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Gestion 2000
Recherches et Publications en
Management A.B.S.L.
Olivier Voyant,
Maître de Conférences, Université Lumière Lyon 2,
Membre de l’ISEOR, France.
La profession comptable à
l’écoute de ses clients
- Etude de cas de développement du
conseil -
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Gestion 2000 5 septembre - octobre 1999
net. Cette action a été réalisée entre vention sur une base expérimentale initiale
d’une dizaine d’entreprises, approfondie ensui-
mai et septembre 1996. Elle nous a te sur six cas. Notre première base expérimen-
conduit à rencontrer en entretiens indi- tale, pour laquelle nous avons rencontré plus de
viduels approfondis les trois membres 100 dirigeants et cadres de PME-PMI et réalisé
de la Direction et l’ensemble de leurs plus de 1 500 heures de travaux, nous a permis
d’expérimenter un guide d’entretien permettant
collaborateurs (six personnes). Après d’identifier les pratiques d’écoute de l’environ-
un traitement et une analyse des infor- nement. La seconde base expérimentale, qui
mations recueillies, une présentation correspond à notre deuxième année de
recherche, pour laquelle nous avons rencontré
orale du diagnostic a été réalisée,
un peu plus de 60 personnes et réalisé plus de
d’abord à la Direction, puis à l’en- 1 000 heures de travail, a contribué à l’enri-
semble des personnes interviewées. chissement et à l’évolution de notre guide d’en-
Suite au diagnostic, nous avons mis en tretien, mais également à introduire une dyna-
mique de changement par la mise en place de
place un groupe de projet dont les
groupes de projet. L’ensemble de ces travaux a
objectifs ont été les suivants: eu pour objectif d’esquisser quelques réponses
à l’hypothèse de travail suivante: “L’identifica-
tion et le développement d’un système d’écoute
de l’environnement des PME-PMI peuvent contri-
buer à accroître leurs performances écono-
58 miques, sociales et organisationnelles”.
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- Etude de cas de développement du conseil -
gir le cercle “classique” pour y inté- ses travaux, Jamboué (1995) définit
grer, en plus de la Direction, l’en- plusieurs types d’entretiens utilisables
semble des acteurs y étant rattachés. dans un contexte de recherche en
Après avoir réalisé plus de cent-soixan- Sciences de Gestion. Selon l’auteur,
te entretiens dans seize entreprises dif- les entretiens sont en général classés
férentes, cet élargissement du cercle selon leur degré de directivité et l’on
nous a semblé contribuer à la sensibi- en distingue habituellement trois caté-
lisation des collaborateurs à l’écoute gories.
de l’environnement, mais également
combattre le cloisonnement existant – L’entretien non-directif: le chercheur
entre ces derniers et la Direction. propose un thème que l’interviewé
Schématiquement, la population ren- développe à sa guise.
contrée au sein de nos bases expéri- – L’entretien semi-directif: le cher-
mentales et composant l’espace géo- cheur aborde une série de thèmes à
graphique des acteurs impliqués dans l’aide de questions préparées, mais
le diagnostic peut être représentée de auxquelles l’interviewé peut répondre
la manière reprise dans la Figure 1. librement.
La technique centrale choisie pour – L’entretien directif: il s’agit de pro-
mener notre diagnostic étant l’entre- poser à l’interlocuteur une série de
tien, il paraît nécessaire de définir le questions pré-élaborées en lui soumet-
type d’entretien le plus approprié et le tant des réponses-types (cet outil peut
plus compatible avec le type de donc être rapproché d’un questionnai-
recherche entrepris. Dans le cadre de re réalisé oralement).
Acteurs Acteurs
impliqués dans DIRECTION impliqués dans
le système le diagnostic du
d'écoute de CADRES système
l'environnement d'écoute de
MAITRISE l'environnement
TECHNICIENS
OUVRIERS ET EMPLOYES
Source: adapté ISEOR (90)
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ACTEURS STRATÈGES
▼
OBJET STRATÉGIQUE Clients Fournisseurs Concurrents Institutions
▼
c Thème 1 Force X1 X2 X3
Produits Faiblesse X1 X2 X3
c Thème 2 Force
Marchés Faiblesse
c Thème 3 Force
Technologies Faiblesse
c Thème 4 Force
Potentiel Humain Faiblesse
THÈMES TRANSVERSAUX
c Thème 5: Système d’Information
c Thème 6: Système de Planification
c Thème 7: Système de Contrôle de Gestion
c Thème 8: Système de Prise de Décision décentralisé et synchronisé
duits alors que la phrase “La collecte été obtenus par une synthèse des
des informations est principalement forces et des faiblesses soulignées
faite par les vieux limiers de l’entrepri- dans le cadre des entretiens, puis par
se; il faudrait l’élargir à l’ensemble des une analyse du chercheur validée par
personnes qui se déplacent et surtout les membres de la Direction. Au terme
travailler sur une recherche d’informa- de cette présentation, nous présentons
tion sélective, orientée: que doit-on sur- une synthèse des principales forces et
veiller?” a été imputée au thème 5 rela- faiblesses des pratiques du cabinet.
tif au système d’information.
Les produits
La présentation des
résultats expérimentaux Si la Direction semble avoir été l’une
des premières à réagir et à s’interroger
Les résultats expérimentaux présentés face à la nécessaire mutation du
ci-après concernent le traitement des métier, il n’en reste pas moins qu’elle
matériaux relatifs au diagnostic du éprouve des difficultés face à la mon-
cabinet d’expertise comptable. Ils ont tée de l’exigence des clients. Cette der-
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nière conduit à la nécessité d’une révi- riels proposés aux clients: cette vigi-
sion complète des produits offerts et lance sur la rentabilité des produits de
des relations entretenues avec la clien- conseil pourrait, en effet, s’avérer être
tèle. une source de satisfaction des clients,
car elle apporte des arguments démon-
Tout d’abord, la comptabilité est per- trant l’intérêt économique de ce type
çue par les clients (voire souvent par de produits. Enfin, concernant la rela-
les collaborateurs du cabinet) comme tion des membres du cabinet avec
une réponse aux obligations fiscales et leurs clients, il apparaît nécessaire de
non comme un outil de gestion, d’où la développer et de renforcer les contacts
recherche d’un abaissement du coût pour s’assurer de leur satisfaction. Par
de la tenue des comptes, des déclara- là même, ils se mettront dans une posi-
tions fiscales, des états de fin d’année tion favorable pour répondre à leurs
et de la gestion sociale. Face à ce attentes, en traitant notamment l’en-
constat, il apparaît nécessaire de faire semble de leurs réclamations. Or, le
émerger à partir des produits tradi- flou entre demandes de renseigne-
tionnels les prestations de conseil dif- ments et réclamations est souligné.
fuses réalisées puis, conformément aux
“alertes” faites depuis des années par Au sujet de la concurrence, le point
l’Ordre des experts-comptables, de les majeur évoqué concerne la mise sur le
développer afin qu’elles puissent, pro- marché de produits à faible tarification
gressivement, pallier la réduction du répondant à la pression des clients.
chiffre d’affaires liée aux prestations Ces baisses de prix “sauvages” ont été
traditionnelles. Outre un travail de visi- identifiées par la Direction et l’enca-
bilité et de développement de ces pres- drement du cabinet comme étant une
tations, il s’avère nécessaire pour le
réponse possible aux clients au travers
cabinet de mettre en place un cata-
d’une détérioration de la qualité des
logue interne des produits faisant
produits livrés. A priori, cette non-qua-
apparaître les missions traditionnelles,
lité est non-visible. Toutefois, elle peut
les produits de conseil créés et les pro-
avoir d’importants effets pervers si l’en-
duits à développer. Pour les produits
de conseil créés ou en voie de déve- treprise fait l’objet d’un contrôle. Ce
loppement, il semble nécessaire de les faisant, la Direction du cabinet a pré-
accompagner d’une facturation com- cisé que les travaux réalisés ne
plémentaire distincte des facturations devaient en aucun cas souffrir d’un
liées aux missions de “base”. Pour manque de qualité et que cette “com-
cela, un des membres du cabinet a pétition” légitimait d’autant plus la
souligné l’importance de l’étude de nécessité pour le cabinet de renforcer
rentabilité des investissements immaté- ses actions auprès des clients.
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Les actions suivantes ont été identi- stratégique qui consisterait à trop “col-
fiées. Elles concernent tout d’abord la ler” au métier traditionnel sous prétex-
nécessité pour le cabinet d’introduire, te d’une lecture rigide de la réglemen-
au sein de sa structure, un processus tation. Il conviendrait en réalité de
lui permettant à la fois d’identifier les s’appuyer sur le métier traditionnel
futurs produits à développer, mais éga- comme sur un tremplin, pour rebondir
lement de les faire évoluer en fonction loin en avant et innover sur les métiers
des contraintes imposées par la régle- et les produits afin de satisfaire les
mentation et les moyens humains et besoins des clients.
financiers disponibles. De plus, il est
demandé de développer une forte Les technologies
réactivité par rapport aux demandes
des clients sans pour autant oublier les Les évolutions technologiques des
étapes préalables à la réalisation des années 80 avec l’apparition de l’infor-
travaux avec, notamment, la descrip- matique et les difficultés financières
tion du produit attendu (cahier des rencontrées par le cabinet ne semblent
charges), la date de livraison prévi- pas inciter ses membres à mettre en
sionnelle du produit, mais aussi, le place des activités de vigilance tech-
montant de la facturation envisagé. nologique. Cette situation, si elle sem-
Enfin, le choix des produits à dévelop- ble “acceptable” à court terme, devra
per doit, compte tenu des réductions évoluer à moyen et long termes pour
de charges déjà réalisées au sein du anticiper l’arrivée sur le marché de
cabinet et des difficultés rencontrées, nouvelles technologies permettant, par
assurer des prestations à forte valeur exemple, de modifier profondément les
ajoutée. Cet apport de valeur ajoutée modes de transmission d’information
apparaît, en effet, comme une garan- entre le cabinet et ses clients (échange
tie pour le cabinet de dégager, sur les de données informatisées, ...). Par
produits de conseil, des marges supé- conséquent, il conviendrait de mettre
rieures aux produits traditionnels et en place une politique d’investisse-
donc d’obtenir un accroissement signi- ments diversifiée avec, notamment,
ficatif de son chiffre d’affaires. des investissements de renouvellement,
de croissance, de développement et
Les marchés de productivité (Laridan, 1998).
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efforts n’ont pas été suivis d’effets changement soulignée par les mem-
majeurs et la capacité de mobilisation bres du cabinet (de ne pas être capa-
du potentiel humain du cabinet appa- ble, de se remettre en cause, ...), des
raît nettement insuffisante. La nécessité difficultés dans leur rapport à l’argent
de fixer à chacun des membres des ont été identifiées. Sujet tabou par
objectifs-contraintes faisant l’objet d’un excellence, cette gêne rend difficile le
pilotage régulier pour mesurer les évo- passage à l’acte pour la vente des pro-
lutions s’est donc imposée. Il est appa- duits de conseil du cabinet, car les
ru également nécessaire de préciser membres n’osent pas “réclamer” d’ho-
que ces évolutions ne pouvaient plus noraires complémentaires. Par voie de
ressembler à de simples frémissements. conséquence, la vente de ces produits
Ces dernières doivent s’inscrire dans s’avère à son tour devenir un sujet
une véritable prise de conscience acti- tabou. Pourtant, la démonstration a été
ve de chacun. faite à plusieurs reprises par la profes-
sion que leur mise en place pourrait,
Pour cela, les membres du cabinet évo- non seulement assurer un chiffre d’af-
quent des expressions nouvelles com- faires complémentaire significatif aux
me le fait d’«être son propre entrepre- cabinets, mais également renforcer
neur»: cette notion fait référence à la leur image de conseiller auprès des
nécessité de développer de nouveaux clients par l’apport de produits à forte
produits, de les vendre, de les produi- valeur ajoutée. Si le problème com-
re et enfin de les faire payer. Des mercial du cabinet trouve sa source
doutes apparaissent également avec, dans la difficulté du passage à l’acte
notamment, la Direction qui s’interroge des membres pour des facteurs com-
sur le courage (courage de dire et de portementaux, il n’en demeure pas
faire) et la loyauté (mise en oeuvre de moins que les problèmes organisation-
la stratégie de l’organisation à laquel- nels observés constituent également un
le on appartient) professionnels de ses handicap. Sur ce point, il apparaît
collaborateurs. Si les membres du nécessaire d’identifier les porteurs des
cabinet reconnaissent unanimement actions commerciales et, plus généra-
qu’il est nécessaire de changer, les lement, de définir une politique com-
appels de la Direction restent vains. merciale actuellement déficitaire et
portée principalement par les mem-
Face à ces comportements, et indé- bres de la Direction.
pendamment de la prise de conscien-
ce collective et des volontés affichées Le système d’information
par la Direction, il s’est avéré néces-
saire de rechercher des causes des dif- L’efficacité du système d’information
férents blocages. Outre la “peur” du de l’entreprise apparaît réduite princi-
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ACTEURS STRATÈGES
Marchés Faiblesses
THÈMES TRANSVERSAUX
Thème 5 Forces • FORTE VIGILANCE SUR L’EVOLUTION DE LA PROFESSION
Système de Faiblesses • MANQUE DE COORDINATION ENTRE LES GROUPES POUR IDENTIFIER LES NOUVEAUX
Prise de PRODUITS A METTRE EN PLACE
Décision • MANQUE D’ORIENTATIONS STRATEGIQUES
• MANQUE DE CONSULTATION DES CADRES POUR ELABORER LA STRATEGIE
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au sein des entreprises lorsque le dia- nel de base pour envisager son évolu-
gnostic est une fin en soi, un produit tion, envers la direction qui acceptera
unique et statique chargé de faire des le projet qui lui est proposé. Par consé-
constats. Pour rompre avec ces pra- quent, le projet s’affirme, après le
tiques, nous avons donc souhaité, “déclic” obtenu par le diagnostic,
conformément aux usages de l’Institut comme la phase majeure de transfor-
dans lequel nous menons notre mation du système d’écoute de l’envi-
recherche, élargir le “produit” dia- ronnement.
gnostic en y intégrant une phase de
projet et tenter ainsi de répondre aux Pour ce faire, la phase de projet suit
préoccupations exprimées par les une démarche rigoureuse comprenant
acteurs rencontrés. la définition des acteurs-participants,
la conception des cahiers des charges,
la planification du projet, la conduite
Le développement
des séances de projet et la mise en
de l’écoute de oeuvre des actions d’innovation rete-
l’environnement nues. Avant de présenter les résultats
obtenus, et sans passer sur une des-
cription de l’ensemble des phases qui
La méthodologie de projet composent le projet, nous présentons
ci-après le fonctionnement du projet, à
Un programme ou un projet est un partir de la méthodologie conçue par
ensemble coordonné d’activités tech- l’ISEOR (Savall et Zardet, 1987), mis
niques, administratives et financières en place au sein du cabinet.
qui vise à concevoir, développer et
réaliser un produit, ainsi qu’à préparer Le projet a fait l’objet de six séances
son utilisation et en assurer le soutien de groupe restreint (groupe composé
(IQM, 1995). Ces activités doivent des membres de la Direction) et de
conduire à la mise en place d’actions groupe plénier (groupe composé de
innovantes permettant la transforma- l’ensemble des personnes rencontrées
tion du système et issues d’une co-pro- lors des entretiens de diagnostic) en
duction entre les acteurs de l’entreprise l’espace de cinq mois. Compte tenu de
et le chercheur. Pour Savall et Zardet la taille du cabinet, le responsable du
(1987), cette phase est un moment cru- cabinet a été désigné comme chef de
cial où s’exercent les premières projet.
marques de confiance de l’encadre-
ment dans l’action de changement: Chaque journée de travail sur le ter-
confiance envers soi-même pour trou- rain a été décomposée en quatre
ver des alternatives, envers le person- séquences:
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Client A Collaborateur
Date de l’entretien Type d’entretien ■ Téléphonique
■ Entreprise
CODE FICHE ■ Cabinet
Observations
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client. Lorsque les cases “faible” ou en adéquation le produit disponible par rapport
à l’expression du besoin de l’entreprise. Il appa-
“Forte” sont cochées, les collabora-
raît nécessaire d’attendre un certain degré
d’adéquation produit/besoins avant d’entamer
72 la négociation avec le client.
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Groupe JMG
Date d’édition
CODE FICHE
A B C D E F …
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Groupe JMG
Date d’édition
CODE FICHE
C1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C8 …
Client A ■ ■ ■ – ■ ■
Client B ■ ■ ■ ■
Client C ■ ■ ■ ■ – ■ ■
…
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- Etude de cas de développement du conseil -
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le conseil en management, Economica. Sciences de Gestion, Université Lumière Lyon 2.
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