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T'amphibologie des cae 2
Tietion» («La réflexion, écrit Kant, [.~] constine Oe 5
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scendantale, telle qu'elle
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ae (ou «sensible» au sens dy wae
ranscendantal) d'un état de T'esprit qui, pour le digg ta
termes de J.-F. Lyotard, « n’est rien d’autre que le Sentiney ly
le signale»: «Tout acte de pensée, écrit Jp [ae
., e [...] d’un sentiment qui signale a la roa,
s’accompagnt J 7 Pensée
«état» [...] Etre informée de son état c’est, pour Ja Peng,
éprouver cet état, 6tre affectée. La Pensée est affection, &
sensation (ou le sentiment) est a la fois I’état de la Pests
Pavertissement fait 4 la pensée de son état par cet gay
L’« arc » est alors « tendu » (cf. F. Proust)'' entre Ja Téflesng
transcendantale de la premiére Critique (comme réflexion ow
« l’aspect subjectif [...] consiste tout entier dans la tautégorie qj
fait du sentiment le signe, pour la pensée, de son état, donc
signe de lui-méme, puisque 1’« état» de la pensée est i,
sentiment » (cf. J.-F. Lyotard)") et la réflexion esthétique del
troisiéme Critique, en tant que la faculté de juger, dans le got,
«est elle-méme subjectivement objet aussi bien que loi»
(Kant)'®, le terme « tautégorie » (« la tautégorie de la réfleria
[comme « jugement réfléchissant pur tel que nous le live
Vesthétique »] ») « [désignant], précise J.-F. Lyotard, Videnit
de la forme et du contenu ou de la «loi» [le « princip
subjectif » d’appréciation] et de I’« objet » »™, ce qui sigift
V'«autonomie » du jugement esthétique (cf. J.-F. Lyotard ¢
A. Renaut'*), ;
La « pensée » est « un pouvoir transcendantal de réflexi
des affections, des signes que sont les affections » (F. Proust)”
L’@tat de esprit réflexif, saisi en sa transcendantalité origi
Mest autre que le sentiment Propre a la réflexion en tant q!¢;
est affectée par ce que F. Proust nomme « état pur du sens? *
soit me transcendant-alité » méme de Pesprit (cf. supra 1h
wr, Peusée conforme a I’exigence (de la ; ref
€ s’éléve au « savoir »'# dans la déterminatioe ’
formes esthéti ue: *
ination dt. °t_ Jogiques du penser ov 4 rere?
yan G&S « principes de la moralité »'®; elle Se
une « croyance doctrinale » d " péculatives
et a une « croyan, fans « les questions 5] 150"
Possible sous ta een e» concemant Ia «seule t
quelle [...] (la) fin [morale] parvient
72a
tes les autres fins un ¢
sre rela « créance » transcendantale (eee A oes
paste tgue « tent) (..] pour vrai fds Tate de ce que la
vs t, comme états d’esprit, Tvahrhalteny »)2
(elativernent a la Croyance) et la « certitude » R Jaton»
voit), conviction et certitude étant 1° Telativement ay
unicables, ce qui doit s’entendre, comme nor jfaure
‘ 155 Sa de wee "avons,
nan les » dans la perspective de Vexigence du sen
Lanalyse critique du sentiment de plaisir ‘
au jour le pouvoir transcendantal d autoaffecton Teapit
(cf.supra), pouvoir qui doit fonder le plus originairement le
sentiment empirique de plaisir et de peine. L’a priori de ce sentir
transcendantal est « produit, @ posteriori, de cela méme dont il
fonde la production » (soit le sentiment empirique de plaisir et de
pene), dirions-nous en reprenant les termes par lesquels
0.Chédin'® pense comme une « rétrojection » (cf. M. Richir)
entre I'a priori et I’ a posteriori'’. En outre, tout « sentiment » du
penser critique (cf. supra) doit étre concgu comme indissociable
de ce «principe subjectif de différenciation», de ce
«sentiment » propre au « besoin » de penser'™ (besoin qui n'est
pas ici celui de la disposition naturelle a faire de la
méaphysique, mais celui de la pensée métaphysique comme
science) qui accompagne la pensée depuis la « [détermination de]
Son propre pouvoir de juger» (on ne saurait s’autoniser =
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