Cor se trouse & peu pris. restec inns qu { que le chanteur rae ou brode sa melodic, plutst q ifient ici: Je-taina prartivulives of suivt réellement des variations qui sig) Bonnes aus dessins yenirans Ju thine el me not ce genre dee Sans parler du Piano, si favorable corde aigue et les cordes inte celles ont 1a corde Li double corde les mettent de Caine entendre lefméme théme ou ses ¥ [érens, provenant de ladillérence des Tadouble niques pla moniquos, ot les arpages. Ces avantages ri tinns dans trois games tare Pune de Vautre soit par les arpages, E. propos, leur procureat Wautres mayens te varier leurs théme Les instrumens i vent, ot A do Tune de V tenant gueres que deuy-gammes 3 Moy dans lnsquelles ile puiscent répeter le chant on ses varidtes: Peg ser dans toute Métendue de Tinstrument nelenr donne qu'un seul timbre “difference entre Les sons graves et aii ir compte. is ectte partiede Vinstrament n'est propre q aurait peu de grace sur ces cordes graves de instrument, Kafinle Cor, qui ne peut changer de timbre quien changeant de ton, reourin, a ves qui lui manquent et des sons jelles dun mode. Cest pourquoi,un dessin pris ne peut pas toujours 2 nsi que dans Ie chant, qulun wrnemes n proprement dite. strument, de 1 ne soit,le plus souvent , une brode jon de jie,et nm I est done plus difficile pour le Cor,que pour tout aut poser, ou plas rare de trouser un chant qui se préte a des wi suiviquoique ce de: une amplific m tions de distincts, et bien caractérisés. nmes majeures des premier, quatritme ct cinquiéme deg médiaires du Cor, sont plus propicrs an théme vari¢, parce que ee . En outre, les deux promicres Les sede chacun des tons inted ns de sons facti offrent Vem basse Vemploi de La tonique ef de la domi turels dans le grare,ce qui est & considérer,principalement dans ce genre de composition, e essayres,quoiqulles celles q permettent au Co Les gammes mincures des 1°32 et 62 dégrés pourraient J reprise, ou lesson présentent dussex des diffienltés, surtout a (32.202wa |e ue wa 3 pane 134 ‘ona Vadresse ns le grave, se tronvent souvent plus multi Ie bonheur de les éviter sFarement le peat on dans les Les périndes musicales composes pour le Cor, ne doivent que Ia presi sinsiun theme 2 quit ls premire: ear, riations, Gtretrop longues, parce nglems soutenue, de lembouchure sur les Ierres,les fatigue bientdt: rier, presentant une périnde complete, dont chaque reprise contiendrait mesures, pourrail paraitre long.sile mouvement etait tres modére, et surtout, sion les reprises. que Techaat dun théme étant compose de Fagan que son principal dessin teadu dunsles deut parties, on pourrait se dispenser de toute aul re sure, peut asnirliew de cette fagon; mais il ne faut paslerendre ‘il i res que dense memes moins Fatiguant,ct de in nombre rtes renteées aut demic vari Une ritourneli« ap nees,en procurant at. encoreles Fatigues de VExceVarié par la Www aaa ww Ww ew we Ww ww @ w Ww % wi! Nn DONG reg feo TtVarié par le Staccato.ww jw a ow ow & wu! wwD ) we (G) fe ESL ete:Ww wD w wa Ww Ww w w Ww Ww Observat' tre congue de maniere qu'elle ruppelle successive ~ we ww des variations précédentes. syncopes, anticipations, accords brisés, etc, de Ia FS | = pre | Jont nous ne donnons que quatre mesures safin de lnisser & 1’ Eleve, — t de continuer ces nouveaux dessins en se conformant a lesprit du Théie, ’ ue celle-ci puisse éprouver, par fois, quelques légers chan - gemens ang les notes principales de la mélodie doivent toujours = ouroir s'ada > " E (32.2) _ = =@ & w& Ww ¢ Ww wa © w& Ai) Accords. brisé. oeWw wa Ww, w = > Gg & @ G a Les des 1 quien va voir, Jun dans la Gamme Majeure du 4 dégré, Ventre dans celle ¢ sont que brodes dans Vespece de Variation qui les suit.De reri- tables y s,de 'eapice des précédentes, paraissent difficiles sur-ces'Thémes, q semblent peu se préter aux amplifications: cependant, nous nous sommes convaincus, on pourrait y adapter des dessins intéressans. ‘Théme dans 1a Gamine Majoure du 5¢ Dégré. Andante, Contacee en Mab pe = 439 blis page 44,rondront bien considérer que cist le ton de Mi b qui t que le ton de Mi §, et tout celui de ins Patigu: : eependant, le ton de Mid étant un peu grave, miliers au CorAlto, permet davantage les lo et cette gamme présent: nous lui conseillons de se servir du ton de Fa pour ce Théme: c'est poser en Ut Mayw ww ww wa @) Ato. Poco pit Vivo ¥atistion.ou Broderie sur le ‘Théme. préeédent Cor-Alto cor. titte vag Pe Andante. ee3 ww ww w w G Ww w@ _ Le méme Théme brodé. Mosimente Steule : s ARTICLE 45. DE LA MUSIQUE DECOR 4 PL. ‘SIECHS PARTIES. Dn Duo Les pre de Cor a’ ‘comme on Ta vu.que de veritables Fanfares, ow q Tarchmide ourdeux Cors, quoique sequels les sons seuls usités. Depu et Palaar wont pas donne dante quils ont compe: ede c les sons factices y soient emplayés:leur musiqh sere ne méritait pas en eflet Te nom de Duo. trois reeueils quils ont mis an jon quante fanfares, on trouve ufile au Cor-basse, seulement. On s‘apperg crifiait son talent i autre, dumoins dans ‘cette ant les traits saillans du basse, et y joi un chant quine roule que sur les accords parfaits de tonique et de domi et an Cor quels chants! quelle mélodie! Si par fois le Cor-basse per- to dese donner carriére,celui-ci en abuse aussitst pour mettre en ss plus aigus de V’instrament, t étre employés que dans le up cites, faisaient le méme abus de sur musique en fourait In preuve, (32.702awa w 442 ede ces morceaux 4) wa Yexception dune den pourraient en parter le nombre it trente, zi] en est peu prés w duo sont des airs arrang ne Va pas caché, comme on peut le voir sur les nombre soit entigrement de sa composition. M. K cntendrele premier en france, ce genre de musique, dun si bel eff ca tons semblables, Chaque Duo ct Trio pris isolément ctant de courte durce, est, = cela n dont les facultés nent pas 6 c, propre aus commeng: eden doit lee caur de longue halein loppement: mais, plus go du Cor, queces mena. gemens apporté: jes morceauy dont Ie peu de développen le Quatuarset tout dans le Concert < ritournelles Basses,oudiun orchestre entien, x cutendues que la partie principale; et que Ton reprach: le Cor, + phrases exigues, set leurs mauvaises coupes de musique, sans Vinstrument Plus dun parla pratique, Devienne et I, Kercha wont jai is jon de fail des Trio. Le mérite te ces deux Artistes, comme compo inais ils ont également «sous Ie rapport du mei aires des excoutans, Puisse mien & son effet, ainsi qu’ qui convient 4 mayens ord Etre suivi un jour par les habiles compo leur exempl pour les autres, instrumens A vent, qui ont si pew non seulement pour le Cor, 1 de bonne musique. pour Coralto ct Cor-basse, ainsi que In Tri oeurre 13, Le Duo, tire de Voeuvre 4: pour deux Cors-alto et un Cor-busse(de notre composition), font voir que cet ins - trument,comparé A la voix, peut recevoir toutes les variéts A du chant. Enfin, le Sextuor ayant été traite, rica a'empeche que le Quatuor of Ie Quintello de composition, en y joignant Vorchestre,comme on le fait 4 Téga ne le soient parcillement, et que tout t.siTon wen peat trouver Jes coupes du ch de nouvelles,ne se reproduisent sur le quills svient Dor, Quant aux range tirés de Ta musique vocale ou instrumentale,on ne saurait encourager ce genre: andra toujours micu ehercher ot donner du neuf.que de répéter sur Ie Cor, pais te, ensuite sur la Clurinette.er qui a éé composé pour Ta voix du pour "(aanww wm Ww, w wb 3 ( Symphonies Quintet rent les traits des Viol. sk vent Fonts Je Te pe es arrangées pour deus [lites; mais les Artistes seuls font justice de ces ccherehent quelques jeunes amateurs, moins guides en cela par leur forme, que par les mailres peu difficiles qui les enseignent. ARTICLE 14, ESSENTIELLES DUN BON EXECUTANT. tout animer dans les arts, Indep nent of dela chaleurqui doive trois chases pri ipales deviennent indispensables pour rendre convenablement le phrirser, Donner Ie ta cortlour.motire dn styles. Inrepos, afin de les observer, de qui ind props. usique queleonque, Le : cest placer, avec discernement , curs liaisons leurs oppositions, Mostra du aryl eveat employer articulations, avee ce cel prononer Vos une ot les aute +.placees i propos, dans lavaleurdes notes u dans leur dégee jon, cintribuent encare ausryle ot La coburn ture accorde ou re~ me il n'est pas possible de Les anali st pas davantage do les re Aéveloppemens su La phrose, La couleur et le atyh donner des Fi bornerons done & quelques duire en p » musique, De la Phrase Musicale. par rhythmes de 2, de 3,de 4, de 8,de 6, de7 se div ct ces rhythmes s tent ou stentrelacent syméteiquement, rangement de mots qui aprement dit la phrase est un plus ow moins complett phrase musicale est atanl un ouplusicurs dessins,qui forment une idée plus I serait aisé-de sen ~ des points, i des (BR Zoewe we wwe & we ww = > @ =] bien déterminés que par les diff Ce sont done ces cadences quil est important de sentir,p -respirat une respiration entire, ou seulement une d En comparant toujours le disc rhythme, on peut dire pidees de sers & cause de Leu au pone: la Demi cadenre. au point et virgulee: Ne quart -De- cillement, le moyen d'exprimer les points Le Compositeur ap ts,dans ccs repos exclamation. Lon pourrait méme voir Les dex poi i semblent étre rs phe explicatives on poines Darree, suivis dune on de plu des précedentes et comme lear complement. es dite re hi repost 5: e ainsi qui fant ou en voc: faire en sol ego aver les ur ~ Mais. connaitre les repos ct les obserser; employer les note ticulations qui leur convicnnent,ce n'est pas encore assez: il faut comme nous Vavens dit_précédemment , pour bien placer les articulations, savoir distinguer Le corps du ainsi, dlavec | la mélodie ave, si Ton pent svexpr id de In pense chant le ‘autant miewx,, que ces derniers tes de passage et les agrémens de la musique vent souvent en notes ordinaires. Le Compositeur, sans doute,congait en méine temps Ia forme et Te fond, le dessin cessoires qui lembellicsent. II n'est Je Peintre qui t de les hahilleret de leurdonner le coloris. O doit Le Gain principal et le trait, qui ddessine ses figures ne Fait paint le Compositeur, Never . quil dépouille, par la pensée, las orne jens dont La crst-a-diri éladie est pi de distinguer ce quelle tient dela nature et ce quelle empen t; puisque par ce mayen quil sait placer & propos les articulations, les ion lui fournit pour embellir encore le chant « varict que son imagin Gomme cette opération, purement intellectuelle,tient au goit et sical, elle profite du discernement de vive comme toute pensée, dés.que Vexécutant a pour i articulation qui devient presque générale pour ces mores tradition de tion dont anne que certains caractéres ont en quelque face Musette, le carte guére: tels sont les marches militaires 1s Pastora x, comme. Polonaise, Bolero, rs nation:3 oe & & 3 —] 3 w 3 145 Mais endivisant In musique par caracteres, on en anrail une trop grande quantite, Hours rent Jes autres. est done plus simpl= de Indie viser en quatre mouvemens He Lanele Majuatons Je Grarioucet le vif Alors ser en principes ce qui suit: Plat le mouvement it Lent, plit les sons Doivent entree; plus Dott viet plus on sévarte Iu vitts obligation, Mais on par fiaiion des sons.ce quien nomme rouké dans les artion- curs notes peurent étre frappées de suite, mais avec tant de doucear, une tellement wv que ces nutes paraitront presque likes ensemble, Cor.dant lessons ont plus de tonuite que ceux des autres instru- le mouvement vif, on peat lier et Frapper alternativement les no- Jon peut entendre par biatton le vould qui de gazner de vitesse, de faciliter,en un mot, Te~ ‘os le cont plus séchement n'ont pas toute leur aceution. Dans eee i nigres de celles qu'on Tie. me. Hen est de mémedes der- sardeal p De la Couleur Toute musique est trist jestucuce ow naive, martiale on pathctique, ote ses.on n'en étre que des modifications. plusieurs de ces ge Elle peut aussi es co point assujetti, {ce qui se snit duns fa musique instrumentale oi le Compusitenr Ane peindre qu'an sentiment ,i ne tracer quian earactire, Fle poste, qui tour Les uns ef Les auters, Ces pourque t point con - ent que du vague et du désor moins leurs by ble. Je principal actere d'un moree: arier ses tons,ses ex ~ trancher pardes oppssitions,que Ie musicien dre A Sidentilier avce le Compositeur, a deviner Ses inten - doi tie plusicurs manidres de Jement On entend dire musiqu coll assertion peut étre juste par rapport & ces compositions Fiantes ou désardonnees,ct qui a’offrent comme dit Boileau, qune t remarquer, 4 chaque Végard a L3ve bien determing, bien s les a nt les idées savamment tres, offrent dans leurGuuUueuUwWuU ee Geag@ @ G@ @ @ | GG G (a! 146° Pour cette musique, il w'y a quune seule exéeution parce quill ny a qu'une m nidre. d'etre vrai, Cest pourquoi un talent vrai est me eo composition; c'est pourquoi lon jouc toujours m des autres; ct que sur trois ou qu: tic, un seul Temportera sur la maniere de rendre Ia m re musiciens égalen Wauteui. (9) teint Le plus haut d Enfin, cest pourquoi les arts rétrogradent , apres de perfection possible, jusqu's, ce.quil vienne des h ture du sentiment des beaur arts, et perdue, Crest la vérité. qui sucetde & Verreur, la infertilite de Vh du printems & Du Style. fexce uLe Style, dit LL Rousseau, est un caractére distinetil' de «Ce caractere varie selon les pays, le goit des peuples, Ton a le s\ ales matires, les lieux, les temps les sujets,les expressions ete. Ain mand, le style italien, le style francais. Chaque musique a son style, selon q sala Iadestine 3 elise, au theatre ou ile donne son nnm au style de ses com Enfin le Compositeur hi ila besoin dexéeutans, et ceus-ci ont leur styl selon le caractére partic mouvement la nature des idées, la forme des dessins , la si len sicien donne, non seulement Le Style d'exccution est, enfin, Ia couleur q: ax plus Atout un morceau, mais encore aus dif ties dont ilee compose, intentions, ou les faire pressentir par les signes L Auteur ne peut qu'indiquer se eationnels des mouyemens et des nuances. Ciest dei rendre propres par l'exdeution, qui est, comme nous 1 se les dire, avec Auteur ct ses ouvi ‘fier, pour ai ons deja dit ane expéce de création. Les mouvemens ne déterminent pas toujours le caractére, Vesprit, le style morceau; pour peu, surtout .que ces mouvemens aint quelque analogie, comme Largo, Cantabile, Adagio; An n'est pas moins untort,a quelques comuositeurs, de ne pas mettre tino, Grazioso; Allegro,Vivace, Presto, C des moreeaux anxquels, daillears, ils donnent un titre particulier qui indique Teur ay on dévient nue nouvelle eréation qui Vassncie a Le Ae Bacehériai, son excen 1 Baillot exéonte les Qnat 00 de Rrethoven’ Wes Quinkelti de Morar on ivineet semble Vélever 3 Tene hanterr. (32.204‘a yh ouuEewd@b be uw ww uw Ww ewe wv wv ww a! a tire propre, tel que Marche, Menuet, Pastorale, Pe che Militaire différe essentiellement dela marche reli Menuet de Symphonie est vif, celui de Cour ou de Bal est lent ct gracieas: on les Menucts d’Exaudet de Ficher et de Grétry. qui.dans 'Oratorio d’'Haydn, annonce la création des troupeaurest d'un caractére opposé a celle qui sert de Ron 1u3¢ Concerto de Piano de Steibelt, PP se nom de FOr: Mest done indispensable de joindre les mots italiens ,indiquant les mouvemens,aus noms ci-dessus; mais les termes italiens, bien quin puisse les modifier les uns par les autres, ne donnent pas toujours Ie mourement intentionnel et précis du Compo- siteur; ct Texactitude La plus serupuleuse, en cela, ne peut s'obtenir que parle moyen du Metronome de Maelzel. On doit méme regrétter que ce regulateur soit venu si tard: les bons ouvrages restent: mais les hommes passent et leurs traditio Dans In musique voeale.les parole ical Je Chanteury mais dans ice sentiment est un peu vague, puisque les paroles ac peuvent plus lui servir ine de comparais se perdent, ent m jsintes dent encore neat sujet donner dun morceau de musique queleonque, trop ou trop mouvement: de la, une te de l'Auteur, ur faussejune expression vicieuse,enfin des inten- pew tions contraires 4 6 jogie, quel est Ie style ou Ia couleur des morceaux de musique preci de Vindication de leur caractére propre et t principal, tels que ceux dont il a cté question précédemment. Certains termes italiens, comme Lanentabile,! Ufetuoto,dyitata ete, donnent encore des indivationsde ce genres mais ceux quine ser . deviennent souvent insu indiquer le mousen app: dessins principauy du motif, & leurs nuances i ans,pour reconnaitrele tien aun morceau, si lon n'a point égard ala mesure,au mode, aux n conside ant du mouvement vrai Cest done # toutes ces choses ainsi quien s'as: ur, son caractére, son style, 150 sla nuinee , Varticulation Vexpression qui les font ae dans lequel Jesuns_ et les autres s i-plus que le Pique. traits, aux agrémens, auy brod Ie mieux valoir, selon Ie earactére de im Par exemple,lo Coulé a plus de: La nuance du Dour au Fort a deLonctio quand elle est brusqu Chaque caractire, enfin,a son genre de grice, q est peut étre moins difficile de choisir les nuan co que le Pointe,et celui nuancecontraire a quelywaprete, surtout it tous d est Ia plus geal celle qui les re fant savoir distinguers onssles age les contrastes propres i tel on tel earactire,que de saroir les amalgamer, les fondre adroitement et i propos; en user sans en abuse le faut: cest le type dian rare talent,joint & Le goat ,lagrace le sentiment.sont de aux autres: Thomme Froid anx sen s quiune machine d reusement desting & Verercice de ect celui qui se sentira virement ému en entendant les chefs-dveurre de rs anciens ct modernes, s'élévera certainement au-dessus de ses cont ra avec les plus e¢lébres d’entrenx. ARTICLE 46. DE EXPRESSION ET DU MANIEME ne sensible,le con- fansse ou facticezet Thomme de g Leexprossion est ¥r8 Si expression est vraie,l’Auditeur ne tarde naisscur ne s'y méprennent jama A partager vos propres sensations; ce que vous exprimez,il Je sent p: At enfin,il_ne fait plusarce vous bien semble méme, quill le reproduirait au besoi Vexpression est seule aime; ear vous Paver pénétréconrainen, ent uelque fagons ot il vous sait maurais gre de le contredire, passant subitement de Ta surprise au Aégoit,vous ne tardex pas & Tui pa afin Vexpression peat étre Factice; c'est ce que nous nommons le me fausse, vous le contrarie: insupportable. nierd. Chst lacaricature du sentiment: elle est le propre de coax qui ne sentent rien con qui sentent mal. Ce genre d’expression consiste a exagérer toutes les forgant certains sons jusqu’a Ia dureté, ou & les adoucir an paint de les Pour que rien ne manque cule, ony joint ordinairement Vexaucement des bras, I's ndre pres a ridi- que totalement, et Ane pas s'entendre sei-méms rondissement des spire. rque tous vos mayens d'exécution ne roulement des yeax, pour se donner un air di Jeunes Eli nais du naturel, de Ia grice et du véritable sentim« nifeste tout sortent autrement que par des grimaces.Redouter surtout Ie public (32.22= 5 = = = s = s > ak @ 451 cl qui wil plutatle edté ridicule des choses, que Ie edté raisonnable; qui s'y arréte me ine, et ne vous sait plus gré du reste qu'il ccoute dpeine. Notre art veut du reeueille - iteurs: ne troublez done pas ce recueillement qui vous est ne dels part des a Geasaire autant qu'au public, en lui causant des distractions qui tourueraient contre rous- Chat votre instrament seul qui doit rendre vos pensé tout ce que vous éprourez. Les paroles del’ Oratcur calmect plein de di uv dans Vame de ceux qui l'écoutent, que celles du discoureur qui gesticule et se i doit dire ite, penétrent bien 0s s¢1 déméne comme un foreéné, I est donné i peu de musiciens de rendre égelement bien tous les genres de musique: “Fel qui excelle dans le Concertovest faible dans le Quatuor, et réciproquement. Lun réussit dans tout ce qui demande de la grice, du goit,du fini; l'autre adoptede pre férence les caractéres prononcés qui exigent de la vigueur.de I'énergic, de In for - dus;et Fexceu - tions physiques ct morales des indi meté.Cela tient souvent aux dispo : ce qui n'empéche tant,comine le compositeur, la teinte favo~ pas que leurs conleurs duméme maitre. Cette prédilection pour un rite, qui se reproduit dans tous les tabl in défaut lorsquion execute ses pro ~ certain sty! rune certaine couleur, n'est p quand on reproduit les ou- il est dit, de stidentifier, s'il est avee ses intentions,son caractére,ses pensées, ses habitudes, lors on est un, on est soi-mém rrages des aut comme nous Vavons di possible, arre Tau Stee Le pas soi ARTICLE 17, DE L4 SOURDINE ET DES DOUBLES SONS. modifier,par ls main, les létees et Depuis que les bons artistes sont p sent plus du moyen de In sour n effet de prents- nt, sans donte, dine, et sim ip cos corps Strange instrument, changent ct baissent sensiblement lent diapasonen sinter. olissent In presque totalité. posant dans ble,devient inutile: Quand on a eu be- Le doub sein de cet comme dans Ve da Jeune Henry, par exemple, on a vu Aloignés et caches, produisaient un effet meillear ct plus naturel que de bois, de earton, onde gomme élastique uni i Vins - i vient dan morebpbuabeanae ib = 192 I en’ est de inéme des doubles sons que lon fait sur quelques noles graves du Con, et’ aurquelles on joint les qui l'on do jeanes gens a presqu’aussi Laissez donc aux charlatans les mayens extraordi médiocrité,qui n'étonnent que les ns, et que repo seurs et les vrais Artistes. ARTICLE 18. 4UX PROFESSECKS DE COL. Nous ne prétendons rien enscigner a nos conlrére: qui, ayant termine leurs études, se destinent au Profe devoirs;ce qu'ils dnt de pénible, de délicat ,quelles jonissances ils proc goiits les accompagnent, Celui qui veut enseigner ne saurait s’armer detrop de patience, de cou scrérance, avant de se lisrer & cette profession. Nous’ crayons que !'Eléve qui aura retire lem ux exeimples du sax precept tous présens qui propres refléxions qu struit en méme tems que d e expérience anticipe ntrer aver vantage. On pense que Vexpérience qu ait du temps, est Inv meillenres nous n'on doutons pass mais il faut suppaser quinn est sorti: dune bonne éeole,ct quinn n'a jamais cessé d'enseigner depuiszear, sil en est autrement,on donnera des principes fa you contraires & cous des élives déja és: onan ? propos, of 4 chaque instant, eavoir faire Vapplication.. Les dispositions des eves n'étant pas les mémes leurs progres sont plus ou mains tardifs les Tegons plus ou moins prolongées sur le méme genre, Aétude. D'ailleues, vent, moins I'Eléve est avancé en pour les instruinen: ge, plus on doit n ses forces, ct retenir lardeur dont lexeés pourrait nuiré wx bi ultés. Nous en avis’ p A sa sant} 1 Tiew que par ter des tra ndirigés, cest-i-dire, augmentés geaduellement, on aus) ur preuve Vexpérience de tous les temps. Sil faut retenin les ans.il faut animer Tes autres, ef empécher souvent quils ne ABE ANGved ddd addvevvuwddedudaada a! ’ : ASS. . 1es études, opportunes méme,peurent Lasser ina- Lilement In patience de LEleve:ce n'est pas alorsle ens de ae piquer de perséverances Il faut, au o ateairey chercher par quelque détour, par quelqu'autre voie, a son insu pour ‘amener,par dégeé, a rcsoudre Ia difficolte qui Tembarr cest danaliser: Ainsivun trait queleonque re. @exécution dun élére? faites quil Vetudie par parties; qu'il le dis- sique, V'anatomise,en quelque fagon. Rarement les plus grandes difficultés(si dailleurs elles sont dans la nature de Vinstrument),résistent i ce mayen, Veillex. st onde la main du p: tout & ce quela tenuc du corps, celle de Vinstrument, lapose de lembouchure, illon ne varient jamais. Choisissez avec snin la musique & Ia portée de vos élivess ct ne leur faites connaitre, surtout dans Ie commencement, que ce qui peut leur étre utile: ainsi,sous rejeterez,sans considération de nom d'auteur, tout ce qui t contearier leurs principes, fausser leur jugement, leur giter Vareille , les vu que les régles condamnent. jours croissant: Parvenusa un n obstacle invincible. Pour fran 1 fant des efforts une peesérérance, une énergie dont quelques-uns cour Ta restent médiocres peuent convenir au travail de Vexécution; carilyatelle réunion Von wesige pas trop arriverait bien des circonstances artistes oi on les trouverait déplacés, parce qu faiblesse, leur eves, doucs de grands mayens, et méme de Vamour du travail, donnent crs d'esprit, soit Iégtreté, emportement, is ln réflézion ne les guide dans leurs travaux particuliersou dans comment perfectionner ses ou~ » da réfleé Jorsqu’an est privé de ses conseils: cest qui obs rience. Parelle enfinonapprend se juger so Nous avens en dene pas enseigner 4 ses éléves tout ce quion leul de Végoisme, c'est savait, dans eé un jour, C'est le es sont nos enfans; el ce que nous avons acquis, ‘anti - philosophic des Diilleurs,n'est-il pas dans Vor est une nourriture que nous leur devens to ssant,dans les arts et dans weir atteint Te but? qui noas dit que la ‘ves Ie don de Vinvention ou du per - choses que les progr ‘1 pas douné Aun ow & plusieurs de nos é de nous surpasser? dans c¢ 613,81 nous leur tui- ement ; et tous Ia facult doivent savoir ct quils sauront un jour malgré sons une partic des choses qu'il nous, nous serons bien coupables: si nous leur mettons des entraves, il les briseront 5ouuvevubuvbeb bh eSBSBSB yo Ww Ab et cet oubli de nos devoirs fournera a notre con! Que le Maitre regs compense de ses soins: # chaque couronne quils obtien 2 celle quill a pa mériter. IL est done loin de notre pe: sorat: Ces dégouts sont les pein bout de quelques anes constans qui goat d'instrument, de pi sottement fiers de quelques en ou qui vont, roletant dune allure mal a partager le sort d'Teare ou de Phatton.Cest encore Ir crayant de petits prodiges vet netardent pas, naturce dun éléve wait donné on réalisé de grandes espér: sa retraite de notre el Teffict decettecrainte qui paralyse, ou par quelqu'autre circonistance lirects et non meé~ pondent pas a Vattente quon avait deux: et de lales reproche rités, par lesquels on nous attribue quelquetuis ces mauvais succes. n Violon, n Basson, Le Cor n'est pas un instrument aussi fi juger qu une Voix ete. ment leton de Fr Ehabitude quion a cue dlentendre pendant longtemst trop exch sur le Cor, a accoutuné Voreille a ce timber les autres, Re, Mes, Met et Sol, sont pi justifié Vemp! surtout quand point joi dans V'execution des contraire nous avons yi les mémes morceaux réussir, et mériter des éloges de la dova part des personnes nt Les condamner plus tard. Nous avons parcillement que des marceaux composes dans des nt Ie taient pas celle du premier ow du cinguitme dégré majeur, ta selon que V'exccution en était bonne ou fautive. Si Vincert ans, bientat Ta musique & ade de ces jugemens devait arréter les exte Vusage du Cor, ne serait plus entendir que dans deux ou trois gammes du ton de Fes edeait Ia meil- trument rétrograderait de nonveau, reprendrait sa monotonic, fede ses moyens Veréeufinn: nous ertamberions dans les défants justement re mixte, reprochés au g¢ Nous conscillons done aux professeurs et aux 6 tres de ne pas se Ta par des idées que le tems rectifiera; mais, nous ne recommandens pas moi mies, de vainere antant que possible Vespice d'obstination aye Laquelle un éléve Sattache sourent & un choix qui a’est pas dans ses mayens. Par c@ qui ns un concert, ient d’étre dit, on voit que dans un concours comm les personnes le plis en état de juger, ainsi que Ie public assemblé,tiennent peu de (220%B64 BBB BBS eee we og @w Ww 155 jculté’s vaineucs:qu'elles ne s’attachent qu’aus employes, ou des di tre, par conséquent,les plus satisfaisans possibles: il fu ultats, qui doivent comme on dit, cacher les épines sous les Fleurs. ARTICLE 19. DES CONCOURS. ——. tention de donner des conseils & ceux que l'on établit Nows n'avons nullement ba ow de voulois clever des doutes sur leurs con ~ juges dans les concours ord + simplement an plan.une marcheque nous ns. Nous prop naissances et leurs assurer du talent des candidats, dansles trois cireonstancesdont crayons plus prop nous allons parler. Uy aca tribuer des prixou des encou s.pour dis- cspicesde concours: celui des éeoles publiq 1 élives: et celui qui a lieu pour remplir ane I ft appeléinous ne disons pas comme member du professeur de place vacante dexéeut sear, Dans le premi Finstrumentiste qu'on jug i vont prononcer sur une chose qu'ils jury, mais pour éc n'ont point peatiquérs pour [ re des observations opportunes,ou repondre & cell y admette nn professeur étranger, sans intéret des jurés. il faut an moins q ns passion, sans prévention pourane école ovan systéme particulier d'en- ne se fait pas tonjours. De laces jugemens par compa ons signalé dans Varticle precedent personnel, seignement; ct raison ,et sor ou a des intentions coupables: mens quien ne sau jdes idées adoptées sans eramen, et qu ‘ait de pratique de la chose & ju- ger a pa Dans ce concours Pailleurs, les &preures sont toujours & la portée des coneurrens; dane pl 6 rue cel mais ces ¢ vc dexéoutant: jouer un ou que présente le jury.telle dene insi que sur Ia réucsit dan moment, juge - de faire prenve de bons prineipes, et ité,Vemporte de In jeanesse.ou dela ine du vrai talent et deThomme modeste. Le r qu'il nvest plus tems de réparer. wm vomaryte,an sajet de son projet dé nater Is masigne aver des chiffres, projet ohjertion dle Rameau fit ss third jnger Wine chase, il vant mient la Ia caltare des tes les Inmitres que dows (Crafessions)Vv OV HHH SH &) 458 us voudrions quion tre si le genre da ane le Faisant sur les tons graves ow aigus,sclon qui Cor-Alto. Que la musique choisic Ini soit conm cas,la désigner d'avance, la partie supér i trio et q tuor (oeuvres cf 4), 4 Léfaut dautre musique,pourrait scrvir A cette epreuye, La simple lecture dun morceau queleonquc, est musicien: il aurait nasser pr miner sur I'accompagnement du ch en Aulide que j'sime nerait la mesure du talent ct dela tenue du Cor-alto. (1) Por le Cor-basse, on n'a proposé,jusquii présent que le second Cor de 1'A\ ne Symphonie cn Séb d'Haydn, parce qu'il n’existe que cela adce genre doi véritablement décidé,pour exécuter les cing notes graves suiva Adagio. tes: Con-basse en Mid, U faudrait done,pour Vaccompagnement du chant.faireun morceau exprissa prew - dre dans les opér: tragiques ou demi-séri Quelques opéra de Virol, le Roméo et Juliette de Stebel, Ia Vestale ct Milton de M, Spontin’ of x.c¢ qui existe en ce genre, .renferment de ces accompagnemens obliges qui pourrsicnt servir a cette épreave. La plupart de ces Solo sont faits pour le genre miste, qui se rappro- che davantage du Cor-hasse que du Cor-alto. Q qui auraient passé par des épreuves, lon nt aux places de professeurs, nous crayons q| Vobjet de plusieurs scances ,derraient encore étre adaptées s inns penpost ce mororan poar Ir conconrs qei valat A M.Blonge bx plane ae prrmiee Cor le chef dlorehestre d’alore edt faire mieasyet faire davantage, en ehoisissant [air aHereale en Laan gre les accompagnemens de eet Air out det repos qar Vaatre n'a pas; sans savoir que TActe d’Aleeste «C'est envain que V'enfer comple sur sa victimes sims penser In force permises dans celhi le rendent aussi aisément praticable,que Vautre peat paraitre vitillens,fatignant, var les raisoas précisemest contiaires. Nos ue citons ce fu, nner an avertissement de plas & cenx qui jngeot de Mexéoation sar Ie Cor, sans connaitre cet ins - frameat par In pratiqnes (32.2)= point trompédans ses jugemens et dans son choix. I s'asit ici du sort des tenait a nat Eleves et de la réputation d'une école: Rapportant toujours au Cor les idées que nous émet- tonssurce concours, nous voudrions qu'on présentit a chaque candidat.unaspirant a Te instrument,afin que le professcur,choisissant entre plusieurs grandears dem tude de cet bouchi il lui dont x an genre que V'éléve roudra prendre ou recernir, celle qui convient le mi scils ef Ia premicre Tecan f les premiers nde épreuve consisterait a faire examiner un tion de'divers fragmens pris dans une méthorlect choisis par les juges. Enfi li ractires de musique, joucs par un éléve & In finde son cours. Lamélodie de ¢ sur différens ca- it celle qui au In troisitme wt dernire ép mple pour que le professeur fit & méme dindi Véléve ceaux devrait étre assez Ics embellissemens dont il peut Vorner, le caractére quil doit lui est propre. On connaiteaitydans ces différentes Iecons,les principes du maitre, sa ma- aide de les étnblin, de les expliquer; son gait, son sentiment musical, ses connais- ii donner, ct le style qui finvon verrait sil sait précher d'exemple; car il fandrait quill sances harmoniques. F. puisque c'est Ie meillear moyen de persuader. Crest ici surtout, qa'un on ph Ie prowy str ‘curs professeurs de T it seraient indispen - plus dun genre dutilité pour les autres juges. aables; leur présence pourant ave Nous termincrons pas cet article sans soumettre aux refléxions deceus qui dir Jos de musique, Tidée de donner aussi des prix dé _aprés leur ectraitede I'école.et privés pendant longtems des sot de Tours étude toujours plus suivie, plus appro - ui auraient joint, & ie quils nt embrassée spécialement, celles des autres branches fondie de ta pa jent_nécessaires,ct dont la plupart s'occupent si peusqui enfin, de Ta musique qui leur ét ine réputation défi acq ns, par un talent ¥ nt davantage, et leur profession, ct Iéeole dont ils adopt un qui se croient des prodiges, par co quils ont obtenw un premier p nhien d'autres qu jent_an_méme, ne I machinal de Vorches- ent avec plus dattention se jugeraient vce de soins. efforts ct de suecés, surpasser ,1un jour, de receroir le grand ate prix honneurttRAAMAMAAMAMDADHHDAHHAAAA TD L_®? o 6 6S SoG. q 4 & 4 4 ,& eee aRSSR. \, () 154 ARTICL 20, DE LA MUSIQUE CLASSIQUE , AT age du Cor, jusqu’d nous; il cxistera comme objet d'uti parini les hommes. Mais lorsque Vidée quelques instrument ’a Vorchestre,il falldt aux exccutans une a'méme de s'erercer sur tous les sons naturcls de chaque Cor, ct cette tude dit étre réduite aux sons suivans: SS] a ce fit la seconde époque (3) Nous devons eroire que si le Fe ct le La aigus ont été employes quelquefais,on ne de- sq in, le pavillon appuyé sur le bras auen Vair.Cet usage s'est méme conservé long- ors l'instrument se tenait d'une vait les rendre qu’s la maniere des chasseurs seule m: tems. E 1800, nons avons vii dans les théatres de quelques villes du Milanaiset dans la capitale méme de ce pays, les exccutans tenir en Pairle pavillon de leur Cor Jeinent dans les forte. (2) Quelques compositeurs francais ont dans leurs partitions, par ces mots: pavillon en Lair; ot Vont employ? pour de gra pase Cor est subitement haussé,dés que ls main n'est plus dans le pavillon; ct Pon effets d'orchestre. Les exécutans s'y refusent pour deux raisons: 4? le pas toujours le temps d’allonger ou de raccourcir Ia coulisse, avant et apris. Linstrament a'étant tenn que dune seule main.pése presquentidrement surles le vies, et rend Vattaque des so titede ot da tatorine (2) La masiten d'naéeter lessons factices, état connae depuis lngtens dane ce rponiint ow Ps res qu'il 4 fbiteceor doat les noms sont Ie plas hoaorsblemeut cis axjourd'si, saat 0M. Bolloe is premier Cor de ts ehaprle du Roi de Sarda Passi dn Witeritation de Landress td Is signe particalidve du Mui d'Aneleterrese! BeUlwrdont il a été parlé dans I premier partin de ect n=648868866 4 ke ew Gus oda d a 459 wait inais les justes reproches de ceux qui ne voient plus defTet, oi il ny aque du bri on dix instrumens en courrent soizante oa quatrevingt; ont fait que la forme de la trom - peite Porchestre, est devenue demi-circulaire; que le pavillon de Ia trombones étéren- rire aux parties de Cor: pavillon’ em Hair. sunce des sons Factices, celle del’étendue de l’instrament, ladisision des ion partagée entre dear exccutans, a étélatroisi¢me cpoque et genres ct Ta plas remarquable; celle ou lamusique du Cor prit quelque resemblance avec celle des autres instrumens, Les progrés du Cor, sous le rapport de 1 difficulte,marchérent dés lors dite cous TurchniDt, Paltcar, Spandau, HoDolphe, Kolh,Punto eteamais les duo, ou plutst Jes fanlares de Turrhmide , les quatuor de Kolh,les concertode quel- ques autres, sont justement oubliés. La musique de Pento méme, n'est plus jouée, et ne doit plas Petr: ing publiquement ,tant par les raisons que nous avons doances dans Ia préface de ect ouvrage, qu’ du style de cette musique,devenue surannée depuis Ies progres du goit musical en France; progrés qui datent cridemment de I'ctablissement du Conservatoire. Cependant,la rarete de la musique a Vas: 1 ctudesuvant que nos maitres, les Kenn, les Ducernoy-, les Domnich, Vous par un devenait,pour du Cora fait que eellede ces auteurs musique plus conforme au goit moderne, et idote de celles de leurs prédécesscurs. ommes sortis, et qui nous avait donné en mu- miter nos maitres dans leurs travaux et dans ons méme, chercher ales surpasser, s'il était ceux quipar une musique riche de mélodie, pare d’harmonie; par a itroduites avee sobri- tre des morceaux parune exécation brillante, precise, hardic, sauront. Apropos ef sans ostent commander Vintérét, réunir tous les sulfrages. tide ernire que nous ayons présenté ces qualités. Au con nous rendre célébre, nous arons youlu nous por Ia composition, nous y avons suppleé par toute de caleal, faite pour ainsi dire au ut se res- is Te pen q é possible de ft conyenir aux éléves dont il dé- ot i alement les duo, trie quatuor f.sextuor il nons a ns Tespace de quinze années environ, ps ‘ment le genre, ct peut ttre regardé comme classique, sous ce ar le Carvet & cause de leur emploi nesitt quecela se peut. Les Duo sont json quiona déterming deux gene: constant 4 Vorchestre, on doit les rapproc! ux éléves pour le as tous In afait an nombre considérablede duo i deux done Ia premigre musique que emps, Ton présea Cor, aprés les lecons préliminaires. 0& SASS , 8 & 9 S&S Bs @ 160 ami Lesueur nous les recommandons ence dans notrecours, Terécution de ces pres celle de ces duo, comme dans toute musi inens qu’on employe di On suivra Vordre indique ici,par le nom des auteurs de ces du tf quelque ten cater ant éléves .qu'ils reposcrant per Le. Cor-basse doit exécuter(en Mi h) la premitre et La ses ep les cores micrs oeurres de duodont la mélodic ne il apprend: Aves de genre different, pour redire ces # de Vevemple du maitre,qui aura pareillement fait le chant ou que. Cesera anseile ede notre méthode, cause des traits: seconde pa dre dans atrer dans quelques uns de ces duo, L. its, les batteries & exe vient ae ei ae day qn deront je de chant, sa a any cing to au solo: ont exereres p mens Ta chant et les antes p ret a placer & propos Is a fens tons Cerusre 14) reposernat enenre deers salliges, Le or Cars en dill setae oon Me § de Mofteoks yt Notre oruvre 4° trois grands Trio pour ©: Les.2 ‘Trio de M. Berke pour Cors et Violoncello, seran trois Cors 62 Enfin, nos six duo pour Cors en 3ff '(enrre 151 sen Met por agus pour vagal 9 tant a Cob (2) La pattie inter quelgaefois aves. Si cette partie eat pie alter atiss meaty tons dew Latte jones, ples feeqaemment wren est pas autres, de ers sane Factions dans te medio, snr Ales vemtre d'une wat& 6 > & $64 ire Methode ayant été,a cette époque, exer -. & Les exereices de Inseconmle partic dem sous les yeux et Tins - Jitairement unt cés en totalité,ou en grande partic, tantat on pourra se liveer a la musique de fanta ct Cor, ou de Harpe et Cor, afin de s’accoutumer & modifier son jew dans l'accompa- gnement de deux instrumens,dont les sons niont pas la tenue et Fintensité de ceux du comme duo de Piano & pection & Cor. 1 solo de nos eurres 11,12,aree le Duo que renferme ce On passera ensu dernier) 16 et 17. Le Cours sera termine par Vétude des quitunr Favoris de Punto, ceux d'Eler; nos & quintettig crurre 6) le premicr Concerto de M.Duvarnoy,dédi¢a M.Rouget dele; ceux A Eler, de MM. Domaich , Ken (1) Devieane;les solode M. Galla; les cancertantes de MM Widerker, Domnich Blasivs ;enfin nos concerto (crurres 1, 9,18 et 19) Le Professeur,on qui lan doit supposer Ia connaissance ‘le toute cette musique, et des difficultés quelle renferme, saura établir Vordre a suivee pour Vétudier, en rai- son de ces difficultés, ot di Apres que les éléves auront suisi Vétude particulitre des parties principales de Jens, le maitre ne pourra trop leur recommander de s'accoutu- “accompagnement des Violons, Alto et Basse, dans lesquatuoret nit celui dun orchestre complet, dans le concerto ou la symphonic con - enre des executaas. 66866 4 es ceuvres: préc er de les quintetti conta indre a accompagner d'bard,comme Cor-riprenne,dans oo c dont il aura appris & accompugner, soit dans les ces archestres : 1 se faire accompagner Ini-méme, ne doit pas connaitre seulement la partic ssi toutes ce! fermces dans la partition de son o 6 morceau. Autant il con utera Ia partic obligéey | si elles ne sont pas connues ou senties de celui qui & 8 nee parfaite des moindres détails, V’exe- Sans celte peécantion, -méme Flee mal accompagné. mais il est pew assure I cutant peut, nonseulem & ct ne donne pas aux productions des autres leur véri- dans. sa prop table expression ,leur caractére pi musi cnlien, a’ posrea done se les proenrer 1 capi principalement de M.Newa, ar sont point (6) Quelgues weave de TPBenle ayale de masignesai wnat a FIN DE LA DEUXIEME PARTIE a (32.204. &| bS6 6466 oo o6 od 6 Saessss 362, Article 4 drt, 2. arn 3. Ar 4. Art 3. Art 6. ah 7. at: Be at: 9. Art: 10. aes ML Arts AQ. art AS. Arts Mh. an: MS. ah M6. Arts M7. ach AB an $Y. art: 20. TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS LA 2° PARTIE DE LA WETNODE DE COR, eaux de traits, dans es mesures A deux temps, trees Esereices sur les Dessins trois temps et 3 sivchuit ‘ Des notes et passages qui commandeat une seule esplice d'srtienfation 6 Des Articulations dans la mélodie 7 6 De Vecompagnenent vvvcesons Evercices du Cor-Alto sux des dessins généraus de traits applignés ane dil ’rentes: mesures Exercices du Cor.Basse sor des dessins géaéraur de traits appliqués aux différentes mesures jules musicales Conseils aux éleves: sur les De Ja timidité, ov de Ia méfiance de soi mfme dans Vexécution en public...» De U'decompagnement simple et obliee. poet Da Concerto Do Point d'Orzue, et de Wmprorisation Exemples de Points-Finals, Wferet ot de Suspension... Du Theme rerié erecoerres, ‘Theme varié pour Te Cor, sur Ia ‘Theme dans la gamme majeure du st d Theme dans la gamme majeure du 4 dée De Ta musique de Cor & plusieurs partis Qualités essentielles Wun bon exéeutant De la Phrase musicale De la Couleur 145 Du Siyle. 146 Du Gos et de Ia Grice 148 De VExpression et du Mantere 150 De Ia Sourdine et des Doubles sons 154 Aux Professeurs de Cor 152 Des Concours 455 158 De Ia musique classique 3 Tusage du Cor rn ‘ e (58. %.)2