Le mot « énergie » est sans doute un des termes les plus utilisés de nos jours.
Régulièrement ce mot fait la une des journaux, de la radio et de la télévision. Mais
pourquoi est-ce qu’on attribue une telle importance à cette notion? La réponse est
toute simple: sans énergie, notre société ne pourrait pas fonctionner et même la vie
serait tout simplement impossible!
Chaque être vivant a besoin d’énergie. Pour les mammifères par exemple, les
aliments fournissent l’énergie nécessaire au maintien de la température corporelle
et au fonctionnement des organes et des muscles. Ainsi, même quand nous
dormons, nous avons besoin d’énergie.
Mais qu’est ce qu’on entend exactement par le terme « énergie » et d’où provient-
elle ?
Le mot « énergie » peut être associé aux mots suivants : force, endurance,
dynamisme, pouvoir. Tous ces mots font allusion à une activité, un travail.
- énergie nucléaire
(photo: centrale nucléaire de Cattenom)
- énergie solaire
(photo: soleil)
- énergie de géothermie
(photo: geyser en Islande)
- énergie hydraulique
(photo: barrage Glen Canyon en Arizona)
- énergie éolienne
(photo: éolienne à Remerschen)
L’énergie fossile est par contre une énergie non-renouvelable. Cette énergie n’est
disponible tant qu’il y a des réserves de carburants.
La situation est identique dans le cas de l’énergie nucléaire qui nécessite de l’uranium,
dont les stocks sont pourtant aussi limités.
De nos jours, l’énergie chimique fossile et l’énergie nucléaire sont encore les plus
utilisées mais aussi les plus controversées. C’est l’étude de ces deux formes d’énergie
qui est proposée dans le manuel ci-contre.
Partie 1 : L’énergie fossile
1. Généralités 4
2. Composition des carburants fossiles 5
3. Utilisation des carburants fossiles 9
1. La combustion 12
2. Combustion complète et incomplète 13
3. Les équations chimiques 15
Exercices 17
IV Le dioxyde de carbone
1. Généralités
11 500 Venezuela
10 900 Russie
5 500 Kazakhstan
5 400 Libye
4
Énergie fossile
I. Les carburants fossiles
D’un point de vue chimique, le gaz naturel, le pétrole et le charbon sont très similaires.
Leur origine est identique : ils ont été formés à partir de la décomposition de végétaux
et d’animaux sous pressions et températures énormes, il y a des millions d’années.
C’est la raison pour laquelle on parle de carburants fossiles.
2. Composition
Expérience 1:
5
Énergie fossile
I. Les carburants fossiles
Expérience 2:
Puisque le carbone ne peut pas provenir de l’air ambiant, il est issu du gaz. Le
méthane contient donc l’élément carbone.
Expérience 3:
Remarque : ces expériences peuvent être répétées pour tous les carburants fossiles dans des
conditions appropriées.
6
Énergie fossile
I. Les carburants fossiles
Il existe une multitude d’hydrocarbures. Les plus simples, à savoir les alcanes,
constituent la partie majoritaire des carburants fossiles.
Le nombre élevé d’hydrocarbures résulte de la caractéristique de l’atome de carbone
de pouvoir se lier à quatre atomes. L’atome d’hydrogène, en revanche, ne peut se lier
qu’à un seul atome.
La molécule d’hydrocarbure la plus simple est formée à partir d’un atome de carbone
(gris foncé) et de quatre atomes d’hydrogène (blanc): il s’agit du méthane :
La composition d’un corps chimique est représentée à l’aide d’une formule chimique.
7
Énergie fossile
I. Les carburants fossiles
1 atome de carbone
(l’indice 1 n’est pas mis)
Exemple :
Représentations 2D et 3D de la molécule :
8
Énergie fossile
I. Les carburants fossiles
3. Utilisation
Le gaz naturel et le charbon sont des carburants fossiles susceptibles d’être utilisés
directement sans traitements supplémentaires majeurs.
Par exemple, le gaz naturel est utilisé pour chauffer les maisons.
Le charbon est essentiellement employé dans des centrales thermiques afin de
produire de l’énergie électrique.
Voir « réactions de combustion » et « centrale thermique »
3.2 Le pétrole
Le pétrole est chauffé jusqu’à 350-400°C dans un fo ur de distillation relié à une tour de
distillation.
Dans cette tour, les composants se répartissent selon leur température d’ébullition.
Ceux qui ont la température d’ébullition la plus basse (les plus volatils) montent au
sommet.
A chaque plateau, on récupère, en partant du haut en bas : les gaz, les essences, le
kérosène, les gazoles et les produits lourds.
Les produits de séparation qu’on obtient aux différents niveaux constituent toujours
des mélanges, appelés « fractions ». Le procédé de séparation est dénommé
« distillation fractionnée ».
gaz C1 à C4
essences C5 à C12
pétrole brut kérosène C12 à C20
distillation
fractionnée
gazoles >C20
produits lourds >C20
mélange fractions hydrocarbures contenus
(mélanges) dans fractions respectives
9
Énergie fossile
I. Les carburants fossiles
gaz
essence
30 - 150°C
kérosène
150 - 250°C
350- 400°C
gazole
250 - 350°C
pétrole brut
Exercices
2. Représentation d’hydrocarbures
3. Formules chimiques
10
Énergie fossile
I. Les carburants fossiles
L’atome de carbone peut lier 4 atomes pour former des molécules. Ainsi s’explique la
multitude de ces composés (on connaît des millions de composés différents).
Toutes ces molécules font partie de la chimie organique. Nous venons d’étudier le
groupe des hydrocarbures, formés exclusivement à partir des éléments carbone et
hydrogène.
Un grand nombre d’autres molécules organiques contiennent les éléments oxygène
(rouge), azote (bleu) et soufre (jaune) et peuvent même contenir des métaux comme le
sodium (noir).
11
Énergie fossile II. Les réactions de combustion
Cette énergie est facilement accessible, il suffit tout simplement de brûler les
composés en question.
1. La combustion
Expérience 4:
Une bougie est allumée et placée sous une cloche en verre. La cire de
la bougie est composée de différents hydrocarbures.
A l’aide d’un tuyau en caoutchouc, on remplace l’air dans la cloche par
les gaz suivants: dioxyde de carbone, diazote, dioxygène.
1 2
12
Énergie fossile
II. Les réactions de combustion
Expérience préliminaire:
Expérience 5:
13
Énergie fossile
II. Les réactions de combustion
Expérience 6:
14
Énergie fossile
II. Les réactions de combustion
Les réactions chimiques sont représentées par des équations chimiques. Le texte
traduisant la réaction est remplacé par des symboles. Ceci permet de comprendre la
signification indépendamment des connaissances linguistiques.
Exemple-type :
établissement de l’équation chimique traduisant la combustion complète de l’heptane
Il faut identifier dans le texte les réactifs (corps chimiques qui entrent en réaction) et
les produits (corps qui sont produits lors de la réaction chimique).
Deuxièmement, il faut connaître les formules chimiques correspondantes.
Texte:
15
Énergie fossile
II. Les réactions de combustion
Pour y remédier, il faudra décompter pour chaque élément les atomes du côté des
réactifs et des produits et ajuster le nombre de molécules ; on dit qu’il faut équilibrer
l’équation.
La molécule d’heptane est formée à partir de sept atomes de carbone. Or, la molécule
de dioxyde de carbone ne contient qu’un seul atome de carbone.
On augmente le nombre de molécules de dioxyde de carbone à 7. Lors de la réaction,
il y a production de sept molécules de dioxyde de carbone.
On met le nombre 7 devant la formule du dioxyde de carbone. Ce nombre est appelé
coefficient stœchiométrique.
Le nombre de molécules d’eau est ajusté à 8 unités pour tenir compte des 16 atomes
d’hydrogène dans la molécule d’heptane.
Equation équilibrée :
Représentation:
Il est possible d’indiquer l’état de la matière du corps chimique en question par les
indices (s,l,g):
16
Énergie fossile
II. Les réactions de combustion
Exercices
7. Équations chimiques
• Le gaz dioxyde de soufre ainsi libéré dans l’atmosphère, réagit avec l’eau (de
pluie) et du dioxygène en formant de l’acide sulfurique (H2SO4).
Établissez les équations équilibrées pour les 3 étapes. Indiquez l’état de la matière des
différents corps chimiques.
17
Énergie fossile III. Aspects énergétiques
1. Réactions exo– et endothermiques
Pour indiquer qu’il s’agit d’une réaction exothermique, on note derrière l’équation
chimique le symbole –Q (libération d’une quantité d’énergie).
Exemple :
Combustion complète du propane.
Par analogie, il existe des réactions chimiques qui n’ont lieu qu’avec un apport continu
en énergie. Il s’agit de réactions « endothermiques » (du grec : endo « en dedans » ;
thermo « chaleur »). Dans ce cas, on utilise le symbole +Q (gain d’une quantité
d’énergie).
Exemple :
La photosynthèse se déroule uniquement avec un apport
continue en énergie solaire.
18
Énergie fossile
III. Aspects énergétiques
Pour bien comprendre le concept de l’énergie, il faut savoir que celle-ci n’est pas
« produite » au sens strict du terme.
L’énergie thermique libérée lors d’une combustion provient de l’énergie chimique
stockée dans les corps réagissants (réactifs). Par transformation des réactifs en
produits, une partie de l’énergie chimique est transformée en énergie thermique et
libérée vers l’extérieur.
produits
réactifs /
énergie chimique
énergie thermique
Énergie
chimique U
La quantité d’énergie thermique libérée Q est
égale à la différence de l’énergie chimique des
produits Ufinale et des réactifs Uinitiale :
Uinitiale réactifs
∆U
∆U = Ufinale – Uinitiale
∆U = Q
Ufinale produits
19
Énergie fossile
III. Aspects énergétiques
énergie énergie
solaire chimique
énergie
thermique
énergie énergie
électrique mécanique
Par photosynthèse, l’énergie solaire est stockée sous forme d’énergie chimique dans
les végétaux. Cette énergie chimique peut être transformée en énergie thermique par
combustion. L’énergie thermique ainsi libérée peut être utilisée pour chauffer de l’eau.
La vapeur d’eau produite fait alors tourner une turbine (énergie mécanique).
Finalement le mouvement de rotation génère du courant électrique (énergie
électrique).
20
Énergie fossile
III. Aspects énergétiques
Exemple :
- mètre (m)
- kilogramme (kg)
- seconde (s)
- Ampère (A) La calorie (cal) est une unité d’énergie qui
- Kelvin (K) ne fait pas partie du système international.
- mole (mol) La calorie est essentiellement utilisée en
- candela (cd) diététique (kcal).
21
Énergie fossile
III. Aspects énergétiques
Exercices
a. Cherchez au moins un argument qui permet de déterminer s’il s’agit d’une réaction
exo- ou endothermique.
11. Le dihydrogène
22
Énergie fossile
III. Aspects énergétiques
Sachant qu’un ménage à deux personnes consomme une quantité d’environ 2500
kWh d’énergie électrique par année, calculez l’équivalent de bois qu’il faudrait brûler
pour libérer cette énergie.
Calculez l’énergie (en J et kWh) qui est libérée par l’essence lorsque vous faites le
trajet Luxembourg-Strasbourg en voiture.
Indiquez pour les transformateurs d’énergie dans le tableau ci-dessous, les formes
d’énergie transformées. Trouvez sous quelles formes l’énergie est perdue.
Tableaux indicatifs:
23
POUR EN SAVOIR PLUS
Le moteur à essence
Le moteur à essence permet entre autres de faire avancer les voitures. Il fait partie,
comme le moteur Diesel, des moteurs à combustion.
Dans le cylindre, un mélange essence-air est aspiré et comprimé par le piston. Après
la compression, une étincelle produite par la bougie conduit à l’explosion du mélange.
L’énergie libérée pousse le piston rapidement vers le bas. De cette façon, l’énergie
thermique est transformée en énergie mécanique faisant tourner le vilebrequin qui
entraîne la rotation des roues de la voiture.
Le piston monte à nouveau pour faire sortir les gaz d’échappement. Puis, le cycle
recommence.
Le fonctionnement se base sur un cycle à 4 étapes :
2
1 5
3 4
7
8
9
Exercice :
24
POUR EN SAVOIR PLUS
Le carburant est conduit (1) dans un réacteur (2) dans lequel il entre en combustion.
L’énergie thermique libérée est utilisée pour chauffer de l’eau dans un circuit primaire
(3). La vapeur d’eau ainsi formée entraîne la rotation d’une turbine (4) liée à un
générateur électrique (5). Celui-ci génère de l’électricité.
Un circuit secondaire de refroidissement (7) est souvent alimenté par un fleuve (8).
Cette eau permet de refroidir la vapeur d’eau du circuit primaire dans un condensateur
(9). L’eau ainsi formée est de nouveau conduit dans le réacteur pour être chauffée.
L’eau du circuit secondaire, chauffée par la condensation de la vapeur d’eau du circuit
primaire, est à nouveau refroidie dans la tour de refroidissement (6).
De l’autre côté, les gaz produits lors de la combustion sont transportés dans une
installation (10) de filtration. Ici on élimine les produits nocifs, tels que les oxydes de
soufre, les oxydes d’azote et les particules de suie. Le reste des gaz d’échappement,
notamment le dioxyde de carbone, est dégagé par une cheminée (11) dans
l’atmosphère.
25
Énergie fossile IV. Le dioxyde de carbone
Propriétés physiques:
Propriétés chimiques:
• ininflammable
• n’entretient pas la combustion
• asphyxiant mais non toxique
extincteur CO2
26
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
combustion
déforestation
dégazage dissolution
volcanisme photosynthèse
respiration photosynthèse
respiration
n
sédiments
itio
os
mp
co
dé
sédimentation
carburants fossiles
• L’eau des océans contient du CO2 dissous. Dans les régions plus chaudes des
océans, une partie du dioxyde de carbone est libérée dans l’atmosphère; on parle
du dégazage des océans.
27
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
Dans les régions plus froides des océans, une partie du dioxyde de carbone de
l’atmosphère est dissoute dans les eaux.
• la sédimentation :
Une partie du dioxyde de carbone est fixée dans des minéraux (p.ex. : CaCO3),
qui se déposent au fond des océans et dans l’écorce terrestre. Les éruptions
volcaniques rejettent de nouveau le dioxyde de carbone stocké dans les
minéraux.
Influence de l’homme
28
POUR EN SAVOIR PLUS
Le récipient 1 contient une certaine quantité d’eau qui reste constante. On dit que la
quantité d’eau est en équilibre statique.
Le récipient 2 contient la même quantité d’eau qui est en équilibre lorsque la quantité
d’eau ajoutée est identique à la quantité d’eau sortant du récipient. Il s’agit d’un
équilibre dynamique.
récipient 1: récipient 2:
équilibre statique équilibre dynamique
CCS
CCS (Carbon capture and storage) est une nouvelle technologie qui a pour but de
capter et d’enfermer le dioxyde de carbone issu de centrales thermiques à carburants
fossiles dans des cavernes souterraines. Surtout les anciens gisements de gaz naturel
et de pétrole s’avèrent idéales pour séquestrer le CO2. Or à l’heure actuelle, cette
technologie n’est guère au point et il faudra encore attendre des années pour savoir s’il
s’agit d’une option réalisable et rentable. Il y a surtout des doutes au niveau de la
sécurité: un dégagement spontané d’une grande quantité de dioxyde de carbone à
partir d’un site de stockage peut représenter un danger mortel pour la population
locale.
29
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
3. L’effet de serre
Une partie des radiations solaires envoyées sur la Terre est réfléchie par les nuages.
Les rayons restants sont absorbés par l’atmosphère et par le sol. Le sol est ainsi
chauffé et émet à son tour des rayons infrarouges. Les molécules d’eau et les
molécules de dioxyde de carbone dans l’atmosphère retiennent une partie des rayons
infrarouges émis : l’atmosphère est chauffée.
La vapeur d’eau et le dioxyde de carbone sont des gaz à effet de serre.
30
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
Exercices
Quel facteur influence le dégazage et la dissolution du CO2 dans les mers? Formulez
la règle générale sur la solubilité des gaz dans l’eau en fonction de ce facteur.
Le dioxyde de carbone n’est pas le seul gaz à effet de serre. Cherchez le nom et la
formule chimique des autres gaz. Lors de quels processus, ces gaz sont-ils libérés
dans l’atmosphère?
25. Le biodiesel
31
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
4. Calcul stœchiométrique
Lors de l’étude du cycle du dioxyde de carbone, on s’est rendu compte qu’à l’heure
actuelle, la quantité de CO2 libérée dans l’atmosphère est supérieure à la quantité de
CO2 consommée.
Pour pouvoir tirer une telle conclusion, il faut évidemment pouvoir calculer la quantité
de CO2 échangée au cours des différents processus.
Exemple-type:
Calcul de la quantité de CO2 émis lors de la combustion complète d’un kilogramme
d’heptane.
D’après ce que nous avons vu jusqu’à présent, il est facile d’établir l’équation
équilibrée de la combustion complète de l’heptane :
Il est évident qu’un atome (ou une molécule) a une masse. Or, cette masse est
tellement petite qu’il est impossible de la déterminer par pesée directe. Pour obtenir
une masse « pesable », il faut réunir un nombre extrêmement grand d’atomes ou de
molécules.
En pratique, on utilise le nombre de 6 1023 (six cent milliards de billions). A cette
quantité, on attribue le nom de « mole ». Comme une douzaine correspond à 12
entités, une mole correspond à 6 1023 entités.
32
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
Ce nombre n’est pas choisi arbitrairement mais de façon à ce qu’une mole d’atomes ait
une masse correspondant à la masse atomique exprimée en grammes. Cette masse
peut facilement être lue dans le tableau périodique des éléments. (TPE)
Exemples :
33
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
La masse molaire peut être facilement calculée pour n’importe quel corps chimique si
on connaît sa formule. Il ne faut qu’additionner les masses des atomes formant le
corps en question.
Exemples :
34
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
Connaissant la masse molaire d’un composé, on peut établir une relation entre le
nombre de moles et la masse.
M(H2O) = 18 g/mol
avec:
m = masse (g)
M = masse molaire (g/mol)
n = nombre de moles (mol)
Exemples :
n(S) = 3 mol
m(S) = n(H2O) M(H2O)
m(S) = 3 mol 32,1 g/mol m =n M
m(S) = 96,3 g
m(CO2) = 8 g
n(CO2) = m(CO2) / M(CO2)
n(CO2) = 8 g / 44 g/mol n=m/M
n(CO2) = 0,18 mol
35
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
Exemple-type
36
Énergie fossile
IV. Le dioxyde de carbone
Schéma récapitulatif:
Exercices
Une essence (on suppose qu’elle soit formée exclusivement d’heptane) contient 2% en
masse de soufre. Calculez la masse de dioxyde de soufre formée par la combustion
de 50 L d’essence. (ρheptane=0,7 g/mL)
37
Énergie nucléaire
OBJECTIFS
38