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1.1. L’image donnée par la lentille est nette si cette dernière est stigmatique et aplanétique,
donc, utilisée dans les conditions de Gauss :
◦ Rayons incidents faiblement inclinés par rapport à son axe optique.
◦ Rayons incidents proche de cet axe optique.
fo′
B
Axe
Fo′ optique
O A′
A Fo
B′
Figure 1 Formation de l’image par une lentille mince convergente (dans les conditions de Gauss)
◦ L’image A′ B ′ est réelle.
◦ L’image A′ B ′ est renversée.
PHYSIQUE II 1 / 14 M.Afekir(cpgeafek@yahoo.fr)
Concours National Commun - Filière : MP – Session 2011
On divise, alors, les deux termes de cette égalité (∗) par : −OA×OA′ ×fo′ on en déduit la relation :
1 1 1
− = ′
OA OA ′ fo
1 1 1 D
− = ′ =− =⇒ d2 − D × d + Dfo′ = 0
d d−D fo d (d − D)
D
∆ = D 2 − 4Dfo′ ≥ 0 soit : fo′ ≤
4
2ème Partie
Lampe à vapeur de mercure
2.1. D’après le diagramme énergétique de l’atome de mercure, l’énergie ne peut prendre que
certaines valeurs bien déterminée (discrètes ou discontinues). Le spectre de la lampe à vapeur
est, par conséquent, discret.
c
2.2. La variation ∆E = E3 − E1 = hν3→1 , h : constante de Planck et ν3→1 = , où c : la
λ3→1
célérité de la lumière dans le vide.
c
Soit : ∆E = h
λ3→1
2.4. La radiation de cette longueur d’onde (λ3→1 ≈ 548 nm) se situe dans le domaine visible
(∼ 400 nm ≤ λ ≤∼ 800 nm).
3ème Partie
Optique ondulatoire : interféromètre de Michelson
PHYSIQUE II 2 / 14 M.Afekir(cpgeafek@yahoo.fr)
Concours National Commun - Filière : MP – Session 2011
Soit :
I(M ) = ao A21 + A22 + 2A1 A1 cos(ϕ2 − ϕ1 )
D’où :
p 2π
I(M ) = I1 (M ) + I2 (M ) + 2 I1 I2 cos δ(M )
λo
I(δ)
√ √
Imax = ( I1 + I2 )2
I1 + I2
√ √
Imin = ( I1 − I2 )2
δ
0 λo
−λo λo
2
Figure 2 Intensité lumineuse I(δ)
3.1.5. Contraste C :
Imax − Imin
C=
Imax + Imin
• Franges brillantes (l’intensité est maximale) : δ(M ) = nλo , n entier
p p
Imax = IM = ( I1 + I2 )2
1
• Franges sombres (l’intensité est minimale) : δ(M ) = n + λo , n entier
2
Imin = Im = ( I1 − I2 )2
p p
• Contraste :
√
2 I1 I2
C=
I2 + I1
I2
• Allure de C(x) , x =
I1
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Concours National Commun - Filière : MP – Session 2011
√ C(x)
2 x
C(x) = 1
1+x
C ′ (x) = 0 ⇐⇒ x=1
Cmax = C(1) = 2
lim C(x) = 0 ; lim C(x) = 0
x→0 x→∞
Commentaire : Le maximum de
contraste pour x = 1 (I1 = I2 ) (
d
source identiques ).
0 1 4
3.1.6. L’intérêt de choisir deux sources telles que I2 = I1 est d’avoir une contraste
maximale.
3.1.7. Dans le cas de deux sources ponctuelles monochromatiques distinctes est uniformes
( sources incohérentes ) :
• Cohérence
δ(M )
p(M ) =
λo
3.2.1. On part d’un rayon incident qui est divisé par la séparatrice en deux rayons (l’un
réfléchi et l’autre transmis ( Coefficients r = t = 0, 5)) qui donnent naissances à deux rayons qui
interfèrent en un point M . Il s’agit, donc, d’un système interférentiel à division d’amplitude.
3.2.2. Le rayon incident est subdivisé par la séparatrice (Sp ) en deux autres d’égales
intensités.
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ar Ii
Ir =
4
Amplitude : ai
at
Intensité : Ii = α × ai × a∗i
Ii
It =
(Sp ) 4
L’intérêt pratique est de réaliser de telles rayons de même intensité est, donc, d’avoir une bonne
contraste ! !
3.2.3.
3.2.4.
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3.3.3.2. On dispose une lentille convergente (L) (+10 cm), d’axe optique perpendiculaire au
miroir M2 , entre la source à vapeur de mercure et l’entrée du Michelson (Va : lame de verre à
faces parallèles).
Figure 4 L’interféromètre (de Michelson) éclairé par une lampe à vapeur de mercure
3.3.3.3. Pour cette question, vous avez le choix entre les deux représentations schématiques
ci-après Fig .5 - (a) ou Fig. 6 - (b) :
S2
2e
M2 (Sp )
S2′ S2
S1
S M1
S′ S1
(Sp )
Les sources secondaire S1 et S2
sont, aussi, étendues
M2′
M2
M1
S S2′
Source
étendue
(Sp )
e
S′ (2)
(1)
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M
S2 S2
S′
S1
i
M2′
S1
M2′
e
M1
(2)
(Sp )
S S′ i
(1) M
3.3.3.4. La forme elliptiques des anneaux est du au non parallélisme entre la compensatrice
et la séparatrice. Pour y remédier, il suffit de rendre ces deux lames parallèle en jouant sur les
vis de réglage ct et cp.
3.3.3.6.
δ(M ) = S2 M − S1 M = S2 H = S2 S1 cosi
S2 S1 = S2 S ′ + S ′ S1
= S2 A + e + BS ′ − (S1 B + BS ′ )
= S2 A − S1 B + e
= AS ′ − BS ′ + e car S2 A = AS ′ et S1 B = BS ′
=e+e
= 2e
Par définition : une frange est un ensemble de points d’égale intensité, donc d’égale différence
de marche. Soit i = constante ; d’où la nomination des franges d’égale inclinaison.
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Ii
avec : I1 (M ) = I2 (M ) = et δ(M ) = 2e cosi
4
4π
Soit : I(M ) = Io 1 + cos e cosi
λo
Ii
avec : Io = = 2I1 = 2I2 l’intensité moyenne.
2
3.3.3.8.
M
S2 S2
S′
i S1
M2′
S1
M2′
e
M1
(Sp ) (2)
S S′ i
(1)
f′
Ecran i
O M
3.3.3.9. Pour projeter les franges d’interférences, on doit utiliser de préférence une lentille
convergente de très grande focale (grandissement élevé). C’est, donc, celle de distance focale
+1 m.
Pour enregistrer les franges d’interférences, on utilise des photodétecteurs de surface utile
plus au moins petite. Il faut, donc, converger au maximum l’image obtenue (des franges). Dans
ce cas on choisit la lentille de focale +20 cm .
δo 2×e
po = =
λo λo
Application numérique :
po = 5493, 5
Commentaire :
l’ordre au centre est un demi entier, donc : la frange centrale est une frange sombre.
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3.3.3.11. L’intensité lumineuse au centre de la figure d’interférence est telle que Icentre =
I(M )i=0 , soit :
Icentre = Io (1 + cos(2πpo ))
Cette intensité est maximale pour 2πpo1 = 2nπ et est minimale pour 2πpo2 = (2n ± 1)π avec
1
n ∈ Z. Soit ∆po = po2 − po1 = ±
2
λo
Donc : ∆e = ±
4
Icentre (e)
2Io
λo λo λo e
− 0
2 4 2
i2
2e
L’ordre d’interférence : p(M ) = × cosi = po × cosi = po 1 −
λo 2
OM R R2
d’autre part : i ≈ tani = = ′ ⇒ po − p(M ) =
f ′ f 2f ′2
1
Pour le k ème anneau brillant, po − pk = k − (po est demi entier) , soit :
2
s
′ 2 1
Rk = f k−
po 2
s s
2 1 2 1
3.3.3.13. Rk+1 = f′ k+ et Rk = f′ k− , d’où :
po 2 po 2
2 2f ′2 1 1 2f ′2
Rk+1 − Rk2 = k+ −k+ =
po 2 2 po
2 λo
Soit : Rk+1 − Rk2 = f ′2
e
3.3.3.14.
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3.3.3.15. Au contact optique , le symétrique M2′ du miroir mobile M2 par rapport à la lame
séparatrice (Sp ) est confondu avec le miroir M1 .
Réalisation pratique :
⋆ On tend à aligner au maximum la courbure des franges (δ ≈ 0).
⋆ On fait tendre l’interrègne à l’infini (inclinaison entre miroirs ∼ 0).
Au contact optique on observe, sur l’écran, une teinte plate (teinte uniforme) .
3.3.3.16.
3.3.3.17.2
Vo t
L’intensité pourra s’écrire sous la forme : I(τ ) = Io (1 + cos (2πντ )) avec τ =2
c
3.3.3.17.3
dI(τ ) = dIo (ν) (1 + cos (2πντ )) = Ioν dν (1 + cos (2πντ ))
3.3.3.17.4
E
Le terme : exp − est le facteur de Boltzmann
kB T
3.3.3.17.5
1
L’énergie de la molécule de masse m : E = mV 2
2
mV 2
La répartition des vitesses dans le gaz P (V ) = Po exp −
2kB T
mV 2
V ν c
P (V ) = Po exp − et ν≃ 1+ ⇒ V =c − 1 = (ν − νo )
2kB T c νo νo
mc2
2
donc la répartition spectrale est : P (ν) = Po exp − (ν − νo )
2kB T νo2
L’intensité spectrale est proportionelle à la répartition spectrale : Ioν ∝ P (ν)
mc2
⇒ Ioν ∝ Po exp − (ν − νo )2
2kB T νo2
Donc , à une constante multiplicative près :
1/2
(ν − νo )2
νo 2kB T
Ioν = Io exp − tel que a=
a2 c m
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Io
2
ν
Io exp − o2
a
0 νo
IM − Im
= exp −π 2 a2 τ 2
C(τ ) =
IM + Im
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C(τ )
1
◦ Allure de I(τ ) :
√
a >> 1 (très élevé) ⇒ I(τ ) → Io a πcos (2πνo τ )
√ I
2Io a π τ
√
Io a π
3.3.3.17.11
3.3.4.1. Autocollimation :
◦ Dans ces conditions, le diaphragme se trouve, donc, dans le plan focale de la lentille.
◦ Le faisceau émergent (de la lentille) sera, par conséquent, parallèle à son axe optique :
lumière quasi-parallèle (Cf. dispositif ci-après).
◦ Dispositif :
Diaphragme
(L1 )
3.3.4.2.
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M2′
nair = 1
e(X)
M1
α O1 P
X
Diaphragme
(L1 ) (Va )
(Sp )
le miroir M1 et l’image M2′ du miroir M2 (par la lame (Sp ) ) délimite une portion diédrique
d’indice nair = 1 : on a ainsi réalisé un coin d’air ! !
3.3.4.3.
3.3.4.3.1 Différence de marche :
Pour une frange donnée, δ(P ) est constante =⇒ X = constante , donc les fanges sont
rectilignes.
Interfrange :
′
λ
= o
′
Quand δ(P ) varie de λo , X varie de im . Soit : im
2α
3.3.4.3.2 Relation de conjugaison et de grandissement :
′
1 1 1 f2
− = ′ ⇒ d′ = d ′ Application numérique d′ = 153 cm
d′ d f2 d − f2
d′
γ=− (image réelle inversée) Application numérique γ = −6, 7
d
ie
3.3.4.3.3 Le grandissement |γ| = ⇒ ie = |γ| im
im
′
λ d′
Soit : ie = o
2dα
′ 2dα ′
Soit : λo = ie Application numérique λo = 539, 7 nm
d′
3.3.4.4.
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3.4.2.2.
p′o − po = N
3.4.2.3.
∆e ∆e
p′o − po = N = ⇒ λm = 2
e N
dx(t)
3.4.2.4. Soit x (e ≤ x ≤ e+∆e) la position du miroir mobile : Vo = ⇒ x = Vo t+xo .
dt
Pendant ue période T (passage FB-FB) : ∆x = Vo T
2x 2 λm
p= ⇒ ∆p = ∆x = 1 ⇒ ∆x = = Vo T
λm λm 2
D’où : λm = 2Vo T
∆t
3.4.2.5. ∆t = 81 T (N = 81) ⇒ T = = s
81
∆e = N e = N Vo T = Vo ∆t = 23, 35 µm
λm = 2Vo T = 576, 6 nm
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Présentation de la collection
La collection taupe-test est conçue pour permettre à l'étudiant en classes préparatoires scientifiques aux Grandes Ecoles de tester la
maîtrise de ses connaissances, d'éviter tous les pièges de l'oral et de l'écrit, et d'acquérir une culture générale dans le domaine. Le format
taupe-test permet une utilisation en tous lieux et des mises au point de dernière minute.
Description de l'ouvrage
Q.C.M de Physique a pour but d'accompagner l'étudiant pendant ses deux premières années d'études supérieures en permettant un auto-
contrôle régulier de l'assimilation du cours ainsi qu'un entraînement aux questions classiques rencontrées dans les problèmes ou lors des
khôlles orales. L'objectif est de sécuriser la compréhension des notions de cours et leur bonne assimilation, et d'éviter ainsi, à l'oral comme à
l'écrit, toute mauvaise surprise. Q.C.M. de Physique ne remplace donc pas un cours ou un bon livre d'exercices, mais il optimise grandement
le travail de l'étudiant.
Le tome 1 de Q.C.M de Physique est consacré à l'électrocinétique, à l'électronique, à l'électrostatique ainsi qu'à l'électromagnétisme.
Cet ouvrage sera utile, en premier lieu à l'étudiant des classes préparatoires aux Grandes écoles, mais aussi à celui des premiers cycles
scientifiques universitaires dont les oraux sont aussi truffés de questions-pièges.
André Baumy, Agrégé de Sciences Physiques, Professeur de 1ère année de CPGE à Brest
Jean-Luc Hermann, Agrégé de Sciences Physiques, Professeur de 2ème année de CPGE à Brest
Caractéristiques du produit
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