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Résumés de cours de Physique-ChimieTerminale S
P.-M. C
HAURAND
Lycée de Chamalières Année scolaire 2013-2014
 
Table des matières
1 Ondes et particules . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Caractéristiques des ondes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 Propriétés des ondes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 Analyse spectrale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 Échange de proton . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66 Contrôles de qualité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87 Lois de Newton . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98 Mouvements dans les champs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119 Cinétique et catalyse chimiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1210 Représentation des molécules . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1311 Travail et énergie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1412 Relativité restreinte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1513 Transformations organiques I . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1514 Transformations organiques II. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1515 Stratégie de synthèse et sélectivité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1616 Dualité onde-particule. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1717 Transferts d’énergie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1818 Les enjeux énergétiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1919 Développement durable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1920 Numérisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1921 Transmission. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2022 Science et société . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
 
Chapitre 1 1Chapitre 1
Ondes et particules
Rayonnement
 Ce terme général va qualifier l’émissionde particules, qu’il s’agisse de photons (consti-tuants en particulier la lumière visible, mais aussiles ondes électromagnétiques), de neutrinos (par-ticules de masse très faible et qui interagissent trèsfaiblement avec la matière) ou de matière « or-dinaire » (en particulier, des protons et des élec-trons).
Cosmique
 On nommerayonnementcosmique primaire leflux de particules en provenance de l’espace, ren-contrant les couches hautes de l’atmosphère. Cesparticules ont pour source principale le Soleil, ethors les photons non chargés et les neutrinos demasse très faible, on distingue principalement desprotons et des électrons.
 Atmosphère
 En interagissant avec les atomes et molé-cules de l’atmosphère, ces protons ou électrons durayonnement cosmique primaire créent des réac-tions nucléaires à l’origine de gerbes de particules.Parmi toutes les particules émises, des muons, sem-blables à des électrons, mais avec une masse plusélevée, atteignent le sol.
Fenêtres de transparence
 Tous les photons en prove-nance du Soleil (et éventuellement d’autres astres)ne se retrouvent pas au niveau du sol. Certains sontarrêtés par l’atmosphère. On parle de fenêtre detransparencepourqualifier lesbandesdefréquencepour lesquelles les ondes électromagnétiques tra- versent l’atmosphère, essentiellement dans le do-maine radio et une (petite!) bande dans le do-maine visible.
Protection
 L’opacité de l’atmosphère nous protège d’unepartie des photons gamma, X et UV. Le champ ma-gnétiqueterrestre nousprotège des particules char-gées, principalement protons et électrons, dont unepartie plonge aux pôles en émettant à l’occasion demagnifiques aurores boréales.
Sources
 Le Soleil est la source principale de rayonne-ments radio, UV, visible ou infrarouge.Uneampouleàfilamentou à incandescenceestunesource d’infrarouge et de visible. Les diodes laserutilisées dans les lecteurs de CD sont des émetteursd’infrarouge (les diodes laser des lecteurs de DVDetdeBlu raysontdansd’autres longueursd’ondes).Les tubes fluorescents ou « néons » émettent desUV par excitation du gaz placé entre les deux élec-trodes, UV absorbés par la couche opaque qui re-couvre le verre du tube et qui réémet de la lumière visible dans plusieurs bandes de fréquence.
Onde
 Uneondecorrespond au déplacementd’unepertur-bation, contenant de l’énergie, sans déplacementnet de matière.
Onde mécanique
 Une onde mécanique se propage dansun milieu mariel; la perturbation associée àl’onde fait intervenir un mouvement local de la ma-tière. La matière revient à sa position d’origine dèsque l’onde s’est propagée. Le son, les séismes, lahoule sont des exemples d’ondes mécaniques.
Transversale
 Une onde est dite transversale quand la di-rection de la perturbation est perpendiculaire à ladirection de propagation. Exemples : houle, ondessismiques.
Longitudinale
 Une onde est dite longitudinale quand ladirection de la perturbation est parallèle à la di-rection de propagation. Exemples : son, ondes sis-miques (on distingue les ondes sismiques longitu-dinales des transversales).
Puissance
 La puissance
 
 en watt (W) est égale à l’éner-gie E en joule (J) consommée ou dissipée par unitéde temps, c’est-à-dire pendant la durée
 
t
 en se-conde (s) :
 
 =
E
t
Intensité
 L’intensité I en watt par mètre carré (W
·
m
2
)d’une onde est égale à la puissance véhiculée
  
par unité de surface S en mètre carré (m
2
) :I
 =
 
S
Niveau
 Le niveau (ou
 level
en anglais), notéL, expriméendécibel (symbole dB), est relié à l’intensité I par :L
 =
 10
·
log
 II
0
I
0
 est l’intensité de référence, dont la valeur seratoujours donnée (en général, c’est l’intensité mini-male que le détecteur d’ondes peut mesurer).
Détecteurs d’ondes
 On procède par exemple :— l’œil est un détecteur d’ondes électromagné-tiques visibles, dans ce qui est appelé le do-maine du visible (longueur d’onde entre 380 et760 nm);— les photodiodes sont en général (trop) sensiblesà l’IR proche, en sus du visible;— l’oreille est un détecteur d’ondes sonores, dansce qui est appelé le domaine de l’audible (de20 Hz à 20 kHz);

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