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176 La flesion du prétrit d'état en berbire Passe (KarkG) : 1972-4 Manel de grammairetourdgue (higgar) 3 tomes, Copenhague, Akodemisk Forlag, PASSE (KatLG) & AGG-ALBOSTAN AG-SIDIVAN (Bktya): 1985 - Tableau ‘morphologiques (dalcte touareg de UAdbar du Mali (orbér)) 1 Tesaien on- ‘main (mash, dagh, Mal), Copenhague :Akademisk Felag, Ran (Lath): 2004 - Le parer dthbachen (Kabylie orientale, Algérie), Koln, Raiger Kopp. ROSSiER (Co): 1951 - « Verbalbau und Verbalfexon in den semitohamitschen Sprachen », Ziti der deutschen morgenlindchen Geselischg, 100 (NF. 25),p. 461-514 OSLER (Otto) : 1952 ~ «Der semiiche Charter der libychen Sprache », Zeislrf fr Asriologie 80, p. 121-150. ROUX (Arséne): 1935 ~« Le verbe dans les prles berbires des Iphezran, [Ben-Alaham et Marmoucha (Maro) », Bulletin de la Société de Lnguistique de Paris, 36,p. 43-78. SSANNELLI(F.): 1924-25 «1! dileto berber dl Sokna, Napoli, Societh Afticena ai ‘TaIve-CuKs (Catering): 1997 ~ «Les empruns au berbére 2énaga. 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A ce {riconsonantisme predominant s’gjoutent des contraintes sur le type de segments que la racine peut contenir : une racine ne peut pas, par exemple, contenir des consonnes homorganiques (c’ Greenberg 1955), Le berbére et fe sémitique, et plus particuliérement arabe classique, convergent sur ces points. Is divergent, en revanche, sur la nature des segments et leur position dans la racine, Tandis qu’en arabe classique une racine triconsonantique peut n’etre composée que d'obstruantes sourdes| (exemples : Kft « découvrir», Kfs « de bancal , ksf « Etre ou devenie noir»), en berbére une racine bien constituée contient au moins une sonante. De surcrotl, la position de cette sonante dans Ia racine est contrainte: le plus souvent, elle suit une obstruante. Le tableau en [1] ésume ces proprigtés Brandio de Carvalho, Cédric Pati et les participants au GDR phonologie 2004, est bien évident que je demeure le seul responsable des erreurs que peut sontent ce tava "ME Cohen (1947: 58): « Les racnes du sémitique ont é& dies de pds par les linguists, On suit qu’elles sont en ts grande majorite composées de wois consonnes ; 0a es nomme titres. ». Voir aussi D. Cohen (1972, 1988) * Pour une approche diféent, of etre autres M. Cohen (1947). > svagit des consonnes suivants qui sont majoriairement des sonantes:/1r 8 1m b ff. Les obstruantes /b, 0 résulteraient d'un changement phonstique bien connu en sémitiqu pat lquel m > b> pi (of Mosca etal. 1964 24), ut Conmportonsgmenale dla race ‘ticomsomantiqae [erie tahelin | rab lassie ‘Composition contrainte [Composition hire v v ‘Aumoins unesonanie }Obsuantessourdes dns chague racine’ | ex. “kif course | Onire contin. Orde ibe v u Dans ta racine, ov moins | lms «tousher ‘ie somante est precede | mrdae made» Sune obras at «poser» ows nowt inkstros ct ces contines ui diiguet te st at ae No tart econ Cet ptent ur Ie segments da ls acne verses consonanques ous proponeron qs ces ace son fondanenaloent let coc Qe wlemert de de ius segments abet es contains de tute ed poston Das la esn nes actos Biers Ik fovon “de racine» eo afonsitigie ct ea indoeuopéz. Now foguerns fe ba gle cite dans le domaine bet. En scson 2 now prsccrone les donnée. Lnalye proremen die figure da Insect 3 wus poposerons un mode thru qu fend onpte der coats beetle sur la conoationsogneale des ‘acts treomonntioe bette chit Lee et ue ces nes ot ue ance iene Mérchsie, Ge Cue ihe et im ciple: Dae la taton 4 ous veronn comment et sre Sendtiome le choke lr ‘conne ql ger au ee. de Vinson ulges exception, gig re, sont & not: hag ego, ba cui 9, KY! avr Ties 9, KY seer »- Else repésonen {ie 5% des donnie examinser Now reviendons en ai sco cs a es Last intone erin ticmanadges 1 1 Quy um des problimes seurents dans la tinguistique di bere concer lett de It racne et son le das la foto des ms Le ‘onérations moephopbonelosiques en usage dans cet langue rendeat ‘opaque le le de eet ene das le systéme ganmatcal et poset let ‘questions suivanes: que meton diay une racine?” Quelle ploce it ‘sccorde-on dans le lexique ? Quel usage morpholegig® en fiton ? Dans ls langues indocuroptentes, in rcine et grosso modo dine ‘ome Pait lexele minimale qu'un ensemble de mot paragent Ee cottent inffrerment des conscones et des voyelle per exemple, ‘avon, avonner,rasonvemen ralsonnable pragen It ace rao tans Que nage et nautsme partagerin, dans ene crane mere, laacine non antonome na En séitigue,enrevanehe, on amet ge les ots qui sont apparens sémaniquement et morpologiquencat Partagent te méme. racine, constiuse enitrement” de ‘Consomes slscontimes et vihiculaet un Sear général Aves Vevénemcnt de it phonologe dite auosepmentale ov mili, dans es années 197, ln ‘cine aequiert un statu de morphome pr entire, expe dtavees et eprésenatons mulinéaies ob on dstague le niveau de a racine des utes aivesux momphémiques (of MeCarhy 1979, (98D), Aisi, par ‘exemple, a racine Kb «Gore», associge dla mile ea et au gabert EVEVVE détive la anne kitaa «live», eprésensct-desous en [2 a tl dans une racine? La mime racine associée 2 ia mélodi inverse a et ou gabatt EVVEVE derive, cate foi, la forme kati « tivnin » Ce eu ts Nox on isle dans ave, mgr, naval et pom quon toave dans permiate, Imperméabe, perméatit perabilier youre al Se ‘Sleds came dsacine non sao, 180 MLamovcur producti, consistant & réunir plusieurs ingrédients dans une méme Feprésentation pour aboutr & une forme donnée, place Ia racine au ewer ddu systéme morphotogique du sémitique et, on particulier, de Marabe classique. Des arguments provenant de divers domaines linguistiques confitment Iidée de la racine comme morphéme & part entire, composé luniquement de consonnes. Les jeux de langage fournissent une partic de ces arguments. Les travaux de McCarthy (1981: 379; 1991: 12) ‘démonirent, dans ce domaine, la capacité qu’ont les locuteurs qui pratiquent ce type de langages & extraire et A manipuler les consonnes qui ‘composent la racine. On cite comme exemple le jeu de langage de Parabe pratiqué par les bédouins du Hijaz. Ce jeu consiste a extraire et & Permuter les consonnes radicales. Une forme verbale comme kattab « il 8 fait rire» peut étre rendue par Tune des formes suivantes: battak, kabbat, tabbak, bakkat, takkab. La racine garde toutes ses consonnes ; seul leur ondte change. Les études menges sur ls pathologies du langage tels que Vaphasie fournissent d'autres arguments. Prunet etal. (2000) ‘montrent qu'un sujet ilingue arabe ~ frangais, atteint d'une forme de ddyslexie, produit plus d’ereurs de métathése en arabe qu’en frangais. De plus, les métathéses produites en arabe n'incluent que les consonnes radicales et pas aiixales : ih-timaal > %ih-tilaam « probabilité», fuqar-aa? > furag-aa? « pauvres », ma-sbah > ma-hbas « piscine » ‘Les auteurs suggérent par Ib que le sujet dyslexique a directement acces & la racine du mat. Le contraste que pose Ia notion de racine entre les langues indocuropéennes dun c6té, et les langues sémitiques, de l'autre cote, refléte opposition classique entre les langues "A morphologic concaténative et celles & morphologie non-concaténative. En berbére, en revanche, le débat autour de cette notion est moins tranehé, Bon nombre de linguises (of entre autres Cantineau 1950 et Galand 1988, 2002) lui accondent un statut comparable a celui qu'elle a en sémitique. D'autres comme Kossman (1997 130) soulignent l'insuffisance, dans certains cas, de la racine comme entité composée exchusivement de consones. IL donne I'exemple de V’aoriste qu'il dérit comme une forme indivisible ot voyelles et consonnes coexistent. Le débat est probablement lig & ce que cette langue posséde un systéme morphologique bybride mélant les ‘opérations concaténatives aux opérations non-concaténatives. D'un cOté, fon s'accorde a analyser, par exemple, dl «couvee!», idle «il a ‘La suctre interne des racine tconsonantiques 181 couvert», amdla «ueges» et tml «covvercle» comme éant soosints one rane} hauls jet es ment consonitigues et voeaigts. D'ut autre cb caraes ioe txplogigies parce gles recount a des epraons briguners Concanatves~ sont dilclementdenvabes Je rcinee ene consonaigus Lethime de aot en est une isto pare ae vetbes conime wala «ue a Ot de>, matr aun men « acompagner » sla «re oie» pvea ut poblme it tes sales y' sont frome lifes auy common, ese haces conjususes (accompli, accompli posi, scam niga, poreee inact sore de Bs. tot Cate verbs ft vere opel par exerpe, Kn vs. Hae vs. wr Hl we peer “ane umz « attraper »). 2 our les besoin de note ede, nous nous Knterons das ce gu suit 4 Vanayse des vers ticonsonantgues sans voyeles pets ee Vetbes de type CCU et CCI pour emule conten deren St bins problema 2. Examen des données ete sade porte sur une lise de 226 vers comprenant des wconsonanques de ype COC, CCU, Cet des Bcsmsooiaes ot ‘ype CC: La lint a labore principalement h pai dee rege suvanis: EI Mounts (2003), Bounalk (2003) et Dal & loedsees (0988. Fe nin pas Tes veer emprnts Paabe comm Mor «compre, xd tailor, Rha ge» te Examinons les données suivantes BI Racine verbe aoriste a Yarm gam «couper » ifm kim wontrer Vbsr bse «éaler » Yor age “teaverser » 182 Mzannovcn Vivir bar «évoquer» », Ved td dévorer» Ver kee labourer» Vert kerf ‘«attacher» Vem ma « gratter » “smd smd « ajouter » “ Yds nd'r «jailr> Yingt mgr ‘«moissonner » “ikm km, «arriver » Yokr ake se over» “eal gl ‘«fermer» a knw knw «se pencher» View kw «tour» Yaw au cperdee» Vory bri cgriter» “bsy bsi « fondre» examen de ces domndes mnt un beri tachi es acins des vebericonsonantquesbsisent i un enpemble de" cens phonologiges gu init la nate etl poston ds sepments fs Competent On nt ins que i "1 i, Chaque racine contient au moins une sonante (95% des racines tiperaries dans le corp en annexe obervent ete conte) Pam es conteorempts on lee ds ines comme bd ee oil og sal tay hai asirctre ier des racine trconsonaniques 183, ii, Chaque racine content au plus deux sonantes comme dans ley «exemples donne en [3c] et [34 Les conte-exemples comme rmi «dee fatigué»,rwi «salir» et mu «re mou » eprésentent 39% de ensemble des donnees ii, Dans ta racine, au moins une sonante est prévédée d'une bstruante, 87% des données sont conformes a cette generalisation jv. La sonante peut apparaiue en position finale (3a) ou médiane {3b} de aracine. ¥._ Lasonante n’apparit en position initial dela racine qu si une ute sonante apprait en position finale (voir (3c), 14 ravines sor 226 contredisent cette generalisation (exemple Ima! « avaler », arg « avoir honte », mara «besser a te») i. Si deux sonantes sont contguts, alors Ja seconde est {vocalique}. Les séquencestypiques sont [liquide vocoide haut), [aasaletvocoide haut} (voir [6d). Les contre-exemples ~ hut at total incluent des racines comme frm « tie » et Ima’ « avaler», ‘Au vu de ces généralisatons, les sonantes semblent jouer un role central dans la structure des racines triconsonantiqués. En arabe classique, les segments de ce type, en particulier /m a Ir, sont considérés comme des afixes ajoutés aux racines triconsonantiques pour dériver des formes quadriconsonantiques (exemples; dahra «faire rouler », gardam « couper», qart'an « jeter, lancer », zahlaf « rouler le long »), Diakonoff (1970, 1988) et Elmediaoui (1994) font fe méme constat au niveau de Mafrossiatique. Elmediaoui (ibid. p. 102-103) donne les ‘exemples suivants 6 Racine berbire arabe classique hebrew Yee gzm “coupee” gazam “couper” —gazam “sl” evar “taille” garar “coupe” Yaa qardam “couper” gardum “hiche” Outre ces cas, Elmedlaoui (ibid. p. 101) évoque le re des sonantes dans expression de 'intensté dans les onomatopées : TT eee 184 Mtaunoveu (a - Onomatopée _onomatopéeintensifie onomatopée sur- intense ttagq teraqq tetllagg bbaqq bbragg brbllagg, dave dean delice Ces onomatopées référent a des brits de friction, d’explosion, de hoes ete. Les sonantes y sont inséeées pour exprimer Pidée dintersté dans le bruit produit, Dans la section qui suit, nous présentons une hypothése qui rend compte des contraintes relevées en [4], Nous proposerons. que, cea contraintes reflétent une structure interme spécifique des ravines ‘wiconsonantiques. Ensuite, nous verrons en section 4 comment celle structure est prise en compte dans la gestion du mécanisme de. Ia ‘pémination au theme de Pinaccompi 3. Lastructure interne des racines triconsonantiques 4. Structure binaire tte -complément De examen des données i ressoxt que les racines verbules triconsonantiques du berbére tachelhit sont soumises 4 des contraintes stueturells ct distributionnelles au premier rang desquclies figure une contrainte strueturelle majeure formulée ci-dessous en [7] 17) Br berbére tachethte chague racine triconsonantique conten au ‘moins une soname A cette Structurelle s'ajoute une contrainte «listibutionnelle de méme importance, qui est elle capturée en termes de sonorté relative iat le segment le plus sonore de la racine au segment qui le prévéde {8} Aw moins une sonante dans la racine est préctdée d'une obstruante Ces contraintes prises ensemble traduisent une organisation interne spécifique dela ravine. La question qui se pose dés lors est la suivante ‘a sructre interne des racine tconsonantigus 135, [9] - Comment définir un cadre conceptuel qui permet d'aborder la question de Ia composition segmentale des racines {ticonsonantiques en berbére tachelhit ? Plus particuliérement, 5, Comment rendre compte des contraintes structurelles et ou ane comme dns sem «Seis ns De ps. pe ean uur Soames se sve! dan ine, comme ee Ts dans Ka {spencer rie guy cme «lane tee meet bligtremen sigue au seen st gah dea svat apes Svat Pour ister Te mds, qucigues-ier des racine données e (3) sont sepsis en (12) en isting fo) kes ont tt tng obreant et saci dont eet une sont. 2p Obs Nd Lb AN AA, A Sonam tte AD Dy a asain ire de racine comands i La stare intinsquement bitnire allowe aux racine ‘econsonantiucs du herbie taclhitdétermine Ieealement le domene des contains qui pésnt sur es segments gui occupet les posters {al de complément. Une des conséaenoes de ete ype et gan, ‘comme nous Favons expr plu ha, Je Wosieme element dela none = ei qi est directement attaché av nau supedeur de Pate retrouve libre de tote contrainte. Autement it ls contrast ean ‘et de postion sont ites ex nad infriew de arbre 1 ecteur aura, pr alicus lov ue sae earelritiqe de cette ur tborescenie 31 La etext locals systémutiquement dans la anche che do end nfericur de Varbre. {On ne peut pas sempicher ii de fie le rappichament ave ce qu {st spoliqué dan les représctations syntaniqes een particle ce dae Kayne (1994) appelle "Linear Corespondence Atom ‘Une question demeure, néanmons, posse quant il site allouée tx racines theamsonaniqus. On ainteralt aver, nummer, oe el istic que dans cette structure Is postion de tee sot altibuge tw ‘sovante non Ane sonaie. En quot jem ptvautele our he Scand? Un cment de réponse vient des propre intinseyac deg brutes de eur comportement das la ane. Une obsinaae a see de paticlior qu'elle peut alle. seule’ const une mene ‘monoconsonantique (exemples: «ete», Mx panier pars vat Mrassanger»). Ele et en quelgue sorte 4 a cine ce rune oye ‘Ia abe ou encore ce qu'un vere est au VP" En out, leo séndrlement admis que élément tte et. plas simple que, son 7 Sa aller das sis, Lincar Coespondace Axiom ip qe dans es srucrs symaigus, I ie, Te compliment tle specie ot on ede linge “iver das eqiel Ia tittle spice me fe ‘lmolnent:SpeciieorTae -Complenere, Toutes es ines monoconsnangies san yoy plas genous evens 'sevées das es deo ne orient ue des Comms ons, Une syle pet econ gus une vy tat cone a VP (Va ras) ea ne ono uu ee 188 MLannovcat complément. Les obstruantes sont effectivement plus simples (moins ‘marquées) que les sonantes" 5.2. Cas problématiques Les racines triconsonantiques qui posent probléme & notre analyse sont de deux types (nous avons signalé auparavant leur faible poureentage dans 'ensemble des données traitées) 014] Les racines qui ne contiennent aucune sonante (ex. bag ‘enter », bd « ire mouillé» et zdy “haber” Les racines oi la seule sonante est initale comme dans rk se danser» et rks « cacher » Notre analyse ne permet pas d'assigner & ces verbes une structure arborescente dotée d’une téte et d’un complément. Nous reviendrons sur ces cas au terme de I'examen du mécanisme de gémination au théme de Pinaccompli. Rappelons, au passage, que les verbes de type rwi

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