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Un jour le canard est allé à l'atelier de Topaze désireux de voir sa figure mieux que dans l'eau.

Puis, un des Lions avait commencé à faire des chistes même s'il y avait des animaux qui
auraient voulu se fâcher (enfadar) le plus prudent était de se taire (callarse) ou comprendre le
sarcasme.

Topaze, aussi dérangé (molestado) par leur présence (de les lions) devait prendre sa patience
et faire bon visage (obligatoire pour cette profession).

Le succès de Topaze s'était répandus jusqu'au l'Amérique du Sud ou il y avait un souverain qui
était un Éléphant.

L'auteur fait une comparaison entre François 1er qui a appelé a sa cour á Da Vinci.

Pour aller jusqu'au Amérique, l'éléphant a envoyé une députation avec des offres si brillantes,
qu’il n'y avait même lieu à délibérer (typique des rois absolues). Aussi le souverain lui a
prometé une somme considérable, le titre de cacique et le grand cordon de la Dent d'Ivoire
(diente de marfil).

Quand il arrive à la cour de sultan Poussah (l'éléphant) Topaze fut présenté par l'introducteur
ordinaire des ambassadeurs. Dû à la curiosité du sultan Topaze dut ouvrir sa caisse pour qu'il
voit que est-ce qu'il y avait à l'intérieur. Il prépara ses instruments, fit chauffer ses drogues et
choisit la plus belle plaque de toute pour faire l'image royale. Le sultan Poussah se voulait voir
représenté de la tête aux pieds, et Topaze se rappelait l'aventure de l'Ours amoureux,
première cause de se succès. Le peintre Topaze change de lieu à l'Éléphant pour le réduire
autant que possible et qu'il entre entier dans l'image. Quand Topaze enlève rapidement la
plaque et il la présente aux yeux du monarque.

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